COLLECTION BLACK. Nos boys (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2023 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION BLACK. Nos boys (2/3)
C’est le jour où je me suis rendue à une fête organisée par Julie pour notre réussite à notre BTS Opticien Lunetier que j’ai rencontré Pierre, quarante-quatre ans.
Il m’a proposé de m’épouser, prenant cela comme une boutade, j’ai accepté et je me suis mariée.
Pierre m’amène à Dakar, endroit d’où est originaire sa famille qui a dû être des esclavagistes pour les noirs de ce pays.
Ils doivent avoir prospéré sur le passage par Gorée, de ceux qui deviendront des esclaves de la terre africaine vers le nouveau continent pour travailler dans les États du sud de l’Amérique.
Ces esclaves sont devenus des boys, mais toujours à leurs services.
Moi, la fille d’un employé d’aiguillage de la S.N.C.F. je me retrouve mariée à cet homme bien plus âgé, mais responsable de banque à Dakar.
Toute ma jeunesse, mon père m’ayant donné une éducation stricte, mais mon mari savait que j’avais connu le sexe des hommes lorsque je suis arrivée à ma nuit de noces.
Lorsque pendant cette nuit, je pense qu’il va s’occuper de ma chatte, c’est seulement mon anus qui semble intéresser mon homme.
Toujours sans que mon mari se serve de mon vagin, à mon arrivée dans ma nouvelle demeure, je fais la connaissance de tous ces garçons noirs qui l’entoure.
Surtout Youssouf le majordome qui gère tout le domaine.
Je lui demande de me préparer un bain froid espérant me rafraîchir dans cette moiteur ambiante découverte dès la descente de l’avion.
Il me prépare un bain, mais, en fait il me le fait glacé ce qui me fait pousser un cri.
Pensant que j’ai un problème, il entre sans me prévenir et me propose de me laver le dos comme il le faisait avec Nouzha l’ex-femme marocaine retournée dans son pays avec son chauffeur.
Je suis choquée, mais il m’entraîne vers les dépendances où tous les boys logent pour me faire voir la réalité de qui est réellement mon mari.
Ils sont trois dans la pièce où je jette un œil par la fenêtre.
Pierre est là, suçant Mamadou, son chauffeur alors que Samba le jeune garçon que j’ai sélectionnée pour devenir mon chauffeur l’encule.
Samba, le quitte me montrant une superbe verge avant de venir décharger son sperme dans la bouche de mon mari.
C’est à ce moment que je sens Youssouf soulever mon peignoir.
Tromper mon mari qui est à quelques mètres de moi de l’autre côté de la vitre peut paraître irréel, mais je mouille d’avoir une verge en moi et je me laisse faire.
C’est lorsque je sens une situation bizarre que sans élever la voix, je lui dis.
• Que fais-tu, Youssouf, pourquoi frottes-tu mon anus ?
• Parce que je vais t’enculer, nous avons le droit de te donner du plaisir, mais seulement avec notre verge dans ton cul.
Lorsqu’il le décidera, il te dira comment la suite des choses se passera pour toi.
J’ai à peine le temps de fermer ma bouche que sa bite entre en moi d’une seule poussée, son gland ayant du mal à passer une fraction de seconde.
Je sens, mais ce qu’il me met doit égaler la verge de Samba que je viens de voir.
La pénétration anale de Pierre pendant notre nuit de noces a fait le chemin et je finis par sentir ses couilles battre mes cuisses.
Peu à peu appuyé sur le rebord de cette fenêtre, le plaisir monte en moi.
Mon mari est un pédéraste, mais moi aussi je découvre que l’on peut jouir par le cul surtout que la main de Youssouf vient de passer devant moi et me caresse le clito.
• Ah ! ah ! ah ! aaaaaah !
J’ai presque hurlé tellement la jouissance par la double action de la verge de Youssouf ainsi que son doigt sur mon clito a été extrêmement intense.
Je me caresse depuis mon adolescence, ce qui m’a frustré un peu plus du refus de mon mari de me prendre par la chatte depuis le début de mon mariage.
Pierre m’a entendu et tourne la tête.
Les jeux avec nos chauffeurs dans cette pièce continuent, Pierre enculant Samba, mais avec Mamadou qui lui aussi lui met sa verge dans l’anus.
J’ai eu mal avec une, lui se fait enculer par deux, une grosse, la deuxième plus raisonnable.
• Viens, Marie, ton mari t’a vu, je pense qu’il te parlera plus tard !
C’est à table sur la terrasse devant la piscine vide en eau, une fuite attendant les réparateurs que nous dînons.
• Marie, je dois te parler de ce que tu as découvert tout à l’heure.
Je suis un PD comme ils disent ici, un homosexuel.
Depuis mes seize ans, Youssouf m’a fait voir que le fils de la maison était un homo et aimait les verges noires.
Youssouf s’est occupé de toi et je vous ai vu.
Tu peux baiser avec eux comme je baise, moi aussi avec.
Tous ont interdiction de te prendre par la chatte, surtout qu’ici on baise sans protection.
Dans quelques jours, je t’en dirai plus, mais jusque-là respecte mes directives, avoir un petit négrillon comme fils serait très mal vu dans la communauté blanche restant dans ce pays.
C’est ce que mon ex-femme a eu du mal à comprendre.
• C’est pour ça que tu as divorcé !
• Que je l’ai répudié, un jour je l’ai vu se faire sauter par son chauffeur et je l’ai renvoyé dans son pays.
Le reste de la soirée, je suis seule, ça m’arrange, ça repose mon anus.
Je m’interroge sur mon avenir et ce qui risquait de m’arriver.
Le lendemain, des ouvriers arrivent et réparent la fuite avant de remettre la piscine en eau.
Ils sont partis et malgré la fraîcheur de l’eau sortant des canalisations, je me baigne alors que Pierre est retourné à la banque.
Youssouf et Samba, aussi nus que je le suis, entrent dans l’eau et viennent m’entourer.
• Mon mari m’a parlé hier au soir, savez-vous ce qu’il mijote pour mon avenir.
• Attends, c’est lui le patron, nous nous sommes tes boys.
Soit tranquille, attend patiemment, il aura une descendance.
J’ai compris entre la répudiation et le retour en France perdant tous les avantages de la position qu’il m’offre, je choisis de rester.
Pour la première fois, chacun assis sur la margelle, je suce deux hommes en alternance, Youssouf et Samba.
Deux belles verges noires qui m’offrent leur rasade de sperme là encore pour la première fois.
Ça fait plus d’un mois que je baise avec les boys, j’ai envie de me rendre au marché si folklorique dans ce pays.
• Samba, d’où es-tu ?
• De Dakar patronne.
• Fait moi visiter les lieux où tu as vécu.
• C’est un quartier miséreux, c’est pour ça que j’ai cherché un travail dans le quartier blanc.
Il est vrai que ce que je découvre est loin de ce que je connais depuis ma naissance.
Des maisons faites de bric et de broc, des chemins de terre, des enfants qui trainent un peu partout et des femmes en doudou de couleur portant d’autres enfants sur leur dos.
Dire que pour le moment, alors que je rêve d’avoir des enfants, je suis toujours vierge de pénétration de mon mari.
Un café, Samba fait un signe à une jeune femme.
• Qui est-ce, ta fiancée ?
• Non, ma cousine, elle travaille dans ce café.
• Arrête la voiture, je t’offre une boisson fraiche.
Il gare ma voiture et viens m’ouvrir ma portière.
Nous nous asseyons à la terrasse, la jeune femme en tenue européenne vient nous servir.
J’ai souvent eu envie de proposer à Julie des jeux érotiques, mais la peur d’être surpris par mon père a fait que je suis vierge de cette expérience.
• Bonjour madame, Samba m’avait dit qu’il travaillait pour une Française, vous êtes très belle !
Pouvez-vous m’embaucher, mon contrat se termine ce soir.
Dès que nous rentrons j’attends mon mari.
• Pierre, je voudrais avoir une dame de compagnie, Saloma accepterait le poste, c’est la cousine de Samba.
Il y a une chambre libre à côté de la mienne, nous pourrions la loger.
Mon mari accepte que la jeune femme vienne à la villa, je me sens moins seule.
Le soir, mon mari vient honorer mon anus avant de rejoindre sa propre chambre.
Certaines femmes font leur devoir conjugal en écartant simplement leurs cuisses, moi ce sont mes fesses que j’écarte avec mes mains pour que je fasse le mien.
Quelle heure est-il, je sens un souffle sur ma nuque.
Depuis que je suis arrivée et que les boys s’occupent de moi, c’est la première fois que l’un d’eux viens me rejoindre la nuit dans cette chambre.
Samba, c’est dans la voiture lors de sorties ou dans la piscine avec l’un ou l’autre de ces garçons que je prends mon plaisir.
Youssouf, c’est souvent le matin lorsqu’il me sert mon petit déjeuner qu’il aime se faire sucer.
• Reste calme Marie, c’est moi Saloma, je sais ta situation, je serais une tombe, mais je veux que tu sois heureuse autant que je le suis depuis que tu as accepté de me faire venir ici.
Veux-tu que je t’avoue une chose ?
Je me tourne nos bouches sont à quelques centimètres, l’une l’autre.
• Marie, je dois être la première noire à avoir sa chambre dans ce grand bâtiment.
Des doudous noires, il doit y en avoir eu beaucoup, mais au service des maîtres, le temps qu’ils les sautent même s’ils elles étaient mariées.
Ils se sentaient tout-puissants et elles en avaient très peur.
Mon arrière-grand-mère était l’une d’elles, elle est morte à plus de cent ans, elle m’a toujours dit que mon aïeul pleurait, dans l’impossibilité de faire quoi que ce soit, chaque fois que le maître la faisait appeler.
Elle m’a dit que son dos était déchiré par le fouet qui leur était appliqué pour la moindre peccadille.
Je suis la première ayant sa chambre, car tous couchaient dans les dépendances où vivent mon cousin et les autres nègres.
Nous sommes toujours un peu au temps des esclaves Marie même si nous avons été affranchis et qu’on nous dit être des citoyens.
Je limite la distance et pour la première fois, j’embrasse les grosses lèvres de cette magnifique black.
Sa langue est douce, je vais découvrir encore un nouveau monde.
J’ai bien fait de rester, ma chatte est complètement humide...
Il m’a proposé de m’épouser, prenant cela comme une boutade, j’ai accepté et je me suis mariée.
Pierre m’amène à Dakar, endroit d’où est originaire sa famille qui a dû être des esclavagistes pour les noirs de ce pays.
Ils doivent avoir prospéré sur le passage par Gorée, de ceux qui deviendront des esclaves de la terre africaine vers le nouveau continent pour travailler dans les États du sud de l’Amérique.
Ces esclaves sont devenus des boys, mais toujours à leurs services.
Moi, la fille d’un employé d’aiguillage de la S.N.C.F. je me retrouve mariée à cet homme bien plus âgé, mais responsable de banque à Dakar.
Toute ma jeunesse, mon père m’ayant donné une éducation stricte, mais mon mari savait que j’avais connu le sexe des hommes lorsque je suis arrivée à ma nuit de noces.
Lorsque pendant cette nuit, je pense qu’il va s’occuper de ma chatte, c’est seulement mon anus qui semble intéresser mon homme.
Toujours sans que mon mari se serve de mon vagin, à mon arrivée dans ma nouvelle demeure, je fais la connaissance de tous ces garçons noirs qui l’entoure.
Surtout Youssouf le majordome qui gère tout le domaine.
Je lui demande de me préparer un bain froid espérant me rafraîchir dans cette moiteur ambiante découverte dès la descente de l’avion.
Il me prépare un bain, mais, en fait il me le fait glacé ce qui me fait pousser un cri.
Pensant que j’ai un problème, il entre sans me prévenir et me propose de me laver le dos comme il le faisait avec Nouzha l’ex-femme marocaine retournée dans son pays avec son chauffeur.
Je suis choquée, mais il m’entraîne vers les dépendances où tous les boys logent pour me faire voir la réalité de qui est réellement mon mari.
Ils sont trois dans la pièce où je jette un œil par la fenêtre.
Pierre est là, suçant Mamadou, son chauffeur alors que Samba le jeune garçon que j’ai sélectionnée pour devenir mon chauffeur l’encule.
Samba, le quitte me montrant une superbe verge avant de venir décharger son sperme dans la bouche de mon mari.
C’est à ce moment que je sens Youssouf soulever mon peignoir.
Tromper mon mari qui est à quelques mètres de moi de l’autre côté de la vitre peut paraître irréel, mais je mouille d’avoir une verge en moi et je me laisse faire.
C’est lorsque je sens une situation bizarre que sans élever la voix, je lui dis.
• Que fais-tu, Youssouf, pourquoi frottes-tu mon anus ?
• Parce que je vais t’enculer, nous avons le droit de te donner du plaisir, mais seulement avec notre verge dans ton cul.
Lorsqu’il le décidera, il te dira comment la suite des choses se passera pour toi.
J’ai à peine le temps de fermer ma bouche que sa bite entre en moi d’une seule poussée, son gland ayant du mal à passer une fraction de seconde.
Je sens, mais ce qu’il me met doit égaler la verge de Samba que je viens de voir.
La pénétration anale de Pierre pendant notre nuit de noces a fait le chemin et je finis par sentir ses couilles battre mes cuisses.
Peu à peu appuyé sur le rebord de cette fenêtre, le plaisir monte en moi.
Mon mari est un pédéraste, mais moi aussi je découvre que l’on peut jouir par le cul surtout que la main de Youssouf vient de passer devant moi et me caresse le clito.
• Ah ! ah ! ah ! aaaaaah !
J’ai presque hurlé tellement la jouissance par la double action de la verge de Youssouf ainsi que son doigt sur mon clito a été extrêmement intense.
Je me caresse depuis mon adolescence, ce qui m’a frustré un peu plus du refus de mon mari de me prendre par la chatte depuis le début de mon mariage.
Pierre m’a entendu et tourne la tête.
Les jeux avec nos chauffeurs dans cette pièce continuent, Pierre enculant Samba, mais avec Mamadou qui lui aussi lui met sa verge dans l’anus.
J’ai eu mal avec une, lui se fait enculer par deux, une grosse, la deuxième plus raisonnable.
• Viens, Marie, ton mari t’a vu, je pense qu’il te parlera plus tard !
C’est à table sur la terrasse devant la piscine vide en eau, une fuite attendant les réparateurs que nous dînons.
• Marie, je dois te parler de ce que tu as découvert tout à l’heure.
Je suis un PD comme ils disent ici, un homosexuel.
Depuis mes seize ans, Youssouf m’a fait voir que le fils de la maison était un homo et aimait les verges noires.
Youssouf s’est occupé de toi et je vous ai vu.
Tu peux baiser avec eux comme je baise, moi aussi avec.
Tous ont interdiction de te prendre par la chatte, surtout qu’ici on baise sans protection.
Dans quelques jours, je t’en dirai plus, mais jusque-là respecte mes directives, avoir un petit négrillon comme fils serait très mal vu dans la communauté blanche restant dans ce pays.
C’est ce que mon ex-femme a eu du mal à comprendre.
• C’est pour ça que tu as divorcé !
• Que je l’ai répudié, un jour je l’ai vu se faire sauter par son chauffeur et je l’ai renvoyé dans son pays.
Le reste de la soirée, je suis seule, ça m’arrange, ça repose mon anus.
Je m’interroge sur mon avenir et ce qui risquait de m’arriver.
Le lendemain, des ouvriers arrivent et réparent la fuite avant de remettre la piscine en eau.
Ils sont partis et malgré la fraîcheur de l’eau sortant des canalisations, je me baigne alors que Pierre est retourné à la banque.
Youssouf et Samba, aussi nus que je le suis, entrent dans l’eau et viennent m’entourer.
• Mon mari m’a parlé hier au soir, savez-vous ce qu’il mijote pour mon avenir.
• Attends, c’est lui le patron, nous nous sommes tes boys.
Soit tranquille, attend patiemment, il aura une descendance.
J’ai compris entre la répudiation et le retour en France perdant tous les avantages de la position qu’il m’offre, je choisis de rester.
Pour la première fois, chacun assis sur la margelle, je suce deux hommes en alternance, Youssouf et Samba.
Deux belles verges noires qui m’offrent leur rasade de sperme là encore pour la première fois.
Ça fait plus d’un mois que je baise avec les boys, j’ai envie de me rendre au marché si folklorique dans ce pays.
• Samba, d’où es-tu ?
• De Dakar patronne.
• Fait moi visiter les lieux où tu as vécu.
• C’est un quartier miséreux, c’est pour ça que j’ai cherché un travail dans le quartier blanc.
Il est vrai que ce que je découvre est loin de ce que je connais depuis ma naissance.
Des maisons faites de bric et de broc, des chemins de terre, des enfants qui trainent un peu partout et des femmes en doudou de couleur portant d’autres enfants sur leur dos.
Dire que pour le moment, alors que je rêve d’avoir des enfants, je suis toujours vierge de pénétration de mon mari.
Un café, Samba fait un signe à une jeune femme.
• Qui est-ce, ta fiancée ?
• Non, ma cousine, elle travaille dans ce café.
• Arrête la voiture, je t’offre une boisson fraiche.
Il gare ma voiture et viens m’ouvrir ma portière.
Nous nous asseyons à la terrasse, la jeune femme en tenue européenne vient nous servir.
J’ai souvent eu envie de proposer à Julie des jeux érotiques, mais la peur d’être surpris par mon père a fait que je suis vierge de cette expérience.
• Bonjour madame, Samba m’avait dit qu’il travaillait pour une Française, vous êtes très belle !
Pouvez-vous m’embaucher, mon contrat se termine ce soir.
Dès que nous rentrons j’attends mon mari.
• Pierre, je voudrais avoir une dame de compagnie, Saloma accepterait le poste, c’est la cousine de Samba.
Il y a une chambre libre à côté de la mienne, nous pourrions la loger.
Mon mari accepte que la jeune femme vienne à la villa, je me sens moins seule.
Le soir, mon mari vient honorer mon anus avant de rejoindre sa propre chambre.
Certaines femmes font leur devoir conjugal en écartant simplement leurs cuisses, moi ce sont mes fesses que j’écarte avec mes mains pour que je fasse le mien.
Quelle heure est-il, je sens un souffle sur ma nuque.
Depuis que je suis arrivée et que les boys s’occupent de moi, c’est la première fois que l’un d’eux viens me rejoindre la nuit dans cette chambre.
Samba, c’est dans la voiture lors de sorties ou dans la piscine avec l’un ou l’autre de ces garçons que je prends mon plaisir.
Youssouf, c’est souvent le matin lorsqu’il me sert mon petit déjeuner qu’il aime se faire sucer.
• Reste calme Marie, c’est moi Saloma, je sais ta situation, je serais une tombe, mais je veux que tu sois heureuse autant que je le suis depuis que tu as accepté de me faire venir ici.
Veux-tu que je t’avoue une chose ?
Je me tourne nos bouches sont à quelques centimètres, l’une l’autre.
• Marie, je dois être la première noire à avoir sa chambre dans ce grand bâtiment.
Des doudous noires, il doit y en avoir eu beaucoup, mais au service des maîtres, le temps qu’ils les sautent même s’ils elles étaient mariées.
Ils se sentaient tout-puissants et elles en avaient très peur.
Mon arrière-grand-mère était l’une d’elles, elle est morte à plus de cent ans, elle m’a toujours dit que mon aïeul pleurait, dans l’impossibilité de faire quoi que ce soit, chaque fois que le maître la faisait appeler.
Elle m’a dit que son dos était déchiré par le fouet qui leur était appliqué pour la moindre peccadille.
Je suis la première ayant sa chambre, car tous couchaient dans les dépendances où vivent mon cousin et les autres nègres.
Nous sommes toujours un peu au temps des esclaves Marie même si nous avons été affranchis et qu’on nous dit être des citoyens.
Je limite la distance et pour la première fois, j’embrasse les grosses lèvres de cette magnifique black.
Sa langue est douce, je vais découvrir encore un nouveau monde.
J’ai bien fait de rester, ma chatte est complètement humide...
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Hum, une nouvelle découverte pour Marie!