COLLECTION AGENT SECRET. Madame Marion, Commandant Marion. Mission en France. Saison II (5/7) - histoire érotique

- Attifa, que fais-tu là, chez les hommes ?

Je viens de finir de me mettre en mode commando, type Catwoman sans le bandeau sur mes yeux mais une cagoule.
Je l’ai mise dans mon sac à dos quand en sortant des toilettes des hommes, je tombe sur l’un de ceux qui m’ont baisé pour quelques pièces de monnaie.
Faire la pute au milieu de la jungle de Calais c’est la méthode que j’ai employé afin de crédibiliser mon personnage de femme venue de Syrie comme bon nombre d’immigrés.
Je veux rejoindre l’Angleterre où je pense retrouver mon mari et mes enfants qui brillent par leur absence dans la jungle.
Je sais réagir vite et ce sont les mains posées sur la cuvette par chance propre que je me fais sauter pour un billet de plus.

De retour chez Younes, je cache cette tenue et je vais jouer avec les enfants au pied du sapin qu’Hamed l’épicier s’est procuré.
Je couche pour aider à avoir de la bouffe et des cadeaux du père Noël.

Il est tard, j’ai préparé un repas de fête en passant chez un traiteur de Calais après avoir récupéré mes effets.

- Aller, les enfants au lit si vous voulez que le père Noël passe et vous apporte des joujoux.

Ils se couchent, Younès aussi.
Il est chétif lorsqu’il se met en caleçon, mais je me demande ce qu’il vaut au lit.
Je respect son amour pour sa femme et depuis que je suis chez eux à part une fois au matin quand j’ai senti sur mes fesses une bite bien dure, j’ai failli le faire craquer.
Par chance, la veille j’avais croisé Naïm qui connaissait un émigré sans femme et qui voulait se payer mon cul.
Il m’attendait à l’extérieur et c’est vite fait bien fait que j’ai vidé les couilles à cet Albanais.

Younes rapidement émet de petits sifflements preuve qu’il a retrouvé sa belle dans ces rêves pour le moment.
La fête a failli tomber à l’eau, car lorsque je suis rentrée, il m’a dit avoir fait une tentative avec les enfants auprès des camions s’apprêtant à traverser pensant qu’en cette veille de fête les policiers auraient la tête ailleurs.
Ils sont déçus, car c’est l’inverse qui s’est produit.
Je range un peu attendant que la fête se calme dans la zone avant de récupérer Catwoman du moins ma tenue noire mettant à ma ceinture mon célèbre couteau qui va si tout se passe comme je l’ai prévu être à la fête ce soir.
Je sors enfilant ma cagoule me rendant méconnaissable.
De masure en masure, je sors de la jungle me rapprochant de Calais et de la villa qui va avoir ma visite.
En vrai pro, je me cache derrière une haie de la maison en face de celle que je souhaite investir.
Une fourgonnette grise est garée, mais elle semble vide.
Bien m’en prennent, si hier aucune présence pour monter la garde.
Ce soir c’est différent.
Je vois le bout incandescent d’une cigarette à moins que ce soit un des frères Klein qui fume sur son perron.
Le tabac, je fais des mouvements comme un chat vers cette petite lumière qui s’allume et s’éteint.
Au moment où je l’attaque, j’ai une pensée pour ses poumons qui se vident quand je lui tranche la gorge évitant qu’il meure d’un cancer des voies respiratoires.
La lune sort des nuages me mettant dans la lumière une fraction de seconde.
Quand je pose l’homme au sol évitant qu'il fasse du bruit, je reconnais l’homme que j’ai sucé dans la jungle et dans les toilettes du café de Calais.
Je manque reculer mais mon instinct de chasseur et surtout mon coutelas que j’essuie sur sa chemise me suggère de continuer.

Point faible d’une maison individuelle pour y pénétrer.
Le toit, je suis Catwoman et c’est facilement que je me retrouve dessus.
Point noir, faire glisser les tuiles sans mettre la maison en émoi.
Là encore, les commandos m’ont appris à les soulever une par une afin d’ôter celle sous le dessous en les plaçant dans la gouttière.
Je me fais mal au bout d’un doigt quand l’une d’elles me retombe dessus, amortissant le bruit.
Dès qu’une ouverture est suffisante, je me glisse en cherchant du pied de quel type de plancher les combles sont constituées.
Dur, j’allume ma petite lampe attachée avec mon poignard à ma ceinture, je trouve une trappe que j’ouvre.
Par le trou je me laisse tomber sur mes chaussures amortissant le bruit grâce à ma souplesse.
Je me rapproche d’un escalier entendant du bruit vers le bas.
Je vois le but de mon expédition regarder son écran d’ordinateur.
L’un des frères Klein est la bite à la main, celle qu’il m’a enfoncée, sans ménagement, la nuit dernière dans le cul et qu’il astique en regardant un film porno.
Ce sont les cris de jouissance de l’actrice se faisant prendre par deux grands noirs en double pénétration qu’il regarde que j’entends.
Je suis bien placée bien qu’un peu haute pour suivre l’action et l’état de ma proie qui bande à mort côté verge.
Au moment où les blacks éjaculent, il les imite.
Le moment où un homme vient de se satisfaire est une des possibilités d’attaque.
Tel un chat, je descends les escaliers pour me retrouver derrière lui.
Il est à moitié allongé dans son fauteuil la bite tendue vers le ciel.
Ma première envie, c’est de lui couper les couilles pour tout le mal qu’il a fait à des hommes et des femmes là-bas dans le pays dont je suis censée venir.
Je bloque sa poitrine par mon bras, le tirant en arrière.

- Gilles ou Louis, j’aime savoir celui des deux qui nous avait échappé.
- Sa putain, c’est mon secret, j’aurais dû te tuer hier, lorsque je t’ai enculé tu as souillé mon corps.
- Tu te prends pour un prophète.
- Non, l’âme noire de votre démocratie que nous allons finir par vaincre.
Allah est grand.

J’ai entendu assez de conneries, ma lame rentre facilement au niveau de son cœur que je sens palpiter avant de cesser de battre.
Ce coup si, nous pourrons mettre dans nos dossiers.

« Frères Klein, mort comme des salopards qu’ils étaient. »

J’essuie ma lame sur sa peau avant de la remettre au chaud dans son étui.
Mon travail est fait très proprement, car seul un peu de sang sort de la plaie.
L’ordi, il faut agir vite s’il a mis un mot de passe avec temporisation.
Quelques frappes bien travaillées avec mes équipes et sous Paris dans mes services grâce à l’antenne sur le toit de l’immeuble bien caché dans les nombreuses d’Internets, le garçon ou la fille de service va pouvoir le pénétrer facilement.

Je rejoins la porte arrière évitant de me frotter au cadavre du garde j’ai une sainte horreur de mettre du sang sur mes chaussures.
Aussi discrètement que je suis venue je referme la planche servant de porte à la cabane de Younes.
Me mettant nue cachant de nouveau ma tenue Catwoman, je remets mon couteau dans mon sac.
Je remets mon jean et ma veste blanche, ma nuit est loin d’être fini, il faut encore que je joue les pères Noël.

- Qui vient m’emmerder ?

Je viens de frapper à la porte de l’épicerie qui s’ouvre.
Hamed est devant moi flamberge au ventre.
Le film de cul avec ses images salaces a échauffé mes sens.

- Attifa, entre, tu viens chercher tes cadeaux.
Avant regarde, Zoé, elle est venue fêter Noël avec moi.

Zoé est une grande femme entièrement noire.
Je l’ai croisée deux trois fois dans le camp, elle semblait seule.
Elle semble avoir trouvé en Hamed le protecteur que j’ai refusé qu’il soit quand je suis arrivée et que je me suis réfugiée chez Younes et ses enfants.
Elle est nue et devait se faire baiser.
Je comprends pourquoi Hamed a gueulé quand j’ai frappé à sa porte.

- Tu es venue chercher tes cadeaux ?
- Oui.
- Tu me dois bien une petite compensation, j’aimerais voir deux femmes se gougnotter, tu aimes les femmes, Attifa ?
- Les femmes, que me demandes-tu là, jamais je n’ai fait l’amour avec l’une d’elles, mais pour tout ce que tu as fait pour m’aider, je veux bien essayer si Zoé est d’accord.

Quand je vous dis que ma chatte me démange, j’ai oublié de parler des femmes.
Dans ma première aventure que je vous ai contée, dans mon sous-marin, seuls des hommes ont profité de la salope que je suis.
La situation est drôle, car Hamed fait le traducteur en arabe pour moi en Français pour elle.
Les femmes, si je lui disais le nombre de fois où j’ai brouté des chattes surtout avec Agathe, ma colocataire dans notre chambre à Lorient lors de notre séjour de formation.
J’ai reçu mon béret vert en sa présence elle qui s’est vue recalée sur sa dernière épreuve.
Je suis mariée et par moments une belle salope, elle l’est aussi.
Elle habite Bordeaux et vend des chaussures dans une des rues piétonnes.
Elle a trois enfants.
Je lui dis souvent que je vais aller la voir, mais à part à la nouvelle année où nous nous téléphonons, nous restons éloignées.
Peut-être avons-nous peur que la passion qui nous a unis resurgisse mettant à mal nos équilibres familiaux.
J’ôte mes vêtements et je m’approche de Zoé.

Je prends la jeune femme dans mes bras.
Elle a de magnifiques seins qui viennent se coller sur les miens, mes pointes sortant de leur torpeur.
Des femmes dans mes missions j’en ai eu d’autres sous ma langue, une statue noire plus jeune c’est un moment et un morceau de choix.
Voilà pourquoi alors que je suis chef de mon service, mariée avec deux beaux enfants que j’adore, je continue mes missions actives.
M’allonger sur le corps de cette déesse, c’est un régal.
Dans cette nuit de Noël, le fait de penser à eux me donne le bourdon.
J’espère qu’Alexandre dans les missions que je lui ai confiées, a livré le gros colis avec les jouets achetés en France mais qui arriverons via la Martinique le cachet de la poste faisant foi.

Ma langue pénètre dans le vagin de ma petite maîtresse.
Quel âge a-t-elle, dix-huit à vingt ans moi qui en ai presque le double.
Son clito est sensible comme le mien dans ce très beau 69.
La lampe à huile qui éclaire la pièce remplie d’un capharnaüm de boîtes et de cartons me montre une ombre se rapprochant de moi.
L’ombre est très explicite quand je vois le sexe bandé d’Hamed entrer en moi.
Moi aussi j’ai droit à mon cadeau de Noël, surtout sous le soleil des Antilles calaisien…