COLLECTION BELLE-MÈRE. Femme d’un gros banquier (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BELLE-MÈRE. Femme d’un gros banquier (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BELLE-MÈRE. Femme d’un gros banquier (2/2)
J’ai eu la chance de faire le service chez le marquis de Gras et d’y rencontrer le fils de la maison.
Firmin, petit gros qui rapidement a été surnommé Gras double.
À 30 ans, il est toujours couvé par sa mère.
Je veux me sortir des galères que je vis étant de condition modeste, je porte mon dévolu sur lui malgré les difficultés.
C’est au café où il prend son petit déjeuner que je décide de passer à l’attaque finale.
J’ai amorcé mon affaire lors du cocktail ou je servais et ou je l’ai repéré.
Petit bouffit, à la limite de l’embonpoint, avec un léger strabisme qu’il cache derrière de grosses lunettes noires.
Je repère ses habitudes et c’est dans le café qu’il rejoint chaque matin entre le domicile de ses parents où il habite toujours et la banque de papa qu’il est censé reprendre dans quelques mois.
Ses parents vont prendre leur retraite à Marbella en Espagne dans une villa donnant sur la plage.
La vie de château à laquelle j’aspire.
Certaines filles que je connais avec la beauté qui est là leur, se sortent de notre milieu en vendant leur cul comme escorte.
J’aurais pu suivre cette voie, étant capable de sucer un black pour des renseignements, mais c’est le chemin du mariage que j’ai décidé d’emprunter avec ce toutou à sa maman.
Maman, c’est là où le bât blesse, un vrai cerbère même si elle est bien conservée pour une femme avoisinant la cinquantaine.
Lors de la réception dans leur hôtel particulier ou avec quelques malices que je dirais sexuelles, j’ai réussi à être présente.
Dans le beau linge présent, tous pesant plusieurs millions d’euros, mais dans la valetaille, le bas peuple, les gens que ces rupins ignorent, même si certains crèvent de faim.
Serveuse chez le traiteur, je devais promener des coupes de champagne qui devaient devenir ma première arme de persuasion.
Verre et plateau au sol dans un fracas incommensurable et du liquide sur le pantalon de ma proie.
C’est à ce moment que j’ai découvert l’étendue du massacre.
Non, dans son pantalon, avec mes doigts tenant la serviette que je tamponne sur le corps du délit, semble très prometteuse.
Moi qui sans être une pute adore le sexe et surtout celui des hommes, je sens une bite hors du commun et au repos qui plus est.
Même si j’arrive à mes fins et à ma faim, je risque de passer un moment des plus sympas.
Verre et plateau, un à zéro pour moi, car me traitant de gourgandine, car j’ai effleuré le sexe de son garçon, je la remets fermement en place, certainement donnant dans le même temps mon nom à ce garçon.
Deuxième attaque au café du matin, qu’il prend immanquablement à la même heure, au même bistrot, à la même table.
Ayant trafiqué le talon très haut de ma paire de chaussures choisie dans les plus éculées que je possède, mais porte-bonheur pour moi.
Ce sont les talons que j’avais lors de la réussite à mon bac, lors de la soirée ou j’étais allée et que ce bel Andalou m’a dépucelée.
Je dis Andalou, mais peut-être était-il, Italien ou Hongrois ou tout simplement de Lamotte-Beuvron.
Cette première fois est un bon souvenir, ça m’ouvrait à la vie et quelle vie.
Sans aller jusqu’à dire que je suis une pute, je dirais simplement que je suis une salope aimant la bite.
Celle que je convoite, même si elle aura quelques contraintes, je l’espère belle me prélassant dans ces milieux dits sérieux où ma proie évolue.

Bref, mon talon déjà préalablement décollé avec un cutter, casse lorsque j’appuie fermement.
Je dois faire une confidence, au moment où j’appuie, la première fois, je sens que ça bouge, mais sans rien de plus.
À la deuxième tentative, il a cassé me propulsant vers mon avenir.

• Sandrine...

Il a retenu mon nom et c’est pieds nus qu’il m’entraine vers chez lui pour chercher une autre paire dans le dressing de belle-maman.
De plus, il me tutoie, c’est bon signe, j’en fais de même, le climat en est plus détendu.

• Germaine ?
• Oh ! Sandrine, bien sûr, il y a des tensions avec elle, soit sans crainte, après ton regard et la manière dont tu l’as rembarrée, j’ai mis les choses au point sur ma vie et mon indépendance.
La maison est vide, elle a deux périodes dans sa vie, Paris et Marbella, elle se fait bronzer là-bas.

Bien que je me serais contrefichu de sa présence, son absence facilite mes plans.
Lorsque je rentre dans sa chambre après que nous soyons montés à l’étage par un ascenseur intérieur, je découvre, le palais des mille et une nuits.
Un lit aussi grand que ma chambre et à ce que je comprends, son père ayant une pièce semblable à l’étage supérieur.
Lui ayant une chambre, je dirais même un appartement encore plus haut.
Et c’est à cet instant qu’il ouvre un placard qui coulisse jusqu’à moi.
Des paires de chaussures sont alignées, combien impossible de le dire.
De toute forme et de toute couleur.
De toutes de modèle possible et inimaginable ?
La caverne d’Ali Baba des chaussures, mais aussi des vêtements lorsqu’il ouvre un deuxième placard rempli de robes de tout genre et de tout modèle.
Il est impossible qu’une femme puisse avoir porté même une seule fois toutes ces robes.

• Tu vois ce gâchis, dans une heure, j’ai rendez-vous avec des clients pour un crédit à la consommation.
J’ai étudié leurs dossiers, ils ont un surendettement dépassant les 30 %, ils ont fait des crédits revolving qu’ils seront incapables de rembourser, même s’ils payent tout au long de leur vie.
Je vais leur refuser, les plongeant dans une plus grande misère.
• Tu peux leur racheter et les étaler sur une période plus longue.
• Comment sais-tu ça ?
• J’ai un BTS de comptabilité, voilà pourquoi.
• Pendant tes cours, t’as tes dits que ces crédits revolving, c’est les banques qui les créent afin de tenir les clients dans leur main ?
• Je prends ces escarpins, il correspond à ma manière de vivre.
• Et tu en es plus grande à mes yeux.
Pour te faire plaisir et pour celer notre rapprochement grâce à tes chaussures, je vais faire ce que tu m’as dit.

J’ignore si je vais atteindre mon but final, mais si ce soir une famille s’endort plus sereinement, j’en serais la plus heureuse.
Heureuse, je le suis quand il me prend dans ses bras et que son sexe touche le mien, hélas, séparés par nos vêtements.
Mais, si je dépucelle ce garçon, c’est seulement s’il m’épouse, avec mes coups d’un soir, c’est comme je le dis, « d’un soir » et je me couche rapidement.
Avec Gras double, je veux la bague et, me réserver sans risquer qu’il m’échappe, je vais céder dans deux ou trois jours lorsqu’il m’aura fait des promesses et lâché sa marquise de mère.
Il bande, je suis à deux doigts de craquer, j’aimerais voir sa verge qui doit être phénoménale.
J’accepte qu’il m’embrasse, son baiser est des plus voluptueux, ça dure et ça dure, merde, je fonds.

• Veux-tu que je te montre mes appartements ?
• Jamais le premier jour Firmin.
Te dire que je suis vierge, ce serait un mensonge, mais soit sans crainte tout petit.
À ce jour mon cœur est loin d’avoir battu comme il bat depuis que je suis dans tes bras.

Je suis satisfaite de m’être reprise, car la suite va me donner raison.

• Tu as raison Sandrine, j’ai beaucoup de sentiments pour toi.
Notre regard et le moment où je t’ai donné ma carte, j’avais dans l’esprit d’un coup d’un jour afin d’éviter de déplaire à ma mère.
Quand tu l’as remise à sa place, j’ai su que tu étais celle que j’attendais.
Le soir lorsqu’elle est montée dans ma chambre m’embrasser comme elle le fait depuis 30 ans, moi aussi, j’ai réussi à l’affronter.
Dernière fois qu’elle le faisait, mais surtout je lui ai signifié que je t’avais donné une carte de visite et que si tu appelais je t’inviterais au restaurant.
Que fais-tu ce soir ?

Tout ceci sentait bon la réussite, rien bien sûr, je suis à sa disposition.

• Veux-tu m’épouser ?

Au dessert, un genou à terre, malgré son embonpoint, Firmin de Gras me demande d’être sa femme me présentant une magnifique bague, celle de sa grand-grand-mère.

• Es-tu sûr, que va dire ta mère ?
• Ça a fait partie de mes résolutions, es-tu libre ce week-end ?
• Oui, pourquoi ?
• Je t’emmène auprès d’elle à Marbella, elle va te recevoir comme le mérite la femme que je vais épouser.

J’ai fait des pieds et des mains alors qu’un coup de fil comme il me l’avait proposé. Mais cette attente et ces retrouvailles, qu’il croit fortuite, réalisent mon rêve de devenir marquise à la suite de la marquise actuelle.

• Bonjours Sandrine, je me souviens de votre nom, c’était la première fois que l’on me remettait à ma place depuis que, j’ai épousé le marquis.

Voilà, c’est fait, c’est à Marbella dès notre installation que dans sa chambre donnant sur l’océan que nous nous dénudons mutuellement.
J’ai dit une grosse connerie en parlant du puceau.
Dans le dos de sa mère, sous couvert d’aller rendre visite à des clients, Firmin a de nombreuses maîtresses, des femmes du monde s’ennuyant souvent.
Sa queue me direz-vous ?
Phénoménal, son gland est si gros que j’ai du mal à le faire entrer dans ma bouche.
Ma chatte, sans dire que mes nombreuses aventures d’un soir mon défoncer, il me prend avec délice.
Je pars vers des sommets jamais atteints, je jouis perdant la notion de l’endroit où je suis.
Je vis un rêve éveillé, dans les plus brefs délais, je deviens la femme du marquis Firmin de Gras.
Ma belle-mère, un ange pour moi, elle me fait connaître des boutiques merveilleuses.

Ça fait un an que j’ai épousé Firmin.
Je suis à Marbella me tenant le ventre.
Depuis mes noces, j’ai nettement profité de la queue qui a fini par concevoir notre fils.
Dès la naissance de François, même nom que le grand-père de mon mari.
François de Gras, marquis sous la révolution, mort à Waterloo ayant reçu un boulet anglais en pleine poitrine.
Je vous laisse, je dois me reposer avant la naissance et avant de retrouver mon bureau à la banque.

« Sandrine, chargée des cas de surendettements bancaires. »

Ceci dans la banque tenue par Firmin, je sais que beaucoup pensent que je suis la femme du gros banquier.
Non, je suis la femme de cet homme si charmant et toujours à mes petits soins même s’il souffre dans gros embonpoint.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Agréablement surpris de la tournure des événements, un peu rapidement sur la fin.
Merci pour ce contre pied



Texte coquin : COLLECTION BELLE-MÈRE. Femme d’un gros banquier (2/2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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