COLLECTION ADULTÈRE. Esclave d’une première erreur (4/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ADULTÈRE. Esclave d’une première erreur (4/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ADULTÈRE. Esclave d’une première erreur (4/4)
Esclave de mon erreur, non, esclave de mon corps qui aspire à exprimer le plaisir qu’il prend à chaque fois qu’une bite vient me provoquer.
J’aime plus que tout Jeff, surtout qu’il m’a donné un fils, la prunelle de mes yeux.
Alors pourquoi suis-je là dans un lit avec Christophe garçon de son âge qui pour la première fois a pris son pied dans la chatte d’une femme ?
Une femme, une salope, oui, cette femme, cette salope, c’est moi, mais une salope qui vient de prendre des risques avec ce garçon.
Sans savoir son fantasme, je viens d’accepter de le réaliser, il va me fister et pour cela une fois que je suis nue, il m’allonge sur le lit me fait écarter les jambes et commence à me mettre du gel.

• Victor nous a dit que tu avais un fils, je vois qu’il est sorti naturellement, je vais pouvoir te fister.

Un, deux, trois doigts, jusque-là ça va, Jeff me doigte lorsqu’il veut que je mouille plus intensément et c’est ce qu’il se passe à ce moment précis.
Quatre, ça devient plus tendu, mais je suis impatiente de voir ce que ce gamin, a vu en regardant son porno.
Et ça rentre, rentre, rentre, jusqu’à son poignet, il a réussi à me distendre la chatte pour mettre main et poignet au plus profond de moi.
J’ai envie de lui demander si fister, c’est ça, mais une vague de jouissance monte de moi empalé sur le poing de Christophe qu’il a refermé dès que tout est passé.

• On égorge quelqu’un dans cette chambre !

Incapable de parler tellement j’ai des étoiles dans les yeux, je reconnais la voix de Simone qui semble venir aux nouvelles.
Elle a toujours sa guêpière, je la sens monter sur le lit à côté de moi.

• Bien ma salope, tu te fais fister, Christophe laisses-moi la place vient me brouter, ton père et Victor mon pris en double.
Je suis venue me laver lorsque j’ai cru que tu égorgeais mon amie et en réalité je trouve une belle salope.

Je sens comme un vide après avoir été fistée lorsque main et poignet me quitte.
Ils sont très vite remplacés par la langue de Solange sur mon excroissance me faisant repartir dans mon délire.
Première fois fistée et première fois avec une femme, qui plus est mon ami.
Mais je dois reconnaître que j’aime beaucoup, si j’avais su j’aurais sucé et je me serais fait sucer par Solange plus tôt, cette brocante aura été source de découverte et de jouissance nouvelles pour moi.
Christophe approche sa bite qu’il fait entrer dans ma bouche, je le vois au-dessus de moi, lorsqu’un orgasme me saisit et qu’il décharge de nouveau dans ma bouche, je hurle, je hurle, je hurle.

• Chloé, il y avait longtemps que je voulais avoir des rapports avec toi.
Mais rejoins les deux hommes en bas, lorsque je suis montée me rafraichir, ils m’ont dit que si tu avais fini avec le dépucelage du petit, tu descendre.
Moi je vais continuer à lui faire découvrir les plaisirs du sexe.

Flageolante, je me lève, je passe par la salle de bain me rafraichir, moi aussi.
Il y a une glace ronde pivotante et grossissante près d’un rasoir à main.
Ils doivent servir à Victor pour se raser.
Je le prends en main, le porte au niveau de ma chatte.
Lorsque j’étais jeune pucelle, j’en avais un petit qui me servait à compter mes poils, j’ai rapidement été obliger de m’en passer, ils étaient trop nombreux.
Ouf, ma chatte est referlée comme elle l’a été lorsque j’ai accouché.
Je me lave, Christophe avait placé une capote, lorsqu’il est venu en moi, j’ai juste à me rafraichir et me laver la bouche, à ce moment il l’avait ôté.
Je descends avec plus d’assurance, fière de savoir et d’avoir été fisté.

• Alors ma belle, Christophe est un homme maintenant, j’espère que tu as apprécié le cadeau.

Les deux garçons sont debout près de la table, un verre en main et un petit four de l’autre côté.
Je reconnais ceux qui sont vendus dans le supermarché où j’ai laissé mon caddy au détour d’une allée.
Il a dû retourner pour préparer cette fête où j’ai la chance de participer.
J’ai faim et j’ai soif, le sperme j’aime,mais c’est loin d’être nourrissant.
C’est entre ces deux hommes nus que nue, je mange et je bois.
Ma main se porte sur la verge de Jérôme, insidieusement chercherais-je à voir qui du père ou du fils est le mieux monté.
Pour le savoir de façon plus précise, je me baisse et je commence à le sucer tout en commençant de masturber Victor.
D’où me vient cette assurance, moi qui totalise un seul homme sexuellement dans ma vie.
Oui, une femme faisant bander deux hommes il y en avait dans les rares pornos que j’ai vus.
Lorsqu’il bande, la réponse entre le père et le fils est loin d’être évidente, mais je m’en fiche, je vais passer une nouvelle étape de ma vie amoureuse.
Amoureuse, non, ça c’est réservé à mon homme qui m’a lâchement abandonné à cette bande de pervers.
Avec eux c’est du sexe et seulement sexuel, surtout que j’apprends plein de choses malgré mon âge.
La suite va me donner raison, Victor s’allonge sur le lit de jardin et m’entraîne à m’empaler.
Je sens Jérôme m’écarter les fesses et sans dégout me lécher chatte et anus.
Sa langue insiste même sur mon petit trou avant que j’aie le temps de me poser des questions, il m’encule.
Solange m’a dit avoir été prise en double pénétration, je découvre à mon tour la joie de cette façon d’être baisée.
Deux bites se touchant entre elles et la paroi fine entre ma chatte et mon anus, j’entends Simone hurler son plaisir en même temps que je hurlais le mien.

C’est la fin de mes exploits du samedi soir, plutôt le dimanche matin lorsque j’arrive chez moi.
Je me douche, je me couche sans trouver le sommeil.
Je me lève et je me mets au travail jusqu’au retour de Jeff et William.

• Maman, pourquoi ma chambre est vide ?
• C’est ma surprise, tu grandis, rapidement tu vas vouloir vivre ta vie, tu auras une copine, du moins je l’espère et vous voudrez avoir votre indépendance.
Descend au sous-sol, lorsque nous sommes venus habités ici, nous avons acheté cette maison, car maman était encore sur terre.
Nous devions habiter tous ensemble.
C’est deux jours plus tard que pour notre plus grand malheur, étant dans l’incapacité de supporter son déracinement, elle nous a quitté.
Elle avait passé toute sa vie avec mon papa dans son ancienne maison dans ses deux pièces et vivait dans son souvenir depuis plus de vingt ans après sa mort.
J’ai tout nettoyé, j’ai descendu toutes tes affaires de ta chambre d’enfant.
Tient voilà la clef de la porte te donnant ton indépendance, tu pourras, sortir comme tu le voudras par cette porte donnant sur l’arrière de la maison.

Jérôme a souhaité que son fils se fasse sauter son pucelage en baisant une, voire deux chiennes en chaleur.
J’espère que mon fils, ce sera dans la chatte de celle qui deviendra sa femme ou son amie pour un temps.
Il nous quitte pour rejoindre son chez-lui.

• Ma chérie, d’où l’idée tes venues d’installer William dans la partie où nous voulions que Gloria vive ?

Question à réponse impossible sans lui avouer mon infidélité, je trouve un pis allé.

• Tu vas rire, c’est dans mon bain, que j’ai pris conscience qu’il me manquait quelque chose hormis toi !
J’avais envie de faire l’amour et j’ai repris mes habitudes de jeune fille en me masturbant.
• Toi, la petite fille sage tu te masturbais !
• Jeff soit sympa, peux-tu éviter de m’interromps, c’est assez difficile de te parler de ce moment d’intimité avec moi-même.
• Dois-je comprendre que tu es insatisfaite.

Je saute au cou de mon mari l’embrassant avec passion.
Je sens que mon geste ou alors notre éloignement prolongé a fait que je lui ai manqué.
Je passe ma main, satisfaite de retrouver l’objet de mes soucis.
Il me caresse aussi, je mouille, je m’assieds sur la table de la cuisine.
Jeff semble surpris, mais passe ses mains pour retirer ma petite culotte.
J’ouvre son pantalon et je sors l’objet de mes désirs.
Sans arrêter de nous embrasser, il me baise, comme la chienne devenue en baisant avec Victor, Jérôme et Christophe, voire Solange.
Au moment où l’orgasme me rattrape, je quitte sa bouche pour hurler mon plaisir.
En bon sportif qu’il est, il me soulève nos sexes toujours unis et me monte dans notre chambre.
C’est sur le lit que nous tombons et où il continue à m’enfoncer son sexe en moi.
Un nouvel orgasme me rattrape au moment où il décharge me remplissant de son sperme.
Il tombe à mes côtés, reprenant son souffle.
Une chose est sûre, même si moi aussi, je suis un peu dans les vaps, j’analyse la quantité de sperme que j’ai reçu à longs jets, si j’ai été infidèle, lui a respecté nos vœux de mariage.

• Que me disais-tu, tu te masturbais dans ton bain ?
Et après ?
• C’est tout mon chéri, lorsque je me suis fait jouir, j’ai pu exprimer mon plaisir ce que je refrénais depuis la naissance de William, car il était dans la pièce voisine.
• Tu as eu raison, moi aussi j’avais envie de plus entre nous.
Faire l’amour dans notre cuisine et dans notre chambre en pouvant exprimer ce que je ressens pour toi est extraordinaire.
C’est vrai qu’avant la naissance de notre fils, nous savions nous exprimer.

Repus de sexe, c’est dans les bras l’un de l’autre, satisfait d’avoir retrouvé notre sexualité d’antan que nous nous endormons.
Deux beaux gosses, deux beaux mâles, ça mange, je retourne faire le plein au super-marcher.
Route directe, non, sans que je le veuille, ma voiture tourne pour passer devant chez Victor.
Un panneau « à vendre » ?
Je continue jusque chez Solange, elle peut être pourquoi mon amant a vendu ?

• Ma chérie, te voilà, j’allais t’appeler, pour prendre de tes nouvelles, je sais que le retour avec ton mari s’est bien passé.
• Bonjour maman, je suis venu dire bonjours à Solange.

Solange, cette salope, j’avais remarqué qu’elle était en peignoir et quand mon fils nous rejoint, il est en slip, la pointe de son sexe sortant légèrement.
Il a bien grandi.
Elle se penche à mon oreille et me murmure.

• Ma chérie, il fallait bien qu’une femme d’expérience lui enlève son pucelage, tu connais !

Il y aurait une chaise à ma portée, je crois bien je me serais assise.

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