COLLECTION BLACK. La queue noire. (1/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. La queue noire. (1/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLACK. La queue noire. (1/3)
• Fait bon voyage, Robert, téléphone dès que tu arrives, tu sais que j’ai peur avec tous ces attentats, regarde bien que personne n’ait abandonné un paquet ou une valise dans le train.
Soit sage à Marseille les provençales ayant le sang chaud n’oublie pas que tu m’as juré fidélité.
Je sais, cela fait cinq ans, mais fait attention tout de même.
• Odile, fais-moi confiance, si je vois un colis suspect, je sortirais mon stéthoscope pour l’écouter, s’il y a un tic-tac suspect à l’intérieur, j’appellerais le contrôleur, ou je sauterais en marche.

Je suis mariée avec Robert depuis cinq ans, il a confié son cabinet dans le 9ème arrondissement, non loin de la place Pigalle, à un remplaçant pour se rendre à un congrès sur le rhume en France.
Pierre tenait le cabinet et l’a cédé à Robert son fils avant de prendre leurs retraites à Sanary-sur-mer dans le Var avec Josette, sa femme.
J’ai vanné Robert sur les provençales, son papa et sa maman viendront tous les soirs à Marseille pour passer les soirées avec mon homme.
Un moment, il a été question que je l’accompagne, mais j’ai un rendez-vous à l’hôpital Pompidou pour une I.R.M.
Même Robert médecin n’a pas réussi à faire changer le rendez-vous sinon à l’avoir dans plus de six mois, j’ai des vertiges qui m’affectent de temps en temps, allant même jusqu’à avoir des comportements anormaux.

En quittant la gare, je cherche un taxi pour retourner chez moi, la file d’attente est très longue aussi, je décide de prendre le métro.
Je prends rarement le métro maintenant que je suis la femme d’un médecin bien que j’y prenne du plaisir, les odeurs, la foule qui va et viens toujours en mouvement.
J’adore m’asseoir sur les quelques sièges dans les stations et regarder les gens descendre vite remplacé par ceux qui montent.
Il faut aussi dire que le métro a été le moyen de transport de ma jeunesse bien que je ne sois pas vieille, je devrais dire de mon adolescence.
Je finis par décider que c’est ce wagon, qui va me conduire à la station près de chez moi.
Je monte et je me sens poussée dans le dos, une station, c’est une correspondance, mais à cette heure de pointe, le turnover est rapide, depuis quelques minutes, ce que je sens sur mes fesses, ne peut être qu’une verge, la glace de la porte en face de moi, me renvoi l’image que c’est un immense noir qui frotte sa verge à mon arrière-train.
Je me mets à fantasmer, Robert est normalement membré, du moins de ce que je connais des verges des hommes, j’ai été dépucelé un soir de cuite, je suis incapable de dire si elle était jaune, noire ou blanche, grosse ou petite.
La seule chose dont je me souvienne, ce sont les verres de whisky coca que je me suis ingurgitée, au matin, je dormais sur un lit, ma petite culotte dans la bouche et les cuisses maculées de sang.
Je voulais aller porter plainte pour viole, ayant été muselé avec ma culotte, quand Solange ma copine de travail m’a dit que j’avais été consentante, que j’avais moi-même ôté ma culotte avec deux mecs blancs, un blanc et un blanc.
Ils m’ont baisé chacun leur tour, après que l’un léchait mon bas-ventre pendant que je faisais une fellation à l’autre, je gueulais tellement de plaisir qu’ils m’ont mis ma culotte en dentelle dans la bouche afin que je n’ameute pas tout le quartier.
J’avais un peu mal à la chatte, mais surtout une migraine, deux fois plus intense que celle qui me prend depuis que j’ai mes règles et les filets de sang que j’ai remarqués en me réveillant.
La migraine n’avait certainement rien à voir avec la perte de mon pucelage sans que je ne m’en souvienne le moins du monde.

Quelques mois plus tard, à la boutique où je travaille sur l’avenue des Champs-Élysées, un homme est venu acheter une bouteille de parfum m’ayant dit que c’était pour sa fiancée.
Je lui ai demandé comment, elle était physiquement, blonde, brune, rousse.

• Comme vous, Mademoiselle !

Cinq minutes après, je lui avais conseillé de prendre le parfum que je préférais, il est sorti en payant après que je lui ai fait ce paquet cadeau, quand j’ai fini mon travail, je suis sortie quand j’ai été abordé par cet homme, c’était Robert, il se promenait sur l’avenue quand il m’a vue à travers la vitre.
Je n’aurais jamais pensé mettre un jour le parfum si cher que je conseillais, le préférant à toutes ces femmes bourrées de fric.
Quelques semaines plus tard, il me présentait une autre boîte à la sortie de mon travail à genoux sur le trottoir en plein Paris, il faut dire qu’il y avait quelques semaines que je le rejoignais dans sa chambre près de la fac où il passait ses diplômes pour remplacer son père.

Dans notre histoire, un seul point noir, ma belle-mère, habitant dans le quartier du show bise dans Paris, elle avait rêvé que son fils rencontrerait une star et qu’il l’épouserait.
Vous pensez, la fille d’un couple de Gentilly, le père mécanicien dans un garage et la mère femme au foyer, qui plus est chromeuse, car le jour où il m’a offert ma bague, j’avais dans mon sac ma lettre de licenciement, pour compression de personnel.

Mais revenons à mon grand noir, à la station précédant celle où je descendais, j’ai vu qu’il sautait sur le quai, je suis descendue Place Pigalle.
Avant d’entrer chez moi, je suis entrée dans un café, toutes les tables étaient occupées, il y avait une place au bar et j’ai commandé un Perrier.

• Avez-vous du feu, s’il vous plaît ?

J’ai tourné la tête et j’ai cru que mon grand noir du métro m’avait suivi, la première chose qui m’ont fait penser à lui, ce sont ses grosses lèvres que j’avais vues dans la fenêtre du wagon.
À ce moment, je les avais à quelques centimètres de mon visage, elles étaient épaisses.

• Non, je ne fume pas !
• Cela tombe bien, moi aussi.

Je me suis sentie obligée de rire.

• C’est tout ce que vous avez trouvé comme technique de drague, vous avez déjà réussi à faire tomber dans mes filets quelques bourgeoises du quartier.
• C’est dur, mais quelquefois ça marche, regardé-nous, cela fait déjà quelques minutes que l’on parle et je n’ai pas reçu une baffe.

Je regarde cette armoire à glace, quand je lui pose une question entièrement saugrenue.

• Cela pourrait venir, mais dites-moi, c’est vrai que les noirs en ont des grandes et grosses.
Pardon, je vais passer une IRM demain à 14 heures à l’hôpital Pompidou, il m’arrive de dire n’importe quoi.
• Venez chez moi, j’habite trois rues plus basses, je suis architecte à la ville de Paris, je travaille sur la rénovation du quartier de Barbès et je rentrais chez moi.
• Je suis mariée, j’ai une bague.
• J’avais vu, mais cela est loin de me poser problème.
• Moi si, je suis fidèle, mon mari est parti à un congrès à Marseille, il va retrouver ses parents tous les soirs.
Je file, je raconte trop de bêtises.

Il me prend la main et me la baise, je remarque qu’il est élégant avec un costume et cravate.
Toute la nuit, je repense à ce que j’avais été capable de poser comme question à cet homme, je finis par m’endormir, quand je me réveille, je m’aperçois que je suis en train de me masturber et que je suis en eau.
Je ne me souviens jamais de mes rêves, là, je me souviens que j’étais entourée de grosses lèvres qui voulaient m’attraper.

Je suis prête à l’heure, j’attrape un taxi après avoir bu un café, pourquoi ce bar où hier, j’ai rencontré cet homme à qui j’ai demandé s’il avait une grosse queue, j’ai été plus générale sur les noirs, mais vu sa carrure cela revenait au même.
Je passe mon I.R.M. résultat, un problème de nerf dans le cou, cela, doit passer avec une vingtaine de séances de kiné.
Je sors de la zone où j’ai subi mon examen, un grand noir semble attendre.

• Salut Odile, qu’ont-ils dit, j’étais anxieux.
• Comment savez-vous mon nom ?
• Tu as bien une gourmette en or marquée avec ce nom, je vois mal Cunégonde porter un bijou marqué du nom d’une autre.
Tu m’as dit que tu venais passer ton examen ici à 14 heures et voilà, je suis ici, je vais te ramener chez toi.
• À Pigalle !
• Tu vois, comment on apprend des choses sur les gens en les regardant et en les écoutant, ton nom, je viens de t’expliquer, je suis ici, car tu m’as donné tous les renseignements nécessaires.

Nous remontons vers la sortie, je vois qu’il me laisse avancer légèrement plus vite que lui et qu’il regarde mes fesses.

• Je vais te donner un exemple d’observation instructive, sous ta jupe moulante, tu portes un string où mieux, tu te déplaces sans petite culotte, aucune marque disgracieuse.
Je vais être très précis, string, tu portes un string, tu ignores si dans ce service, on va te mettre nue, tu es sans soutien-gorge, tu as raison, ce que je vois par l’échancrure de ton chemisier me fait voir ta vallée sans rien dessus.
Montrer tes seins ne te gêne pas et tu as raison, ils semblent beaux, pour le bas, je te vois mal la chatte à l’air devant les opérateurs.
• Tu me fais rougir, mais je dois reconnaître que tu as raison.
• Tiens, toi, cherche ce que tu peux dire sur moi !
• Je t’ai à peine regardé, je te rappelle que je suis mariée.
• C’est vrai, ton obsession est pour ma verge et là dans mon pantalon de costume, un peu ample, c’est difficile à voir.

Nous sommes dehors, je cherche où sont les taxis.

• J’ai ma Vespa, j’ai deux casques, si tu n’as pas peur pour ta chevelure, je te ramène, cela ne te coûtera pas cher bien que vu tes vêtements élégants, tu dois avoir des moyens.

Il me met le casque et pour l’attacher, ses grosses lèvres sont proches des miennes, je ferme les yeux pour ne plus les voir.

• Tiens-toi à moi, attention, je démarre.

J’ai mes mains autour de sa taille, insidieusement, je les descends, je sentais la verge du grand noir dans mon dos dans le métro, je sens la verge de ce grand noir après lequel je m’agrippe, il tourne légèrement la tête et j’entends.

• As-tu ta réponse à ta question…

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