Chrystèle et David
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Chrystèle et David
« Je suis tombée amoureuse de David. Je ne comprends pas trop comment ça c’est fait mais ça c’est fait. Peut-être parce que je ne te sentais pas assez attachée à moi…- Peut-être parce qu’il te baisait mieux que moi… »Léopold a passé toute la nuit de vendredi à se demander où était passée Chrystèle. Maintenant elle lui raconte sa nuit : « Quand il m’a appelée pour que je le rejoigne à cette soirée je n’ai pas pu résister.
- Tu m’as envoyé un SMS pour me dire que tu voyais une copine. Mais toute la nuit c’est un peu long. J’étais fou d’angoisse.
- Oui. Je n’ai pas vu le temps passer. Puis je me suis endormie.
- Tu vas le revoir ?
- Bien sur que non après tout ce qui s’est passé j’ai compris.
- Raconte-moi.
- Bon. A la dernière soirée je te l’avais caché mais il était là. Il m’a donné son numéro et je l’ai appelé. J’avais très envie de le revoir. Tu comprends tu es tellement tolérant avec mes aventures, parfois j’ai l’impression que tu t’en fous et lui m’a séduit. » Léopold la regarde en ce petit matin blême de juin. Elle est si belle. Même si son rimmel a coulé sur ses yeux, même si son teint est blafard la courbe de ses seins l’excite toujours autant, sa blondeur, ses immenses jambes, sa sensualité à fleur de peau alors qu’elle approche les trente ans.
« Tu sais moi ce qui me trouble c’est de voir combien tu jouis plus avec d’autres hommes que moi. C’est ça que je veux t’offrir parfois.
- Tu en profites bien aussi.
- Oui mais je baise une femme quand tu te fais prendre dix fois.
- C’est plus facile pour les femmes… »Léopold n’est pas mal non plus. Mais un peu banal. Le mec normal. NI très grand, ni très beau, plutôt intello, encore plus depuis qu’il a abandonné les lentilles de contact pour des lunettes rondes cerclées. Il plait aux femmes mais surtout à leurs mères comme il se plaisait à le constater plus jeune. Et il aime infiniment Chrystèle mais toujours avec la désagréable impression de ne pas savoir lui donner tout ce qu’elle attend d’un homme. Au contraire de David. David, beau brun, pas très grand, baraqué, assez poilu, sourire enjôleur, énorme bite.
Chrystèle reprend son récit « Quand je suis arrivée à la soirée, dans un appartement loué rue de Rivoli, très bel immeuble, il y avait déjà pas mal de monde. De très belles filles, de très beaux mecs, tous assez jeunes. David m’attendait. Tout de suite il m’a présenté. Il semblait connaître tout le monde et tout le monde le connaissait. Tu vois comme il est : charmeur, charmant.
- Donc c’était une soirée classique.
- Non pas vraiment. David m’a fait visiter l’appartement. Assez immense. Il le louait près de 1000€ la nuit et chaque homme seul participait aux frais à hauteur de 80€, 60€ pour les couples, gratuit pour les filles. Classique quoi.
- Je ne savais pas qu’il organisait des soirées.
- Oui et tu vois il n’y avait pas assez de filles par rapport aux garçons. Alors il a appelé quelques copines. Comme moi. Il allait de l’une à l’autre, nous apportait à boire. On pouvait facilement nous reconnaître. Nous étions bien cinq à le regarder en espérant être l’élue du soir. Cinq connes comme moi. » Elle pleure. « Cinq connes prêtes à tout pour se faire baiser par cet enfoiré. Cinq connes à baisser leur robe pour qu’on voit mieux leurs seins.
- Et il a baisé laquelle d’entre vous ?
- Aucune je crois. Non, il nous a livré à ses potes.
- Comment ça ?
- Eh bien il y avait ce grand Arabe qui me regardait. Une super baraque. Moncef. Un Marocain. Il s’est approché de moi. David est venu me parler : "Ca t’irait qu’on fasse un petit tour avec mon ami Moncef ?". Comme une conne j’ai dit oui. Dix minutes plus tard j’étais en train de me faire prendre par Moncef et David avait disparu.
- Disparu ? Tu ne t’es rendue compte de rien ?
- Non. Il faut dire que Moncef savait y faire. Au début ils étaient deux à s’occuper de moi. Moncef devant. David derrière. C’était divin. David me prenait les seins à pleine main. Moncef avait deux doigts dans ma chatte. Je suis complétement partie. Quand Moncef m’a demandé de le sucer j’ai adoré sortir sa bite de son pantalon. Un beau morceau comme je les aime. Et si bon à sucer. Comme j’aime. A genou devant lui. Je le prenais encore et encore. Tu sais comme j’aime sentir une bite devenir dure, dure. Et là en plus elle était belle comme tout. C’est dingue comme ça peut être beau une bite bien bandée. Tu ne trouves pas ?
- Oui », éructe Léopold en pensant que la sienne est bien dure mais que Chrystèle s’est tellement fait prendre toute la nuit qu’elle lui a dit avoir « trop mal à la chatte pour baiser avec lui ».
« Donc Moncef t’a baisé ?
- Oui. D’un seul coup il a relevé ma robe. M’a mise à quatre pattes sur un grand lit et m’a pénétré d’un coup. J’étais tellement humide que c’est entré comme dans du beurre. Un beau morceau qui m’a fait du bien tout de suite. Je ne pensais plus à David quand j’ai senti une main me relever la tête. Et là David qui me disait : "Tu t’amuses bien avec Moncef à ce que je vois. Tu veux bien sucer son frère". Et là je vois une autre bite toute semblable à celle de Moncef et un mec qui lui ressemble beaucoup qui me met sa bite sous le nez. Et David qui me dit : "Allez suce le".
- Et tu le suces ?
- Bien sûr. En plus ça m’excitait beaucoup de me faire prendre par deux frères. Au bout de quelques minutes ils ont échangé leur place. Moncef a enlevé son préservatif pour que je le suce et son frère en a mis un. J’ai à peine eu le temps de dire ouf que je me faisais prendre de nouveau. Et mieux. Le frère de Moncef savait mieux changer de rythme. Il était plus sensuel. Je sentais mieux ses mains sur mes fesses.
- Et tu suçais Moncef ?
- Oui mais pas très longtemps. Tu sais comme je suis. Vite je me mets la tête sur le lit pour me toucher. Et là je peux te dire que j’ai bien joui. Quand je suis sorti de ma torpeur post jouissance j’étais seule sur le lit. Ils étaient partis tous les deux. Mais je ne suis pas restée seule longtemps. David est revenu avec deux autres amis. Je ne sais pas s’ils étaient également frères mais c’étaient deux beaux blacks. Ils avaient du champagne et des coupes et on a trinqué.
- Et ils t’ont baisée ?
- Bien sur mais mieux que les deux Arabes. D’abord ils m’ont très longtemps caressée. Je sentais leurs grosses mains sur tout mon corps. Ils se sont vite déshabillés. Ils étaient superbes. Deux mecs immenses. Et tu aurais vu leur bite. Comme je te connais tu aurais autant eu envie de les sucer que moi. Comme deux glaces au chocolat que je prenais alternativement. C’était d’autant meilleur que David me doigtait en même temps. Plus il est parti. Le premier – je suis désolé je ne me souviens plus de son prénom – m’a tout de suite prise et c’était top d’être de nouveau emplie par une bite pareille. Je la sentais mais surtout je le sentais m’embrasser tout en caressant mes fesses. Puis il m’a littéralement écartelée pour me mettre les jambes derrière la tête. C’était incroyable. Ca a duré longtemps, longtemps. L’autre black regardait, me caressait les seins puis le premier m’a dit : "On va te faire la spéciale BAB", tu sais blanche à black, « et là il m’a fait s’empaler sur lui pendant que l’autre me préparait mon petit trou. Je savais ce qui m’attendait. J’avais un peu peur mais ça m’excitait. Et puis j’avais l’impression qu’ils savaient s’y prendre.
- Ils savaient s’y prendre.
- Oui. Abdou. Maintenant je me souviens le deuxième s’appelait Abdou car le premier a dit à ce moment "Abdou vas-y doucement". Et il est allé doucement. Petit à petit je sentais qu’il me pénétrait l’anus. Tu sais que je n’aime pas trop ça mais David a su me donner du plaisir par là et je commence à trouver ça bien. Mais deux bites qui coulissent en toi. Deux bites qui sont tellement longues qu’elles ne se perdent pas. C’est juste incroyable.
- Ca a duré longtemps ?
- Non pas très ; ils ont assez vite joui tous les deux et je sentais leurs deux bites tressauter en moi à l’unisson. J’ai eu un orgasme dément. Là aussi je me suis senti partir. Quand je me suis réveillée David dormait avec moi mais aussi avec deux autres filles. Il était sept heures du mat. J’étais furax parce que j’avais l’impression qu’il m’avait juste invitée pour satisfaire ses potes. Je ne trouvais plus mon téléphone. Je suis partie sans rien dire. J’ai pris un taxi me voilà. Je suis désolée.
- Je t’aime.
- Moi aussi. »
- Tu m’as envoyé un SMS pour me dire que tu voyais une copine. Mais toute la nuit c’est un peu long. J’étais fou d’angoisse.
- Oui. Je n’ai pas vu le temps passer. Puis je me suis endormie.
- Tu vas le revoir ?
- Bien sur que non après tout ce qui s’est passé j’ai compris.
- Raconte-moi.
- Bon. A la dernière soirée je te l’avais caché mais il était là. Il m’a donné son numéro et je l’ai appelé. J’avais très envie de le revoir. Tu comprends tu es tellement tolérant avec mes aventures, parfois j’ai l’impression que tu t’en fous et lui m’a séduit. » Léopold la regarde en ce petit matin blême de juin. Elle est si belle. Même si son rimmel a coulé sur ses yeux, même si son teint est blafard la courbe de ses seins l’excite toujours autant, sa blondeur, ses immenses jambes, sa sensualité à fleur de peau alors qu’elle approche les trente ans.
« Tu sais moi ce qui me trouble c’est de voir combien tu jouis plus avec d’autres hommes que moi. C’est ça que je veux t’offrir parfois.
- Tu en profites bien aussi.
- Oui mais je baise une femme quand tu te fais prendre dix fois.
- C’est plus facile pour les femmes… »Léopold n’est pas mal non plus. Mais un peu banal. Le mec normal. NI très grand, ni très beau, plutôt intello, encore plus depuis qu’il a abandonné les lentilles de contact pour des lunettes rondes cerclées. Il plait aux femmes mais surtout à leurs mères comme il se plaisait à le constater plus jeune. Et il aime infiniment Chrystèle mais toujours avec la désagréable impression de ne pas savoir lui donner tout ce qu’elle attend d’un homme. Au contraire de David. David, beau brun, pas très grand, baraqué, assez poilu, sourire enjôleur, énorme bite.
Chrystèle reprend son récit « Quand je suis arrivée à la soirée, dans un appartement loué rue de Rivoli, très bel immeuble, il y avait déjà pas mal de monde. De très belles filles, de très beaux mecs, tous assez jeunes. David m’attendait. Tout de suite il m’a présenté. Il semblait connaître tout le monde et tout le monde le connaissait. Tu vois comme il est : charmeur, charmant.
- Donc c’était une soirée classique.
- Non pas vraiment. David m’a fait visiter l’appartement. Assez immense. Il le louait près de 1000€ la nuit et chaque homme seul participait aux frais à hauteur de 80€, 60€ pour les couples, gratuit pour les filles. Classique quoi.
- Je ne savais pas qu’il organisait des soirées.
- Oui et tu vois il n’y avait pas assez de filles par rapport aux garçons. Alors il a appelé quelques copines. Comme moi. Il allait de l’une à l’autre, nous apportait à boire. On pouvait facilement nous reconnaître. Nous étions bien cinq à le regarder en espérant être l’élue du soir. Cinq connes comme moi. » Elle pleure. « Cinq connes prêtes à tout pour se faire baiser par cet enfoiré. Cinq connes à baisser leur robe pour qu’on voit mieux leurs seins.
- Et il a baisé laquelle d’entre vous ?
- Aucune je crois. Non, il nous a livré à ses potes.
- Comment ça ?
- Eh bien il y avait ce grand Arabe qui me regardait. Une super baraque. Moncef. Un Marocain. Il s’est approché de moi. David est venu me parler : "Ca t’irait qu’on fasse un petit tour avec mon ami Moncef ?". Comme une conne j’ai dit oui. Dix minutes plus tard j’étais en train de me faire prendre par Moncef et David avait disparu.
- Disparu ? Tu ne t’es rendue compte de rien ?
- Non. Il faut dire que Moncef savait y faire. Au début ils étaient deux à s’occuper de moi. Moncef devant. David derrière. C’était divin. David me prenait les seins à pleine main. Moncef avait deux doigts dans ma chatte. Je suis complétement partie. Quand Moncef m’a demandé de le sucer j’ai adoré sortir sa bite de son pantalon. Un beau morceau comme je les aime. Et si bon à sucer. Comme j’aime. A genou devant lui. Je le prenais encore et encore. Tu sais comme j’aime sentir une bite devenir dure, dure. Et là en plus elle était belle comme tout. C’est dingue comme ça peut être beau une bite bien bandée. Tu ne trouves pas ?
- Oui », éructe Léopold en pensant que la sienne est bien dure mais que Chrystèle s’est tellement fait prendre toute la nuit qu’elle lui a dit avoir « trop mal à la chatte pour baiser avec lui ».
« Donc Moncef t’a baisé ?
- Oui. D’un seul coup il a relevé ma robe. M’a mise à quatre pattes sur un grand lit et m’a pénétré d’un coup. J’étais tellement humide que c’est entré comme dans du beurre. Un beau morceau qui m’a fait du bien tout de suite. Je ne pensais plus à David quand j’ai senti une main me relever la tête. Et là David qui me disait : "Tu t’amuses bien avec Moncef à ce que je vois. Tu veux bien sucer son frère". Et là je vois une autre bite toute semblable à celle de Moncef et un mec qui lui ressemble beaucoup qui me met sa bite sous le nez. Et David qui me dit : "Allez suce le".
- Et tu le suces ?
- Bien sûr. En plus ça m’excitait beaucoup de me faire prendre par deux frères. Au bout de quelques minutes ils ont échangé leur place. Moncef a enlevé son préservatif pour que je le suce et son frère en a mis un. J’ai à peine eu le temps de dire ouf que je me faisais prendre de nouveau. Et mieux. Le frère de Moncef savait mieux changer de rythme. Il était plus sensuel. Je sentais mieux ses mains sur mes fesses.
- Et tu suçais Moncef ?
- Oui mais pas très longtemps. Tu sais comme je suis. Vite je me mets la tête sur le lit pour me toucher. Et là je peux te dire que j’ai bien joui. Quand je suis sorti de ma torpeur post jouissance j’étais seule sur le lit. Ils étaient partis tous les deux. Mais je ne suis pas restée seule longtemps. David est revenu avec deux autres amis. Je ne sais pas s’ils étaient également frères mais c’étaient deux beaux blacks. Ils avaient du champagne et des coupes et on a trinqué.
- Et ils t’ont baisée ?
- Bien sur mais mieux que les deux Arabes. D’abord ils m’ont très longtemps caressée. Je sentais leurs grosses mains sur tout mon corps. Ils se sont vite déshabillés. Ils étaient superbes. Deux mecs immenses. Et tu aurais vu leur bite. Comme je te connais tu aurais autant eu envie de les sucer que moi. Comme deux glaces au chocolat que je prenais alternativement. C’était d’autant meilleur que David me doigtait en même temps. Plus il est parti. Le premier – je suis désolé je ne me souviens plus de son prénom – m’a tout de suite prise et c’était top d’être de nouveau emplie par une bite pareille. Je la sentais mais surtout je le sentais m’embrasser tout en caressant mes fesses. Puis il m’a littéralement écartelée pour me mettre les jambes derrière la tête. C’était incroyable. Ca a duré longtemps, longtemps. L’autre black regardait, me caressait les seins puis le premier m’a dit : "On va te faire la spéciale BAB", tu sais blanche à black, « et là il m’a fait s’empaler sur lui pendant que l’autre me préparait mon petit trou. Je savais ce qui m’attendait. J’avais un peu peur mais ça m’excitait. Et puis j’avais l’impression qu’ils savaient s’y prendre.
- Ils savaient s’y prendre.
- Oui. Abdou. Maintenant je me souviens le deuxième s’appelait Abdou car le premier a dit à ce moment "Abdou vas-y doucement". Et il est allé doucement. Petit à petit je sentais qu’il me pénétrait l’anus. Tu sais que je n’aime pas trop ça mais David a su me donner du plaisir par là et je commence à trouver ça bien. Mais deux bites qui coulissent en toi. Deux bites qui sont tellement longues qu’elles ne se perdent pas. C’est juste incroyable.
- Ca a duré longtemps ?
- Non pas très ; ils ont assez vite joui tous les deux et je sentais leurs deux bites tressauter en moi à l’unisson. J’ai eu un orgasme dément. Là aussi je me suis senti partir. Quand je me suis réveillée David dormait avec moi mais aussi avec deux autres filles. Il était sept heures du mat. J’étais furax parce que j’avais l’impression qu’il m’avait juste invitée pour satisfaire ses potes. Je ne trouvais plus mon téléphone. Je suis partie sans rien dire. J’ai pris un taxi me voilà. Je suis désolée.
- Je t’aime.
- Moi aussi. »
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