COLLECTION BLACK. Harcèlements sexuels sur mon lieu de travail (2/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-02-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BLACK. Harcèlements sexuels sur mon lieu de travail (2/11)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Espérant le poste de chef de projet dans mon entreprise, alors que je suis déjà adjoint dans le service où j’ai monté les échelons depuis presque dix ans.
Monsieur Gandin, notre PDG m’annonce que sa femme a été en contact avec un dénommé Boby, bardé de diplômes et qui me prenait mon poste au départ de monsieur Léon faisant droit à sa retraite.
Je suis tombée de haut, d’autant plus que dans notre premier jour, monsieur Léon a semblé avoir une crise d’appendicite qui s’avère en fin de semaine un problème de rein qui l’empêchera certainement de reprendre son travail.
J’essaye de faire belle figure avec Boby, monsieur noir qui a la carrure de notre champion judoka.
Je lui fais part du travail que j’ai fait sur la réorganisation du service exportation, pour qu’ils finissent par faire pression sur moi, allant même jusqu’à me traiter de pute et voulant avoir des rapports sexuels avec moi.
En un mot, je subis un véritable harcèlement sexuel et moral sur mon lieu de travail.
Je rumine tout le week-end me brouillant même avec mon mari avant dès le lundi, aller demander à monsieur Gandin un rendez-vous comme il me l’avait proposé si quelque chose se passait mal.
• J’ai peu de temps Joelle, allez directement au but.
• Voilà, j’ai des ennuis avec mon nouveau responsable.
• Comme vous y allez que vous fait-il, vous devez vous tromper, c’est un homme charmant.
• Qui cherche à coucher avec moi, il m’a fait des propositions indécentes toute la semaine dernière.
• Quoi, vous avez mal compris, c’est normal de vous dire que vous êtes jolie, c’est mal d’essayer de discréditer votre responsable, car je vous ai refusé son poste que vous convoitiez.
Regardez, voici le dossier qu’il vient de me remettre vendredi soir et que j’ai étudié pendant ce week-end, à part lui, qui aurait été capable d’un tel travail en si peu de temps.
• Vous permettez que je regarde, ce dossier, c’est moi qui le prépare depuis des semaines, je lui ai fait voir et il l’a gardé, sur certaines feuilles il y a des annotations écrites de ma main, je devais modifier certains passages qui méritaient des retouches.
Je me souviens page cinq, dans la marge, j’ai écrit que je devais changer la deuxième partie du paragraphe, juste deux lignes sur le moyen de faire voyager nos expéditions.
• Vous dite page cinq, attendez, je regrette, page cinq, la deuxième partie parle bien des façons de faire voyager nos colis, mais rien dans la marge.
• Page 12, sur les couleurs dans la salle de classement des colis !
• Faux, rien dans la marge, vous me prenez pour un imbécile, je crois que c’est vous qui faîte une obsession sur ce gars hors du commun.
Il me regarde fort en colère et décroche son téléphone.
• Boby, j’ai Joelle dans mon bureau, elle prétend que c’est elle qui a écrit le rapport que vous m’avez donné vendredi.
Le dénommé Boby doit lui parler.
• Vous dites que depuis que vous êtes arrivé dans votre service, vous lui avez donné à lire page par page votre travail comme ce doit être le cas entre vous et votre adjoint.
Comment, elle a voulu couché avec vous et vous l’avez repoussée, car elle était mariée ?
C’est le monde à l’envers, Boby inverse les choses et à son regard, je vois de quel côté le patron va pencher.
• Je vous aime bien Joelle, j’ai toujours eu un faible pour vous, mais si j’entends de nouveau des élucubrations sur un prétendu harcèlement entre vous et votre responsable, ce sera directement la porte.
Vous vous retrouverez à Pôle Emploi et vous savez les difficultés que vous aurez à retrouver un poste du même niveau de rémunération que le vôtre.
J’ai juste à vider les lieux et à subir les avances de mon supérieur hiérarchique, il avait raison, monsieur Gandin vient de me dire qu’il avait un faible pour moi, c’est moi qui dois me faire un cinéma.
• Joelle vient me voir.
Je suis passée devant son bureau aux parois de verre et c’est le coup de téléphone que je reçois quelques secondes après.
• Alors petite salope, on a été se plaindre auprès de notre bon pépé Gandin, je vois que j’ai été trop gentil avec toi, appelle ton mari, qu’il aille chercher votre fils Romain ce soir, tu vas faire des heures supplémentaires.
Je vois nettement comment vont se passer ces heures supplémentaires, appeler où tous perdre, le choix est cornélien, tous perdre, car Julien vient de se payer le nouveau modèle de 4 x 4 de chez Toyota avec un crédit de plusieurs milliers d’euros.
Ajouté à cela, le crédit sur l’appartement, l’argent que nous plaçons en prévision des études de Romain s’il nous arrive malheur, je sais où le Pôle emploi va nous mener.
J’appelle Lionel qui est surpris, mais comme je lui explique que ce sont les pratiques de mon nouveau chef, méthode américaine, il accepte de s’occuper de notre fils.
• Entre Joelle, viens me voir, je viens de faire le tour, tous sont partis, regarde ce que je te réserve.
Je m’approche du bureau, il tient un engin noir gigantesque dans sa main.
• Je te l’avais dit qu’elle était belle, à genoux viens l’honorer avec ta bouche.
Je suis au pied du mur, pire de l’Everest, si tenté que cette montagne soit noire comme de l’ébène, trois secondes pour savoir si je plonge ou si je choisis l’ANPE, trois secondes les plus longues de ma vie surtout au moment ou je prends ma décision et que j’essaye de faire entrer le gland dans ma bouche.
Je trouve la solution, la lécher, je m’y emploie du mieux possible, retardant le moment où il va falloir que mon sexe l’absorbe comme il me l’a promis.
Dois-je oui ou non devenir sa pute, je suis encore pour un temps très court la femme de Lionel avant de devenir la maîtresse de Boby ?
Certes, j’ai eu un autre homme dans ma vie, Christian, il travaillait au service entretient, je venais d’arriver et il m’a dépucelé sur son établi dans le local où il avait des outils.
J’y allais les midis jusqu’au jour où j’ai compris que ma place était prise, c’était Geneviève, chef comptable, en ce temps-là, j’étais loin du poste d’adjoint de monsieur Léon et il a préféré la paye de celle qui était ma rivale à la mienne.
Nous nous sommes mariés chacun de notre côté dans les mois suivants, je le vois de temps en temps à la fête de Noël que monsieur et madame Gandin organise pour nos enfants, cette année, il va falloir qu’il remplace le père Noël, c’était monsieur Léon sans aucune famille et ayant déjà une barbe blanche assez conséquente.
Au moment où Boby me prend par un bras pour me relever, je manque d’éclater de rire en pensant ce que penseraient les enfants si c’était mon putain de chef de service qui si collait.
Cocufier Lionel, autant que j’en retire du plaisir, je baise bien avec mon mari, mais cela a rarement atteint les niveaux où Christian me faisait monter, je me libère de sa grosse paluche et je lui fais un effeuillage.
Il tape dans ses mains.
• Oui, mon bébé, tu as compris qui vas être ton mâle sur cette terre, continues, tu commences à devenir la petite pute que je souhaite faire de toi.
Une fois nue, les accoudoirs de son fauteuil me gênant, je me retourne et soulève ma jambe afin qu’il me pénètre.
Je suis contente, je me sers les lèvres pour éviter de hurler, je suis défoncée, mais je sens qu’il voie que je suis prête à jouir du plus gros orgasme que mon corps ait produit.
Il va le voir, il me soulève comme un fétu de paille et me retournant me pose les fesses sur son bureau vierge de tous documents avant de replonger en moi, cette fois me faisant hurler de plaisirs.
Il me saute chaque semaine dans des heures supplémentaires non payées, chaque fois, je prends un pied pas possible, je dois reconnaître que je suis amoureuse acceptant même un week-end d’éloigner Lionel et Romain de chez nous.
C’est pendant ces deux jours que Boby voulant voir l’emprise qu’il avait sur moi m’a montés le deal, il voulait me prendre dans le lit conjugal ce que nous avons fait, j’ai même accepté qui me défonce littéralement l’anus au risque que nos voisins sachent la salope que j’étais devenue.
Un jour, il nous a emmenés au restaurant avec un client, je sentais qu’il fallait que je l’étonne, le client voulait garder la somme sur le devis qu’il lui avait présenté deux minutes auparavant.
Nous étions assez isolées, j’étais assis au côté du gros porc de client, mais sans hésiter, j’ai glissé ma main vers son pantalon, il a placé sa serviette et je l’ai masturbé avec du mal vu la grandeur de son membre.
Boby me voyait et savait ce que je faisais, j’avais depuis longtemps remis mes jupes courtes et j’ai senti la pointe de son escarpin venir caresser ma fente.
Il a eu facile à l’atteindre, le jour où il m’a prise sur son bureau, j’ai interdiction de porter des sous-vêtements.
Bref, je savais qu’un jour prochain, il me donnerait à un de ces hommes pour réussir sa carrière, jusqu’au jour où j’ai retrouvé Christian à la fête de Noël.
Christian après avoir épousé notre chef comptable avait démissionné pour monter sa boîte de pièces mécaniques, son développement a fait qu’il a ouvert une antenne aux États-Unis, mais comme mari d’une employée, comme moi pour Lionel il est invité.
Alors que je bois une coupe, Christian me prend par le bras et m’attire à l’écart, il semble faire attention à ce que Boby ne me voie pas.
• Dis-moi, Joelle, ton chef de service, il vient des États-Unis…
Espérant le poste de chef de projet dans mon entreprise, alors que je suis déjà adjoint dans le service où j’ai monté les échelons depuis presque dix ans.
Monsieur Gandin, notre PDG m’annonce que sa femme a été en contact avec un dénommé Boby, bardé de diplômes et qui me prenait mon poste au départ de monsieur Léon faisant droit à sa retraite.
Je suis tombée de haut, d’autant plus que dans notre premier jour, monsieur Léon a semblé avoir une crise d’appendicite qui s’avère en fin de semaine un problème de rein qui l’empêchera certainement de reprendre son travail.
J’essaye de faire belle figure avec Boby, monsieur noir qui a la carrure de notre champion judoka.
Je lui fais part du travail que j’ai fait sur la réorganisation du service exportation, pour qu’ils finissent par faire pression sur moi, allant même jusqu’à me traiter de pute et voulant avoir des rapports sexuels avec moi.
En un mot, je subis un véritable harcèlement sexuel et moral sur mon lieu de travail.
Je rumine tout le week-end me brouillant même avec mon mari avant dès le lundi, aller demander à monsieur Gandin un rendez-vous comme il me l’avait proposé si quelque chose se passait mal.
• J’ai peu de temps Joelle, allez directement au but.
• Voilà, j’ai des ennuis avec mon nouveau responsable.
• Comme vous y allez que vous fait-il, vous devez vous tromper, c’est un homme charmant.
• Qui cherche à coucher avec moi, il m’a fait des propositions indécentes toute la semaine dernière.
• Quoi, vous avez mal compris, c’est normal de vous dire que vous êtes jolie, c’est mal d’essayer de discréditer votre responsable, car je vous ai refusé son poste que vous convoitiez.
Regardez, voici le dossier qu’il vient de me remettre vendredi soir et que j’ai étudié pendant ce week-end, à part lui, qui aurait été capable d’un tel travail en si peu de temps.
• Vous permettez que je regarde, ce dossier, c’est moi qui le prépare depuis des semaines, je lui ai fait voir et il l’a gardé, sur certaines feuilles il y a des annotations écrites de ma main, je devais modifier certains passages qui méritaient des retouches.
Je me souviens page cinq, dans la marge, j’ai écrit que je devais changer la deuxième partie du paragraphe, juste deux lignes sur le moyen de faire voyager nos expéditions.
• Vous dite page cinq, attendez, je regrette, page cinq, la deuxième partie parle bien des façons de faire voyager nos colis, mais rien dans la marge.
• Page 12, sur les couleurs dans la salle de classement des colis !
• Faux, rien dans la marge, vous me prenez pour un imbécile, je crois que c’est vous qui faîte une obsession sur ce gars hors du commun.
Il me regarde fort en colère et décroche son téléphone.
• Boby, j’ai Joelle dans mon bureau, elle prétend que c’est elle qui a écrit le rapport que vous m’avez donné vendredi.
Le dénommé Boby doit lui parler.
• Vous dites que depuis que vous êtes arrivé dans votre service, vous lui avez donné à lire page par page votre travail comme ce doit être le cas entre vous et votre adjoint.
Comment, elle a voulu couché avec vous et vous l’avez repoussée, car elle était mariée ?
C’est le monde à l’envers, Boby inverse les choses et à son regard, je vois de quel côté le patron va pencher.
• Je vous aime bien Joelle, j’ai toujours eu un faible pour vous, mais si j’entends de nouveau des élucubrations sur un prétendu harcèlement entre vous et votre responsable, ce sera directement la porte.
Vous vous retrouverez à Pôle Emploi et vous savez les difficultés que vous aurez à retrouver un poste du même niveau de rémunération que le vôtre.
J’ai juste à vider les lieux et à subir les avances de mon supérieur hiérarchique, il avait raison, monsieur Gandin vient de me dire qu’il avait un faible pour moi, c’est moi qui dois me faire un cinéma.
• Joelle vient me voir.
Je suis passée devant son bureau aux parois de verre et c’est le coup de téléphone que je reçois quelques secondes après.
• Alors petite salope, on a été se plaindre auprès de notre bon pépé Gandin, je vois que j’ai été trop gentil avec toi, appelle ton mari, qu’il aille chercher votre fils Romain ce soir, tu vas faire des heures supplémentaires.
Je vois nettement comment vont se passer ces heures supplémentaires, appeler où tous perdre, le choix est cornélien, tous perdre, car Julien vient de se payer le nouveau modèle de 4 x 4 de chez Toyota avec un crédit de plusieurs milliers d’euros.
Ajouté à cela, le crédit sur l’appartement, l’argent que nous plaçons en prévision des études de Romain s’il nous arrive malheur, je sais où le Pôle emploi va nous mener.
J’appelle Lionel qui est surpris, mais comme je lui explique que ce sont les pratiques de mon nouveau chef, méthode américaine, il accepte de s’occuper de notre fils.
• Entre Joelle, viens me voir, je viens de faire le tour, tous sont partis, regarde ce que je te réserve.
Je m’approche du bureau, il tient un engin noir gigantesque dans sa main.
• Je te l’avais dit qu’elle était belle, à genoux viens l’honorer avec ta bouche.
Je suis au pied du mur, pire de l’Everest, si tenté que cette montagne soit noire comme de l’ébène, trois secondes pour savoir si je plonge ou si je choisis l’ANPE, trois secondes les plus longues de ma vie surtout au moment ou je prends ma décision et que j’essaye de faire entrer le gland dans ma bouche.
Je trouve la solution, la lécher, je m’y emploie du mieux possible, retardant le moment où il va falloir que mon sexe l’absorbe comme il me l’a promis.
Dois-je oui ou non devenir sa pute, je suis encore pour un temps très court la femme de Lionel avant de devenir la maîtresse de Boby ?
Certes, j’ai eu un autre homme dans ma vie, Christian, il travaillait au service entretient, je venais d’arriver et il m’a dépucelé sur son établi dans le local où il avait des outils.
J’y allais les midis jusqu’au jour où j’ai compris que ma place était prise, c’était Geneviève, chef comptable, en ce temps-là, j’étais loin du poste d’adjoint de monsieur Léon et il a préféré la paye de celle qui était ma rivale à la mienne.
Nous nous sommes mariés chacun de notre côté dans les mois suivants, je le vois de temps en temps à la fête de Noël que monsieur et madame Gandin organise pour nos enfants, cette année, il va falloir qu’il remplace le père Noël, c’était monsieur Léon sans aucune famille et ayant déjà une barbe blanche assez conséquente.
Au moment où Boby me prend par un bras pour me relever, je manque d’éclater de rire en pensant ce que penseraient les enfants si c’était mon putain de chef de service qui si collait.
Cocufier Lionel, autant que j’en retire du plaisir, je baise bien avec mon mari, mais cela a rarement atteint les niveaux où Christian me faisait monter, je me libère de sa grosse paluche et je lui fais un effeuillage.
Il tape dans ses mains.
• Oui, mon bébé, tu as compris qui vas être ton mâle sur cette terre, continues, tu commences à devenir la petite pute que je souhaite faire de toi.
Une fois nue, les accoudoirs de son fauteuil me gênant, je me retourne et soulève ma jambe afin qu’il me pénètre.
Je suis contente, je me sers les lèvres pour éviter de hurler, je suis défoncée, mais je sens qu’il voie que je suis prête à jouir du plus gros orgasme que mon corps ait produit.
Il va le voir, il me soulève comme un fétu de paille et me retournant me pose les fesses sur son bureau vierge de tous documents avant de replonger en moi, cette fois me faisant hurler de plaisirs.
Il me saute chaque semaine dans des heures supplémentaires non payées, chaque fois, je prends un pied pas possible, je dois reconnaître que je suis amoureuse acceptant même un week-end d’éloigner Lionel et Romain de chez nous.
C’est pendant ces deux jours que Boby voulant voir l’emprise qu’il avait sur moi m’a montés le deal, il voulait me prendre dans le lit conjugal ce que nous avons fait, j’ai même accepté qui me défonce littéralement l’anus au risque que nos voisins sachent la salope que j’étais devenue.
Un jour, il nous a emmenés au restaurant avec un client, je sentais qu’il fallait que je l’étonne, le client voulait garder la somme sur le devis qu’il lui avait présenté deux minutes auparavant.
Nous étions assez isolées, j’étais assis au côté du gros porc de client, mais sans hésiter, j’ai glissé ma main vers son pantalon, il a placé sa serviette et je l’ai masturbé avec du mal vu la grandeur de son membre.
Boby me voyait et savait ce que je faisais, j’avais depuis longtemps remis mes jupes courtes et j’ai senti la pointe de son escarpin venir caresser ma fente.
Il a eu facile à l’atteindre, le jour où il m’a prise sur son bureau, j’ai interdiction de porter des sous-vêtements.
Bref, je savais qu’un jour prochain, il me donnerait à un de ces hommes pour réussir sa carrière, jusqu’au jour où j’ai retrouvé Christian à la fête de Noël.
Christian après avoir épousé notre chef comptable avait démissionné pour monter sa boîte de pièces mécaniques, son développement a fait qu’il a ouvert une antenne aux États-Unis, mais comme mari d’une employée, comme moi pour Lionel il est invité.
Alors que je bois une coupe, Christian me prend par le bras et m’attire à l’écart, il semble faire attention à ce que Boby ne me voie pas.
• Dis-moi, Joelle, ton chef de service, il vient des États-Unis…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Attendez la suite...
Merci pour les quatre coeur
Non pas possible. Moi je n'aurais pas acceptée . Oui c'est du harcèlement sexuel. Il y avait moyen de le piégé. Les chefs c'est comme les étagères, plus c'est haut moins ça sert. Je pense que ses bijoux de familles et sa bite auraient souffert.