COLLECTION BELLE-MÈRE. La jeune mariée et notre curé (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BELLE-MÈRE. La jeune mariée et notre curé (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BELLE-MÈRE. La jeune mariée et notre curé (1/1)
• Bonjour belle-maman, vous avez demandé à me voir !

C’est ainsi qu’a commencé ma vie de femme alors que j’ignorais bien des choses surtout sur le sexe.
Même si c’est dur à admettre, j’étais ce que certains présentent comme une oie blanche.
Éducation stricte à la maison par Olivia, la sœur de ma mère, jusque dans ma chambre que je partageais avec elle.
J’avais pris l’habitude de dormir sur le dos avec mes mains posées sur ma couverture ou sur le drap l’été lorsqu’il faisait très chaud.
C’est la veille de mon mariage que, maladroitement elle m’a expliqué que les garçons avaient des bites.
Ce simple mot de « bite, c’est chez nous que je l’ai appris.
La seule chose qu’elles m’ont dit, s’était que je devais écouter intégralement Charles-Antoine qui saurait m’apprendre le reste sur les relations hommes et femmes.
Ce que maman ignorait que je devais découvrir vers minuit le soir de mes noces s’était que j’avais épousé un libertin et qu’il possédait un club privé où les uns et les autres de ses clients se mélangeaient au gré de leurs envies.

Alors fort de la promesse faite à maman de suivre les directives de mon mari lorsqu’il m’a carrément donné à ses amis, j’ai sucé bites et chattes sans me poser la moindre question.
J’ai pensé que cette façon d’être entre les hommes et les femmes était la bonne jusqu’au mois suivant où je rencontre le curé qui m’avait marié.
Le père Antoine, la cinquantaine, était assez élégant avec ses cheveux poivre et sel dans son costume d’ecclésiastique.
Je l’ai croisé alors que je faisais quelques emplettes et j’ai répondu à sa question en toute innocence que je baisais avec les copains de mon mari toujours en les recouvrant de capotes.
Je répondais à sa question sur la chance de grossesse alors que je faisais l’amour avec Charles-Antoine sans et que j’aimais sentir son sperme inonder ma chatte.
Maman ou Olivia m’aurait posé la même question, j’aurais répondu de la même manière entièrement naturelle.

Sur le coup, le père Antoine a failli s’étouffer, mais il s’est repris et m’a demandé de venir dès que possible à son presbytère afin qu’il m’apporte quelques connaissances de la vie de femme mariée.
J’y suis allée le lendemain à 14 heures, j’en aurais bien parlé à mon mari, mais il était parti à un congrès pour trois jours et il m’avait laissé la gestion de notre club libertin.
J’avais passé la soirée dans notre bureau devant les écrans de surveillance qui nous permet de voir si tout se passe bien dans des endroits stratégiques.
Bar, piscine, sauna et lieu où les couples peuvent forniquer aux vus de tous.
Nous avons des alcôves où l’intimité des uns et des autres est respectée, ceux qui y vont peuvent être vus derrière des glaces, sans qu’ils soient dérangés.
J’adore aller me faire prendre avec mes partenaires d’un moment sachant qu’ils sont là sans que je puisse les voir.

Je suis à l’heure, j’ai mis la petite mini que j’étais venue acheter lorsque je l’ai rencontrée.
Petite sandale, vu la chaleur et blouse ouverte sur mes seins.
C’est Babette la barmaid du club qui était avec moi pour mes achats, mais qui venait de me quitter pour aller à un rencard avant de reprendre son service à 21 heures au club.
Babette est une jolie black avec qui je me suis gouinée dès le deuxième soir.
C’était dans le bureau, contigu à notre chambre à mon mari et à moi où certains jours, nous restons étant trop fatigués après les débauches de notre nuit.
Le reste du temps nous habitons sur le domaine de la famille de Charles-Antoine.
Il y a une salle de bain et je venais de sortir de mon bain nu.
J’allais récupérer ma paire de lunettes de lecture que j’avais laissée sur le bureau.
Elle venait chercher la caisse dans le coffre avant de redescendre au bar.
Elle avait vu que j’avais sucé les chattes des deux naïades venues m’accompagner dans mon dépucelage.
Elle avait compris que j’aimais faire avec les femmes ce que, depuis j’avais compris sur les rapports entre les uns et les autres.
Dans le bureau il y a un canapé et c’est là que me prenant dans ses bras pour la première fois j’embrassais une femme noire avec ses grosses lèvres.
Avec elle je devais apprendre à nous frotter nos clitos en nous croisant les jambes.
Je découvrais aussi que les femmes avaient cette excroissance plus ou moins développée, elle arrivait à me rentrer le sien dans mon vagin me faisant partir comme je pouvais partir avec de belles verges.
Lorsque je me remémore ces moments, j’emploie des mots que j’ai découverts depuis ce mois au gré de moments ou je me joins aux clients pour aider à faire tourner le club.

Mais revenons à mon curé, je marchais seule quand le curé m’a reconnu et que je lui ai sorti ces énormités surtout pour un homme d’Église.

• Entre Clarence, je voudrais avoir une conversation avec toi sur ta vie de femme mariée, raconte comment les choses se sont passées avec Charles-Antoine ?
• C’est simple...

Et je lui débite tout ce que j’ai dit dans le premier chapitre de mes aventures.

• Le club privé à la sortie de la ville voisine, il appartient à ton mari !
• Oui, il est à Charles-Antoine et je passe mes soirées à m’occuper des clients.
• Et tu fais l’amour avec eux !
• Quelle horreur, monsieur le curé, avec eux, je baise, avec Charles-Antoine nous faisons l’amour afin d’avoir un enfant.
C’est pour cela que je mets des capotes avec eux, vous avez déjà mis des capotes mon père !
• Pour un homme d’Église, les capotes sont inutiles.

Voyez comme j’ai encore bien des choses à apprendre malgré un mois de club libertin.
À ce moment j’ai pensé, qu’un curé baisait sans la nécessité de mettre une protection.
J’étais persuadé que leur fonction les empêchait de nous faire des enfants.
Voyez l’ignare que vous avez devant vous.

• Clarence, sais-tu que les prêtes nous avons une verge comme les autres hommes ?
• Vous me l’apprenez, si vous saviez tous ce que j’ai appris depuis que devant vous j’ai dit « oui » à mon mari !
• Si je te la sors et que je te demande de me la sucer, tu voudras bien !
• Théoriquement, maman m’a dit de faire ce que mon mari m’ordonnerait de faire, mais si pour les prête la situation est autres, je veux bien vous faire voir, comment j’ai appris à faire des fellations.
• Tu connais ce mot, fellation !
• Si vous saviez le vocabulaire que je connais depuis mon mariage, vous verriez la gentille femme que je suis pour mon mari.

Je le vois sortir une verge, la plus grosse vue depuis que, j’ai franchi dans ses bras les portes de notre club.

• Suce ma petite salope, putain tu m’avales jusqu’aux couilles, je sens que je vais passer un bon moment avec toi.

Il est onze heures quand mon portable sonne, je suis devant les écrans et tout va bien en bas, ça baise sans aucun problème.
J’ai pris un bain dès mon retour au club.

• Ça va ma chérie.

Pourquoi lui cacher ma rencontre avec le curé qui a béni notre couple ?
Je lui raconte ma conversation alors que Babette venait de me quitter la veille, sans penser à mal et son invitation de venir au presbytère, cet après-midi !
Au téléphone, j’ai eu l’impression que Charles Antoine s’étouffait, mais il a terminé par un grand éclat de rire, me laissant pantoise.

• Je suis fière de toi ma chérie, j’ai toujours rêvé de sauter une bonne sœur et toi dès que je te laisse seule, tu te fais un curé !
• C’est mal, je pensais bien faire mon chéri.
• Aucunement Clarence, en me racontant ça, tu montres que tu es la femme idéale que je souhaitais épouser, mais soit sans crainte, il y a peu de chance que tu le vois demain !

Je passe la nuit dans les bras de Babette après la fermeture.
Elle veut éviter que je rentre seule dans notre grande maison à quelques kilomètres d’ici.
J’ai déjà vu avec mon mari et j’ai commencé à passer mon permis.
Faire l’amour en 69 avec un homme ou une femme, connaissez-vous ?
Moi j’ai découvert tout ça en peu de temps et ma jolie salope me fait progresser très vite afin de faire de moi une parfaite gouine.

Enfin Charles-Antoine est de retour, nous sommes dans le bureau, il est assis sur son fauteuil et je suis empalée sur sa queue.
Je l’embrasse fougueusement il m’a tellement manqué.

• Ma chérie regarde, j’étais persuadé qu’il t’avait dit qu’il viendrait ce soir, mais que c’était une façon de parler après que tu lui aies sucé la queue.
C’est bien le père Antoine qui boit une coupe de champagne au bar ?

Je me retourne les écrans étant derrière moi.

• Va mettre ta guêpière bleue qui met en valeur tes seins, nous allons le rejoindre.

Ce que veut ton mari, c’est ce que maman m’a dit, je comprends qu’il a envie de me voir me faire sauter par le curé qui nous a mariés
La guêpière a l’avantage de dégager ma chatte et mon vagin.
Je sens que je vais finir dans une alcôve à me faire matter en me faisant baiser en double pénétration.
Qui d’Antoine ou de Charles-Antoine m’enculera ?
Peu importe, l’une ou l’autre, elles seront les bienvenues, trois jours avec juste une bite sucer et une bite dans ma chatte au retour de mon mari, je suis assez gourmande pour me satisfaire des deux.
J’oubliais le vagin de Babette.

Je vous offre ce petit texte, sûr que, rapidement il va m’arriver de nombreuses aventures que je m’empresserais de venir vous raconter.

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