COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Balade vers la cascade du hérisson (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Balade vers la cascade du hérisson (2/2)
Qui aurait dit ce matin, que nous nous retrouverions dans une ferme, isolée un peu comme celle de Julien et de Jules, nos voisins les plus proches.
Ce matin, j’aurais bien passé un petit moment coquin avec mon ami, mais il m’a refusé ce plaisir.
Je sais, il est vieillissant, mais à 65 ans, j’ai encore des besoins.
Pour se faire pardonner, il me demande de me faire belle, il veut que nous allions voir la cascade du hérisson, site magnifique à une cinquantaine de kilomètres de notre chalet.
J’ai mis une robe à fleurs, inconnue de Pierre et comme je le fais souvent, c’est la chatte à l’air et sans soutien-gorge que nous rejoignons sa voiture.
Julien le vieux fermier est là sur le pas de sa porte, se grattant les couilles, je monte en voiture et mutine, je fais voir à mon amant ma chatte sans voile.
Nous roulons quand, dans un moment de relâchement de ma part, je sens qu’une main vient se poser sur ma cuisse, ma robe s’étant relevée.
Je me réveille, je m’étais assoupie, c’est bien Pierre qui me caresse au point même que nous sommes à deux doigts de louper un virage.
Responsable, Pierre emprunte un chemin de terre avant de se garer sous un chêne.
Je sais que mon ami et amant est très soigneux avec son auto, nous descendons et c’est sur le capot qu’il me prend après que je lui ai fait une bonne fellation.
Nous venons de nous éclater lorsque nous sommes interpellés.
C’est Corinne une femme ayant un peu d’embonpoint même beaucoup qui nous interpelle.
Sa ferme est à une centaine de mètres et pour nous remettre de nos émotions elle nous propose de venir boire un verre.
Sur sa table sont des cartes de tarot, elle tire les cartes, mais là où en temps normal, les voyantes voient l’avenir, ce sont les frasques du passé qu’elle prétend voir.
Croyant faire le fanfaron, Pierre, croyant peu en ce genre de prédiction, fusse-t-elle du passé, veut bien se prêter au jeu et tire des cartes à la demande de notre maîtresse de maison.
De la poudre blanche et surtout le nom de Madeleine, la boulangère de notre village sort de sa bouche, coupant le souffle à Pierre.
• Comment sais-tu ça, c’est une de tes amies et elle t’a téléphoné pour te dire qu’elle m’avait un peu forcé la main ?
Anne, j’ai fait l’amour avec d’autres femmes depuis que nous sommes ensemble, mais toujours en ta présence.
• Tu en as trop dit Pierre, je comprends mieux pourquoi tu avais du mal à bander.
Je mettais ça sur le compte de ton âge, mais c’était parce que tu te vidais les couilles dans la chatte de cette salope !
• C’est bon, je vais tout vous dire, oui, j’ai baisé une fois avec la boulangère, c’était lundi dernier.
• Le trident, trois, met une autre carte sur la première.
La reine, ça c’est toi, la reine et le trident, remet une carte à côté.
Le voyageur, le trident, trois et lui, tu aurais eu des rapports avec trois voyageurs ou trois randonneurs ?
Tire une autre carte, l’eau, tu as eu des rapports avec trois étrangers blonds alors que tu étais auprès d’une source.
• J’avais même le cul dans l’eau à me rafraîchir dans une source lorsqu’ils ont débarqué venant de la forêt.
• Je vois deux des trois noms, c’est dur, comme leurs sexes, car ce sont des noms de leur pays.
Björn et Solveig, l’autre m’échappe, ben tu t’es bien amusée.
• Et tu semblais me reprocher d’avoir baisé avec Madeleine, mais je te pardonne, car je sais que tu as toujours été un peu folle du cul.
• Tu me pardonnes, tu me fais marrer, dans mon aventure, ces trois garçons étaient de passage.
Chaque fois que je verrais Madeleine, l’image de ta bite dans sa chatte sur le pétrin je te verrai raconter comment tu l’as baisée.
• Calmez-vous les enfants, vous en avez vu d’autres et surtout fait d’autres ensemble, la vie continue.
• Tu as raison Corinne, j’ai eu bêtement des scrupules et j’ai eu l’impression d’être trompée alors que j’ai fait sensiblement la même chose.
• Je préfère ça, j’aurais mal vécu votre séparation, pensez plutôt à ce que vous allez me faire, surtout toi Pierre.
Je vous ai dit que pour moi, je vois mon avenir, j’ai des visions, des flashs quand cela va se produire.
Je viens d’en avoir un.
• Dis-nous.
• C’est facile, Pierre va baisser son pantalon et nous allons réussir à lui donner vie, malgré qu’il ait déchargé il y a peu de temps.
Attends, j’ai une autre vision, ah oui, toi Anne, tu refuses tout contact avec des femmes, alors qu’il m’est arrivé d’adorer en avoir, une fois ou deux.
Sais-tu pourquoi tu sembles avoir une aversion pour les rapports féminins ?
• Non, mais il est vrai que les femmes faisant l’amour ensemble cela a tendance à me répugner !
• Te souviens-tu d’Aline, vous étiez adolescentes.
• Oui, j’allais chez elle faire des devoirs et surtout je lui montrais ceux de maths, elle était nul.
• C’est ça Aline, alors vous étiez très proches, jusqu’à ce qu’elle essaye de t’embrasser.
• C’est vrai, c’était caché dans un coin de ma tête, comment as-tu vu ça Corinne ?
Pierre, il y a si longtemps que j’avais oublié ce moment de ma vie qui m’a donné envie de vomir.
• Attends, je vois autre chose, mon dieu, c’est impossible, sais-tu si elle est encore vivante ?
• Non, sa mère était lesbienne, ce doit être pour cela qu’elle a tenté ce geste, elle devait être comme sa mère.
Oui, sa mère a rencontré une américaine et sa vie s’est poursuivie à New York.
Mon dieu Aline, j’ignorais qu’elle était partie là-bas alors que moi je continuais ma vie à Besançon.
Après mes études, j’ai fini par entrer dans cette boîte de transport, de me marier, avoir des enfants avant de divorcer et de rencontrer Pierre lui aussi divorcé.
• Tes cours de math lui ont été bénéfiques, elle travaillait dans une boîte faisant du fric facile comme ils le disent à la télé.
Si j’ai juré, c’est que j’ai vu deux tours percutées par des avions.
Aline a dû faire partie des morts des tours, car ma vision s’est arrêtée d’un coup.
C’est à la fin de ce récit que Pierre m’étonne, il se lève, vient entre nous en baissant son pantalon.
Après ce que nous avons fait sous le chêne, sa bite est molle, c’est dans un parfait ensemble que Corinne et moi nous nous agenouillions devant celui que je pense aura du mal à bander.
Corinne a du mal à descendre à cause de ses grosses pommes.
Elle le prend dans sa bouche, avant de me laisser une place à l’opposé de sa langue, afin qu’ensemble nous lui fassions une fellation.
Corinne respecte mon aversion et à aucun moment sa langue entre en contact avec la mienne.
Incroyable, quel exploit, Pierre se remet à bander, sa queue se relève.
Il l’aide à se relever, il soulève sa robe et enlève sa grande culotte.
Dieu qu’elle est grande, il l’appuie sur la table, j’ignore si elle a vu la bite de Pierre se présenter à son vagin !
Comme je suis placée, je suis aux premières loges pour voir mon homme vouloir la pénétrer.
J’empoigne sa bite et c’est moi qui la place afin qu’il prenne notre amie comme elle doit aimer, car elle se met à barrir comme doit le faire une éléphante lorsque son mâle l’honore !
Je me relève avec souplesse, vu mon état de forme, je me place en pendant de notre nouvelle amie et je relève aussi ma robe.
Pierre, se croyant le jour de ses vingt ans, passe de l’une à l’autre, nous prenant tour à tour.
• Je peux t’enculer Anne aime beaucoup !
• Oui, tu peux, j’aime aussi.
Il finit par décharger certainement peu de gouttes.
• Corinne, où puis-je me laver la queue avant que nous rentrions, la cascade du hérisson, ce sera pour une autre fois !
• La salle d’eau est par là, tu verras, la canalisation est un peu vieillissante et fait du bruit.
Saturnin doit la changer, mais il sera de nouveau tellement bourré lorsqu’il sera de retour, qu’il sera dans l’impossibilité de le faire.
Pierre prend la direction des toilettes.
• Nous habiterions plus près, je te proposerais bien que Pierre vienne le faire, c’est un très bon bricoleur.
• Anne, pendant qu’il est parti, je voulais te dire que j’ai vu que tu baisais avec Julien et Jules son fils, tes voisins fermiers.
Loin de moi l’idée de te juger, j’ai, moi aussi des amants bien plus proches, mais attention, Pierre revient.
Pierre nous rejoint, avec son sourire que je connais bien, je vois qu’il est satisfait de son exploit d’avoir baisé deux femmes dans la même journée et de nous avoir toutes les deux enculées.
• Avant de me quitter et de retrouver la route et votre voiture, voici quelques boîtes de pâtée de lapin, vous les dégusterez en pensant à moi.
Je dois vous mettre dehors, car il faut que je rattrape ce putain de lapin qui m’a permis de faire votre connaissance.
Nous retrouvons notre voiture, très chaude malgré qu’elle soit sous un arbre.
Nous voyons Corinne nous faire un petit geste, sa fourche en main.
Il va y avoir du sang avant peu.
Nous allons reprendre la grande route lorsqu’un fou à vélo zigzagant manque de nous emplafonner.
À quelques millimètres près et grâce aux réflexes de Pierre, nous manquons de rendre Corinne veuve !
Comme j’ai eu le temps de voir dans l’état où il était, nul doute qu’au numéro que je lui ai laissé, Corinne nous annoncera un jour qu’elle est débarrassée d’un tel boulet.
Nous roulons quand Pierre me surprend.
• Notre amie est une piètre voyante Anne !
• Pourquoi ?
• Elle a omis de nous dire, que tu baises avec Julien et Jules.
Quand pensais-tu me le dire ?
Je rougis et reste sans voix. Nous passons devant la boulangerie, Madeleine est derrière sa vitrine, Pierre lui fait un petit geste de la main.
Sachant ce qu’il vient de me dire sur mes amants, je me garde bien de lui faire la moindre réflexion, il faut savoir être raisonnable.
Ce matin, j’aurais bien passé un petit moment coquin avec mon ami, mais il m’a refusé ce plaisir.
Je sais, il est vieillissant, mais à 65 ans, j’ai encore des besoins.
Pour se faire pardonner, il me demande de me faire belle, il veut que nous allions voir la cascade du hérisson, site magnifique à une cinquantaine de kilomètres de notre chalet.
J’ai mis une robe à fleurs, inconnue de Pierre et comme je le fais souvent, c’est la chatte à l’air et sans soutien-gorge que nous rejoignons sa voiture.
Julien le vieux fermier est là sur le pas de sa porte, se grattant les couilles, je monte en voiture et mutine, je fais voir à mon amant ma chatte sans voile.
Nous roulons quand, dans un moment de relâchement de ma part, je sens qu’une main vient se poser sur ma cuisse, ma robe s’étant relevée.
Je me réveille, je m’étais assoupie, c’est bien Pierre qui me caresse au point même que nous sommes à deux doigts de louper un virage.
Responsable, Pierre emprunte un chemin de terre avant de se garer sous un chêne.
Je sais que mon ami et amant est très soigneux avec son auto, nous descendons et c’est sur le capot qu’il me prend après que je lui ai fait une bonne fellation.
Nous venons de nous éclater lorsque nous sommes interpellés.
C’est Corinne une femme ayant un peu d’embonpoint même beaucoup qui nous interpelle.
Sa ferme est à une centaine de mètres et pour nous remettre de nos émotions elle nous propose de venir boire un verre.
Sur sa table sont des cartes de tarot, elle tire les cartes, mais là où en temps normal, les voyantes voient l’avenir, ce sont les frasques du passé qu’elle prétend voir.
Croyant faire le fanfaron, Pierre, croyant peu en ce genre de prédiction, fusse-t-elle du passé, veut bien se prêter au jeu et tire des cartes à la demande de notre maîtresse de maison.
De la poudre blanche et surtout le nom de Madeleine, la boulangère de notre village sort de sa bouche, coupant le souffle à Pierre.
• Comment sais-tu ça, c’est une de tes amies et elle t’a téléphoné pour te dire qu’elle m’avait un peu forcé la main ?
Anne, j’ai fait l’amour avec d’autres femmes depuis que nous sommes ensemble, mais toujours en ta présence.
• Tu en as trop dit Pierre, je comprends mieux pourquoi tu avais du mal à bander.
Je mettais ça sur le compte de ton âge, mais c’était parce que tu te vidais les couilles dans la chatte de cette salope !
• C’est bon, je vais tout vous dire, oui, j’ai baisé une fois avec la boulangère, c’était lundi dernier.
• Le trident, trois, met une autre carte sur la première.
La reine, ça c’est toi, la reine et le trident, remet une carte à côté.
Le voyageur, le trident, trois et lui, tu aurais eu des rapports avec trois voyageurs ou trois randonneurs ?
Tire une autre carte, l’eau, tu as eu des rapports avec trois étrangers blonds alors que tu étais auprès d’une source.
• J’avais même le cul dans l’eau à me rafraîchir dans une source lorsqu’ils ont débarqué venant de la forêt.
• Je vois deux des trois noms, c’est dur, comme leurs sexes, car ce sont des noms de leur pays.
Björn et Solveig, l’autre m’échappe, ben tu t’es bien amusée.
• Et tu semblais me reprocher d’avoir baisé avec Madeleine, mais je te pardonne, car je sais que tu as toujours été un peu folle du cul.
• Tu me pardonnes, tu me fais marrer, dans mon aventure, ces trois garçons étaient de passage.
Chaque fois que je verrais Madeleine, l’image de ta bite dans sa chatte sur le pétrin je te verrai raconter comment tu l’as baisée.
• Calmez-vous les enfants, vous en avez vu d’autres et surtout fait d’autres ensemble, la vie continue.
• Tu as raison Corinne, j’ai eu bêtement des scrupules et j’ai eu l’impression d’être trompée alors que j’ai fait sensiblement la même chose.
• Je préfère ça, j’aurais mal vécu votre séparation, pensez plutôt à ce que vous allez me faire, surtout toi Pierre.
Je vous ai dit que pour moi, je vois mon avenir, j’ai des visions, des flashs quand cela va se produire.
Je viens d’en avoir un.
• Dis-nous.
• C’est facile, Pierre va baisser son pantalon et nous allons réussir à lui donner vie, malgré qu’il ait déchargé il y a peu de temps.
Attends, j’ai une autre vision, ah oui, toi Anne, tu refuses tout contact avec des femmes, alors qu’il m’est arrivé d’adorer en avoir, une fois ou deux.
Sais-tu pourquoi tu sembles avoir une aversion pour les rapports féminins ?
• Non, mais il est vrai que les femmes faisant l’amour ensemble cela a tendance à me répugner !
• Te souviens-tu d’Aline, vous étiez adolescentes.
• Oui, j’allais chez elle faire des devoirs et surtout je lui montrais ceux de maths, elle était nul.
• C’est ça Aline, alors vous étiez très proches, jusqu’à ce qu’elle essaye de t’embrasser.
• C’est vrai, c’était caché dans un coin de ma tête, comment as-tu vu ça Corinne ?
Pierre, il y a si longtemps que j’avais oublié ce moment de ma vie qui m’a donné envie de vomir.
• Attends, je vois autre chose, mon dieu, c’est impossible, sais-tu si elle est encore vivante ?
• Non, sa mère était lesbienne, ce doit être pour cela qu’elle a tenté ce geste, elle devait être comme sa mère.
Oui, sa mère a rencontré une américaine et sa vie s’est poursuivie à New York.
Mon dieu Aline, j’ignorais qu’elle était partie là-bas alors que moi je continuais ma vie à Besançon.
Après mes études, j’ai fini par entrer dans cette boîte de transport, de me marier, avoir des enfants avant de divorcer et de rencontrer Pierre lui aussi divorcé.
• Tes cours de math lui ont été bénéfiques, elle travaillait dans une boîte faisant du fric facile comme ils le disent à la télé.
Si j’ai juré, c’est que j’ai vu deux tours percutées par des avions.
Aline a dû faire partie des morts des tours, car ma vision s’est arrêtée d’un coup.
C’est à la fin de ce récit que Pierre m’étonne, il se lève, vient entre nous en baissant son pantalon.
Après ce que nous avons fait sous le chêne, sa bite est molle, c’est dans un parfait ensemble que Corinne et moi nous nous agenouillions devant celui que je pense aura du mal à bander.
Corinne a du mal à descendre à cause de ses grosses pommes.
Elle le prend dans sa bouche, avant de me laisser une place à l’opposé de sa langue, afin qu’ensemble nous lui fassions une fellation.
Corinne respecte mon aversion et à aucun moment sa langue entre en contact avec la mienne.
Incroyable, quel exploit, Pierre se remet à bander, sa queue se relève.
Il l’aide à se relever, il soulève sa robe et enlève sa grande culotte.
Dieu qu’elle est grande, il l’appuie sur la table, j’ignore si elle a vu la bite de Pierre se présenter à son vagin !
Comme je suis placée, je suis aux premières loges pour voir mon homme vouloir la pénétrer.
J’empoigne sa bite et c’est moi qui la place afin qu’il prenne notre amie comme elle doit aimer, car elle se met à barrir comme doit le faire une éléphante lorsque son mâle l’honore !
Je me relève avec souplesse, vu mon état de forme, je me place en pendant de notre nouvelle amie et je relève aussi ma robe.
Pierre, se croyant le jour de ses vingt ans, passe de l’une à l’autre, nous prenant tour à tour.
• Je peux t’enculer Anne aime beaucoup !
• Oui, tu peux, j’aime aussi.
Il finit par décharger certainement peu de gouttes.
• Corinne, où puis-je me laver la queue avant que nous rentrions, la cascade du hérisson, ce sera pour une autre fois !
• La salle d’eau est par là, tu verras, la canalisation est un peu vieillissante et fait du bruit.
Saturnin doit la changer, mais il sera de nouveau tellement bourré lorsqu’il sera de retour, qu’il sera dans l’impossibilité de le faire.
Pierre prend la direction des toilettes.
• Nous habiterions plus près, je te proposerais bien que Pierre vienne le faire, c’est un très bon bricoleur.
• Anne, pendant qu’il est parti, je voulais te dire que j’ai vu que tu baisais avec Julien et Jules son fils, tes voisins fermiers.
Loin de moi l’idée de te juger, j’ai, moi aussi des amants bien plus proches, mais attention, Pierre revient.
Pierre nous rejoint, avec son sourire que je connais bien, je vois qu’il est satisfait de son exploit d’avoir baisé deux femmes dans la même journée et de nous avoir toutes les deux enculées.
• Avant de me quitter et de retrouver la route et votre voiture, voici quelques boîtes de pâtée de lapin, vous les dégusterez en pensant à moi.
Je dois vous mettre dehors, car il faut que je rattrape ce putain de lapin qui m’a permis de faire votre connaissance.
Nous retrouvons notre voiture, très chaude malgré qu’elle soit sous un arbre.
Nous voyons Corinne nous faire un petit geste, sa fourche en main.
Il va y avoir du sang avant peu.
Nous allons reprendre la grande route lorsqu’un fou à vélo zigzagant manque de nous emplafonner.
À quelques millimètres près et grâce aux réflexes de Pierre, nous manquons de rendre Corinne veuve !
Comme j’ai eu le temps de voir dans l’état où il était, nul doute qu’au numéro que je lui ai laissé, Corinne nous annoncera un jour qu’elle est débarrassée d’un tel boulet.
Nous roulons quand Pierre me surprend.
• Notre amie est une piètre voyante Anne !
• Pourquoi ?
• Elle a omis de nous dire, que tu baises avec Julien et Jules.
Quand pensais-tu me le dire ?
Je rougis et reste sans voix. Nous passons devant la boulangerie, Madeleine est derrière sa vitrine, Pierre lui fait un petit geste de la main.
Sachant ce qu’il vient de me dire sur mes amants, je me garde bien de lui faire la moindre réflexion, il faut savoir être raisonnable.
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