COLLECTION BELLE-MÈRE. Je vais te niquer ! (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BELLE-MÈRE. Je vais te niquer ! (1/1)
Depuis que je lis vos histoires sur notre site HDS, je constate que les belles-mères sont légion dans vos, ou nos histoires.
20 pages sur le site entre belles-mères et belles-sœurs depuis 2003.
C’est normal, pointez votre mère, vous sortez des clous de la charte HDS.
Pointez votre belle-mère et vous êtes un sérial niqueur.
Je décide donc de leur consacrer une série.
La mienne aujourd’hui fait partie des belles comme certaines sont moches.
Belle mais chiante, j’ai dix-neuf ans et elle en a vingt-deux.
• Connard.
• Salope.
• Résidu de capote.
• Si je suis un résidu de capote, tu te fais baiser par celui qui a créé ce beau jeune homme que je suis, pute.
• La pute, c’était ta mère, d’ailleurs c’est certainement pour cela qu’elle vous a laissé en plan.
• Évite d’insulter ma mère, tu vas voir, je vais finir par te niquer.
• Je vais le dire à ton père quand il reviendra.
• Nia nia, je vais le dire à ton papa !
On dirait une gamine de moins de dix ans à qui je viens de voler son morceau de chocolat.
Casse-toi, mais souvient toi, lorsque je le déciderais, je vais te niquer.
Voilà comment les choses se passent entre Virginia et moi.
Ça va faire un an que papa l’a épousé.
C’est vrai que maman est partie avec un beau chauffeur de bus remplaçant dans la compagnie de bus de notre communauté de communes, il y a cinq ans.
J’étais trop jeune pour comprendre les disputes continues qui éclataient entre eux lorsque j’étais couché.
Pourtant si j’entendais leurs disputes, j’entendais aussi les moments où ils baisaient.
Il faut dire que maman manquait de discrétion lors de leurs ébats.
Je les ai toujours entendu baiser comme des bêtes sans jamais les voir.
C’est mon ouverture à la sexualité qui a fait que j’ai compris bien des choses avant qu’elle prenne la tangente.
Mais de là à la traiter de pute, il y a un monde et Virginia, dépasse les bornes.
Alors, la levrette, l’éjaculation faciale, à seize ans, ce sont dans les films pornos sur Internet que j’ai compris bien des mots qu’elle hurlait lors de ses débordements.
« Encule-moi, » font partie de ces mots lorsque j’ai vu une femme se faire prendre par le petit trou.
Tout ce qu’il y a de sur, c’est qu’il semble que papa lui faisait subir les derniers outrages, elle en voulait plus au point de se barrer avec un autre.
Quand papa m’a présenté Virginia, d’entrée elle était trop belle et trop jeune pour pouvoir remplacer ma mère même si cette dernière était loin d’être un puits de vertu.
Secrètement, au début, secrètement j’espérais qu’après ses turpitudes avec son bel italien, elle nous reviendrait en pleurs.
Hélas, le mariage de papa m’enlevait tout espoir.
J’ai un souci, malgré mon jeune âge, je fais toujours ce que je dis.
J’ai dit que je la niquerais et je vais la niquer, c’est le seul moyen de la discréditer aux yeux de papa et de nouveau avoir un espoir de voir le retour de ma mère.
Il faut dire que papa a un handicap par rapport à moi, il part très souvent sur des plateformes en mer du Nord.
Il est le spécialiste d’une compagnie de robots qui vend ces appareils pour la prospection sous les mers.
Une fois déjà en hiver, parti pour quatre jours, il est resté douze jours sur l’une de ces plateformes à cause d’une tempête sévissant.
Il vient de faire sa valise, est passé par ma chambre pour m’embrasser.
Je l’ai entendu embrasser sa femme et partir dans notre grosse berline qui malgré mon âge et mon permis j’ai l’interdiction de tourner la clef de contact.
Hélas, c’est l’été et il est peu probable qu’il parte plus des trois jours dont il nous a parlé.
Qu’importe, pourquoi retarder le plan que j’ai élaboré.
Cet après-midi comme tous les samedis elle est partie chez sa coiffeuse pour refaire son brushing hebdomadaire.
Elle finit par revenir.
• Entrez jolie jeune dame, je nous ai concocté un petit repas entre amis.
• Que t’arrive-t-il Christophe, d’habitude dès que j’arrive c’est un flot d’injures que je reçois de ta part.
• Tu as raison, mais je me suis dit que tant que je suis seul dans ma vie, nous allons être obligés de coopérer et de vivre ensemble chaque fois que papa part sur l’une de ces plateformes en mer du Nord.
• Je suis contente que tu en viennes à des rapports plus raisonnables entre un fils et sa belle-mère.
• Va t’habiller et rejoint moi vers notre piscine, je t’ai préparé un petit repas aux chandelles.
• Tu as fait venir un traiteur pour moi, là, tu me prouves que tu as envie d’enterrer la hache de guerre.
• Pas le traiteur, j’ai acheté les ingrédients et je t’ai concocté un repas de paix pour toi, belle Virginia.
On dit souvent que les blondes sont un peu simplettes, la mienne est fidèle à cette règle.
Je lui ai pourtant dit que je la niquerais et elle part vers leur chambre sans penser que ce repas au bord de l’eau peut être un piège.
Il faut dire que lorsque je me tenais près de la porte, j’avais revêtu le smoking blanc qui me met en valeur et que j’ai acheté pour la fête que mon père m’a offerte pour mon dix-huitième anniversaire.
Pour faire bonne mesure, j’ai eu droit à ma Dacia Sandéro et la présentation de ma future belle-mère, cette salope.
Mais évitons d’aller plus loin vous savez déjà ce que je pense de cette petite pute.
• Quelle classe, Madame, belle robe du soir, c’est la première fois que je vous la vois portée.
• C’est la robe que je portais quand ton père m’a emmené au restaurant et qu’au dessert il s’est agenouillé pour me demander en mariage.
• Je ferais bien pareille, mais, hélas, j’arrive trop tard.
• Merci d’éviter de me faire du rentre dedans, j’aime ton père et c’est mon mari.
• Une coupe de champagne, ça selle l’amitié.
• Deux doigts, ça me rend pompette.
Connasse, dans mon plan te faire tourner la tête, c’est là le but.
J’aurais plus facile pour te coucher sur ce transat, écarter le pan de ta robe et te pénétrer.
Sauf un string avec une ficelle dans le cul, je vois bien que tu es nue sous cette robe.
Même avec un string si l’occasion de te baiser se présente, je te ferais ton affaire.
• À ta santé Virginia, à notre entente pour le bien de mon père, j’ai pris conscience qu’il avait de nouveaux droits au bonheur.
Santé, à tes amours.
• Au tient un jour.
Nous passons à table et je sors du meuble réfrigérer la langouste achetée vivante et que j’ai trempée dans l’eau bouillante.
Pendant que je tenais le couvercle quelques secondes avant qu’elle arrête de se débattre, je me voyais appuyer sur la tête de ma belle-mère préalablement trempée dans la piscine.
• C’est délicieux Christophe.
• Encore un peu de champagne.
• Une larme, tu sais même choisir ce breuvage béni des Dieux.
• C’est mon père qui m’a initié, un Dom Pérignon rosé millésime 2005, inutile de t’en donner le prix.
Les femmes adorent le champagne rosé plus doux que le brut.
• C’est certain, celle qui t’épousera sera une femme comblée.
Une femme comblée, ça va être toi quand ma verge te labourera et que tu appelleras ta maman pour t’aider à revenir sur terre.
• Je suis content que tu aies apprécié mon confit de veau crémé aux champignons et panais fumés adoucis à l’huile de noisette garnie d’un gratin dauphinois dont je me targe d’être champion du monde.
• Tu peux dire que tu es le roi de l’univers avec ce repas.
Même moi qui évite de boire, j’ai apprécié le Clos de Vougeot 2009, ça aussi tu as su choisir.
C’est certain, bien conne la belle-mère.
Le traiteur qui m’a préparé ce repas qu’il m’a suffi de mettre dans la table réfrigérée des dimanches de beau temps pour la langouste.
Quant au veau, dans l’armoire chaude dans lequel je l’ai placé, nous attendait bien gentiment.
Pour finir la charlotte aux poires accompagnée de nouveau de champagne, était un magnifique piège.
Sans oublier le vin sorti de la cave de celui que je vais faire cocu.
• Que fais-tu Christophe, tu fumes !
• Un petit joint vient tirer une taffe, tu verras ça va te détendre.
Presque, fait, elle se lève pour contourner la table.
Je l’attrape par la main et la fais asseoir sur mes genoux.
Entre la biture et le mouvement que je fais, il me suffit de lui glisser le joint dans la bouche et la voir tirer goulument.
• C’est surprenant, mais j’aime bien, en as-tu encore ?
Pendant qu’elle pompe deux ou trois bouffées, ma main vérifie qu’elle est bien nue sous sa robe.
J’écarte la fumette et c’est ma bouche qui prend la sienne.
Sa main vient chercher ma verge en se déplaçant légèrement.
Pour bander, je bande.
Je la relève, je la couche sur le transat et comme je lui avais promis, je la nique la faisant rapidement hurler de plaisir finissant par lui remplir la chatte.
Nous nous rajustons, elle un peu confuse.
• Serge, as-tu bien tout filmé ?
• Aucune image manquant mon ami.
• Virginia, je t’avais bien dit que je te niquerais.
Mon père est revenu, j’avais cette épée de Damoclès au-dessus de la tête de ma belle-mère.
J’avais pris mon pied en la baisant, je l’ai effacé ayant réussi à tenir parole une nouvelle fois.
Surtout qu’hier j’ai rencontré Susy, elle est aussi jolie qu’elle et je sens que pour nous deux, nos relations risquent de coller.
20 pages sur le site entre belles-mères et belles-sœurs depuis 2003.
C’est normal, pointez votre mère, vous sortez des clous de la charte HDS.
Pointez votre belle-mère et vous êtes un sérial niqueur.
Je décide donc de leur consacrer une série.
La mienne aujourd’hui fait partie des belles comme certaines sont moches.
Belle mais chiante, j’ai dix-neuf ans et elle en a vingt-deux.
• Connard.
• Salope.
• Résidu de capote.
• Si je suis un résidu de capote, tu te fais baiser par celui qui a créé ce beau jeune homme que je suis, pute.
• La pute, c’était ta mère, d’ailleurs c’est certainement pour cela qu’elle vous a laissé en plan.
• Évite d’insulter ma mère, tu vas voir, je vais finir par te niquer.
• Je vais le dire à ton père quand il reviendra.
• Nia nia, je vais le dire à ton papa !
On dirait une gamine de moins de dix ans à qui je viens de voler son morceau de chocolat.
Casse-toi, mais souvient toi, lorsque je le déciderais, je vais te niquer.
Voilà comment les choses se passent entre Virginia et moi.
Ça va faire un an que papa l’a épousé.
C’est vrai que maman est partie avec un beau chauffeur de bus remplaçant dans la compagnie de bus de notre communauté de communes, il y a cinq ans.
J’étais trop jeune pour comprendre les disputes continues qui éclataient entre eux lorsque j’étais couché.
Pourtant si j’entendais leurs disputes, j’entendais aussi les moments où ils baisaient.
Il faut dire que maman manquait de discrétion lors de leurs ébats.
Je les ai toujours entendu baiser comme des bêtes sans jamais les voir.
C’est mon ouverture à la sexualité qui a fait que j’ai compris bien des choses avant qu’elle prenne la tangente.
Mais de là à la traiter de pute, il y a un monde et Virginia, dépasse les bornes.
Alors, la levrette, l’éjaculation faciale, à seize ans, ce sont dans les films pornos sur Internet que j’ai compris bien des mots qu’elle hurlait lors de ses débordements.
« Encule-moi, » font partie de ces mots lorsque j’ai vu une femme se faire prendre par le petit trou.
Tout ce qu’il y a de sur, c’est qu’il semble que papa lui faisait subir les derniers outrages, elle en voulait plus au point de se barrer avec un autre.
Quand papa m’a présenté Virginia, d’entrée elle était trop belle et trop jeune pour pouvoir remplacer ma mère même si cette dernière était loin d’être un puits de vertu.
Secrètement, au début, secrètement j’espérais qu’après ses turpitudes avec son bel italien, elle nous reviendrait en pleurs.
Hélas, le mariage de papa m’enlevait tout espoir.
J’ai un souci, malgré mon jeune âge, je fais toujours ce que je dis.
J’ai dit que je la niquerais et je vais la niquer, c’est le seul moyen de la discréditer aux yeux de papa et de nouveau avoir un espoir de voir le retour de ma mère.
Il faut dire que papa a un handicap par rapport à moi, il part très souvent sur des plateformes en mer du Nord.
Il est le spécialiste d’une compagnie de robots qui vend ces appareils pour la prospection sous les mers.
Une fois déjà en hiver, parti pour quatre jours, il est resté douze jours sur l’une de ces plateformes à cause d’une tempête sévissant.
Il vient de faire sa valise, est passé par ma chambre pour m’embrasser.
Je l’ai entendu embrasser sa femme et partir dans notre grosse berline qui malgré mon âge et mon permis j’ai l’interdiction de tourner la clef de contact.
Hélas, c’est l’été et il est peu probable qu’il parte plus des trois jours dont il nous a parlé.
Qu’importe, pourquoi retarder le plan que j’ai élaboré.
Cet après-midi comme tous les samedis elle est partie chez sa coiffeuse pour refaire son brushing hebdomadaire.
Elle finit par revenir.
• Entrez jolie jeune dame, je nous ai concocté un petit repas entre amis.
• Que t’arrive-t-il Christophe, d’habitude dès que j’arrive c’est un flot d’injures que je reçois de ta part.
• Tu as raison, mais je me suis dit que tant que je suis seul dans ma vie, nous allons être obligés de coopérer et de vivre ensemble chaque fois que papa part sur l’une de ces plateformes en mer du Nord.
• Je suis contente que tu en viennes à des rapports plus raisonnables entre un fils et sa belle-mère.
• Va t’habiller et rejoint moi vers notre piscine, je t’ai préparé un petit repas aux chandelles.
• Tu as fait venir un traiteur pour moi, là, tu me prouves que tu as envie d’enterrer la hache de guerre.
• Pas le traiteur, j’ai acheté les ingrédients et je t’ai concocté un repas de paix pour toi, belle Virginia.
On dit souvent que les blondes sont un peu simplettes, la mienne est fidèle à cette règle.
Je lui ai pourtant dit que je la niquerais et elle part vers leur chambre sans penser que ce repas au bord de l’eau peut être un piège.
Il faut dire que lorsque je me tenais près de la porte, j’avais revêtu le smoking blanc qui me met en valeur et que j’ai acheté pour la fête que mon père m’a offerte pour mon dix-huitième anniversaire.
Pour faire bonne mesure, j’ai eu droit à ma Dacia Sandéro et la présentation de ma future belle-mère, cette salope.
Mais évitons d’aller plus loin vous savez déjà ce que je pense de cette petite pute.
• Quelle classe, Madame, belle robe du soir, c’est la première fois que je vous la vois portée.
• C’est la robe que je portais quand ton père m’a emmené au restaurant et qu’au dessert il s’est agenouillé pour me demander en mariage.
• Je ferais bien pareille, mais, hélas, j’arrive trop tard.
• Merci d’éviter de me faire du rentre dedans, j’aime ton père et c’est mon mari.
• Une coupe de champagne, ça selle l’amitié.
• Deux doigts, ça me rend pompette.
Connasse, dans mon plan te faire tourner la tête, c’est là le but.
J’aurais plus facile pour te coucher sur ce transat, écarter le pan de ta robe et te pénétrer.
Sauf un string avec une ficelle dans le cul, je vois bien que tu es nue sous cette robe.
Même avec un string si l’occasion de te baiser se présente, je te ferais ton affaire.
• À ta santé Virginia, à notre entente pour le bien de mon père, j’ai pris conscience qu’il avait de nouveaux droits au bonheur.
Santé, à tes amours.
• Au tient un jour.
Nous passons à table et je sors du meuble réfrigérer la langouste achetée vivante et que j’ai trempée dans l’eau bouillante.
Pendant que je tenais le couvercle quelques secondes avant qu’elle arrête de se débattre, je me voyais appuyer sur la tête de ma belle-mère préalablement trempée dans la piscine.
• C’est délicieux Christophe.
• Encore un peu de champagne.
• Une larme, tu sais même choisir ce breuvage béni des Dieux.
• C’est mon père qui m’a initié, un Dom Pérignon rosé millésime 2005, inutile de t’en donner le prix.
Les femmes adorent le champagne rosé plus doux que le brut.
• C’est certain, celle qui t’épousera sera une femme comblée.
Une femme comblée, ça va être toi quand ma verge te labourera et que tu appelleras ta maman pour t’aider à revenir sur terre.
• Je suis content que tu aies apprécié mon confit de veau crémé aux champignons et panais fumés adoucis à l’huile de noisette garnie d’un gratin dauphinois dont je me targe d’être champion du monde.
• Tu peux dire que tu es le roi de l’univers avec ce repas.
Même moi qui évite de boire, j’ai apprécié le Clos de Vougeot 2009, ça aussi tu as su choisir.
C’est certain, bien conne la belle-mère.
Le traiteur qui m’a préparé ce repas qu’il m’a suffi de mettre dans la table réfrigérée des dimanches de beau temps pour la langouste.
Quant au veau, dans l’armoire chaude dans lequel je l’ai placé, nous attendait bien gentiment.
Pour finir la charlotte aux poires accompagnée de nouveau de champagne, était un magnifique piège.
Sans oublier le vin sorti de la cave de celui que je vais faire cocu.
• Que fais-tu Christophe, tu fumes !
• Un petit joint vient tirer une taffe, tu verras ça va te détendre.
Presque, fait, elle se lève pour contourner la table.
Je l’attrape par la main et la fais asseoir sur mes genoux.
Entre la biture et le mouvement que je fais, il me suffit de lui glisser le joint dans la bouche et la voir tirer goulument.
• C’est surprenant, mais j’aime bien, en as-tu encore ?
Pendant qu’elle pompe deux ou trois bouffées, ma main vérifie qu’elle est bien nue sous sa robe.
J’écarte la fumette et c’est ma bouche qui prend la sienne.
Sa main vient chercher ma verge en se déplaçant légèrement.
Pour bander, je bande.
Je la relève, je la couche sur le transat et comme je lui avais promis, je la nique la faisant rapidement hurler de plaisir finissant par lui remplir la chatte.
Nous nous rajustons, elle un peu confuse.
• Serge, as-tu bien tout filmé ?
• Aucune image manquant mon ami.
• Virginia, je t’avais bien dit que je te niquerais.
Mon père est revenu, j’avais cette épée de Damoclès au-dessus de la tête de ma belle-mère.
J’avais pris mon pied en la baisant, je l’ai effacé ayant réussi à tenir parole une nouvelle fois.
Surtout qu’hier j’ai rencontré Susy, elle est aussi jolie qu’elle et je sens que pour nous deux, nos relations risquent de coller.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
On aurait aimé en effet une description détaillée de la façon dont Virginia a été niquée. Mais on imagine et on voit que ce jeune homme est parvenu à ses fins
La fin trop bâclée c’est dommage