COLLECTION BELLE-MÈRE. Notre salope de belle-mère (1/3) - histoire érotique

La salope notre père nous apprend qu’il a rencontré une jeune femme et qu’il va l’épouser, Anaïs va devenir notre nouvelle maman.
Jusqu’à ce jour après le décès de celle qui nous avait mises au monde avant de nous quitter, rattrapée par un cancer qui l’a terrassé très rapidement, nous vivions tranquilles.
Sa disparition nous a moyennement affectés, nous étions trop jeunes mon frère Alain, Salomé la deuxième et moi Serge.
Trois, trois nés le même jour, nous sommes des triplés, j’en suis l’aîné s’ils ont en croit nos lois sur les naissances multiples.

C’est notre grand-mère, la mère de papa qui nous a élevés et jusqu’au retour de notre père.
Avec mon frère et ma sœur, nous avons formé un club, type club des cinq, nous étions un peu espiègles, mais les bêtises que nous faisons étaient très basiques.
Ce club a eu l’avantage de nous souder dans l’adversité.

• Les enfants, dimanche nous aurons une invitée, Anaïs, elle a 29 ans et elle tient une boutique de vêtements dans le centre de notre ville.

Ça commençait bien, papa ayant bientôt 45 ans, je savais que papa avait une vie sexuelle après la disparition de maman, une nuit, j’avais fait pipi au lit, je me suis levé.
Il était dans la salle avec une très jolie blonde qui avait ce que j’appelais son zizi dans sa bouche, la glace du vaisselier a renvoyé mon image sur la rétine du paternel.
Il l’a repoussé si fortement qu’elle s’est retrouvée sur ses fesses très étonnées.
C’était la première fois que je rentrais dans le monde du sexe, mais j'étais trop jeune pour en voir toute l’étendue.

Les années ont passé depuis la découverte du sexe de mon père dans la bouche de cette femme qui a dû passer son chemin, j’ai appris qu’elle lui faisait une fellation, merci Internet.
Internet, la chance de ma vie, la chance de notre vie à ceux de notre club.
À l’aube de nos 18 ans, je savais tout de la façon qu’un homme pouvait satisfaire sexuellement une femme.
Je connaissais la plupart des travers que les hommes ou les femmes pouvaient proposer aux autres.
La seule chose me posant problème était mon pucelage.
J’en parlais avec Alain épargnant Salomé, dur de parler de cela avec une fille, surtout notre sœur.
Loin de moi l’idée qu’elle puisse faire quelque chose pour moi.
Salomé, son truc semblant être les filles.
Elles s’enfermaient dans sa chambre sous couvert de travailler leurs maths avec sa copine.
Les soupirs qui traversaient la porte quand Éloise était avec elle, m’ont interpellé, mais vite ça été assez explicites.
Pour donner suite à cette découverte, je me suis focalisé sur les films et les histoires de lesbiennes.
Souhaitant rester proche d’elle, étant dans ma tête fortement hétéro, je regardais grandir Alain.
J’avais peur de découvrir que son truc, c’était les hommes, nous aurions formé une triplette des diverses gammes d’amours possibles.
Rapidement j’étais rassuré, il suivait mon chemin.
Quand j’ai découvert, qu’il embrassait Dominique, une de nos copines de lycée qui aurait pu m’intéresser, mais seulement pour perdre mon pucelage, je me suis senti rassuré.
Et puis est arrivé Anaïs, le grain de sable qui pouvait gripper notre harmonie.
Après réunions entre nous, nous avons voulu lui donner une chance.

• Les enfants, je vous présente Anaïs, celle qui va devenir ma compagne.
Éclaircissons les choses immédiatement, ce sera seulement ma femme et non votre mère, les choses sont très claires entre nous.
Pour que vous puissiez comprendre les qualités de la femme que je vais épouser et afin que vous deveniez des amis, ce dont je suis sûr, je vous laisse, j’ai un rendez-vous.
Il faut que l’entreprise soit toujours performante.
Apprenez à la connaître en déjeunant ensemble.

Papa a quitté la pièce et notre manoir, il en avait hérité à la mort de maman.
C’était elle qui avait le fric, du moins ses parents, c’est donc nous trois qui sommes en partis héritiers de notre mère.
À notre majorité, nous pourrons disposer de la part nous revenant, nous en avons déjà discuté, nos études, rien que nos études.
Papa gérant magistralement l’entreprise, nous continuerons à le laisser à la tête de la SARL familiale que nous allons créer.

• Les enfants, j’ai voulu cette rencontre en tête à tête avec vous, pour que vous compreniez qui je suis.
Quand j’ai su qui était votre père, j’ai tout fait pour lui être présentée.
Aucun problème pour le séduire, certes, il avait ses habitudes sur certains points, que je tairais à vos jeunes oreilles.
Si vous pensez que c’est une bande de jeunes puceaux qui vont me faire perdre l’abnégation mise pour me faire épouser par votre père, vous vous fourrez le doigt dans l’oeil.
Tenez-vous-le pour dit, sinon vous apprendrez la chienne mordante que je suis capable d’être.
• Nous serons majeurs d’ici peu et tu devras compter avec nous espèce de salope.

C’est à ce moment que nous avons compris qui cette jeune femme était.
Jusqu’à ou, elle avait berné papa.
Elle s’est levée a rejoint Salomé qui venait de parler et l’a prise par les cheveux les tirant en arrière.

• Toi, la gouine, tu vas fermer ta jolie petite gueule.
Ta copine Éloise a parlé de son amour pour toi auprès de sa copine Armelle qui s’avère être une de mes clientes.
Un jour Armelle est venue dans ma boutique, elle s’est empressée de me parler des tendances d’Éloise ainsi que les tiennes.
Si vous savez fermer vos gueules auprès de votre père, je saurai en faire de même sur les tendances homosexuelles de sa fille, tu m’as bien compris ma petite salope.
Une dernière chose, votre père étant persuadé que nous allions nous entendre, a déjà fait venir mes affaires dans sa chambre
À partir de maintenant avant notre mariage dès que les bans seront publiés, je vivrais dans votre petit château.
Mon château.

Nous étions piégés, quand elle a quitté la pièce, pour rejoindre l’étage où elle devrait vivre, nous nous sommes regardés tous les trois.

• Salomé, dis-moi, tu es lesbienne.
• Et oui Alain, notre sœur préfère les chattes aux queues des garçons.
Ça te pose un problème, moi pas, chacun fait ce qu’il veut de sa sexualité.
Réunion du club des trois, j’ai un plan pour ouvrir les yeux à papa sur la pute qu’il souhaite épouser.
Je vais déjà aller prendre quelques renseignements sur notre problème, mes études de gestions doivent déjà me servir dans l’urgence où nous nous trouvons.

Je quitte le club et je me rends au tribunal de commerce.
Rapidement comme l’autorise la loi, me faisant passer pour un homme intéressé pour reprendre la boutique de la pute de mon père, targuant qu’elle était proche du dépôt de bilan.
J’ai cherché à savoir avec quel argent, elle avait investi dans sa boutique.
Il semblerait qu’elle avait bien cloisonné ses affaires, je me suis heurté à un mur.

• Alain, j’ai besoin de tes services, il semble qu’Anaïs soit sortie de nulle part avant de venir vivre dans notre ville.
Comment pourrions-nous trouver des informations sur sa vie antérieure ?
• Un détective privé, j’en connais un et vous aussi.
Louis, notre copain nul dans ses études, mais très fort sur les raisonnements.
Après son bac, il est entré dans l’agence qui a ses bureaux au-dessus du bar près de la mairie.
• Contact-le, pour l’argent, nous avons quelques petites réserves.
Salomé, nous te remercions d’avoir pensé à en créer une lors de la constitution de notre club.

Notre père entre-temps était de retour et a pu se satisfaire de la bonne harmonie régnant dans sa nouvelle famille, former avec sa future femme.
Quelques jours plus tard Louis demandait à nous voir.

• J’ai enquêté avec un de nos associés, j’ai trouvé des éléments, mais qui sont incomplets, Anaïs s’appellerait Jennifer.
Par Internet, nous avons retrouvé sa trace dans le Nord, plus particulièrement à Lille où elle était une escorte ou si vous voulez une pute.
Nous avons une photo d’elle, mais le visage est flouté.
• C’est fréquent, c’est sur un site que vous avez trouvé cette photo.
• Oui, la plupart des filles montrent leur corps, ça suffit au client, si le corps est parfait, la gueule suit.
Nous sommes allés voir à l’adresse où elle était susceptible de vivre.
Un voisin a reconnu son corps, c’est lui qui nous a confirmé qu’elle se prostituait.
Un jour il l’avait vu entrer à l’hôtel du Nord avec une femme genre chef d’entreprise.
• Ça se reconnaît, une femme chef d’entreprise !
• Avec confirmation du réceptionniste moyennant un gros billet.
Il nous a confirmé qu’elle venait retrouver une femme en tailleur strict et attaché-case.
Il la voyait souvent avec d’autres femmes, elle faisait dans la salope lesbienne.

Avec ce simple renseignement, je propose un premier plan d’action.

• Soeurette, voilà notre angle d’attaque, vu tes penchants pour les femmes, c’est toi qui t’y colles.
Si elle se prostituait principalement avec des femmes, c’est qu’elle aussi c’est sa nature profonde.
Elle a dû se forcer pour séduire notre père ou alors elle est bisexuelle.
Papa, lui sert simplement à mettre un pécule dans sa poche en se faisant épouser pour rétablir les comptes de son magasin.
• Ça m’ennuie de tromper Éloise, mais je suis prête à coopérer pour éviter à papa de souffrir lorsqu'il prendra conscience qu’il a épousé une pute.
• Ça boutique, c’est là que tu attaques, tu lui achètes des vêtements, si le chiffre d’affaires est faible, les clients doivent être rares.
Tu y vas, tu la séduis, on avisera dès que tu l’auras fait craquer.

C’est comme ça que le lendemain nous déposons Salomé à quelques mètres de la boutique de notre ennemi, le temps va nous paraître long, va-t-elle réussir, surtout après l’approche que les deux femmes ont eue tout à l’heure...