COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Jules, le fils (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Jules, le fils (2/2)
Chez les Dubois, lorsque l’un d’eux, le père ou le fils veulent qu’une salope comme moi leur fasse une fellation, ils demandent de leur sucer le poireau.
Pourquoi attendre plus longtemps pour lui sucer le poireau comme il dit et quel poireau !
Plutôt courgette ou mieux concombre.
Je leur en ai acheté au début de mon séjour et ce que me présente Jules s’apparente plus à leur longueur.
Les concombres, je les ai déjà pratiqués, il y a bien, bien, bien longtemps, je pourrais même rajouter un dernier bien longtemps, car c’était dans ma jeunesse.
La plupart des jeunes filles, c’est avec le sexe de leur petit copain qu’elles se font déflorer.
Moi aussi, mais le retard de mes règles m’ayant tellement foutue la trouille que ce sont les bananes et les concombres qui ont entretenu mon trou vaginal.
Ceci jusqu’à la rencontre avec celui que je devais épouser et qui m’ayant fait des enfants, je l’ai quitté en divorçant.
• Suce ma belle, depuis que je t’ai vu je rêve de te la mettre dans la bouche.
À ta façon de me regarder, je savais que tu en avais envie.
Ton vieux à son âge doit jouer les abonnés absents trop souvent.
J’ignorais que je l’avais regardé avec envie, mais si ça lui fait plaisir, comme je veux voir ce que le fils vaut en rapport du père, dans l’impossibilité de la faire entrer dans ma bouche en entier vu sa taille, je lui lèche le méat.
Ma langue tout au long de sa verge sent les veines saillantes qui la composent.
Une de mes mains le masturbe, l’autre lui caresse alternativement les couilles.
De vraies balles de tennis, j’espère qu’avec je vais pouvoir faire quelques sets.
J’ai envie qu’il entre en moi, je l’ai assez sucé.
Je m’allonge, mes jambes s’écartent lui ouvrant le passage.
Il se guide et d’un grand coup sans aucun ménagement, il m’embroche.
Je me doutais qu’un gars fruste comme ce paysan du fin fond du Jura me prendrait comme une bête.
Heureusement que j’étais déjà bien mouillée.
Je hurle, mais c’est de plaisir, j’ai souvent du mal à démarrer.
Là, dès ses deuxièmes coups de queue, je la sens monter cette boule qui me fuyait depuis si longtemps avant de baiser avec le père et maintenant le fils.
Si Pierre savait ça, il aurait du mal à comprendre, bien qu’avec mon filleul et sa fiancée, des parties carrées étaient loin de lui déplaire, c’était il y a quelques années..
(Là encore revoir les aventures d’Anne, ma muse).
C’est la forêt au-dessus de nous qui m’entend chanter tout l’amour que j’ai pour la verge qui me défonce, me massacre, va certainement me laisser sans vie tellement, c’est enivrant.
• Attends, tu es trop fougueux, je sens que tu vas exploser trop vite, allonge-toi, laisse-toi faire.
Jules se redresse sur ses bras alors que je l’ai tout au fond de moi.
• Allonge-toi, car moi aussi j’aime être dessus et la grosseur et la longueur de ta verge, dans cette position me permettrai de m’envoyer plus fortement en l’air.
J’aime son regard incrédule comme celui de Rust, le chien, jouant toujours avec ce qui reste de ce qui a été ma petite culotte.
Pourtant, il le fait et je peux me mettre à califourchon autour de son bassin, mes mains se posant sur sa poitrine.
Il est bizarre d’avoir des pensées comparatives entre deux hommes.
Dans ma vie amoureuse, ponctuée de quelques tromperies, comparer son mari à son amant est chose facile et normale.
Mais comparer le père et le fils, depuis quelques jours, c’est nouveau pour moi.
Le père est poilu, le fils aussi, le père a des poils blancs, le fils est noir comme le corbeau qui passe en croassant au-dessus de nous. J’aime les hommes velus.
Je me saisis de sa verge que je sentais palpiter sous ma chatte dégoulinante de cyprine.
Je me soulève, elle est tellement bandée qu’il m’est impossible de la faire entrer.
Il faut que je repose l’un de mes pieds au sol pour pouvoir la dominer suffisamment et la faire pénétrer en moi.
Quand je la fais glisser en moi, nul problème, je suis tellement mouillée que ça rentre comme mon couteau dans les meules de beurre de baratte qu’ils me vendent.
Je sens mon col d’utérus comprimé.
Vais-je le sentir remonter jusqu’à mon cœur, je règle mes mouvements sur le plaisir à la limite de la douleur, rapidement le plaisir doublant cette dernière.
Jules est comme je le pressentais un ruste, montant et descendant le long de sa hampe, je lui prends les mains que je pose sur mes seins.
J’ai déjà dit que malgré mon âge avançant, je suis fière de la tenue de mes seins.
Il va sans dire, que pour intégrer les filles du Lido, je serais recalée à l’épreuve du crayon, mais comparée à quelques amies de mon âge je me trouve pas mal encore.
Soient, elles présentent des soutiens-gorge renforcés soit l’on voit ostensiblement que les seins recherchent à rejoindre le sol, attirés par la pesanteur.
Ses mains sont des mains d’homme travaillant la terre.
Certes, les ongles laissent à désirer, mais les callosités qui les composent égratignent les pointes de mes seins.
Certaines femmes seraient rebutées, moi j’aime, surtout que la verge en moi est de plus en plus efficace.
La verge, en moi, me fait décoller à en perdre la tête.
..................
• Anne, Anne, reviens sur terre, tu es la première à avoir une telle réaction.
Je reprends doucement pied, j’ai eu un orgasme tellement fort que ma vue s’est brouillée.
Brouillée, enfin un peu plus, j’ai carrément perdu la tête, j’ai un petit instant rejoint les nuages blancs passant au-dessus de notre source.
• J’ai envie de te revoir, si nous nous donnions rendez-vous ici de temps en temps !
Chez toi, ton mari, s’absente rarement, on le sait, sa voiture est garée devant chez nous presque tout le temps.
Chez nous, le père sort rarement depuis quelques mois, il vieillit.
Je le vois souvent regarder la photo de maman le jour de leur mariage.
Il semble de plus en plus nostalgique.
J’ignore si Lucien est nostalgique, mais lorsque devant la cheminée, il me besognait, c’est à mes fesses qu’il pensait et non à celles de la Jeanne, son ex-femme.
Du moins je l’espère.
Mes yeux se posent sur le grand panier d’osier rempli de champignons.
• Tu revenais de la forêt où tu cherchais des champignons, j’ai toujours eu envie d’aller à la cueillette, mais j’ai peur de ceux qui sont vénéneux.
Jules tire son panier vers nous.
• Ceux-ci ce sont des chanterelles, l’un des champignons les plus aimés en omelette.
Leurs cousins, des pieds-de-mouton, je les trouve sous des carrées de sapins.
Tu dois connaître les bolets, appelés aussi cèpes.
Plus rare, des crêtes-de-coq.
Deux autres variétés de chanterelles, à tubes et violettes.
Il est trop tôt dans quelques semaines, si le temps, cet automne est favorable, je trouverai des trompettes de la mort.
• Pardon, des trompettes de la mort, je craindrais de mourir si j’en mangeais.
• Dans quelques jours, nous allons vous inviter à tuer notre cochon et nous te ferons goûter un rôti dans l’échine bien moelleux entouré de trompettes, tu vas te régaler.
C’est à ce moment, comme je l’ai dit précédemment, il m’invitera à trancher la gorge de leur cochon.
Je me suis assise en tailleur, j’ai toujours été assez libre avec mon corps, ma chatte est pleinement accessible. Entre mes lèvres coule son jus.
Jules avance sa main et commence à me caresser.
• Dis-moi, qu’y a-t-il sous ces champignons !
• Laisse tomber Anne.
Il insiste pour me caresser, mais je prends en main une patte de lapin.
• Attends, c’est un lièvre Jules, tu braconnes, la chasse ouvre bien la semaine prochaine !
• Pas un, deux, oui je braconne, je pose des collets sur leur passage dans les fourrés au bord de la forêt, nous les vendons sous le manteau à une clientèle de fidèle.
• Tu fais comme Louis de Funès dans l’affaire Blaireau !
Quand je dis que je suis une salope, lorsqu’il se penche vers ma chatte, je lui permets de retrouver mon clito. Il en profite pour tourner autour de mon bouton avec un gras doigt.
Remettre le couvert maintenant et dans quelques jours, je me permets de rêver à des moments de plaisir dont j’ignorais cela possible il y a peu quand je me suis installée dans ce chalet légèrement isolé du monde.
Mais ces moments que j’espère intenses, j’espère vous les raconter dans les temps proches dès que je les aurai vécus.
Pourquoi attendre plus longtemps pour lui sucer le poireau comme il dit et quel poireau !
Plutôt courgette ou mieux concombre.
Je leur en ai acheté au début de mon séjour et ce que me présente Jules s’apparente plus à leur longueur.
Les concombres, je les ai déjà pratiqués, il y a bien, bien, bien longtemps, je pourrais même rajouter un dernier bien longtemps, car c’était dans ma jeunesse.
La plupart des jeunes filles, c’est avec le sexe de leur petit copain qu’elles se font déflorer.
Moi aussi, mais le retard de mes règles m’ayant tellement foutue la trouille que ce sont les bananes et les concombres qui ont entretenu mon trou vaginal.
Ceci jusqu’à la rencontre avec celui que je devais épouser et qui m’ayant fait des enfants, je l’ai quitté en divorçant.
• Suce ma belle, depuis que je t’ai vu je rêve de te la mettre dans la bouche.
À ta façon de me regarder, je savais que tu en avais envie.
Ton vieux à son âge doit jouer les abonnés absents trop souvent.
J’ignorais que je l’avais regardé avec envie, mais si ça lui fait plaisir, comme je veux voir ce que le fils vaut en rapport du père, dans l’impossibilité de la faire entrer dans ma bouche en entier vu sa taille, je lui lèche le méat.
Ma langue tout au long de sa verge sent les veines saillantes qui la composent.
Une de mes mains le masturbe, l’autre lui caresse alternativement les couilles.
De vraies balles de tennis, j’espère qu’avec je vais pouvoir faire quelques sets.
J’ai envie qu’il entre en moi, je l’ai assez sucé.
Je m’allonge, mes jambes s’écartent lui ouvrant le passage.
Il se guide et d’un grand coup sans aucun ménagement, il m’embroche.
Je me doutais qu’un gars fruste comme ce paysan du fin fond du Jura me prendrait comme une bête.
Heureusement que j’étais déjà bien mouillée.
Je hurle, mais c’est de plaisir, j’ai souvent du mal à démarrer.
Là, dès ses deuxièmes coups de queue, je la sens monter cette boule qui me fuyait depuis si longtemps avant de baiser avec le père et maintenant le fils.
Si Pierre savait ça, il aurait du mal à comprendre, bien qu’avec mon filleul et sa fiancée, des parties carrées étaient loin de lui déplaire, c’était il y a quelques années..
(Là encore revoir les aventures d’Anne, ma muse).
C’est la forêt au-dessus de nous qui m’entend chanter tout l’amour que j’ai pour la verge qui me défonce, me massacre, va certainement me laisser sans vie tellement, c’est enivrant.
• Attends, tu es trop fougueux, je sens que tu vas exploser trop vite, allonge-toi, laisse-toi faire.
Jules se redresse sur ses bras alors que je l’ai tout au fond de moi.
• Allonge-toi, car moi aussi j’aime être dessus et la grosseur et la longueur de ta verge, dans cette position me permettrai de m’envoyer plus fortement en l’air.
J’aime son regard incrédule comme celui de Rust, le chien, jouant toujours avec ce qui reste de ce qui a été ma petite culotte.
Pourtant, il le fait et je peux me mettre à califourchon autour de son bassin, mes mains se posant sur sa poitrine.
Il est bizarre d’avoir des pensées comparatives entre deux hommes.
Dans ma vie amoureuse, ponctuée de quelques tromperies, comparer son mari à son amant est chose facile et normale.
Mais comparer le père et le fils, depuis quelques jours, c’est nouveau pour moi.
Le père est poilu, le fils aussi, le père a des poils blancs, le fils est noir comme le corbeau qui passe en croassant au-dessus de nous. J’aime les hommes velus.
Je me saisis de sa verge que je sentais palpiter sous ma chatte dégoulinante de cyprine.
Je me soulève, elle est tellement bandée qu’il m’est impossible de la faire entrer.
Il faut que je repose l’un de mes pieds au sol pour pouvoir la dominer suffisamment et la faire pénétrer en moi.
Quand je la fais glisser en moi, nul problème, je suis tellement mouillée que ça rentre comme mon couteau dans les meules de beurre de baratte qu’ils me vendent.
Je sens mon col d’utérus comprimé.
Vais-je le sentir remonter jusqu’à mon cœur, je règle mes mouvements sur le plaisir à la limite de la douleur, rapidement le plaisir doublant cette dernière.
Jules est comme je le pressentais un ruste, montant et descendant le long de sa hampe, je lui prends les mains que je pose sur mes seins.
J’ai déjà dit que malgré mon âge avançant, je suis fière de la tenue de mes seins.
Il va sans dire, que pour intégrer les filles du Lido, je serais recalée à l’épreuve du crayon, mais comparée à quelques amies de mon âge je me trouve pas mal encore.
Soient, elles présentent des soutiens-gorge renforcés soit l’on voit ostensiblement que les seins recherchent à rejoindre le sol, attirés par la pesanteur.
Ses mains sont des mains d’homme travaillant la terre.
Certes, les ongles laissent à désirer, mais les callosités qui les composent égratignent les pointes de mes seins.
Certaines femmes seraient rebutées, moi j’aime, surtout que la verge en moi est de plus en plus efficace.
La verge, en moi, me fait décoller à en perdre la tête.
..................
• Anne, Anne, reviens sur terre, tu es la première à avoir une telle réaction.
Je reprends doucement pied, j’ai eu un orgasme tellement fort que ma vue s’est brouillée.
Brouillée, enfin un peu plus, j’ai carrément perdu la tête, j’ai un petit instant rejoint les nuages blancs passant au-dessus de notre source.
• J’ai envie de te revoir, si nous nous donnions rendez-vous ici de temps en temps !
Chez toi, ton mari, s’absente rarement, on le sait, sa voiture est garée devant chez nous presque tout le temps.
Chez nous, le père sort rarement depuis quelques mois, il vieillit.
Je le vois souvent regarder la photo de maman le jour de leur mariage.
Il semble de plus en plus nostalgique.
J’ignore si Lucien est nostalgique, mais lorsque devant la cheminée, il me besognait, c’est à mes fesses qu’il pensait et non à celles de la Jeanne, son ex-femme.
Du moins je l’espère.
Mes yeux se posent sur le grand panier d’osier rempli de champignons.
• Tu revenais de la forêt où tu cherchais des champignons, j’ai toujours eu envie d’aller à la cueillette, mais j’ai peur de ceux qui sont vénéneux.
Jules tire son panier vers nous.
• Ceux-ci ce sont des chanterelles, l’un des champignons les plus aimés en omelette.
Leurs cousins, des pieds-de-mouton, je les trouve sous des carrées de sapins.
Tu dois connaître les bolets, appelés aussi cèpes.
Plus rare, des crêtes-de-coq.
Deux autres variétés de chanterelles, à tubes et violettes.
Il est trop tôt dans quelques semaines, si le temps, cet automne est favorable, je trouverai des trompettes de la mort.
• Pardon, des trompettes de la mort, je craindrais de mourir si j’en mangeais.
• Dans quelques jours, nous allons vous inviter à tuer notre cochon et nous te ferons goûter un rôti dans l’échine bien moelleux entouré de trompettes, tu vas te régaler.
C’est à ce moment, comme je l’ai dit précédemment, il m’invitera à trancher la gorge de leur cochon.
Je me suis assise en tailleur, j’ai toujours été assez libre avec mon corps, ma chatte est pleinement accessible. Entre mes lèvres coule son jus.
Jules avance sa main et commence à me caresser.
• Dis-moi, qu’y a-t-il sous ces champignons !
• Laisse tomber Anne.
Il insiste pour me caresser, mais je prends en main une patte de lapin.
• Attends, c’est un lièvre Jules, tu braconnes, la chasse ouvre bien la semaine prochaine !
• Pas un, deux, oui je braconne, je pose des collets sur leur passage dans les fourrés au bord de la forêt, nous les vendons sous le manteau à une clientèle de fidèle.
• Tu fais comme Louis de Funès dans l’affaire Blaireau !
Quand je dis que je suis une salope, lorsqu’il se penche vers ma chatte, je lui permets de retrouver mon clito. Il en profite pour tourner autour de mon bouton avec un gras doigt.
Remettre le couvert maintenant et dans quelques jours, je me permets de rêver à des moments de plaisir dont j’ignorais cela possible il y a peu quand je me suis installée dans ce chalet légèrement isolé du monde.
Mais ces moments que j’espère intenses, j’espère vous les raconter dans les temps proches dès que je les aurai vécus.
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