Clémence « l’aristocrate » la punition ! (Partie 4)

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Clémence « l’aristocrate » la punition ! (Partie 4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Clémence « l’aristocrate » la punition ! (Partie 4)
Après l’anniversaire de mariage du consul du Maroc, j’étais rentrée le dimanche vers midi. Ne trouvant pas Pierre-Louis à la maison, la gouvernante me dit, qu’elle ne l’avait pas vu ce matin mais qu’il devait arriver d’une minute à l’autre. La table était dressée, le repas préparé :— Je m’en vais Madame, vous n’avez plus qu’à servir.
— Bien Martine ! Allez-y ! À demain.

En effet, mon mari revenait lorsque la voiture de la gouvernante quittait la propriété. Pendant le repas, je ne pus m’empêcher de lui demander où il avait passé la nuit, je savais que j’étais cocue mais le week-end de plaisir, m’avait donné des ailes, je me sentais libérée :— Qu’est-ce que ça peut te foutre. Me dit-il assez méchamment. Si tu veux le savoir, j’étais avec Marie ma petite secrétaire, une salope, avec des gros seins et des belles fesses bien rebondies, je l’ai baisée comme un fou, son petit copain travaillait, elle était en manque. Et toi, j’espère que tu t’es bien tenue ?
— Je me suis ennuyée à mourir, à part Isabelle, je ne connaissais personne. Tu parles d’une soirée.

J’étais furieuse, il osait me dire ouvertement qu’il me trompait, il me dégoutait mais j’en avais peur, j’espérais qu’une chose, c’est qu’il n’apprenne jamais ce que j’avais fait. L’après-midi, nous étions allés dans ses locaux et m’emmena dans son bureau. Il devait s’absenter toute la journée du lendemain, je ne savais pas pourquoi, il me demandait cela, mais il voulait que j’aille travailler ici, le lundi afin de faire le tri de tous les dossiers qu’il me montra. J’en avais au moins pour toute la journée, il y avait un tel foutoir que je me demandais à quoi servait les secrétaires :— Cette garce de Sophie est jalouse. Elle s’est mise en maladie.

Je comprenais que celle-ci devait être aussi une de ses maitresses, il ne me le cacha pas lorsque je lui avais demandé. Il avait vraiment envie de m’humilier une nouvelle fois, il m’expliquait comment il les baisait dans les moindres détails. Sans parler des femmes qu’il maltraitait lors des séances spéciales dans les clubs :— Un de ces soirs, je te réserve une surprise, je t’y emmènerai.

Nous étions rentrés, sans pratiquement nous parler, il s’installa devant la télé jusqu’au diner puis m’avais sodomisé comme à son habitude avant de s’endormir. Le lundi matin, le chauffeur m’avait déposé au bureau, je devais l’appeler lorsque j’avais fini de tout ranger. J’étais arrivée bien avant Marie, j’avais fouillé son bureau et dans le répertoire de son téléphone fixe, le portable de mon mari s’y trouvait mais je fus surprise de trouver celui de Boris dans les numéros les plus appelés.

D’autre part, dans le journal des appels, je remarquais que Marie avait joins le numéro de portable de Boris le samedi après-midi. Le connaissait-elle ? Obligatoirement. Baisait-elle avec lui ? Je n’en savais rien. Mais pourquoi l’avait-elle appelé ? Marie serait-elle une salope ? Sans aucun doute. Était-elle la petite amie de Boris dont Pierre-Louis avait parlé ? Probablement car il travaillait bien cette nuit-là.

Désormais, mes oreilles étaient à l’affut de tout, je surveillais les moindres gestes et tous les appels téléphoniques de la secrétaire. Je passai ma matinée à cela sans pouvoir faire mon travail convenablement. Néanmoins, je ne m’étais pas trompée, vers dix heures trente du matin, Boris appela au bureau, le numéro de téléphone que je connaissais par cœur, s’affichait à l’écran sur mon poste. Quelle surprise, lorsque Marie décrocha, il était resté plusieurs minutes en communication avec la secrétaire avant de raccrocher. S’étaient-ils donnés rendez-vous ? Certainement, je devais surveiller afin de les surprendre.

À l’heure du déjeuner, je quittai le bureau pour aller déjeuner, quand soudain, j’aperçus Boris dans la camionnette du traiteur, sur le parking. Il attendait dans son véhicule que je m’éloigne avant de descendre. Je fis donc une cinquantaine de mètres puis je revins sur mes pas. Je remontai les escaliers en faisant le moins de bruit possible. Il était bien là avec Marie, je ne les entendais pas, ils devaient s’embrasser. Le meilleur poste pour les épier, c’était le bureau de mon mari. En effet, il avait une petite ouverture dans la cloison qui séparait les deux pièces. Cette lucarne qui servait par le passé, à communiquer entre les deux bureaux, était fermée par une coulisse en bois de mon côté que j’entrouvris légèrement afin de voir ce qui se passait dans la pièce voisine.

Boris avait dans la main un sextoy rouge, une succession de boules en plastique, soudées entre elles, allant de la plus petite à la plus grosse. Il fit se pencher Marie en avant, lui descendit son string noir, cracha de la salive dans la raie de ses fesses en caressant sa petite rondelle sombre puis il lui fit sucer le bout de l’engin, avant de lui enfoncer dans l’anus. Boule par boule, ce petit pieu en plastique s’enfilait à l’intérieur du corps de la secrétaire, sous la pression qu’exerçait la main de Boris. Il ne restait que la dernière, encore un peu plus grosse, il poussa à fond le sextoy qui disparut entièrement laissant uniquement la ventouse, sous un petit cri aigu de bonheur de la part de Marie.

Il ordonna à la secrétaire de se coucher sur le bureau, il releva sa petite jupe et la retroussa sur son dos, elle avait l’engin tout entier dans le cul qu’elle lui tendait avec fierté. Il baissa son pantalon, Marie n’eut pas le besoin de lui faire une fellation, cela avait dû l’exciter suffisamment car sa queue était bien dure et raide lorsqu’il lui pénétra dans son vagin entièrement épilé. Elle avait un piercing, en définitive deux, un petit anneau bleu sur chacune de ses grandes lèvres. Boris la labourait sans ménagement, pour ne pas crier son plaisir, je la voyais se mordre les lèvres de sa bouche, en serrant les poings sur le bureau où elle était affalée.

Il se retira, je vis qu’il ne portait pas de préservatif, puis pris la ventouse et retira le grand plug de son rectum dans un bruit de succion et le jeta sur le sol. Il présenta son gland devant son anus et fit une grande poussé, sa verge la perfora toute entière, jusqu’à la garde remplaçant le sextoy. Il fit quelques allers retours rapides en râlant et éjacula dans son rectum, Marie ne put se retenir de pousser un grand cri de plaisir lorsqu’elle jouit à son tour.

Ils reprirent leurs esprits, s’enlacèrent et s’embrassèrent. Leur baiser s’éternisait, j’avais faim mais cette folie sexuelle m’avait énormément excitée, j’avais très apprécié d’être voyeuse, ma petite culotte trempée, je continuais à regarder et en écoutant ce qu’ils se disaient :— Je suis à toi Boris mais tu me trompes, je suis certaine que tu as baisé la femme du patron. Dis-moi la vérité.
— Je ne te trompe pas ma chérie, oui je l’ai sauté mais comme toi avec son mari, ce n’était que sexuel, je voulais son cul.
— Oui ! mais moi c’était pour avoir un boulot, toi ce n’est que pour ton plaisir.
— Ferme-là Marie, ce n’est qu’une mal baisée cette gonzesse, son mari me l’avait dit avant de partir samedi.

Quel salopard ! Moi qui m’offrais entièrement à ce garçon, il venait de me prouver que je me trompais sur son compte, j’étais dans un état d’énervement total, j’étais jalouse et déçue mais d’un autre côté, je voulais tant qu’il me refasse l’amour que je saurais bien lui pardonner. La conversation prit une tournure inattendue, Marie venait de dire à Boris qu’elle ne voulait pas me faire de peine, elle m’aimait et qu’elle désirait même me faire des câlins. Oui ! il m’avait bien semblé que Marie aimait les femmes et quelques fois son regard posé sur moi me déstabilisait, comme si elle voulait me déshabiller sur place. Je comprenais mieux maintenant. Cette belle et plantureuse jeune femme en pinçait pour moi et voulait coucher avec moi.

Ils se quittèrent, l’heure était passée et j’étais censée revenir bientôt au bureau mais comment allais-je faire maintenant ? Je sortis du bureau pendant qu’ils s’embrassaient de nouveau, je descendis trois à trois les marches de l’escalier et je courus jusqu’à la rue. Le souffle coupé je récupérais, lorsque je vis la voiture de Boris sortir du parking. Il s’en était fallu de peu pour qu’ils me surprennent. En pénétrant dans mon bureau, je tendis l’oreille, Marie était au téléphone, je m’approchai de la petite fenêtre et j’attendis la dernière phrase disant :— Oui Monsieur de M… Boris me l’a confirmé. Il me fait dire que tout est arrangé pour la semaine prochaine.

Pourquoi disait-elle ça ? Avait-elle dit que je le trompais ? Marie serait-elle encore plus tordue que son copain ? Pierre-Louis était-il maintenant au courant de mon adultère ? C’eut été catastrophique. J’avais passé une bonne heure à inventer une histoire pendant que je classais les dossiers, afin de trouver une explication à mon adultère avec Boris. Mais aucune excuse ne pouvait justifier mon geste. Je devrais donc assumer et dire ce qui c’était passé exactement. J’en voulais beaucoup à Marie que j’estimais depuis qu’elle était embauchée, qu’elle soit la maitresse de mon mari ne me gênais pas, mais la petite amie de Boris et l’espionne du patron, je ne pouvais pas l’accepter et j’envisageais d’avoir la certitude.

Étant toutes les deux dans les locaux, j’appelai Marie à me rejoindre. Cette blonde aux yeux bleus de 25 ans, d’1,65 m pour 55 Kg, était ravissante en minijupe, dévoilant ses cuisses fuselées et joliment galbées, elle portait un charmant petit chemisier décolleté, sur une poitrine 95 C qu’elle avait du mal à dissimuler. Je la fis s’installer dans le fauteuil face moi en lui demandant franchement.
— Marie, as-tu couché avec mon mari ?
— Oui ! Clémence, je vous jure que je n’y suis pour rien. C’est Boris qui m’obligea à coucher avec lui. Ça fait deux ans que je dépends financièrement de lui et il connait bien le patron, je devais baiser avec lui pour qu’il m’embauche.
— Tu m’as, quand même l’air, de prendre du plaisir, il me l’a dit.
— Non ! je simule, je n’en prends pas, ils m’obligent à le faire. Ce sont tous les deux des salauds. Je dois vous avouer autre chose, votre rencontre avec Boris, tout était préparé par votre mari, son absence forcée à cette soirée du consul et ce qui avait suivi.

Marie n’avait pas voulu être provocatrice, mais en écartant légèrement les cuisses, je vis sa petite culotte. Sachant qu’elle voulait me faire des câlins, la situation m’excitait de nouveau, se sentir désirée m’était toujours indispensable, le fait que je plaise à une femme, ne l’était pas moins. Depuis l’avant-veille avec Farah, je pensais le faire, de tenter l’expérience au moins une fois. Serait-ce avec Marie ? Je croisais son regard et je pouvais y lire une envie charnelle. Marie l’avait sans doute deviné, elle ajouta :— Je peux vous dire que je vous apprécie beaucoup Clémence, en tant que femme, je vous trouve très jolie et très désirable. Vous savez certainement que je suis bi. N’est-ce pas ? Je ne veux pas vous trahir, je vous dirai tout.
— Je ne le savais pas mais je me doutais bien de ton penchant lesbien. Bon, je te fais confiance.

Je devais partir, la conversation s’était arrêtée là mais mon envie d’essayer avec une femme me trottait dans la tête et si c’était à faire, ce serait avec Marie, elle me plaisait beaucoup, elle ne méritait pas non plus d’être considérée comme elle était, auprès de Boris et de Pierre-Louis. Je savais désormais qu’elle n’y était pour rien que c’était les deux hommes qui avaient tout manigancé.

L’épisode avec Marie, même s’il m’avait excité, était déjà oublié. J’appréhendais la venue de Pierre-Louis. Comment allait-il réagir à mon adultère ? Je me préparais au pire, une crise comme il lui était déjà arrivé de faire. Ce soir-là, il était rentré bien plus tard que d’habitude, la gouvernante étant déjà partie se coucher, elle avait laissé dans la cuisine le repas que je n’avais plus qu’à réchauffé. Je n’eus pas à le faire, lorsque mon mari était rentré, il se dirigea immédiatement à la salle de bain après m’avoir dit simplement un « bonsoir chérie ».

Après sa douche, il était revenu au salon où je me trouvais. Quelques minutes plus tard ne portant sur lui d’un teeshirt de nuit et son bas de jogging. De but en blanc, il vint en face de moi, me gifla une première fois, je mis un genou à terre en me tenant la joue et me dit :— Je sais que tu t’es fait niquer samedi par le jeune traiteur…Sans le laisser finir sa phrase, je me relevai en ayant peur de sa réaction, j’essayai de répondre :— Chéri laisse-moi t’expliquer...

Il me remit une gifle, que je ne pus esquiver, ma joue était devenue écarlate. Il recommença, je le suppliais d’arrêter. Il m’obligea à me dévêtir :— Mets-toi à poil et à quatre pattes. C’est un ordre et tu as plutôt intérêt à m’écouter.

Je n’avais sur moi qu’un ensemble de nuit en satin rouge et noir, trois pièces, une mini robe de chambre, un mini short échancré satiné, assorti et un tout petit débardeur noir en dentelle à fines bretelle. Je me dévêtis sans discuter afin de ne pas reprendre des coups. Une fois nue, il me tira par les cheveux et me força à me mettre à genoux. De son autre main, il me mit une autre gifle qui cingla mon sein droit. Je me retrouvais à genoux face à lui, je levai les yeux pour voir ceux de Pierre-Louis qui avait pris son air sévère.

En face de moi se trouvait son sexe déjà en érection. Il m’ordonna de lui faire une fellation, d’une main sur l’arrière de mon crâne, il s’enfonça au plus profond de ma gorge. Je m’étouffais. Puis il me força de poser ma tête au sol afin que ma croupe remonte le plus haut possible. Voyant que je ne désirais pas accepter, sa main écrasa ma joue au sol, ça me faisait mal. Il prit mon cou de ses deux mains et m’étrangla de longues secondes. Il m’ordonna d’obéir, je clignais des yeux en montrant mon acquiescement, je fis comme il me disait. Il passa derrière moi, puis me pénétra avec force, de toute sa puissance, il s’activa, excité par cette violence, il jouit rapidement dans mes reins.

Je m’effondrai en pleurs, tandis qu’il partait, soulagé, dans la salle de bains. Une dizaine de minutes s’était écoulée, j’étais toujours au sol, j’avais fini de pleuré, j’avais mal. Il vint vers moi, me prit la main pour me relever et me mis un coup de poing sur l’épaule :— Ne t’avise plus à recommencer ce que tu as fait, cette histoire est loin d’être terminée.

La suite de l’histoire dès mardi prochain, vous avez à votre disposition, la liste des précédents récits en bas de page.

Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Clémence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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