Chez Manon

- Par l'auteur HDS phidnsx -
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Récit libertin : Chez Manon Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Chez Manon
Quand Aline m’a dit qu’elle passait le week-end chez moi, j’ai dit oui tout de suite. Forcément. On se connaît depuis des années, elle et moi. On s’est vues dans tous les états, toutes les galères, toutes les conneries. Une vraie copine, comme on en fait plus. Et là, elle me sort qu’elle viendrait pas toute seule. Qu’elle vient avec « Marc ». « Tu vas l’aimer, tu verras », elle m’a dit au téléphone. Et elle avait ce ton… ce petit ton qui veut dire : « tu vas voir, c’est pas un demi-mec. ». Moi j’ai rien dit, mais bon, j’étais curieuse. Forcément.

Et puis ils sont arrivés en début de soirée. Lui, grand, un peu réservé, avec ce regard qui dit qu’il observe tout mais parle pas trop. Pas le genre grande gueule. Pas le genre nerveux non plus. Il dégage un truc calme. Un peu dangereux, genre t’as envie de voir ce qu’il cache sous ses silences. Aline, elle… ben elle était Aline. Jolie, souriante, hyper à l’aise. Trop à l’aise même. Surtout avec lui. Y’avait comme une tension, un truc entre eux, palpable, mais pas montré. Enfin pas pour les gens normaux. Moi j’ai l’œil. Elle s’est assise sur le canapé, tranquille. Lui à côté. Trop à côté. Et elle a posé sa main sur sa cuisse juste une seconde de trop. Pas un geste vulgaire, hein. Non. Juste… un peu trop long pour être innocent.

Et puis elle l’a regardé. Et j’ai vu ses yeux. Cette espèce d’étincelle là. Je la connais, cette étincelle. C’est pas une envie de discuter de la météo. Moi j’ai rien dit. J’ai sorti le vin, j’ai servi tout le monde, et j’ai fait comme si j’avais rien vu. Mais dans ma tête, je me suis dit « ok les cocos… vous êtes chauds comme la braise, et vous pensez passer inaperçus ? ». Spoiler : vous l’êtes pas.

Bon, petit aparté. Moi c’est Manon, pour ceux qui suivent pas. Célibataire, un mètre soixante, pas franchement fine, pas franchement grosse non plus. Des formes comme j’aime, comme certains, voire certainEs, aiment aussi. J’suis pas du genre à me planquer sous des fringues larges ou à m’excuser d’exister. J’ai des hanches, des seins, un rire un peu trop fort, et une énergie qui déborde. Et franchement, je m’en sors pas mal. On m’a déjà dit que j’avais un côté bonne vivante explosive. J’prends ça comme un compliment.

Et j’dois avouer un truc. Les voir comme ça, tous les deux, avec cette tension dans l’air… ben ça m’a un peu chauffée. Juste un peu. Rien de grave, hein. Mais bon, faut dire les choses comme elles sont : Aline est canon, et Marc, ben… il a une gueule à faire trembler des draps. Alors j’ai observé. Discrètement. Et je me suis dit que ce week-end allait pas être tout à fait comme les autres.

Le dîner s’est passé comme sur des roulettes. Un peu de vin, des lasagnes maison, des vannes, des souvenirs. Aline racontait des conneries, Marc riait doucement, et moi j’observais. Je participais hein, mais en mode sous-marin.

Y’avait des regards. Des petits silences. Un ou deux frôlements pas tout à fait accidentels. Bref, les prémices. Et puis après le dessert, je propose qu’on passe au salon. J’apporte une bouteille de rhum arrangé - un truc que m’a ramené une copine de La Réunion. Ça tape fort mais ça passe tout seul. Chacun un verre, et là, bam, l’ambiance redescend d’un cran. Vous savez, ce moment où les gens s’installent un peu plus confortablement, où les corps se relâchent, où les jambes se croisent différemment… ce genre de moment.

Aline s’installe dans le coin du canapé, jambes repliées sous elle, Marc à côté d’elle. Je suis dans le fauteuil d’en face. On parle de tout et de rien. Et puis à un moment, je raconte une anecdote bien débile, un truc avec un ex et un sèche-cheveux, bref, rien de vraiment intéressant, et je vois Aline rigoler… mais poser sa main sur la cuisse de Marc. Encore. Et cette fois, elle la retire pas. Elle continue de parler, de rire, de boire une gorgée, comme si de rien n’était. Mais sa main est là. Tranquille. Et lui… il bouge pas. Il a ce regard flou, genre le gars qui essaie de penser à autre chose qu’à la chaleur qui monte dans son froc.

Et là, je sais. Je sais qu’elle le chauffe. Qu’elle appuie juste ce qu’il faut pour que ça monte, mais pas trop pour que ça reste discret. Je sais qu’il la laisse faire, qu’il aime ça, qu’il est à la limite de perdre le contrôle. Et surtout… je sais qu’ils savent que je suis là. Et qu’ils continuent. Et moi ? Ben moi, je bois une gorgée. Je souris dans mon verre. Et dans ma tête je me dis « ok, c’est officiel. Ils sont en train de jouer. Juste là, devant moi. ». Et c’est con à dire, mais… je trouve ça excitant. Pas parce que je veux participer, non, ça c’est leur bordel. Juste parce que ce genre d’alchimie, ce genre de tension à deux doigts du craquage, c’est rare. Et putain, c’est beau à voir.

Le verre se vide doucement, l’ambiance se fait moelleuse, feutrée. Marc parle peu, mais il écoute. Aline, elle, papillonne, à l’aise, toujours ce petit air mutin accroché aux lèvres. Et moi, je continue de jouer les hôtesses détendues… alors que dans ma tête, c’est plus du tout détendu. Je sens une chaleur dans le bas-ventre. Pas une envie incontrôlable, hein, mais un de ces frissons sourds, profonds, qui viennent du bas du dos et glissent jusqu’à entre les cuisses. Un frisson de celles qui ont de l’imagination. Et moi, j’en ai. Et puis je les regarde encore. Toujours ce putain de contact entre leurs jambes. Toujours cette main d’Aline qui fait mine de rien. Toujours ce Marc un peu raide dans son coin, genre « concentre-toi sur les mots croisés, mon gars. ».

Je bois encore une gorgée. Pas pour la soif, juste pour m’occuper les mains. Parce que mes pensées, elles, sont déjà très occupées. Et mon corps aussi, soyons honnêtes. Y’a cette chaleur entre mes cuisses qui se fait insistante. Cette envie douce, profonde, un peu moite.

Aline se penche pour attraper son verre sur la table basse, jambes repliées sous elle, et sa jupe remonte d’un cran. Pas grand-chose. Un centimètre, peut-être deux. Mais assez pour que moi, depuis mon fauteuil d’en face, je voie un truc que j’aurais pas dû voir. Ou plutôt, que j’aurais dû voir plus tôt.

Pas de bord de tissu. Pas de dentelle. Pas de culotte. Juste de la peau. Claire. Nue. Impeccable. Je retiens un sourire. La garce. Elle a vraiment pas mis de culotte. Elle est là, toute sage sous sa jupe, assise à côté de son mec, et elle se balade à l’air libre dans mon salon. Et lui ? Il le sait sûrement. Peut-être même qu’il le sent. Peut-être qu’il l’aide ? Et là… je craque. Enfin, presque. Je me lève. En apparence pour jouer les hôtesses parfaites. Mais dans ma tête, c’est la panique de la chaudasse frustrée.

- Attendez, j’vous prends une couverture. Vous allez crever de froid avec mes murs en carton. C’est pas chauffé comme à l’hôtel ici.

Je pars vers le couloir, attrape une couverture douce, bien épaisse, et je reviens avec mon sourire le plus innocent. Mais à l’intérieur, mon cerveau hurle : PUTAIN MAIS QUEL WEEK-END. Je la leur tends avec un sourire :

- Tenez. Comme ça, vous aurez pas froid. Surtout si vous bougez pas trop.

Aline déplie la couverture, se cale un peu plus dans son coin. Marc s’ajuste. Et hop, les deux sont planqués. Et là… je sens ma chatte se contracter. Sérieux. Juste comme ça, sans contact, sans mot. Juste l’idée. L’image. Je me cale un peu plus dans mon fauteuil, en face d’eux. La bouteille sur la table basse, mes doigts qui tournent autour du verre. J’essaie de penser à autre chose. À la vaisselle. À mon boulot. À mon ex qui savait pas où se trouvait le clitoris même avec un GPS. Mais rien à faire. Mon cerveau, lui, est déjà dans le canap’. Il imagine les mouvements sous la couverture. Les doigts d’Aline qui descendent. Peut-être sa bouche. Peut-être même qu’elle est déjà en train de le sucer, là, sous le plaid, en silence. Mon imagination va trop loin.

Et moi je suis là, les jambes croisées un peu trop fort, et je sens l’humidité se pointer. Discrètement. Mais sûrement. Ce genre de moment où tu sais que ta culotte, elle est déjà plus très sèche, et que ton corps a pris les devants sans te demander ton avis. La couverture bouge imperceptiblement pendant que nous parlons. Putain. J’en peux plus. Je me lève, comme si de rien n’était, en mode « pause pipi tranquille ».

- J’reviens, j’vais me rafraîchir un peu.

Personne ne répond. Ou alors j’ai pas entendu. Et franchement, j’m’en fous. Je traverse le couloir, referme la porte de ma chambre, et je me cale contre le mur. Un souffle profond m’échappe. Je m’écoute une seconde. Et ouais. J’suis mouillée. Bien mouillée. Je glisse la main dans ma culotte, juste pour sentir. Et là, c’est comme une décharge. Bordel… Je l’enlève. Lentement. Et j’attrape mon petit tiroir à jouets. Je prends mon petit plug en métal froid. J’aime bien cette sensation de remplissage discret. Juste assez pour me sentir pleine, chaude, offerte à moi-même. Et là, ce soir… ben j’en ai besoin.

Je l’humidifie, je m’installe, jambes légèrement fléchies, et je le glisse en moi. Ça glisse doucement, ça entre, ça s’ancre. Je soupire. Pas trop fort. J’ai pas envie qu’ils m’entendent. J’veux pas gâcher leur jeu. J’veux juste… comment dire… m’ajouter au tableau, dans mon coin.

Ma main descend entre mes cuisses. Mon clito est déjà tendu, gonflé. Mes doigts le trouvent sans hésiter. Je ferme les yeux, un instant. Et je les imagine. Aline qui branle Marc sous la couverture, en silence. Lui qui caresse sa chatte nue. Qui glisse un doigt. Deux. Peut-être qu’elle le suce. Peut-être qu’elle se contente de lui murmurer des choses sales à l’oreille. Elle en est capable, la garce.

Je me mords la lèvre. Ça monte trop vite. Je ralentis. J’veux pas jouir trop tôt. J’veux pas que ce soit fini. Pas encore. Je reprends mon souffle. Range vite fait. Et je retourne au salon.

Quand je pousse doucement la porte, la lumière est toujours tamisée. La couverture est toujours là. Mais cette fois… y’a une fesse qui dépasse. Le cul d’Aline. Doux, rond, légèrement offert, comme un fruit trop mûr. Et la main de Marc. Posée entre ses cuisses. Pas en surface, non. Dedans. Il la touche. Il la pénètre, doucement, méthodiquement. Et elle, elle a la tête appuyée contre son épaule, comme si elle somnolait. Mais moi, je sais. Je vois la tension dans son corps, les micro-mouvements de ses hanches. Elle retient ses soupirs. Lui, il est concentré. Calme. Tellement calme que c’en est indécent.

Je reste figée, dans l’encadrement de la porte. Juste quelques secondes. Le temps de graver l’image dans ma tête. Mon plug bien calé, mon sexe qui palpite encore, et ce spectacle… c’est trop. Je toussote légèrement. Une manière de dire « je suis là », sans dire « je vous ai vus ».

Aline sursaute légèrement. Marc retire sa main. Ils se redressent tous les deux. Elle tire doucement sur la couverture pour recouvrir ses jambes. Il l’aide, tranquille, sans panique. Puis elle reprend son verre, comme si de rien n’était. Marc attrape le sien. Et la conversation reprend, l’air de rien. Moi, j’m’assois. Je fais comme eux. Je parle d’un concert. Je rigole d’un souvenir. Mais j’ai le cœur qui bat vite, et ma culotte toujours absente. On échange encore quelques phrases, un ou deux regards, et puis Aline baille.

- Bon… je crois qu’on va pas tarder à monter, hein ? C’était une grosse journée.
- Ouais, bonne idée, je suis rincé.

Ils se lèvent, ramassent leurs verres, m’embrassent chacun sur la joue. Moi je souris.

- Allez, bonne nuit les amoureux, à demain !

Et je les regarde monter l’escalier, main dans la main. Sans urgence. Mais avec cette complicité électrique qui ne trompe pas. Je reste seule. Un moment. J’éteins les lumières. Je monte à mon tour. Ma chambre est juste à côté de la leur. Murs pas bien épais. Vieux parquet. Chaque bruit résonne. Je me déshabille doucement. Plug toujours en place. Je me glisse sous la couette, le cœur encore emballé. J’attends, à l’affût du moindre signe.

Au début, y’a juste des chuchotements. Des rires étouffés. Puis un long silence. Puis… le froissement d’un drap. Un soupir. Léger. Féminin. Puis un autre. Plus profond. Je ferme les yeux. Et je les imagine. Marc entre les jambes d’Aline. Ou peut-être qu’elle commence par le sucer. Lentement. J’imagine sa bouche, sa langue, ses yeux levés vers lui pendant qu’elle l’avale jusqu’à la garde. Lui qui gémit, qui lui murmure des saletés à l’oreille. Qui caresse ses cheveux en lui maintenant la tête contre son corps.

Un bruit plus sec. Un claquement. Une hanche qui tape contre un bassin. La levrette. Putain. Je la vois à quatre pattes, les mains crispées sur les draps, lui qui la prend fort, en rythme, ses mains sur ses hanches. Je me caresse. Sans retenue cette fois. Le plug amplifie tout. Chaque frottement, chaque pulsation. J’ai les jambes écartées sous la couette, mes doigts sur mon clito, et mes pensées rivées contre ce mur trop fin.

Un gémissement étouffé me transperce. Aline. Elle jouit. J’en suis sûre. Moi aussi… Je contracte, je retiens mon souffle, je laisse le plaisir me traverser comme une vague brûlante. Longue. Dévastatrice. Je me mords la lèvre pour ne pas crier.

Puis tout s’apaise. De l’autre côté du mur, le silence revient. Le calme après la tempête. Je m’étale dans mon lit, nue, essoufflée. Je souris. Et je m’endors comme ça, le cul rempli, les oreilles encore pleines de leurs soupirs… et la tête pleine d’images.

Je sais pas quelle heure il est. Deux heures ? Trois peut-être. J’ouvre les yeux, encore à moitié dans mes rêves. J’ai été réveillée par un bruit. Un soupir ? Une plainte ? Un froissement discret. Puis un autre. Plus clair. Ils recommencent. Putain. Ils remettent ça.

Je reste immobile, le souffle suspendu, comme si ça allait m’aider à mieux capter. J’ai encore les jambes lourdes du plaisir d’avant, le ventre chaud, le sexe sensible. Mon plug est toujours là, bien en place, souvenir encore frais de ce que j’ai vécu tout à l’heure. Mais mon corps… il repart. Il s’allume à nouveau. Il en redemande.

J’attrape mon tiroir, en silence. Je sais exactement ce que je cherche : le double embout. Mon jouet préféré pour les nuits longues comme celle-ci. Une extrémité plus fine, courbée, parfaite pour titiller l’intérieur. Et l’autre, plus pleine, pensée pour remplir et frotter là où il faut. Le tout animé par une batterie rechargeable.

Je retire doucement mon plug. Je le pose sur la table de nuit, tout chaud, tout luisant. Et je remplace. Une extrémité dans mon anus, lente, précise. L’autre dans mon vagin, plus profonde, plus brutale. Et ça s’enclenche. Tout s’emboîte. Tout palpite. Je bouge à peine. J’ai pas besoin de rythme effréné. Juste de pression. D’ondulations douces. Et surtout… de ce que j’entends à travers le mur.

Un râle. Celui de Marc. Sourd. Long. Et une voix. Celle d’Aline. Basse. Des murmures. Puis j’entends autre chose. Un bruit mouillé, presque discret. Un gémissement contenu. Un halètement qui grimpe.

- Relève tes jambes

Je ne comprends pas ce qu’il se passe. C’est pas comme avant. Il gémit plus fort, plus profond. Comme s’il avait lâché une digue. Peut-être qu’elle le prend différemment. Peut-être qu’elle explore. Peut-être qu’il la laisse faire. Lui, si discret, retenu. Le voilà enfin qu’il se lâche.

J’écarte un peu plus les jambes. Mon jouet appuie parfaitement. Les mouvements, les vibrations. Je pousse l’intérieur plus loin, je contracte, je relâche. Et je m’imagine leurs deux corps, tête bêche. J’entends des bruits de succion. Leur bouche sur leur sexe. Peut-être le va-et-vient de ses doigts dans son cul ? Les doigts d’Aline serrant ses couilles ? En tout cas, j’entends les soupirs de Marc. Je vois sa nuque arquée. Son souffle coupé. Et puis… Il gémit. Fort. Une plainte aiguë, presque surprise. Il jouit. Et moi, j’explose.

Tout se tend. Je retiens ma voix contre l’oreiller. Mon ventre se tord. Mes jambes tremblent. Mes parois internes se contractent autour du jouet, encore et encore. C’est violent. C’est délicieux. C’est trop. Ça dure. Je n’arrête pas le jouet, au contraire, j’intensifie ses mouvements, ses vibrations. Jusqu’à jouir encore une deuxième fois presque immédiatement, plus fort, plus bref, plus… wow.

Puis tout s’apaise. Vraiment cette fois. Je glisse le jouet hors de moi, lentement, vidée, tremblante. Je me retourne, m’enroule dans les draps. J’espère ne pas avoir fait trop de bruit.
De l’autre côté, tout s’est arrêté.

Je souris. Encore. Et je m’endors pour de bon.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Une histoire merveilleuse bien écrite on assiste à la scène. Je suis avec Manon et mon corps réagit très erotique. Peut être une suite du week-end au début je pensais que manon allait participer mais comme cela c’était très chaud
Daniel

Pas encore de suite prévue à ce week-end. Mais d'autres histoires qui arrivent, un nouveau concept d'histoires courtes pour patienter entre deux nouvelles histoires de la vie de Marc et Aline qui prennent du temps à mettre en forme...
Merci pour votre commentaire positif, ça fait toujours plaisir !

Histoire Erotique
Très joli, et très réaliste. C'est terriblement inspirant !
Je lirai volontiers une suite à ce week-end, si tu l'écris...



Texte coquin : Chez Manon
Histoire sexe : Une rose rouge
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