COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Les randonneurs suédois (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Sur les monts du Jura. Les randonneurs suédois (1/1)
Pierre, mon amant presque mon mari, s’investit dans le comité des fêtes de notre petite commune située sur les monts du Jura, là où nous avons acheté un chalet pour y passer une partie de notre retraite.
Une partie seulement, durant la belle saison, car dans ce coin de France, les hivers qui sont de plus en plus doux sont encore très rudes.
Notre chalet est à une heure de Mouthe, ville reconnue tous les ans comme la ville la plus froide de France.
Qui dit que l’on s’emmerde dans ces montagnes, certainement pas moi depuis que je me partage entre Pierre, vivant épisodiquement avec moi depuis mon divorce, et mes autres amis que je fréquente régulièrement lorsque je suis là-bas ?
C’est ensemble que nous avons acheté ce seul bien commun, ayant gardé nos maisons respectives près de Besançon, où je travaillais dans une entreprise de transports.
J’ai donc Pierre pour moi, mais aussi le père Lucien, fermier de son état, qui habite avec son fils à quelques centaines de mètres en contrebas de notre chalet.
Nous sommes obligés de garer nos voitures à côté de sa ferme avant de faire le reste du chemin à pied et je le croise presque chaque fois que je monte ou que je descends au village.
Qu’ai-je trouvé à ce paysan lorsqu’il m’a fait dénuder après que je sois rentrée d’une promenade avec son poney mâle, bizarrement surnommé Geneviève ?
Certes, l’orage y était pour beaucoup et mes habits étaient trempés, mais la bite de ce vieux salopard m’a très vite satisfaite, je dois le reconnaître en rougissant.
À part cette grosse bite qui me pourfend sans aucune retenue chaque fois qu’il arrive à me coincer sur la table de la cuisine, avec son pantalon trop large retenu par ses bretelles.
J’avoue qu’il est loin d’être à la hauteur de son fils.
Un jour, revenant d’aller au pain chez Madeleine, la pipelette du village, je suis rentrée dans la cuisine de la ferme.
J’avais une envie folle de me faire mettre un coup de bite par Lucien.
Il ravivait le feu en se grattant les couilles.
Ce jour-là j’ai compris pourquoi il aimait avoir ces pantalons trop larges.
J’avais aussi appris, chaque fois qu’il le faisait tomber pour que je le suce, qu’il était toujours sans sous-vêtements.
Ce jour-là, tout était identique à ses habitudes, seulement il bandait déjà très fort et j’ai pris mon plaisir lorsqu’il me pénètre d’une seule poussée.
Julien, son fils, c’est dans la nature qu’il aime me baiser, principalement le long d’un arbre quand nous allons chercher des champignons ou au bord de la source alimentant en eau mon chalet et leur ferme.
La première fois, c’était près de la source, en me promenant avec le poney, et lorsque je m’y suis arrêtée.
Je devrais dire que Geneviève nous y a conduit.
Il devait la connaître, Geneviève je le rappelle est un poney mâle surnommé comme cela à la désertion de la mère de Julien avec un bel Italien.
Le poney a donc refusé d’aller tout droit alors que nous passions sur le chemin tout près, il a refusé mes sollicitations d’aller tout droit pour venir se désaltérer.
Depuis, c’est moi qui tourne ses rênes pour venir me tremper le cul dans l’eau, hélas, peu profonde dans cette petite cavité où l’onde claire sort de la montagne pour y retourner quelques mètres plus bas.
Je dois avouer un petit travers de ma personne, lorsque j’ai le cul dans l’eau froide, par ces fortes chaleurs de juillet, je fais pipi dans l’eau.
Il y a quelques heures, j’étais donc au bord de cette eau, nue, tranquille à me rafraîchir.
Je venais de me soulager lorsqu’à quelques mètres derrière moi, j’ai entendu parler.
Impossible de me relever sans montrer mon sexe aux trois hommes tous blond qui sont arrivés près de moi.
J’ignore ce qu’ils disaient.
Rapidement, ils se sont présentés, ils étaient suédois.
Par chance, avec son accent, l’un d’eux, Ingemund, parlait des rudiments de français.
Quel âge avait-il ? 20 à 25 ans rien de plus.
J’étais gênée, femme de 65 ans d’être nue devant de tels Apollon.
Alors, sans se poser de question et une fois leurs sacs posés, ils se sont dénudés à leur tour.
C’est dans leur langue qu’ils se sont mis à parler en même temps qu’Ingemund me les présentait en traduisant.
• Ce grand, là, c’est Björn comme le joueur de tennis, sa mère trompait son père avec ce tennisman regardant tous ses matchs.
Lorsque son fils est né, elle a imposé à son mari qu’il ait le même nom.
Björn m’a fait un petit signe de main en s’installant à mes côtés.
Pour ce faire, la vasque de la source ressemblant à un Jacuzzi, il est passé si près de moi que sa verge était à quelques centimètres de mes yeux et de ma bouche.
Mais je dois reconnaître que j’ai déjà eu deux partenaires, mais là, trois, il m’a semblé qu’il y en avait un de trop.
• Solveig, c’est son frère, ils ont un an d’écart.
Tu remarqueras qu’il a une couille plus petite que l’autre.
Excuse, tu es assez sympa de nous accepter dans ton eau fraîche et moi je parle de ses couilles.
• J’ai vécu plus que vous, j’ai de l’expérience, si vous êtes jeunes, moi je prends de l’âge, des couilles j’en ai vu alors inutile d’être gêné.
Là encore, passant devant moi, Solveig, m’en montrait une belle paire, le temps d’un instant me permettant de voir la difformité du garçon.
À vue d’œil, j’ai le temps de me rendre compte que la plus petite, il me serait facile de me la mettre dans la bouche alors que l’autre ça relèverait de l’exploit.
Je tiens à mes mâchoires, les bloquer au risque qu’elles se déchaussent, je décide d’éviter.
Je me suis rendu compte que j’extrapolais déjà et que si les trois garçons voulaient me baiser, je me laisserais faire.
Je sais la salope que je suis, je pense qu’eux l’ignore.
Et alors que nous étions assis en rond sur le coin de sable tapissant cette vasque naturelle et que nous nous aspergions, je me souviens avoir pris l’initiative.
Je leur ai jeté de l’eau comme font les enfants quand ma main est retombée sur la cuisse d’Ingemund.
Ceci à quelques centimètres de son bâton.
Le froid de l’eau faisait que sa barre était au repos, mais j’ai eu envie de la réveiller.
Sans avoir l’air d’y toucher c’est ce que j’ai fait.
Mieux je l’ai fait résolument, la saisissant entièrement depuis sa base.
Un instant étonné, le garçon a réagi en se levant et me présentant sa jeune verge à ma bouche.
Comme je l’ai dit, je suis une vieille salope et sans la lâcher, je me suis mise à lui téter le gland.
En peu de temps, le froid qui anesthésiait sa verge, disparaissait et le sang de nouveau, s’est mis à être pulsé du cœur, la raidissant rapidement.
Une belle queue, que je me suis mise à sucer sans vergogne, vite suivie d’une seconde puis d’une troisième.
Je les ai sucées les trois.
Les trois bandaient allègrement.
Je sentais qu’une simple pipe me rendrait insatisfaite, alors je me suis dégagée afin de me glisser à quatre pattes sur le carré d’herbe tendre au-dessus du cresson tapissant ma baignoire, facteur de la pureté de l’eau.
Il est connu que cette plante très fragile pousse dans ce genre d’endroit dans une eau d’une pureté incomparable.
Je sais, je fais pipi parfois dedans, mais les filets que je forme en me vidant la vessie, sont attirés vers le retour sous la terre évitant de toucher le cresson.
Je suis en levrette, et lorsque je tourne la tête, c’est un des jumeaux que je vois entrer en moi, m’arrachant un Ah ! de surprise et de plaisir.
C’est dans un tourbillon, que je me suis retrouvée, l’un me quittant pendant que l’autre me reprenait immédiatement.
L’un passant devant pour me relever la tête que j’avais posé sur mes bras pour mieux me la remettre au fond de ma gorge.
Je retrouvais le goût de ma cyprine quelques secondes avant de la nettoyer.
J’éructe de plaisir chaque fois que ces verges se relaient, m’emportant plus haut que les sommets des monts du Jura.
Je sais qu’en faisant tout ça, je deviens une chienne, une salope, une truie, une vide- couille et ce jour-là j’ai assumé.
J’ai remis mon cul dans l’eau pour refroidie mon sexe en surchauffe et pour nettoyer le sperme qui le remplissait.
J’en ai bu prenant de l’eau dans ma main, pour me nettoyer mes amygdales avec les longs jets que j’ai ingurgités par la verge la plus longue des trois.
Cette aventure, je l’ai vécue il y a quelques jours.
Le soir j’ignore où ces trois jeunes se sont rendus lorsqu’un orage a éclaté.
Julien dans la formation qu’il m’a donnée afin que je puisse aller chercher des champignons au moment propice, m’a expliqué que les orages favorisaient leur pousse.
AÀ à leur développement.
En juillet, les chanterelles, les pieds-de-mouton sont faciles à reconnaître, même si l’amanite aime ces conditions, je sais comment les reconnaître.
À l’orage, je sors donc à la cueillette de champignons.
J’en ai un plein panier quand j’arrive à la source.
Le chien Rust est là dans mes jambes.
Il y a quelques jours que ce grand chien blanc devait vivre sa vie ailleurs.
Il me saute sur ma poitrine, ses grandes pattes à cette hauteur.
Heureusement, Julien apparaît.
• Au pied, Rust, je sais tu aimes Anne, mais c’est un petit être fragile, tu vas la faire tomber.
C’est vrai hier, elle m’a montré sa force lorsque ces trois mecs étaient là à tourner autour d’elle comme des bourdons autour de leur reine.
• Julien, tu m’as vu hier, je l’ignorais, ils me sont tombés dessus sans que je les voie arriver.
Je viens d’aller aux champignons et je venais couper du cresson.
Ton père m’a vendu du lard et Pierre l’aime avec la salade de cresson que je vais lui faire.
• Déshabille-toi, depuis hier, je bande, je veux te montrer ce qu’un vrai mâle sait faire !
Je m’excuse, je dois m’occuper de la bite que Julien me présente.
Lorsque je redescends, je retrouve Pierre à la ferme.
• Anne, j’ai vu avec Madeleine, la présidente du comité des fêtes, elle va nous prêter le plancher pour qu’à la fin de la journée, nous puissions guincher !
C’est vrai, à la ferme, ce sera la fête, on va tuer le cochon.
Comme je l’ai dit, Pierre se sent investi d’une mission au comité des fêtes.
Dans quelques jours, je verrais avec Chris si la mort du cochon a entraîné des débordements de ma part et je vous promets de vous les narrer comme je viens de le faire avec ces trois Suédois.
Une partie seulement, durant la belle saison, car dans ce coin de France, les hivers qui sont de plus en plus doux sont encore très rudes.
Notre chalet est à une heure de Mouthe, ville reconnue tous les ans comme la ville la plus froide de France.
Qui dit que l’on s’emmerde dans ces montagnes, certainement pas moi depuis que je me partage entre Pierre, vivant épisodiquement avec moi depuis mon divorce, et mes autres amis que je fréquente régulièrement lorsque je suis là-bas ?
C’est ensemble que nous avons acheté ce seul bien commun, ayant gardé nos maisons respectives près de Besançon, où je travaillais dans une entreprise de transports.
J’ai donc Pierre pour moi, mais aussi le père Lucien, fermier de son état, qui habite avec son fils à quelques centaines de mètres en contrebas de notre chalet.
Nous sommes obligés de garer nos voitures à côté de sa ferme avant de faire le reste du chemin à pied et je le croise presque chaque fois que je monte ou que je descends au village.
Qu’ai-je trouvé à ce paysan lorsqu’il m’a fait dénuder après que je sois rentrée d’une promenade avec son poney mâle, bizarrement surnommé Geneviève ?
Certes, l’orage y était pour beaucoup et mes habits étaient trempés, mais la bite de ce vieux salopard m’a très vite satisfaite, je dois le reconnaître en rougissant.
À part cette grosse bite qui me pourfend sans aucune retenue chaque fois qu’il arrive à me coincer sur la table de la cuisine, avec son pantalon trop large retenu par ses bretelles.
J’avoue qu’il est loin d’être à la hauteur de son fils.
Un jour, revenant d’aller au pain chez Madeleine, la pipelette du village, je suis rentrée dans la cuisine de la ferme.
J’avais une envie folle de me faire mettre un coup de bite par Lucien.
Il ravivait le feu en se grattant les couilles.
Ce jour-là j’ai compris pourquoi il aimait avoir ces pantalons trop larges.
J’avais aussi appris, chaque fois qu’il le faisait tomber pour que je le suce, qu’il était toujours sans sous-vêtements.
Ce jour-là, tout était identique à ses habitudes, seulement il bandait déjà très fort et j’ai pris mon plaisir lorsqu’il me pénètre d’une seule poussée.
Julien, son fils, c’est dans la nature qu’il aime me baiser, principalement le long d’un arbre quand nous allons chercher des champignons ou au bord de la source alimentant en eau mon chalet et leur ferme.
La première fois, c’était près de la source, en me promenant avec le poney, et lorsque je m’y suis arrêtée.
Je devrais dire que Geneviève nous y a conduit.
Il devait la connaître, Geneviève je le rappelle est un poney mâle surnommé comme cela à la désertion de la mère de Julien avec un bel Italien.
Le poney a donc refusé d’aller tout droit alors que nous passions sur le chemin tout près, il a refusé mes sollicitations d’aller tout droit pour venir se désaltérer.
Depuis, c’est moi qui tourne ses rênes pour venir me tremper le cul dans l’eau, hélas, peu profonde dans cette petite cavité où l’onde claire sort de la montagne pour y retourner quelques mètres plus bas.
Je dois avouer un petit travers de ma personne, lorsque j’ai le cul dans l’eau froide, par ces fortes chaleurs de juillet, je fais pipi dans l’eau.
Il y a quelques heures, j’étais donc au bord de cette eau, nue, tranquille à me rafraîchir.
Je venais de me soulager lorsqu’à quelques mètres derrière moi, j’ai entendu parler.
Impossible de me relever sans montrer mon sexe aux trois hommes tous blond qui sont arrivés près de moi.
J’ignore ce qu’ils disaient.
Rapidement, ils se sont présentés, ils étaient suédois.
Par chance, avec son accent, l’un d’eux, Ingemund, parlait des rudiments de français.
Quel âge avait-il ? 20 à 25 ans rien de plus.
J’étais gênée, femme de 65 ans d’être nue devant de tels Apollon.
Alors, sans se poser de question et une fois leurs sacs posés, ils se sont dénudés à leur tour.
C’est dans leur langue qu’ils se sont mis à parler en même temps qu’Ingemund me les présentait en traduisant.
• Ce grand, là, c’est Björn comme le joueur de tennis, sa mère trompait son père avec ce tennisman regardant tous ses matchs.
Lorsque son fils est né, elle a imposé à son mari qu’il ait le même nom.
Björn m’a fait un petit signe de main en s’installant à mes côtés.
Pour ce faire, la vasque de la source ressemblant à un Jacuzzi, il est passé si près de moi que sa verge était à quelques centimètres de mes yeux et de ma bouche.
Mais je dois reconnaître que j’ai déjà eu deux partenaires, mais là, trois, il m’a semblé qu’il y en avait un de trop.
• Solveig, c’est son frère, ils ont un an d’écart.
Tu remarqueras qu’il a une couille plus petite que l’autre.
Excuse, tu es assez sympa de nous accepter dans ton eau fraîche et moi je parle de ses couilles.
• J’ai vécu plus que vous, j’ai de l’expérience, si vous êtes jeunes, moi je prends de l’âge, des couilles j’en ai vu alors inutile d’être gêné.
Là encore, passant devant moi, Solveig, m’en montrait une belle paire, le temps d’un instant me permettant de voir la difformité du garçon.
À vue d’œil, j’ai le temps de me rendre compte que la plus petite, il me serait facile de me la mettre dans la bouche alors que l’autre ça relèverait de l’exploit.
Je tiens à mes mâchoires, les bloquer au risque qu’elles se déchaussent, je décide d’éviter.
Je me suis rendu compte que j’extrapolais déjà et que si les trois garçons voulaient me baiser, je me laisserais faire.
Je sais la salope que je suis, je pense qu’eux l’ignore.
Et alors que nous étions assis en rond sur le coin de sable tapissant cette vasque naturelle et que nous nous aspergions, je me souviens avoir pris l’initiative.
Je leur ai jeté de l’eau comme font les enfants quand ma main est retombée sur la cuisse d’Ingemund.
Ceci à quelques centimètres de son bâton.
Le froid de l’eau faisait que sa barre était au repos, mais j’ai eu envie de la réveiller.
Sans avoir l’air d’y toucher c’est ce que j’ai fait.
Mieux je l’ai fait résolument, la saisissant entièrement depuis sa base.
Un instant étonné, le garçon a réagi en se levant et me présentant sa jeune verge à ma bouche.
Comme je l’ai dit, je suis une vieille salope et sans la lâcher, je me suis mise à lui téter le gland.
En peu de temps, le froid qui anesthésiait sa verge, disparaissait et le sang de nouveau, s’est mis à être pulsé du cœur, la raidissant rapidement.
Une belle queue, que je me suis mise à sucer sans vergogne, vite suivie d’une seconde puis d’une troisième.
Je les ai sucées les trois.
Les trois bandaient allègrement.
Je sentais qu’une simple pipe me rendrait insatisfaite, alors je me suis dégagée afin de me glisser à quatre pattes sur le carré d’herbe tendre au-dessus du cresson tapissant ma baignoire, facteur de la pureté de l’eau.
Il est connu que cette plante très fragile pousse dans ce genre d’endroit dans une eau d’une pureté incomparable.
Je sais, je fais pipi parfois dedans, mais les filets que je forme en me vidant la vessie, sont attirés vers le retour sous la terre évitant de toucher le cresson.
Je suis en levrette, et lorsque je tourne la tête, c’est un des jumeaux que je vois entrer en moi, m’arrachant un Ah ! de surprise et de plaisir.
C’est dans un tourbillon, que je me suis retrouvée, l’un me quittant pendant que l’autre me reprenait immédiatement.
L’un passant devant pour me relever la tête que j’avais posé sur mes bras pour mieux me la remettre au fond de ma gorge.
Je retrouvais le goût de ma cyprine quelques secondes avant de la nettoyer.
J’éructe de plaisir chaque fois que ces verges se relaient, m’emportant plus haut que les sommets des monts du Jura.
Je sais qu’en faisant tout ça, je deviens une chienne, une salope, une truie, une vide- couille et ce jour-là j’ai assumé.
J’ai remis mon cul dans l’eau pour refroidie mon sexe en surchauffe et pour nettoyer le sperme qui le remplissait.
J’en ai bu prenant de l’eau dans ma main, pour me nettoyer mes amygdales avec les longs jets que j’ai ingurgités par la verge la plus longue des trois.
Cette aventure, je l’ai vécue il y a quelques jours.
Le soir j’ignore où ces trois jeunes se sont rendus lorsqu’un orage a éclaté.
Julien dans la formation qu’il m’a donnée afin que je puisse aller chercher des champignons au moment propice, m’a expliqué que les orages favorisaient leur pousse.
AÀ à leur développement.
En juillet, les chanterelles, les pieds-de-mouton sont faciles à reconnaître, même si l’amanite aime ces conditions, je sais comment les reconnaître.
À l’orage, je sors donc à la cueillette de champignons.
J’en ai un plein panier quand j’arrive à la source.
Le chien Rust est là dans mes jambes.
Il y a quelques jours que ce grand chien blanc devait vivre sa vie ailleurs.
Il me saute sur ma poitrine, ses grandes pattes à cette hauteur.
Heureusement, Julien apparaît.
• Au pied, Rust, je sais tu aimes Anne, mais c’est un petit être fragile, tu vas la faire tomber.
C’est vrai hier, elle m’a montré sa force lorsque ces trois mecs étaient là à tourner autour d’elle comme des bourdons autour de leur reine.
• Julien, tu m’as vu hier, je l’ignorais, ils me sont tombés dessus sans que je les voie arriver.
Je viens d’aller aux champignons et je venais couper du cresson.
Ton père m’a vendu du lard et Pierre l’aime avec la salade de cresson que je vais lui faire.
• Déshabille-toi, depuis hier, je bande, je veux te montrer ce qu’un vrai mâle sait faire !
Je m’excuse, je dois m’occuper de la bite que Julien me présente.
Lorsque je redescends, je retrouve Pierre à la ferme.
• Anne, j’ai vu avec Madeleine, la présidente du comité des fêtes, elle va nous prêter le plancher pour qu’à la fin de la journée, nous puissions guincher !
C’est vrai, à la ferme, ce sera la fête, on va tuer le cochon.
Comme je l’ai dit, Pierre se sent investi d’une mission au comité des fêtes.
Dans quelques jours, je verrais avec Chris si la mort du cochon a entraîné des débordements de ma part et je vous promets de vous les narrer comme je viens de le faire avec ces trois Suédois.
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