Comblé Pour Avoir Soudoyé un Policier

- Par l'auteur HDS Jay -
Récit érotique écrit par Jay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Comblé Pour Avoir Soudoyé un Policier Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Comblé Pour Avoir Soudoyé un Policier
Cette histoire est la suite de Poursuite Policière et Salle d’Interro, dans lesquels Jay rencontre un policier nommé Alain lors d’une rando en vélo qui le baisera une première fois et le convoquera chez-lui, par la suite, pour une séance de domination fétichiste.
*
Après avoir subi un interrogatoire et avoir entendu ma sentence, Alain mit fin à la séance de douce domination. En guise de remerciement pour la langoureuse et délicieuse fellation que je lui avais prodiguée, il me proposa une petite pause gourmande, le temps de refaire ses forces.

Je m'installe dans son lit pour me reposer pendant qu'il prépare un apéritif. À son retour, il dépose le plateau entre nous et prend place à mes côtés. Nous buvons allègrement et discutons de nos vies respectives, de nos envies et de nos préférences. Cette conversation n'a rien d'anodin, car je constaterai plus tard que mon amant policier s'en servira pour pimenter nos ébats.

Le moment est des plus agréables, empreint de douceur, d'érotisme et de légèreté. Nous nous embrassons à l'occasion et nous câlinons furtivement pour faire monter le désir. Je jette occasionnellement un coup d'œil à son sexe, qu'il n'a pas pris la peine de remettre dans sa coquille. Libre et toujours aussi délectable, sa queue semble reprendre de l'ampleur. Je le titille un peu plus pour l'allumer, toujours curieux de savoir ce qu'il a en tête pour la suite. Après tout, la sentence a été prononcée : réprimande dans le sling. À quoi cela peut-il ressembler ? Je me le demande. Sera-t-il plus bestial que sensuel ? Je me prends à fantasmer sur ce qu'il me réserve.

— Je t’ai laissé une poire sur le comptoir de la salle de bain, me lance soudainement Alain, m’extirpant de mes rêveries.
— Une poire ?
— Hum ! Oui ! Surtout, ne la mange pas, me lance-t-il, en riant. Je me change et je te retrouve dans l’autre pièce.
— D’accord, dis-je simplement, ayant perdu le fil de la conversation.

J’entre dans la salle de bain et referme la porte derrière moi. Je jette un coup d'œil au comptoir. Et puis, clic, je pige. Il y a une poire rectale. Alain veut déguster ma rondelle bien propre. Voilà.

Il y a aussi une note. Je la récupère et la lis.
"Prends bien soin de te laver. Surtout, ne tarde pas. Je t’attends dans la salle adjacente à la chambre. Enfile les vêtements que tu trouveras sur le banc, derrière toi, et viens me rejoindre."

Je tourne la tête et vois un pantalon en cuir noir, des bracelets et un collier, également en cuir noir, gisant sur le banc. Mon cœur s’emballe, ma verge gonfle. J’adore porter du cuir. Comment a-t-il su ?
Je m'exécute sans tarder. Je me sens autant excité qu'effaré par ce qui m'attend, mon cœur battant à tout rompre dans ma poitrine. Je fais le nécessaire et enfile le pantalon de cuir souple ajusté qui moule mes formes de manière suggestive. Je me regarde dans le miroir, admirant l'effet que produit le vêtement sur moi. L'empreinte de ma queue est bien en évidence, une bosse qui se dégage nettement sous le cuir. Les bracelets et le collier que je porte rehaussent mon look de passif, me donnant une allure à la fois sexy et séducteur. Je me sens comme un objet de désir, un jouet sexuel, et cela me rend encore plus excité. Je sais que ça lui plaira.

Je prends une profonde inspiration pour me détendre, me rappelant que ce n'est qu'un jeu. Mais, des images de mecs rudement sodomisés dans des slings occupent mon esprit. Pendant un instant, j'hésite. L'incertitude me saisit. Finalement, j'essaie de chasser ses inquiétudes de mon esprit. Je décide d'écouter uniquement mes instincts.

J'ouvre la porte de la chambre, puis la referme derrière moi avec un soin délibéré, conscient d'avoir scrupuleusement respecté ses instructions. Mon geste est empreint d'une assurance mesurée, un mélange de confiance et de respect pour les règles établies.

La pénombre m'enveloppe instantanément, baignée d'une lueur rouge sang, presque organique. Mes pupilles luttent pour s'adapter, transformant l'obscurité en un tableau impressionniste où les contours se cherchent, se devinent.

Je m'immobilise, retenant mon souffle. Le silence devient palpable, chargé d'une attente électrique. Alain est-il là ? Je n'ose troubler ce moment suspendu, préférant le mystère à la certitude. Comme dans ces jeux cache-cache où chaque seconde d'attente fait monter l'adrénaline, je me laisse envahir par une excitation sourde.

Progressivement, les formes émergent. Mes doigts effleurent le mur, traceur silencieux dans cette géographie inconnue. Ma vision nocturne s'affine, transformant l'obscurité en un territoire à explorer. Les murs sont tapissés d'images masculines, fragments de virilité stylisée. Des corps sculptés, tendus, célèbrent une esthétique érotique où chaque muscle raconte un désir. Ces affiches sont moins des photographies que des manifestes charnels.

Un parfum flotte, mélange complexe de sueur et de cuir, de testostérone et de désir. L'odeur parle d'intimités récentes, de corps qui se sont rencontrés, enlacés, consumés. Ces effluves sont la mémoire vivante des lieux. L'atmosphère me transporte dans les backrooms légendaires, ces sanctuaires underground où la masculinité se vivait sans filtre, à nu. Chaque recoin semble imprégné d'une histoire érotique.

Dispersés dans l'espace, des appareils attendent, instruments sophistiqués de plaisirs intimes. Chacun suggère des possibles, des scénarios sensuels. Mes sens s'électrisent, entre fascination et anticipation.
Alain tarde encore. Dans l'attente, je laisse mon regard errer dans la pièce. Un grand miroir me renvoie mon image, et je remarque les anneaux métalliques fixés aux murs, témoins silencieux de scènes passées. Mon exploration me conduit au sling, cette toile tendue qui semble m'attendre. Je m'en approche, l'observant avec une curiosité mêlée d'anticipation. Solidement amarré au plafond par des chaînes épaisses, il oscille à peine sous mon regard.

Par un geste presque instinctif, je teste sa résistance. Ma main agrippe l'une des sangles, vérifiant sa solidité. Un léger tintement métallique résonne dans la pièce. Puis, dans un mouvement décidé, je saisis les chaînes arrière et me hisse sur la toile.

M'étendant avec précaution, je place mes pieds dans les étriers. Un sentiment de satisfaction m'envahit. L'équilibre est parfait, le confort immédiat. Je m'abandonne un instant, imaginant déjà les possibilités.

Puis, un éclair de lumière déchire soudain l'obscurité, m'aveuglant instantanément. Dans ce bref moment, je distingue la silhouette imposante d'un homme qui pénètre dans la salle, avant que les ténèbres ne reprennent leur emprise. C'est Alain. Il s'avance, nonchalant et assuré, presque provocateur. Mon regard le suit, fasciné. Son short en cuir épouse ses hanches avec une élégance brutale, révélant la puissance de sa musculature. Une coquille protège ce trésor que je connais désormais intimement et qui attise mon désir. Ses bottes, son harnais, ses brassards et ses bracelets de cuir soulignent chaque courbe de son corps, lui conférant un aspect presque primitif. Au-delà de la beauté, Alain incarne une masculinité brute et sans limite. À sa vue, je sens mes défenses s'effondrer, mon corps se liquéfier.

Il stoppe devant moi, se glisse entre mes jambes qui semblent paralysés depuis qu’il est entré. Il me fixe avec ce regard enjôleur, il a un sourire carnassier. Je le désire et le crains. Que va-t-il faire ? Son regard se pose sur mon entrejambe, où ma virilité se dessine de plus en plus distinctement. Du bout de l'index, il effleure mon torse, traçant une ligne brûlante jusqu'à cette bosse qui pulse sous le tissu. Un frisson électrique me traverse, de la nuque jusqu'aux reins, vibrant comme un courant souterrain. Un gémissement m'échappe, à la fois aveu et supplique.

Ses yeux ancrés aux miens, il immobilise mes jambes avec une lenteur calculée. Un premier étrier se referme sur ma cheville, puis le second, dans un mouvement si rapide que je n'ai pas le temps de comprendre. Je suis désormais captif, prisonnier de ses désirs. Dans un réflexe instinctif, je tente de me redresser, mes mains agrippant les chaînes. Mais déjà, Alain imprime un mouvement au sling, créant une oscillation qui me déstabilise, annihilant mes velléités de résistance. D'un geste précis et rapide, il saisit mon bracelet. Le déclic du mousqueton se fait entendre, me fixant à la chaîne avec une facilité déconcertante. Mon corps se tend, entre surprise et anticipation. Un trouble m'envahit, mêlant incompréhension et désir. Avant que je puisse réagir, son autre main capture mon second bracelet. Un nouveau mousqueton clipse, et soudain, je me retrouve immobilisé. Totalement offert. Vulnérable. Son regard, chargé d'une satisfaction presque prédatrice, me transperce. Un sourire se dessine sur ses lèvres - celui d'un chasseur qui tient enfin sa proie.

— Ça va ? demande-t-il, en déposant les mains sur mes aines.

Je me concentre pour répondre avec précision. Le sling se balance doucement, comme un voilier sur la mer qui prend une vague. Il me sourit ; son regard est maintenant doux et apaisant. Ses mains se posent délicatement sur mes hanches et il ramène le sling vers lui. Son pubis frôle mon périnée, puis il laisse le sling dériver lentement vers l'arrière. Cette fois, c'est son pacson qui effleure mon anus. Devant mon silence, il m'encourage doucement à respirer profondément.

Ses mains remontent le long de mon corps avec une sensualité envoûtante. Elles sont douces et chaudes, rassurantes. Ses doigts caressent mes mamelons avec une telle sensualité qu'ils se dressent instantanément. Soudain, mes appréhensions s'évanouissent, la volupté prend le relais sur ma raison. Je me sens submergé par une vague de plaisir intense. Sa magie opère et il se sait.

Il remet ses mains sur mes hanches et me tire doucement vers lui. Je sens son érection, ferme et confinée, se presser contre la mienne. Ma tension monte. Il se penche sur moi, et nos pectoraux se rencontrent. Ses lèvres pulpeuses frôlent les miennes dans un baiser des plus érotiques. Il presse ses lèvres contre les miennes, et sa langue trouve une ouverture pour danser avec la mienne. Je gémis. Ses mains remontent le long de mon corps et s'agrippent à mes bras, prisonniers des sangles. Il se retire légèrement, me laissant haletant de jouissance. Puis, il introduit de nouveau sa langue dans ma bouche et m'embrasse avec une fougue renouvelée. Il m'embrasse longuement, ses mains explorant chaque courbe de mon corps. Elles s'attardent sur mes hanches, mes jambes et mes mollets, galbés par le pantalon de cuir souple qui le fait chavirer. Incapable de le câliner en retour, j’apprécie d’autant plus ses caresses. Il me serre contre lui à plusieurs reprises, et je sens son bassin chercher à se connecter au mien dans cette étreinte si chaude et enivrante. Il me libère, se redresse, balance la tête vers l’arrière, cherchant à reprendre son souffle. Il abaisse la tête. Nos regards se croisent. La volupté est à son comble. Une tension palpable nous enveloppe, une tension qui ne demande qu'à se relâcher et à se dissoudre dans le plaisir.

Il attrape le curseur de la fermeture de mon pantalon et le fait coulisser lentement, jusqu'à ce que la glissière s'arrête complètement dans le bas de mon dos. Mon érection, à l'étroit, ne demande qu'à se libérer. Mais Alain préfère faire durer l'attente ; il glisse un majeur entre mes fesses humides et tapote doucement mon anus. Un spasme me fait râler de plaisir. Je remonte le bassin et serre les fesses, coinçant son doigt contre mon anus. Il sourit. Je relâche mes fesses, lui rendant son sourire. Alors, il en profite pour presser doucement ma rondelle. Mon sphincter cède, et il introduit son doigt. Je gémis en cambrant le dos. Il touche ma prostate, m’extirpant un gémissement guttural. Il répète plusieurs fois le manège, ayant trouvé le code pour me faire jouir à répétition. Mon érection devient presque douloureuse. Je ne pense qu'à exploser pour libérer cette tension. Je soupçonne qu'il prend plaisir à me torturer ainsi.

Sans crier gare, il engloutit ma queue dans sa bouche, la suçant et la léchant avec une avidité qui me laisse sans souffle. Son poing fermé sur mes testicules exerce une pression précise, comme s'il dirigeait l'assaut avec une science consommée. J'aimerais tant pouvoir lui prendre la tête et baiser sa bouche, mais je suis sans espoir, soumis à ses caresses démentes. Je subis, impuissant, et ne peux qu'anticiper les orgasmes sublimes qui se profilent.

Il se redresse, le souffle court, les lèvres luisantes de salive et de sperme. Sa bouche suceuse se pose sur la mienne, goûtant le mâle, le cuir et la semence. Je le savoure, laissant nos langues se mêler dans un ballet humide et passionné. Le goût du sperme et notre salive se mélange sur nos lèvres, créant un mélange explosif de désir et de plaisir. Je suis au bord du précipice, mon corps tendu à l'extrême. Il s'y remet avec une ardeur renouvelée, sa bouche se refermant autour de ma bite comme un piège. Ses caresses chaudes et humides m'invitent irrésistiblement à lâcher prise. Je ne peux plus résister, c'est inévitable. Mon urètre gonflé produit des à-coups violents, et sa succion démente sur mon gland est comme une sentence de mort. Je jouis à grands jets dans sa bouche, qui peine à contenir l'afflux de sperme. Un filet de semence s'écoule du coin de ses lèvres, comme un ruisseau de désir. Il avale tout, son œsophage travaillant à déglutir la semence. Sa jolie langue tente de récupérer le filet qui s'étire jusqu'au-delà de son menton, mais il n'y parvient pas. Il se penche sur moi, me laissant le soin de le faire. J'en profite pour lui voler un baiser gouteux, nos bouches se consumant comme deux amants dans un tango sensuel. Je lui suce la langue, et il émet un gémissement à peine perceptible, un murmure de plaisir qui vibre contre ma bouche.

Il se redresse, son regard fixé sur moi avec une intensité qui me fait frissonner. D'une main, il attrape mon sexe, le caressant doucement dans un mouvement qui semble destiné à le faire durcir, mais il renonce. Ses doigts glissent, recueillant mon sperme pour lubrifier mon anus, un geste qui me fait chavirer. Il m'agrippe la hanche, tandis que de l'autre main, il saisit son zob au teint fauve, magnifique, au gland couleur aubergine, et presse mon anus. La déformation de mon sphincter est presque indolore, et il me pénètre sans hésitation, son pubis allant se coller à mon périnée.

L'instant qui suit est comme suspendu dans le temps ; il respire profondément, savourant le moment, son corps se raidit légèrement, puis il entame un lent va-et-vient qui me laisse sans souffle. Je l'observe à travers le miroir fixé au plafond, témoin privilégié de la scène. Ses mouvements de hanches sont langoureux, ses fesses ondulant doucement tandis qu'il fait glisser son anaconda en moi, Je le regarde entrer en moi et en sortir. La scène est sulfureuse, chargée d'une sensualité qui ajoute au plaisir que la sodomie répand en moi, un plaisir qui se propage comme une vague de feu.

Mon esprit divague, submergé par un tsunami de sensations qui m'engloutit, me laissant sans contrôle. Les sensations de plaisir et de douleur se mélangent, créant un cocktail explosif qui me fait chavirer. Je suis prisonnier de ce moment, incapable de bouger, de respirer, de penser. Seul le plaisir existe, un plaisir qui me submerge tout entier.

Alain s'acharne à me pénétrer, enfonçant et retirant son hampe avec une régularité affolante. Il cherche l'angle parfait, celui qui fera exploser ma prostate sous la caresse de son gland. Chaque toucher est un supplice et un plaisir à la fois, me faisant gémir et couiner de manière presque animale. Mes cris de plaisir et de douleur sont une musique pour ses oreilles, et il s'en délecte, adorant le moment de domination qu'il exerce sur moi.

Je perds la notion du temps dans cette longue et virile sodomie, qui semble durer des heures. Les minutes s'écoulent comme des secondes. Seul le plaisir compte, un plaisir qui me dévore tout entier qu’il m’instille à la lenteur de l’acte. L'ardeur d'Alain est inépuisable, et j'espère qu'elle ne faiblira jamais, car je suis à sa merci, soumis à ses caprices et à ses désirs. Il est tout ce que je désire en ce moment si charnel.

Son souffle s'accélère, son corps se tend, et je sens que le moment de grâce est à ma porte. C'est le moment où tout se consomme, où son corps et le mien ne feront plus qu'un. Ses muscles se crispent, son sexe tressaille à l'entrée de la semence qui se fraie un chemin dans son urètre, un chemin qui se terminera en moi, où elle se répandra abondamment, libérant le peu d'énergie qu'il lui reste.

J'ouvre les yeux et le vois, la sueur perle sur son corps. Il est radieux. Nous sommes tous les deux vannés, nos corps encore tremblants de plaisir. Il respire lourdement, cherchant à reprendre ses sens. Sa bouche est ouverte, et il regarde son sexe toujours en moi, un sourire de satisfaction sur les lèvres. Lentement, il se retire, m'envoyant un dernier frisson délicieux qui me parcourt tout le corps. Je sens son nectar couler de mon anus, un liquide chaud et visqueux qui me rappelle la violence de notre passion.

Il lève les yeux et me regarde, un sourire d'amoureux et de satisfaction sur les lèvres. Je lui souris en retour, partageant son bonheur et sa joie. Il s'anime, son visage s'éclaire, et il me sourit de plus belle, comprenant que je suis assouvi et conquis. Je sens une vague d’endorphines me submerger, et je ne me reste plus que l'énergie pour lui dire, entre deux halètements : « C’était divin…Maître! » Ma voix est faible, mais il l'entend et sourit encore plus largement, sachant que je suis désormais à lui, corps et âme.
A suivre

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