COLLECTION BLACK. Harcèlements sexuels sur mon lieu de travail (9/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BLACK. Harcèlements sexuels sur mon lieu de travail (9/11)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
J’ai trouvé où Boby et sa salope de Louisa cachent leur argent dans deux mallettes sous la cabine de douche dans le bureau d’Albert mon patron qui me surprend quand je viens me laver le samedi où Boby mon amant m’a puni d’avoir mis une culotte le jour de l’arbre de Noël de la société.
Je suis obligée de devenir sa maîtresse quand il m’offre de prendre une douche et que je le vois entrer nu, avant de me rejoindre sous l’eau ruisselante sur mon corps.
Boby, fidèle au plan, que par chance, je connais, l’ayant surpris avec Louisa sa maîtresse dans leur salle de bains en me cachant dans un petit placard sous le lavabo. Ils veulent piller notre société, en me plaçant à sa tête afin de me faire encaisser leur forfaiture comme ils l’ont déjà faite deux fois au State.
À cet effet, je trouve bizarre que les patrons nous invitent pour une fête à Noël où les enfants sont exclus, il faudra que je pense à rectifier le tir l’année prochaine.
Mais je m’égare, j’ai un plan pour cacher l’argent rapidement, Christian devant faire une action dans les heures prochaines qui va forcer notre destin.
Dans ce plan, il fallait que je trouve un endroit où je pourrais cacher les dollars, en faisant l’acquisition du club échangiste où j’ai fait un gang bang avec trente-deux hommes, je suis sûr une fois les portes hermétiquement fermées que ce lieu est le mieux adapté.
C’est un élève curé qui me reçoit, je lui fais croire que je suis amie de son père.
Il rit presque en me disant qu’Alain, c’est ainsi qu’il se nomme, est mort il y a deux ans et qu’il avait un copain louche se prénommant Polo.
• Présentons-nous, mes parents du temps où mon père n’avait pas encore fait son coming-out, mon appelé Serge.
• Serge, à vous a déjà dit que vous étiez joli garçon.
• Madame, je vais être prêtre.
• Excusée, une image est passée devant mes yeux, j’ai perdu la tête.
• Alors Polo ?
• J’ai appris qu’il avait prêté le club à une équipe de tournage d’un film porno, leur actrice principale était une jeune femme qui s’est fait défoncer par trente mecs, ils appellent cela un gang bang.
• Avez-vous vu des images ?
• Non, c’est un ami qui m’a dit avoir participé à cette soirée, il paraîtrait que la femme était comme folle et qu’elle en redemandait, j’ai récupéré ses clefs qui lui avaient servi pour ouvrir les portes et je l’ai fichu dehors.
Venez-nous allons visiter.
L’appartement est vieillot, mais à trois chambres dont l’une donne sur le boulevard, mais bien insonorisé, je pourrais en faire ma chambre, oui, je fais une double affaire, j’achète ici, je vends mon autre appartement et je donne la moitié de la part à Lionel conformément au divorce qu’immanquablement nous avons engagé.
Romain, que j’ai un peu négligé ces temps-ci, je me rattraperais quand toute cette affaire se terminera, il pourra avoir sa chambre bien séparée de la mienne avec sa propre salle de bains de l’autre côté du couloir.
• Serge, combien penses-tu demander pour l’ensemble.
• Vous voulez voir le bas avant de parler chiffres.
• Je connais déjà, nous descendrons après, le prix est important pour moi.
• Trois millions d’euros.
• Vous allez fort, je peux mettre deux millions sur la table en cash.
Ce n’est pas parce que j’ai du pognon qui m’attend dans mon bureau que je dois le dilapider.
• Réfléchissez, deux millions cash en liquide chez votre notaire, et ce que vous voulez à la signature du compromis de vente.
• Comme, je ne veux pas passer par des agences, j’ai du mal à vendre, 2,5 millions d’euros, d’accord pour le cash, si ce n’est pas de l’argent sale.
• Rien à craindre, c’est l’argent du travail de mon mari, il vend son entreprise, l’acheteur veut payer en liquide, si vous avez le droit, vous pouvez m’entendre en confession, vous verrez que tout est clin, de mon côté.
• 2,2 millions, j’ai des compromis que m’a remis mon notaire, je vous fais visiter le bas quand même et en remontant, je vous offre un café, excusez, il n’y a pas d’alcool, j’ai tout fait partir, oui, avec 50 000 € à la signature.
• Tout baigne, descendons.
• Attends, j’allume.
La grande salle où les garçons m’attendaient leur bite en main, est là, je me revois sur le tourniquet les prenant les unes après les autres, je passe derrière le bar, j’ouvre porte après porte.
• Le bar fonctionne ?
• Mon père l’avait fait vérifier la veille de sa mort, j’ai la facture que j’ai payée dans son bureau.
• Et le tourniquet, fonctionne-t-il ?
• Ça, je l’ignore, je dois reconnaître que je ne l’ai jamais essayé.
• Ça te dirait !
• Tu es le diable venu pour me tenter, j’ignore même où il se met en route.
• Regarde, mince, on se tutoie, ça te gêne, non, continuons, il y a un tableau des commandes électriques ici, c’est marqué avec un dessin d’un rond, cela semble correspondre à ce que l’on cherche.
• Sais-tu comment on s’en sert ?
• J’ai un peu pratiqué, je vais te montrer ?
Je règle le potentiomètre au minimum de la vitesse, je m’avance et je me mets à quatre pattes la tête sortante.
• Viens, je vais te faire voir ce que font les femmes, quelquefois les hommes sur ce tourniquet, ceux qui ont les mêmes moeurs que ton père.
Il avance, je le prends d’une main derrière ses fesses, j’approche ma bouche de son pantalon, incroyable, il bande, je devrais m’arrêter, mais depuis que Boby a fait de moi une salope, même une chienne, il me faut ma dose d’os régulière et Serge semble en avoir un beau.
C’est lui qui défait sa ceinture et c’est moi qui la saisis pour la mettre dans ma bouche, je tourne, il tourne, je le suce et il essaye d’aller le plus loin possible dans ma cavité buccale.
Je me retourne, il soulève ma jupe, quelle bonne idée a eu Boby de m’imposer d’être sans culotte, car il entre en moi d’une grande poussée, il me fait jouir, je me rends compte que j’ai de plus en plus le feu au cul.
Il éjacule, je rabaisse ma jupe.
• Je dois te dire, j’étais puceau.
• Je boirais bien un petit whisky pour fêter ton dépucelage.
• Je t’ai dit que je n’avais pas d’alcool ici.
• Taratata, tu as mal cherché, regarde.
Je passe derrière le bar, j’ouvre une porte et je sors une bouteille à moitié pleine de whisky.
• C’est Polo qui devait la cacher là, parmi tous ses vices, il y avait l’alcool.
Nous coupons le courant de la partie basse du bâtiment, nous nous installons sur le canapé, il va chercher deux verres et boit avec moi.
• Parlons peu, parlons bien, 2 millions d’euros, ton dépucelage vos bien 200 000 €.
• Marie-Madeleine.
• Traite-moi de pute.
Nous éclatons de rire.
• Alors ?
• Voici le compromis, on signe ici.
• Quand repars-tu à ton séminaire ?
• Je doute que j'aille y retourner, entre ce que mon père m’a laissé en monnaie trébuchante et après la vente que je viens de signer par ce compromis, je crois que je vais prendre des vacances du côté du Cap d’Agde.
Sa voiture est dans un garage souterrain non loin d’ici, dès que tu m’auras donné les 50 000 €, je la récupérerais.
Je doute que j'aille y retourner, entre ce que mon père m’a laissé en monnaie trébuchante et après la vente que je viens de signer par ce compromis, je crois que je vais prendre des vacances du côté du Cap d’Agde.
Me disant cela, il me soulève ma jupe, je me laisse tomber et sa bouche vient en contact avec ma chatte, j’écarte les cuisses, sa langue est efficace, une nouvelle fois, je pars.
• Demain, avant de prendre la route, je donnerai les papiers à mon notaire, si je viens chercher quelque chose, je t’appellerais, je pense que nous pourrons passer un petit moment ensemble, je compte sur toi pour me recevoir.
Il se relève voyant ma jouissance, il ressort sa queue qui malgré les jets qu’il m’a mise sur le tourniquet en redemande, c’est normal, il a 26 ans, ses couilles sont restées pleines tout ce temps, il peut me fournir du sperme comme une mitraillette.
• Je dois te quitter, je reviendrais ce soir vers 23 heures avec les 50 000 €.
• Je te préparerais un petit repas en amoureux.
Je rentre chez moi, pour me changer avant de repartir au travail, la journée est longue jusqu’au soir, ou pour réaliser mon plan, je dois contourner le système d’alarme.
J’ai étudié son fonctionnement et chaque fois que je passe mon badge pour entrer au parking ou par la porte principale, mon numéro de carte s’enregistre avec l’heure où je suis entrée sur l’ordinateur qui gère le système.
Il sert à l’adjoint de Geneviève pour calculer nos heures de présence au travail.
Je repère un vasistas du local de rangement qui n’est pas muni de capteurs, je l’ouvre, le coince avec un carton, par chance, il donne sur la petite rue où dans le fond, les camions peuvent décharger leurs colis.
Je vois Boby un moment, il semble pétri de bons sentiments, je m’attends à une vacherie, mais il semble accaparé par les préparatifs de la saloperie qu’il compte nous faire avec Louisa, avant de disparaître.
La journée terminée, je pointe à 19 heures ayant passé mon temps à lire des rapports sur la société laissée par Albert croyant me passer la main.
Je vais à mon domicile, je vide un sac de sport qui appartenait à Lionel et qu’il n’est pas venu chercher, je remets ma tenue de joggeuse avec en prime une lampe frontale, me servant quand je cours et qu’il fait encore nuit, j’arrête ma voiture quelques rues avant l’impasse et je pars en courant.
Inutile pour moi de venir voir l’endroit avant de venir, je suis rentré dans une poubelle une fois en voulant me garer dans cette rue sombre.
J’ai mis des gants qui me servaient du temps où nous avions un chien et qu’il fallait ramasser ses merdes quand nous le promenions.
Un bon cambrioleur doit penser aux empreintes, je pousse une poubelle sous le vasistas débloqué, prestement, je grimpe, une poussée et il s’ouvre, je peux rapidement me glisser dans le local.
J’allume ma lampe frontale et je rejoins le couloir, je grimpe à l’étage, heureusement que je suis monté par l’escalier, évitant l’ascenseur, car quand je vais pour ouvrir la porte du couloir, la lumière est allumée et j’entends siffler.
J’éteins ma lampe et j’avance, les sifflements viennent de mon bureau, la porte et la lumière étant ouvertes et allumées.
Est-ce Boby qui est venu récupérer son argent…
J’ai trouvé où Boby et sa salope de Louisa cachent leur argent dans deux mallettes sous la cabine de douche dans le bureau d’Albert mon patron qui me surprend quand je viens me laver le samedi où Boby mon amant m’a puni d’avoir mis une culotte le jour de l’arbre de Noël de la société.
Je suis obligée de devenir sa maîtresse quand il m’offre de prendre une douche et que je le vois entrer nu, avant de me rejoindre sous l’eau ruisselante sur mon corps.
Boby, fidèle au plan, que par chance, je connais, l’ayant surpris avec Louisa sa maîtresse dans leur salle de bains en me cachant dans un petit placard sous le lavabo. Ils veulent piller notre société, en me plaçant à sa tête afin de me faire encaisser leur forfaiture comme ils l’ont déjà faite deux fois au State.
À cet effet, je trouve bizarre que les patrons nous invitent pour une fête à Noël où les enfants sont exclus, il faudra que je pense à rectifier le tir l’année prochaine.
Mais je m’égare, j’ai un plan pour cacher l’argent rapidement, Christian devant faire une action dans les heures prochaines qui va forcer notre destin.
Dans ce plan, il fallait que je trouve un endroit où je pourrais cacher les dollars, en faisant l’acquisition du club échangiste où j’ai fait un gang bang avec trente-deux hommes, je suis sûr une fois les portes hermétiquement fermées que ce lieu est le mieux adapté.
C’est un élève curé qui me reçoit, je lui fais croire que je suis amie de son père.
Il rit presque en me disant qu’Alain, c’est ainsi qu’il se nomme, est mort il y a deux ans et qu’il avait un copain louche se prénommant Polo.
• Présentons-nous, mes parents du temps où mon père n’avait pas encore fait son coming-out, mon appelé Serge.
• Serge, à vous a déjà dit que vous étiez joli garçon.
• Madame, je vais être prêtre.
• Excusée, une image est passée devant mes yeux, j’ai perdu la tête.
• Alors Polo ?
• J’ai appris qu’il avait prêté le club à une équipe de tournage d’un film porno, leur actrice principale était une jeune femme qui s’est fait défoncer par trente mecs, ils appellent cela un gang bang.
• Avez-vous vu des images ?
• Non, c’est un ami qui m’a dit avoir participé à cette soirée, il paraîtrait que la femme était comme folle et qu’elle en redemandait, j’ai récupéré ses clefs qui lui avaient servi pour ouvrir les portes et je l’ai fichu dehors.
Venez-nous allons visiter.
L’appartement est vieillot, mais à trois chambres dont l’une donne sur le boulevard, mais bien insonorisé, je pourrais en faire ma chambre, oui, je fais une double affaire, j’achète ici, je vends mon autre appartement et je donne la moitié de la part à Lionel conformément au divorce qu’immanquablement nous avons engagé.
Romain, que j’ai un peu négligé ces temps-ci, je me rattraperais quand toute cette affaire se terminera, il pourra avoir sa chambre bien séparée de la mienne avec sa propre salle de bains de l’autre côté du couloir.
• Serge, combien penses-tu demander pour l’ensemble.
• Vous voulez voir le bas avant de parler chiffres.
• Je connais déjà, nous descendrons après, le prix est important pour moi.
• Trois millions d’euros.
• Vous allez fort, je peux mettre deux millions sur la table en cash.
Ce n’est pas parce que j’ai du pognon qui m’attend dans mon bureau que je dois le dilapider.
• Réfléchissez, deux millions cash en liquide chez votre notaire, et ce que vous voulez à la signature du compromis de vente.
• Comme, je ne veux pas passer par des agences, j’ai du mal à vendre, 2,5 millions d’euros, d’accord pour le cash, si ce n’est pas de l’argent sale.
• Rien à craindre, c’est l’argent du travail de mon mari, il vend son entreprise, l’acheteur veut payer en liquide, si vous avez le droit, vous pouvez m’entendre en confession, vous verrez que tout est clin, de mon côté.
• 2,2 millions, j’ai des compromis que m’a remis mon notaire, je vous fais visiter le bas quand même et en remontant, je vous offre un café, excusez, il n’y a pas d’alcool, j’ai tout fait partir, oui, avec 50 000 € à la signature.
• Tout baigne, descendons.
• Attends, j’allume.
La grande salle où les garçons m’attendaient leur bite en main, est là, je me revois sur le tourniquet les prenant les unes après les autres, je passe derrière le bar, j’ouvre porte après porte.
• Le bar fonctionne ?
• Mon père l’avait fait vérifier la veille de sa mort, j’ai la facture que j’ai payée dans son bureau.
• Et le tourniquet, fonctionne-t-il ?
• Ça, je l’ignore, je dois reconnaître que je ne l’ai jamais essayé.
• Ça te dirait !
• Tu es le diable venu pour me tenter, j’ignore même où il se met en route.
• Regarde, mince, on se tutoie, ça te gêne, non, continuons, il y a un tableau des commandes électriques ici, c’est marqué avec un dessin d’un rond, cela semble correspondre à ce que l’on cherche.
• Sais-tu comment on s’en sert ?
• J’ai un peu pratiqué, je vais te montrer ?
Je règle le potentiomètre au minimum de la vitesse, je m’avance et je me mets à quatre pattes la tête sortante.
• Viens, je vais te faire voir ce que font les femmes, quelquefois les hommes sur ce tourniquet, ceux qui ont les mêmes moeurs que ton père.
Il avance, je le prends d’une main derrière ses fesses, j’approche ma bouche de son pantalon, incroyable, il bande, je devrais m’arrêter, mais depuis que Boby a fait de moi une salope, même une chienne, il me faut ma dose d’os régulière et Serge semble en avoir un beau.
C’est lui qui défait sa ceinture et c’est moi qui la saisis pour la mettre dans ma bouche, je tourne, il tourne, je le suce et il essaye d’aller le plus loin possible dans ma cavité buccale.
Je me retourne, il soulève ma jupe, quelle bonne idée a eu Boby de m’imposer d’être sans culotte, car il entre en moi d’une grande poussée, il me fait jouir, je me rends compte que j’ai de plus en plus le feu au cul.
Il éjacule, je rabaisse ma jupe.
• Je dois te dire, j’étais puceau.
• Je boirais bien un petit whisky pour fêter ton dépucelage.
• Je t’ai dit que je n’avais pas d’alcool ici.
• Taratata, tu as mal cherché, regarde.
Je passe derrière le bar, j’ouvre une porte et je sors une bouteille à moitié pleine de whisky.
• C’est Polo qui devait la cacher là, parmi tous ses vices, il y avait l’alcool.
Nous coupons le courant de la partie basse du bâtiment, nous nous installons sur le canapé, il va chercher deux verres et boit avec moi.
• Parlons peu, parlons bien, 2 millions d’euros, ton dépucelage vos bien 200 000 €.
• Marie-Madeleine.
• Traite-moi de pute.
Nous éclatons de rire.
• Alors ?
• Voici le compromis, on signe ici.
• Quand repars-tu à ton séminaire ?
• Je doute que j'aille y retourner, entre ce que mon père m’a laissé en monnaie trébuchante et après la vente que je viens de signer par ce compromis, je crois que je vais prendre des vacances du côté du Cap d’Agde.
Sa voiture est dans un garage souterrain non loin d’ici, dès que tu m’auras donné les 50 000 €, je la récupérerais.
Je doute que j'aille y retourner, entre ce que mon père m’a laissé en monnaie trébuchante et après la vente que je viens de signer par ce compromis, je crois que je vais prendre des vacances du côté du Cap d’Agde.
Me disant cela, il me soulève ma jupe, je me laisse tomber et sa bouche vient en contact avec ma chatte, j’écarte les cuisses, sa langue est efficace, une nouvelle fois, je pars.
• Demain, avant de prendre la route, je donnerai les papiers à mon notaire, si je viens chercher quelque chose, je t’appellerais, je pense que nous pourrons passer un petit moment ensemble, je compte sur toi pour me recevoir.
Il se relève voyant ma jouissance, il ressort sa queue qui malgré les jets qu’il m’a mise sur le tourniquet en redemande, c’est normal, il a 26 ans, ses couilles sont restées pleines tout ce temps, il peut me fournir du sperme comme une mitraillette.
• Je dois te quitter, je reviendrais ce soir vers 23 heures avec les 50 000 €.
• Je te préparerais un petit repas en amoureux.
Je rentre chez moi, pour me changer avant de repartir au travail, la journée est longue jusqu’au soir, ou pour réaliser mon plan, je dois contourner le système d’alarme.
J’ai étudié son fonctionnement et chaque fois que je passe mon badge pour entrer au parking ou par la porte principale, mon numéro de carte s’enregistre avec l’heure où je suis entrée sur l’ordinateur qui gère le système.
Il sert à l’adjoint de Geneviève pour calculer nos heures de présence au travail.
Je repère un vasistas du local de rangement qui n’est pas muni de capteurs, je l’ouvre, le coince avec un carton, par chance, il donne sur la petite rue où dans le fond, les camions peuvent décharger leurs colis.
Je vois Boby un moment, il semble pétri de bons sentiments, je m’attends à une vacherie, mais il semble accaparé par les préparatifs de la saloperie qu’il compte nous faire avec Louisa, avant de disparaître.
La journée terminée, je pointe à 19 heures ayant passé mon temps à lire des rapports sur la société laissée par Albert croyant me passer la main.
Je vais à mon domicile, je vide un sac de sport qui appartenait à Lionel et qu’il n’est pas venu chercher, je remets ma tenue de joggeuse avec en prime une lampe frontale, me servant quand je cours et qu’il fait encore nuit, j’arrête ma voiture quelques rues avant l’impasse et je pars en courant.
Inutile pour moi de venir voir l’endroit avant de venir, je suis rentré dans une poubelle une fois en voulant me garer dans cette rue sombre.
J’ai mis des gants qui me servaient du temps où nous avions un chien et qu’il fallait ramasser ses merdes quand nous le promenions.
Un bon cambrioleur doit penser aux empreintes, je pousse une poubelle sous le vasistas débloqué, prestement, je grimpe, une poussée et il s’ouvre, je peux rapidement me glisser dans le local.
J’allume ma lampe frontale et je rejoins le couloir, je grimpe à l’étage, heureusement que je suis monté par l’escalier, évitant l’ascenseur, car quand je vais pour ouvrir la porte du couloir, la lumière est allumée et j’entends siffler.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
ok je prends note...
CHRIS71, l'histoire est très bien, mais il serait très utile de relire le texte avant de le déposer sur le site, des phrases en doublon, des mots manquants, des phrases incompréhensibles ...
à vouloir multiplier l'écriture d'histoires le texte devient un foutoir !!!
à vouloir multiplier l'écriture d'histoires le texte devient un foutoir !!!
Pour la lectrice qui m'a demandé de ce contacter, écrire sur chr.r.r@sfr.fr