COLLECTION BLACK. Nos boys (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2023 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION BLACK. Nos boys (3/3)
Croyant à une boutade lorsque Pierre homme déjà d’âge mur me demande en mariage, j’ai failli lui dire non.
Par chance, moi fille d’un aiguilleur SNCF, je me retrouve dès ma nuit de noces dans une situation délicate, mais que je qualifierais plutôt d’insolite.
Mon mari s’intéresse plus à mon anus qu’à ma chatte.
En me mariant, j’apprends que je devrais vivre dans la région de Dakar au Sénégal.
Pierre directeur de la banque SG possède une maison avec des dépendances ou résident ses boys.
Grâce à Youssouf son majordome je découvre l’homosexualité de mon mari surtout lorsqu’il fait passer son examen d’embauche définitif à Samba jeune boy qui sera mon chauffeur particulier.
Au milieu de tous ces hommes, tous amants de Pierre, un certain ennuie me gagne.
C’est lors d’une sortie avec ma voiture que Samba me fait connaître Saloma jeune et belle négresse.
Mon mari accepte que j’en fasse ma dame de compagnie l’installant dans la chambre voisine de la mienne.
Dès la première nuit, c’est Saloma qui fait le premier me rejoignant dans mon lit où je dors seule depuis mon premier jour ici.
En région parisienne où je résidais, j’avais une amie, Julie avec qui je faisais mes études afin d’obtenir un BTS dans le domaine de la lunette.
Je voulais être médecin, mais le numérus clausus m’en a empêché.
Sans être lesbienne à deux ou trois occasions avec mon amie Julie, j’ai failli finir dans son lit sans jamais franchir le pas.
Avec Saloma tout est simple, comme le sont les filles de son pays, l’insouciante pour les choses du sexe qu’elle me montre, m’étonne au début, mais très vite j’y prends goût.
Quatre boys, un mari tous depuis mon arrivée s’occupent de mon anus, Saloma est la seule avec ses doigts et sa bouche à s’occuper de ma chatte que tous les autres délaissent.
Mon mari principalement, qui doit un jour me faire un enfant, mais qui montre peu d’empressement à venir y déposer la petite graine qui ferait de moi une femme comblée.
Les boys, même si tous même Babacar le prof de sport et masseur de Pierre me défoncent l’anus chaque fois que je fais appel à eux, mais pour éviter tous risque que mon fils soit mulâtre, c’est la seule voie qu’ils ont le droit d’emprunter.
Avec Saloma, j’ai découvert une particularité de mon corps que j’ignorais.
Non, deux, la première s’est que ma chatte est assez extensible pour recevoir son poing jusqu’à son avant-bras ce qui entraîne mes glandes à lâcher leur cyprine et au matin l’obligation pour Youssouf de changer les draps.
Ce qu’il y a de bon avec les boys, c’est comme le faisaient leurs parents, ils s’exécutent sans poser la moindre question.
Encule-moi, aucun problème, je présente mon cul et je suis servie.
Il en va de même pour les repas Youssouf s’occupe de tous et nous manquons de rien.
Depuis l’arrivée de Saloma, elle aime à prendre ma voiture conduite par Samba ou Mamadou pour aller faire des courses en ville.
Je la vois souvent sortir des dépendances où les garçons vivent.
Si mon mari se fait enculer par ses boys, c’est souvent par un ou deux.
Saloma revient quelquefois repue du sexe de ces quatre garçons, sans jamais osé aller y voir, sa chatte leur étant autorisés, elle est capable de tous les satisfaire en même temps.
Depuis qu’elle est réparée, la piscine est l’endroit où j’aime vivre de longues heures sous un parasole et sur un transat recouvert d’un matelas que l’un d’eux met et enlève le matin et le soir.
Avec Saloma, nous venons de faire l’amour.
Cette nuit est particulièrement chaude et me levant subrepticement, au lieu de rendre une douche, je décide de me rendre à la piscine.
En temps normal, à cette heure, les lumières qui l’entourent sont éteintes, mais là elles brillent de mille feux.
Intriguée je descends les marches, Pierre est là assis, nu, sur le transat où j’ai passé l’après-midi à parfaire mon bronzage, je suis presque aussi noire que ma maîtresse noire.
• Ma chérie, tu tombes bien, j’avais envie de baiser, viens ici que je t’encule.
• M’enculer, mais quand t’occuperas tu de ma chatte afin que nous ayons un enfant.
• Si tu crois que c’est facile de changer sa nature depuis que j’ai en ma puberté, j’encule et je me fais enculer par les verges de mes boys.
• Sachant le manque que tu dois ressentir, c’est pourquoi j’ai accepté que tu aies une dame de compagnie.
De ma chambre, je vous entends souvent jouer ensemble.
Ça été le cas ce soir, je me suis levé, mais au moment de franchir ta porte, j’ai reculé et je suis venu au bord de la piscine.
J’étais en train de me demander comment nous pourrions trouver le temps et comment avoir ce bébé.
Une idée me vient, je lui propose de la mettre en pratique, je commence par lui mettre la main sur le sexe, il me laisse faire.
• Me permets-tu de te sucer, si ma bouche arrive à te faire bander peut-être que tu arriveras à me sauter.
Un silence vaut acceptation, je me penche et ma langue vient titiller son gland, jusqu’au moment où je l’avale au plus moins que je le peux, il bande.
• Je vais me mettre à quatre pattes sur la margelle, tu vas essayer de me prendre.
Je me place, je sens qu’il cherche mon anus, par instinct certainement.
Je passe ma main entre nous et avant qu’il comprenne je lui fais prendre ma direction par où j’espère enfanter.
Il est surpris moi aussi lorsque nous avons un orgasme respectif, pour la première fois son sperme se perd autre part que dans mon anus ou celui de ses boys.
Nous nous relevons, au moment où je passe près de lui, je manque de lui faire perdre l’équilibre manquant de l’envoyer dans l’eau.
• Tu es une mante religieuse, tu veux tuer ton mâle après qu’il ait copulé.
Petit, j’ai été à la mer et j’ai failli me noyer, j’ai toujours refusé de retourner dans l’eau et d’apprendre à nager.
Je vais rester près de la piscine, il y fait frais afin de me remettre de mes émotions.
Je fais le chemin inverse de celui qui m’a amené vers la bite de Pierre.
Enfin j’ai son sperme au fond de ma chatte, je le sens même couler le long de mes jambes.
Je devrais prendre une douche, mais je préfère garder ce sperme, qui je l’espère me permettrai de faire honneur à mes parents qui seraient déçus et qui pourraient penser qu’ils ont mis au monde une fille stérile.
Dans ma chambre, Saloma a dû rejoindre sa propre chambre, car mon lit est vide.
Je me couche et plein de rêves de bébés à nettoyer leurs fesses, je dore.
• Madame, madame, c’est Youssouf, j’ai appelé les secours, monsieur a dû tomber dans la piscine et il s’est noyé.
Le ciel me tombe sur la tête, réveillé en sursaut et courant vers l’endroit ou cette nuit, mon mari malgré ses tendances homosexuelles, a su me faire l’amour me remplissant mon vagin.
La police est venue, l’inspecteur a déclenché une autopsie, mon mari avait bien de l’eau dans les poumons.
J’apprends comment Youssouf se levant dans la nuit a vu la lumière autour de la piscine.
Charger de les éteindre le soir, il a cru qu’il avait oublié et lorsqu’il est arrivé, Pierre flottait sur le ventre la tête dans l’eau.
Il a plongé, ramené son corps toujours nu vers les marches, mais il était trop tard.
Voulant éviter les ennuis, j’ignore comment est la police à Dakar, j’évite de poser des questions et surtout de dire que je suis venue au bord de notre piscine.
Dans ma banlieue lorsque je distribuais des tracs du parti pour papa, j’avais appris à me méfier.
• Madame, vous héritez des biens de monsieur feu votre mari.
Vous pouvez vivre tranquille jusqu’à la fin de vos jours.
Mon histoire pourrait s’arrêter là, mais le corps de Pierre est juste enterré quand Youssouf demande à me voir.
• Madame, je vous ai protégé devant la police, j’ai bien vu la lumière et je suis descendue.
Je vous ai vu avec le patron lorsque vous avez fait l’amour ensemble, du moins normalement pour un couple.
Je me suis bien gardé de vous déranger.
Je vous ai vu remonter vers votre chambre lorsque Saloma est sortie de la maison.
Vous avez failli vous croiser, elle aussi avait envie d’un bon bain, mais monsieur étant là, il a essayé de la prendre dans ses bras.
Elle l’a repoussé, mais monsieur Pierre a perdu l’équilibre et est tombé à l’eau.
Elle en a profité pour remonter sans s’inquiéter du patron.
J’aurais pu intervenir lorsque je l’ai vu couler à pic au fond de la piscine, mais depuis tout petit j’ai peur de l’eau et ce serait deux cadavres qui auraient remonté comme l’a fait le patron.
Incroyable, j’étais veuve car dans ma maison, il y a une piscine sans que la plupart des occupants sachent nager.
Plusieurs morts suspectes auraient attiré la police chez moi, j’ordonne des cours de natation.
C’est Babacar le prof de sport et l’un des amants de Pierre qui leur donne.
Pour ma part, rapidement j’apprends que mon mari aura une descendance post mortem.
Je mets au monde Pierre junior et jusqu’à mon retour de couches, je reste sage.
J’ai même la visite de mes parents pour mon accouchement.
Maman est triste pour mon mari sans savoir les dérives sexuelles qui le caractérisaient.
J’ai eu une discussion avec Saloma qui m’a confirmé les propos de Youssouf concernant la noyade de mon mari.
Lorsqu’elle a fui, elle l’a entendu tomber sans savoir qu’il allait se noyer, elle aussi a eu besoin des cours de natation.
Par contre, sa langue a retrouvé rapidement mon intimité même lorsque mes parents étaient là.
Nous nous faisions bronzer avec Saloma et maman lorsque j’ai vu mon père se glisser subrepticement vers les logements des boys.
Comme avec Youssouf lorsqu’il m’a entraîné voir les dérives de mon mari.
Je pourrais le suivre, mais voir mon père tâter de la bite noire, je me garde bien de lever mes fesses de mon transat.
• Samba, peux-tu venir me voir ?
• Oui madame, j’arrive.
Je suis nue, seule sur mon lit lorsqu’il arrive.
• Baise-moi !
Un à un mes boys profitent de mon corps, mais différemment du temps de mon mari.
Mes parents étant repartis, nous pouvons même organiser des fêtes auprès de ma piscine.
Je me fais souvent enculer, mais j’aime que mes boys peu importe lesquels sont à la manœuvre, il me prenne en double pénétration.
Je suis riche, mon mari ayant d’énormes biens comme sont énormes les bites qui me pénètrent.
Un avant-dernier point je souhaite que Pierre Junior ait de préférence une petite sœur, je me fiche royalement que cette petite soit métissée,
Dernier point, je viens d’ouvrir une boutique dans le centre de Dakar, je vends des lunettes à la population locale.
Saloma la tient lorsque je suis absente, cette boutique donne un sens à ma vie surtout que ce jour, le remplaçant de Pierre vient d’arriver du continent et il m’a tapé dans l’œil.
Boys, bites noires, je vais pouvoir comparer avec sa bite blanche.
Par chance, moi fille d’un aiguilleur SNCF, je me retrouve dès ma nuit de noces dans une situation délicate, mais que je qualifierais plutôt d’insolite.
Mon mari s’intéresse plus à mon anus qu’à ma chatte.
En me mariant, j’apprends que je devrais vivre dans la région de Dakar au Sénégal.
Pierre directeur de la banque SG possède une maison avec des dépendances ou résident ses boys.
Grâce à Youssouf son majordome je découvre l’homosexualité de mon mari surtout lorsqu’il fait passer son examen d’embauche définitif à Samba jeune boy qui sera mon chauffeur particulier.
Au milieu de tous ces hommes, tous amants de Pierre, un certain ennuie me gagne.
C’est lors d’une sortie avec ma voiture que Samba me fait connaître Saloma jeune et belle négresse.
Mon mari accepte que j’en fasse ma dame de compagnie l’installant dans la chambre voisine de la mienne.
Dès la première nuit, c’est Saloma qui fait le premier me rejoignant dans mon lit où je dors seule depuis mon premier jour ici.
En région parisienne où je résidais, j’avais une amie, Julie avec qui je faisais mes études afin d’obtenir un BTS dans le domaine de la lunette.
Je voulais être médecin, mais le numérus clausus m’en a empêché.
Sans être lesbienne à deux ou trois occasions avec mon amie Julie, j’ai failli finir dans son lit sans jamais franchir le pas.
Avec Saloma tout est simple, comme le sont les filles de son pays, l’insouciante pour les choses du sexe qu’elle me montre, m’étonne au début, mais très vite j’y prends goût.
Quatre boys, un mari tous depuis mon arrivée s’occupent de mon anus, Saloma est la seule avec ses doigts et sa bouche à s’occuper de ma chatte que tous les autres délaissent.
Mon mari principalement, qui doit un jour me faire un enfant, mais qui montre peu d’empressement à venir y déposer la petite graine qui ferait de moi une femme comblée.
Les boys, même si tous même Babacar le prof de sport et masseur de Pierre me défoncent l’anus chaque fois que je fais appel à eux, mais pour éviter tous risque que mon fils soit mulâtre, c’est la seule voie qu’ils ont le droit d’emprunter.
Avec Saloma, j’ai découvert une particularité de mon corps que j’ignorais.
Non, deux, la première s’est que ma chatte est assez extensible pour recevoir son poing jusqu’à son avant-bras ce qui entraîne mes glandes à lâcher leur cyprine et au matin l’obligation pour Youssouf de changer les draps.
Ce qu’il y a de bon avec les boys, c’est comme le faisaient leurs parents, ils s’exécutent sans poser la moindre question.
Encule-moi, aucun problème, je présente mon cul et je suis servie.
Il en va de même pour les repas Youssouf s’occupe de tous et nous manquons de rien.
Depuis l’arrivée de Saloma, elle aime à prendre ma voiture conduite par Samba ou Mamadou pour aller faire des courses en ville.
Je la vois souvent sortir des dépendances où les garçons vivent.
Si mon mari se fait enculer par ses boys, c’est souvent par un ou deux.
Saloma revient quelquefois repue du sexe de ces quatre garçons, sans jamais osé aller y voir, sa chatte leur étant autorisés, elle est capable de tous les satisfaire en même temps.
Depuis qu’elle est réparée, la piscine est l’endroit où j’aime vivre de longues heures sous un parasole et sur un transat recouvert d’un matelas que l’un d’eux met et enlève le matin et le soir.
Avec Saloma, nous venons de faire l’amour.
Cette nuit est particulièrement chaude et me levant subrepticement, au lieu de rendre une douche, je décide de me rendre à la piscine.
En temps normal, à cette heure, les lumières qui l’entourent sont éteintes, mais là elles brillent de mille feux.
Intriguée je descends les marches, Pierre est là assis, nu, sur le transat où j’ai passé l’après-midi à parfaire mon bronzage, je suis presque aussi noire que ma maîtresse noire.
• Ma chérie, tu tombes bien, j’avais envie de baiser, viens ici que je t’encule.
• M’enculer, mais quand t’occuperas tu de ma chatte afin que nous ayons un enfant.
• Si tu crois que c’est facile de changer sa nature depuis que j’ai en ma puberté, j’encule et je me fais enculer par les verges de mes boys.
• Sachant le manque que tu dois ressentir, c’est pourquoi j’ai accepté que tu aies une dame de compagnie.
De ma chambre, je vous entends souvent jouer ensemble.
Ça été le cas ce soir, je me suis levé, mais au moment de franchir ta porte, j’ai reculé et je suis venu au bord de la piscine.
J’étais en train de me demander comment nous pourrions trouver le temps et comment avoir ce bébé.
Une idée me vient, je lui propose de la mettre en pratique, je commence par lui mettre la main sur le sexe, il me laisse faire.
• Me permets-tu de te sucer, si ma bouche arrive à te faire bander peut-être que tu arriveras à me sauter.
Un silence vaut acceptation, je me penche et ma langue vient titiller son gland, jusqu’au moment où je l’avale au plus moins que je le peux, il bande.
• Je vais me mettre à quatre pattes sur la margelle, tu vas essayer de me prendre.
Je me place, je sens qu’il cherche mon anus, par instinct certainement.
Je passe ma main entre nous et avant qu’il comprenne je lui fais prendre ma direction par où j’espère enfanter.
Il est surpris moi aussi lorsque nous avons un orgasme respectif, pour la première fois son sperme se perd autre part que dans mon anus ou celui de ses boys.
Nous nous relevons, au moment où je passe près de lui, je manque de lui faire perdre l’équilibre manquant de l’envoyer dans l’eau.
• Tu es une mante religieuse, tu veux tuer ton mâle après qu’il ait copulé.
Petit, j’ai été à la mer et j’ai failli me noyer, j’ai toujours refusé de retourner dans l’eau et d’apprendre à nager.
Je vais rester près de la piscine, il y fait frais afin de me remettre de mes émotions.
Je fais le chemin inverse de celui qui m’a amené vers la bite de Pierre.
Enfin j’ai son sperme au fond de ma chatte, je le sens même couler le long de mes jambes.
Je devrais prendre une douche, mais je préfère garder ce sperme, qui je l’espère me permettrai de faire honneur à mes parents qui seraient déçus et qui pourraient penser qu’ils ont mis au monde une fille stérile.
Dans ma chambre, Saloma a dû rejoindre sa propre chambre, car mon lit est vide.
Je me couche et plein de rêves de bébés à nettoyer leurs fesses, je dore.
• Madame, madame, c’est Youssouf, j’ai appelé les secours, monsieur a dû tomber dans la piscine et il s’est noyé.
Le ciel me tombe sur la tête, réveillé en sursaut et courant vers l’endroit ou cette nuit, mon mari malgré ses tendances homosexuelles, a su me faire l’amour me remplissant mon vagin.
La police est venue, l’inspecteur a déclenché une autopsie, mon mari avait bien de l’eau dans les poumons.
J’apprends comment Youssouf se levant dans la nuit a vu la lumière autour de la piscine.
Charger de les éteindre le soir, il a cru qu’il avait oublié et lorsqu’il est arrivé, Pierre flottait sur le ventre la tête dans l’eau.
Il a plongé, ramené son corps toujours nu vers les marches, mais il était trop tard.
Voulant éviter les ennuis, j’ignore comment est la police à Dakar, j’évite de poser des questions et surtout de dire que je suis venue au bord de notre piscine.
Dans ma banlieue lorsque je distribuais des tracs du parti pour papa, j’avais appris à me méfier.
• Madame, vous héritez des biens de monsieur feu votre mari.
Vous pouvez vivre tranquille jusqu’à la fin de vos jours.
Mon histoire pourrait s’arrêter là, mais le corps de Pierre est juste enterré quand Youssouf demande à me voir.
• Madame, je vous ai protégé devant la police, j’ai bien vu la lumière et je suis descendue.
Je vous ai vu avec le patron lorsque vous avez fait l’amour ensemble, du moins normalement pour un couple.
Je me suis bien gardé de vous déranger.
Je vous ai vu remonter vers votre chambre lorsque Saloma est sortie de la maison.
Vous avez failli vous croiser, elle aussi avait envie d’un bon bain, mais monsieur étant là, il a essayé de la prendre dans ses bras.
Elle l’a repoussé, mais monsieur Pierre a perdu l’équilibre et est tombé à l’eau.
Elle en a profité pour remonter sans s’inquiéter du patron.
J’aurais pu intervenir lorsque je l’ai vu couler à pic au fond de la piscine, mais depuis tout petit j’ai peur de l’eau et ce serait deux cadavres qui auraient remonté comme l’a fait le patron.
Incroyable, j’étais veuve car dans ma maison, il y a une piscine sans que la plupart des occupants sachent nager.
Plusieurs morts suspectes auraient attiré la police chez moi, j’ordonne des cours de natation.
C’est Babacar le prof de sport et l’un des amants de Pierre qui leur donne.
Pour ma part, rapidement j’apprends que mon mari aura une descendance post mortem.
Je mets au monde Pierre junior et jusqu’à mon retour de couches, je reste sage.
J’ai même la visite de mes parents pour mon accouchement.
Maman est triste pour mon mari sans savoir les dérives sexuelles qui le caractérisaient.
J’ai eu une discussion avec Saloma qui m’a confirmé les propos de Youssouf concernant la noyade de mon mari.
Lorsqu’elle a fui, elle l’a entendu tomber sans savoir qu’il allait se noyer, elle aussi a eu besoin des cours de natation.
Par contre, sa langue a retrouvé rapidement mon intimité même lorsque mes parents étaient là.
Nous nous faisions bronzer avec Saloma et maman lorsque j’ai vu mon père se glisser subrepticement vers les logements des boys.
Comme avec Youssouf lorsqu’il m’a entraîné voir les dérives de mon mari.
Je pourrais le suivre, mais voir mon père tâter de la bite noire, je me garde bien de lever mes fesses de mon transat.
• Samba, peux-tu venir me voir ?
• Oui madame, j’arrive.
Je suis nue, seule sur mon lit lorsqu’il arrive.
• Baise-moi !
Un à un mes boys profitent de mon corps, mais différemment du temps de mon mari.
Mes parents étant repartis, nous pouvons même organiser des fêtes auprès de ma piscine.
Je me fais souvent enculer, mais j’aime que mes boys peu importe lesquels sont à la manœuvre, il me prenne en double pénétration.
Je suis riche, mon mari ayant d’énormes biens comme sont énormes les bites qui me pénètrent.
Un avant-dernier point je souhaite que Pierre Junior ait de préférence une petite sœur, je me fiche royalement que cette petite soit métissée,
Dernier point, je viens d’ouvrir une boutique dans le centre de Dakar, je vends des lunettes à la population locale.
Saloma la tient lorsque je suis absente, cette boutique donne un sens à ma vie surtout que ce jour, le remplaçant de Pierre vient d’arriver du continent et il m’a tapé dans l’œil.
Boys, bites noires, je vais pouvoir comparer avec sa bite blanche.
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Les avis des lecteurs
j aime quand ca fini bien
Une belle et chaude histoire qui finit bien!