COLLECTION BLACK. Dépucelée par un black (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLACK. Dépucelée par un black (1/2)
Aujourd’hui, c’est le jour de mes 18 ans.
Nous sommes mercredi et avec mes quatre copines, nous nous rendons au supermarché de la ville de Bourgogne où j’habite depuis six mois.
Je m’appelle Jennifer, je suis blonde comme maman blonde comme papa l’était avant de blanchir, jusque-là rien d’anormal.
Quatre copine, Lucie, Mado, Luce et surtout Olga la cheffe de notre bande.
Ces quatre filles m'ont adopté en vivant leur jeunesse avec insouciance.
Un dernier point avant de conter mon aventure, je suis vierge ayant simplement découvert mon sexe avec mes doigts depuis qu’elles années.
J’arrive à déclencher en moi de la jouissance.
Je suis un peu insouciante dans ma jeune vie, mais mon sexe éclatant m’apporte une part de bonheur quand j’entends Luce nous dire qu’elle manque de plaisir en se masturbant.
Le sexe à l’eau de rose et surtout les garçons, c’est de notre âge et nous en parlons tout le temps, entre nous.
• Jennifer, j’ai eu 18 ans, un mois avant que tu rejoignes notre club.
Olga, notre cheffe a instauré un jeu me permettant d’entrer dans le monde des adultes.
• Un jeu Luce, lequel ?
• Un soir, elles m’ont amené dans une petite rue de notre ville.
Elles m’ont fait enlever mes vêtements et entièrement nue, j’ai remonté la rue sur 200 mètres avant qu’elles me rendent mes affaires.
• Tu l’aurais vue Jennifer, elle était rouge de honte, surtout qu’elle est la fille du meilleur ophtalmo de notre ville.
• Lucie, c’est dans un mois, Mado et Olga dans deux en août.
Les jumelles dont la cheffe, on va réfléchir à ce qu’elles devront faire, pense-y, toi aussi.
Leur papa tient le garage Mercedes de la ville, elle pourrait récupérer les clefs et organiser une après-midi dans ces voitures de luxe.
• Assez parler de nous, Lucie, nous nous sommes tus pour toi.
Papa tenant la plus grande brasserie de la ville, toi Jennifer, suit nous, c’est à l’hypermarché que nous allons.
Je les suis dans la voiture de Luce, son père lui a offert cette petite Citroën neuve le jour où elle s’est promenée à poil, mais qu’elle a conduit après avoir passé son permis.
Voiture garée, devant le magasin, Olga à son sac à main, comme toutes jeunes filles en ont.
Elle en sort un imperméable qu’elle me demande de mettre.
J’ai, moi aussi un sac identique à celui où nous entassons un bazar sans oublier les tampons quand nous sommes indisposées.
Nous entrons dans le magasin, les filles rigoles, elles ont dû me concocter un petit jeu de leur cru.
Je suis très attentive prête à tous sauf me mettre nue dans ce grand magasin empli d’enfants, c’est mercredi.
Elle m’emmène dans le rayon vêtements pour femmes.
Elles prennent des shorts que j’appellerais ras la moule, ils sont en jean bleu.
Elles choisissent trois tailles.
• Donne-moi ton sac, je vais te le tenir pendant que tu vas dans la cabine d’essayage.
J’ai peur que cette cabine soit la honte de ma vie.
Elles vont me demander de les essayer le rideau ouvert au risque que quelqu’un me voit en slip.
Pour essayer des shorts, nul besoin d’enlever le haut, j’ai les seins recouverts d’un soutien-gorge balconnet bonnet 85, suivant les modèles.
J’en vois non loin de moi, dont un rouge du plus bel effet.
En passant, je le prends en main, les dentelles sont très fines pour du vêtement de grande surface.
En temps normal, je vais les acheter dans une lingerie de la rue piétonne de Dijon, c’est le cas de celui que je porte.
Je le repose, de toute façon, c’est du 95 D et ma taille 85 C, je le vois à la petite bague en plastique.
J’entre dans la cabine, seule Olga me suit, Lucie tient mon sac à main.
• Jennifer, tu viens d’arriver au but que nous avons fixé pour toi dans ce jour anniversaire.
Si je t’ai fait enfiler cet imper, c’est qu’à l’intérieur, nous avons cousu une poche, met y ce string.
Elle me tend un vêtement très banal quand je lui fais voir le mien en enlevant ma jupette et mes escarpins.
• Il y a un anti-vol dessus Olga, ça va sonner quand je vais passer, ce sera la honte pour mes parents.
• Que nenni, cette poche isolera l’anti-vol et bloquera le système du magasin.
Le risque est nul, mais tu nous montreras que tu en as en prenant le risque et tu deviendras définitivement membre de notre club.
Essaye ce short, nous te l’offrons.
J’en prends un, le premier, ma chatte est à l’aise bien qu’il me moule très intimement.
Je sors de la cabine, le string dans la poche, je récupère mon sac, les filles ont un large sourire.
Arrivée à la caisse, elle passe devant moi avec le short qu’Olga paye avec un billet de 50, on lui rend la monnaie.
La caissière enlève l’anti-vol et le pose sur le tapis roulant.
• Les filles je vous paye un coca avec le reste du billet de notre collecte.
Jennifer récupère mon short.
Elle le laisse sur la caisse.
Au moment de passer, avec mon sac sur l’épaule, officiellement avec aucun achat, je récupère le short, je suis à deux doigts de faire demi-tour et aller vider la poche de l'imper.
Nous venions de Nantes ou papa était en poste, là-bas, elle travaillait déjà et était reconnue, ici, elle a trouvé facilement un job vu ses références.
Au dernier moment, je veux éviter de passer pour quelqu'un de pleutre et je les suis.
L’alarme sonne, je lève la tête, je les vois me regarder hilare.
• Mademoiselle, reculez.
L’alarme s’arrête.
• Avancez !
Rebelotte ça sonne encore, les filles sont en train de quitter le magasin, je les vois me faire un signe au revoir de leur main.
La caissière prend son téléphone.
• Sécurité, pouvez-vous venir caisse 15, il y a un contrôle à faire.
Je suis à deux doigts de détaler, la voix de papa me revient en mémoire.
« Mes enfants dans la vie quelquefois vous serez amenés à faire des erreurs pour éviter de dire des conneries, il faut savoir les assumer.
Ce sera toujours moins grave que les conséquences qui pourraient survenir à prendre une mauvaise décision. »
J’attends la personne de la sécurité, un grand noir arrive, certainement 2 mètres en costume, cravate, avec un portable en main.
• Odile, un problème ?
• L’alarme sonne quand mademoiselle franchie le système de sécurité, je l’ai fait avancer et reculer l’alarme recommence.
Je suis morte de honte, j’ai bien fait de rester imperturbable.
• Passez-moi votre sac mademoiselle.
Je lui tends, ça sonne, avant arrière, ça recommence.
• Avancez.
Rien, aucune sonnerie.
• Ouvrez votre sac et montrez-moi ce qu’il contient.
Les gens autour de nous se tordent de rire, une mémé est offusquée.
• Elle est belle cette nouvelle jeunesse, se mettre voleuse pour un soutien-gorge, moi ça fait des années que je sors sans.
J’ai beau être anxieuse de la suite qui va m’arriver ayant de la repartie, je me sens obligé de répliquer, je tiens ça de maman.
• Vieilles biques, tu en porterais, tes seins s'éloigneraient de tes chaussures.
• Mademoiselle, suivez-moi au poste de sécurité, inutile d’insulter les autres clientes.
Le soutien-gorge est celui que j’ai regardé et que les filles ont dû mettre dans mon sac.
• Amadou, le short est payé, elle peut le récupérer.
Short en main, il me conduit vers les services administratifs, quand il passe son badge, la porte s’ouvre, un autre gars en sort.
• Vous en avez pris une, Arlette m’appelle caisse 35, il faut que j’aille au bout du magasin, deux vieux cons en sont aux mains.
Ce doit être le deuxième vigile petit et bedonnant, mon black ouvre une porte et me fait entrer dans un PC où il y a des écrans, je vois deux vieux se tenir au colbaque.
• Monsieur, ce sont mes copines qui m’ont piégé.
Pour fêter mes 18 ans, je devais passer aux caisses avec cet imper et cette poche où Olga a caché un string.
• Elle est marante celle-là, elle me fait voir ou elle cache ses larcins, donnez votre carte d’identité que j’appelle la police.
Ils vont vous faire un beau PV.
Jennifer, joli prénom, vous êtes la première.
• Non, pas la police, je ferais ce que vous voudrez.
• On y vient, si tu me suces, j’oublie que tu es venue ici.
Je suis doublement piégé quand il sort un engin énorme, il commence à bander.
Je suis devant un dilemme, soit le sucer, soit me retrouver au poste avec une inculpation qui arrivera sur le bureau du procureur qui appellera papa.
Le procureur, je le connais, il a mangé à la maison l’autre soir, il avait l’air sévère.
Je m’agenouille, sur l’écran, les vieux sont séparés, mais le collège est loin de venir.
De toute façon, je me retrouverais avec deux queues à sucer, ce que fait l’un, l’autre doit le faire aussi.
Je le prends dans ma main, c’est chaud et soyeux, il a sorti ses couilles, de vraies balles de tennis, sport que je pratique.
• Suce là, inutile de la mettre bans ta bouche, elle est trop grosse.
J’essaye tout de même, le gland que je vois est noir comme son propriétaire, j’arrive à le faire entrer, je le pompe en le masturbant.
Pour une novice, je suis satisfaite, j’ai une verge de 35 à 40 centimètres dans ma bouche.
Il crache son sperme qui part en grande giclée dans mon estomac.
Il a fini d’éjaculer, je lui nettoie le gland avec ma langue.
• Dis, je vois que c’est ton anniversaire aujourd’hui, je sens que c’est loin d’être fini pour toi…
Nous sommes mercredi et avec mes quatre copines, nous nous rendons au supermarché de la ville de Bourgogne où j’habite depuis six mois.
Je m’appelle Jennifer, je suis blonde comme maman blonde comme papa l’était avant de blanchir, jusque-là rien d’anormal.
Quatre copine, Lucie, Mado, Luce et surtout Olga la cheffe de notre bande.
Ces quatre filles m'ont adopté en vivant leur jeunesse avec insouciance.
Un dernier point avant de conter mon aventure, je suis vierge ayant simplement découvert mon sexe avec mes doigts depuis qu’elles années.
J’arrive à déclencher en moi de la jouissance.
Je suis un peu insouciante dans ma jeune vie, mais mon sexe éclatant m’apporte une part de bonheur quand j’entends Luce nous dire qu’elle manque de plaisir en se masturbant.
Le sexe à l’eau de rose et surtout les garçons, c’est de notre âge et nous en parlons tout le temps, entre nous.
• Jennifer, j’ai eu 18 ans, un mois avant que tu rejoignes notre club.
Olga, notre cheffe a instauré un jeu me permettant d’entrer dans le monde des adultes.
• Un jeu Luce, lequel ?
• Un soir, elles m’ont amené dans une petite rue de notre ville.
Elles m’ont fait enlever mes vêtements et entièrement nue, j’ai remonté la rue sur 200 mètres avant qu’elles me rendent mes affaires.
• Tu l’aurais vue Jennifer, elle était rouge de honte, surtout qu’elle est la fille du meilleur ophtalmo de notre ville.
• Lucie, c’est dans un mois, Mado et Olga dans deux en août.
Les jumelles dont la cheffe, on va réfléchir à ce qu’elles devront faire, pense-y, toi aussi.
Leur papa tient le garage Mercedes de la ville, elle pourrait récupérer les clefs et organiser une après-midi dans ces voitures de luxe.
• Assez parler de nous, Lucie, nous nous sommes tus pour toi.
Papa tenant la plus grande brasserie de la ville, toi Jennifer, suit nous, c’est à l’hypermarché que nous allons.
Je les suis dans la voiture de Luce, son père lui a offert cette petite Citroën neuve le jour où elle s’est promenée à poil, mais qu’elle a conduit après avoir passé son permis.
Voiture garée, devant le magasin, Olga à son sac à main, comme toutes jeunes filles en ont.
Elle en sort un imperméable qu’elle me demande de mettre.
J’ai, moi aussi un sac identique à celui où nous entassons un bazar sans oublier les tampons quand nous sommes indisposées.
Nous entrons dans le magasin, les filles rigoles, elles ont dû me concocter un petit jeu de leur cru.
Je suis très attentive prête à tous sauf me mettre nue dans ce grand magasin empli d’enfants, c’est mercredi.
Elle m’emmène dans le rayon vêtements pour femmes.
Elles prennent des shorts que j’appellerais ras la moule, ils sont en jean bleu.
Elles choisissent trois tailles.
• Donne-moi ton sac, je vais te le tenir pendant que tu vas dans la cabine d’essayage.
J’ai peur que cette cabine soit la honte de ma vie.
Elles vont me demander de les essayer le rideau ouvert au risque que quelqu’un me voit en slip.
Pour essayer des shorts, nul besoin d’enlever le haut, j’ai les seins recouverts d’un soutien-gorge balconnet bonnet 85, suivant les modèles.
J’en vois non loin de moi, dont un rouge du plus bel effet.
En passant, je le prends en main, les dentelles sont très fines pour du vêtement de grande surface.
En temps normal, je vais les acheter dans une lingerie de la rue piétonne de Dijon, c’est le cas de celui que je porte.
Je le repose, de toute façon, c’est du 95 D et ma taille 85 C, je le vois à la petite bague en plastique.
J’entre dans la cabine, seule Olga me suit, Lucie tient mon sac à main.
• Jennifer, tu viens d’arriver au but que nous avons fixé pour toi dans ce jour anniversaire.
Si je t’ai fait enfiler cet imper, c’est qu’à l’intérieur, nous avons cousu une poche, met y ce string.
Elle me tend un vêtement très banal quand je lui fais voir le mien en enlevant ma jupette et mes escarpins.
• Il y a un anti-vol dessus Olga, ça va sonner quand je vais passer, ce sera la honte pour mes parents.
• Que nenni, cette poche isolera l’anti-vol et bloquera le système du magasin.
Le risque est nul, mais tu nous montreras que tu en as en prenant le risque et tu deviendras définitivement membre de notre club.
Essaye ce short, nous te l’offrons.
J’en prends un, le premier, ma chatte est à l’aise bien qu’il me moule très intimement.
Je sors de la cabine, le string dans la poche, je récupère mon sac, les filles ont un large sourire.
Arrivée à la caisse, elle passe devant moi avec le short qu’Olga paye avec un billet de 50, on lui rend la monnaie.
La caissière enlève l’anti-vol et le pose sur le tapis roulant.
• Les filles je vous paye un coca avec le reste du billet de notre collecte.
Jennifer récupère mon short.
Elle le laisse sur la caisse.
Au moment de passer, avec mon sac sur l’épaule, officiellement avec aucun achat, je récupère le short, je suis à deux doigts de faire demi-tour et aller vider la poche de l'imper.
Nous venions de Nantes ou papa était en poste, là-bas, elle travaillait déjà et était reconnue, ici, elle a trouvé facilement un job vu ses références.
Au dernier moment, je veux éviter de passer pour quelqu'un de pleutre et je les suis.
L’alarme sonne, je lève la tête, je les vois me regarder hilare.
• Mademoiselle, reculez.
L’alarme s’arrête.
• Avancez !
Rebelotte ça sonne encore, les filles sont en train de quitter le magasin, je les vois me faire un signe au revoir de leur main.
La caissière prend son téléphone.
• Sécurité, pouvez-vous venir caisse 15, il y a un contrôle à faire.
Je suis à deux doigts de détaler, la voix de papa me revient en mémoire.
« Mes enfants dans la vie quelquefois vous serez amenés à faire des erreurs pour éviter de dire des conneries, il faut savoir les assumer.
Ce sera toujours moins grave que les conséquences qui pourraient survenir à prendre une mauvaise décision. »
J’attends la personne de la sécurité, un grand noir arrive, certainement 2 mètres en costume, cravate, avec un portable en main.
• Odile, un problème ?
• L’alarme sonne quand mademoiselle franchie le système de sécurité, je l’ai fait avancer et reculer l’alarme recommence.
Je suis morte de honte, j’ai bien fait de rester imperturbable.
• Passez-moi votre sac mademoiselle.
Je lui tends, ça sonne, avant arrière, ça recommence.
• Avancez.
Rien, aucune sonnerie.
• Ouvrez votre sac et montrez-moi ce qu’il contient.
Les gens autour de nous se tordent de rire, une mémé est offusquée.
• Elle est belle cette nouvelle jeunesse, se mettre voleuse pour un soutien-gorge, moi ça fait des années que je sors sans.
J’ai beau être anxieuse de la suite qui va m’arriver ayant de la repartie, je me sens obligé de répliquer, je tiens ça de maman.
• Vieilles biques, tu en porterais, tes seins s'éloigneraient de tes chaussures.
• Mademoiselle, suivez-moi au poste de sécurité, inutile d’insulter les autres clientes.
Le soutien-gorge est celui que j’ai regardé et que les filles ont dû mettre dans mon sac.
• Amadou, le short est payé, elle peut le récupérer.
Short en main, il me conduit vers les services administratifs, quand il passe son badge, la porte s’ouvre, un autre gars en sort.
• Vous en avez pris une, Arlette m’appelle caisse 35, il faut que j’aille au bout du magasin, deux vieux cons en sont aux mains.
Ce doit être le deuxième vigile petit et bedonnant, mon black ouvre une porte et me fait entrer dans un PC où il y a des écrans, je vois deux vieux se tenir au colbaque.
• Monsieur, ce sont mes copines qui m’ont piégé.
Pour fêter mes 18 ans, je devais passer aux caisses avec cet imper et cette poche où Olga a caché un string.
• Elle est marante celle-là, elle me fait voir ou elle cache ses larcins, donnez votre carte d’identité que j’appelle la police.
Ils vont vous faire un beau PV.
Jennifer, joli prénom, vous êtes la première.
• Non, pas la police, je ferais ce que vous voudrez.
• On y vient, si tu me suces, j’oublie que tu es venue ici.
Je suis doublement piégé quand il sort un engin énorme, il commence à bander.
Je suis devant un dilemme, soit le sucer, soit me retrouver au poste avec une inculpation qui arrivera sur le bureau du procureur qui appellera papa.
Le procureur, je le connais, il a mangé à la maison l’autre soir, il avait l’air sévère.
Je m’agenouille, sur l’écran, les vieux sont séparés, mais le collège est loin de venir.
De toute façon, je me retrouverais avec deux queues à sucer, ce que fait l’un, l’autre doit le faire aussi.
Je le prends dans ma main, c’est chaud et soyeux, il a sorti ses couilles, de vraies balles de tennis, sport que je pratique.
• Suce là, inutile de la mettre bans ta bouche, elle est trop grosse.
J’essaye tout de même, le gland que je vois est noir comme son propriétaire, j’arrive à le faire entrer, je le pompe en le masturbant.
Pour une novice, je suis satisfaite, j’ai une verge de 35 à 40 centimètres dans ma bouche.
Il crache son sperme qui part en grande giclée dans mon estomac.
Il a fini d’éjaculer, je lui nettoie le gland avec ma langue.
• Dis, je vois que c’est ton anniversaire aujourd’hui, je sens que c’est loin d’être fini pour toi…
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