COLLECTION BOURGEOISE. Une bourgeoise aux deux facettes. Épisode 1 (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION BOURGEOISE. Une bourgeoise aux deux facettes. Épisode 1 (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BOURGEOISE. Une bourgeoise aux deux facettes. Épisode 1 (1/2)
Je m’appelle Josiane X, étant donné ce que je vais vous raconter, le X peut se faire comprendre lorsque je vous en révèlerai plus sur mon activité !
Eh puis si, Josyane Alba, même prénom, mais nom différent, c’est normal, c’est mon nom d’emprunt lorsque je suis l’autre.
Tout ceci peut vous paraître confus, mais j’ai besoin de légitimité, de ce que je suis réellement.
La première, femme d’un homme puissant, que j’appellerais Jean-Bernard.
Jean-Bernard, haut fonctionnaire au ministère de l’Intérieur.
Josiane X, bourgeoise de la vie parisienne, satisfaite sexuellement par l’homme qui partage sa vie.
Enfin, presque satisfaite, on verra dans les heures prochaines que lorsque le démon entre en moi, je suis très loin de cette femme dont on dit que je suis, bon chic, bon genre.
Du moins, la deuxième, loin de la première.
Prenons un exemple, ce sera plus simple.
Je marche dans Paris, ayant pris trois taxis pour me retrouver dans un quartier chic de la capitale, bien loin de celui ou je réside, mais tout aussi chic que notre lieu de résidence.
Nous pouvons donner un exemple qui ne coute rien, Josiane X habite près de l’Opéra et se rend dans un immeuble situé dans les 16 arrondissements.
La première, blonde, grosse lunette de soleil, tailleur Dior et tous les accessoires qui vont avec, du sac aux chaussures, style Louboutin.
Si vous allez sur le site de ces chaussures luxueuses, celles à 1095 €, bleues avec des pierres et bien sûr les célèbres semelles rouges, ce sont celles avec lesquelles je me déplace aujourd’hui.
Des chaussures dans mon dressing-room, j’en ai un choix d’environ 200 paires.
Après bien des précautions, ma situation m’interdisant de prendre le métro, pour une femme de ma classe, j’entre dans un immeuble grâce au digicode qui est en ma possession.
Ascenseur, sixième, j’ai fait poser une ouverture avec, là encore, un code d’accès.
Ça peut servir quand je vous raconterai la suite de mes aventures.
Trois pièces, je vais dans la chambre et je me mets nue.
On pourrait dire que je mue comme un serpent.
J’ouvre mon armoire, j’y ai quelques fringues de bourge, la plupart de celles que je ne mets plus.
Un mécanisme, le fond pivote, je rentre dans une autre chambre, moins bon chic, bon genre.
J’ai soigné l’agencement d’une chambre en rapport de l’autre, si par malchance quelqu’un entre dans l’une ou l’autre des pièces, il faut que cela concorde avec qui je suis.
D’un côté « madame propre. »
De l’autre, celle qui s’éclate lorsque le besoin s’en fait sentir, en « madame, elle peut tout se permettre. »
Hier au soir, avec Jean-Bernard, il est plutôt drôle d’appeler mon mari ainsi.
Bien sûr, je cache son vrai prénom comme notre nom de famille.
Jean-Bernard, j’en ai connu un, celui qui m’a dépucelé, m’apportant la deuxième, moi, celle qui vient de rentrer dans une chambre jamais faite depuis que j’ai ma double activité.
Homme beau comme un dieu, qui a su me mettre le feu au cul, après des braquages d’une audace folle.
Nous braquions, nous nous retrouvions chez lui et nous baisions à couilles rabattues.
Certainement l’adrénaline des situations quelques fois à deux doigts de l’irréparable, moi qui devais être présentée à mon futur mari au bal des débutantes de la haute société parisienne.
Avec Jean-Bernard, le premier, avant mariage, il m’a tout appris du sexe et de la façon de me comporter lorsque nous faisions un casse.
Hélas, un vigile, plus impétueux que les autres lui ayant mis une balle dans le dos alors qu’ils nous étaient arrivés d’en tuer quelques-uns, mais malgré nos masques les yeux bien dans les yeux.
Je dois avouer quelque chose, il faut être précise lorsque l’on raconte qui l’on est.
Cinq personnes tuées avec lui.
Quatre à mon actif et seulement un pour Jean-Bernard.
J’adore les voir crever, qui plus est, gratuitement, j’aime leur abréger les vies de merde, qu’ils vivent en gardant l’entrée d’une banque ou d’une bijouterie.
Jean-Bernard mort, je me suis calmée quelque temps, m’installant dans ma vie de bourgeoise.
Jusqu’à il y a quelques mois, ou j’ai ressenti l’envie d’avoir en moi, ces poussées d’adrénaline que j’avais avant de me croire ranger des affaires.
Même, les journaux parisiens, voire nationaux, ne communiquent plus sur Bonnie and Clyde.
Le jour où j’ai décidé de recommencer à vibrer, j’ai pris des risques, bien que j’aie laissé passer du temps.
Je suis retournée à Montmartre où nous avions notre planque.
Tout était là, même quelques lingots ou diverses devises tirées dans les derniers coups que nous avions faits.
Les montres Cartier, Rolex, celles de mon ami Ségasa, plutôt celui de Jean-Bernard.
C’est con d’avoir choisi le même prénom, le deuxième, celui qui m’a mis mon alliance entourée de diamants que je viens d’enlever devant ma coiffeuse qui va me servir pour ma transformation.
Trace de soleil, j’adore me faire bronzer dans notre résidence niçoise.
Je la remplace par une bague à tête de mort en argent, sûrement l’emblème de Josyane Alba que je viens incarner.
Dans la planque, tout était là, nous avions, là encore, bien cloisonné nos activités.
En plusieurs voyages après que mes nouvelles adresses soient prêtes, j’ai pu transférer divers calibres trouvés dans la cache où nous les entreposions.
J’ai même dans mon arsenal, une Kalachnikov prise à des dealeurs de banlieue, lorsqu’un fourgue a voulu doubler Jean-Bernard, le voyou.
Bon, je ne vais pas continuer ainsi, vous seriez vite lassé de ce même nom avec deux hommes bien différents, l’un de l’autre.
Appelons mon époux Jean-Philippe, c’est le garçon avec qui nous avons fait un coup une fois, il fallait être trois et à qui Jean-Bernard a demandé de me prendre en double pénétration, après ce coup parfait.
La sodomie, la double pénétration, je vois mal demander à Jean-Philippe de participer à mes jeux, chaque fois ma peau change dans cette chambre où je viens de pénétrer.
Blonde, je suis, rousse, je deviens.
Bien sûr, j’ai à ma disposition une kyrielle de perruques, me permettant de changer de peau et surtout de look.
Baskets, jeans, corsage montrant une grande partie de mes seins, hier, à la soirée pince-fesse où nous avons participé, j’ai pu voir un coffre derrière un tableau.
J’ai aussi entendu Patricia, la maîtresse de maison, dire qu’ils partaient avec son tendre époux à Monaco retrouver leur yacht avant de partir en croisière dans les îles grecques.
Je sais, mon mari, travaille avec lui !
Mais qui pourrait penser que cette jeune femme, bien de son temps, a ce qu’il faut dans sa valise, qu’elle traîne derrière elle sur ses roulettes, pour une nouvelle aventure ?
Là, c’est plus facile qu’une bourgeoise, je prends le métro et après plusieurs correspondances, je ressors ayant la certitude de ne pas avoir été suivi et d’être surveillée.
J’ai oublié de vous dire, je suis rentrée par une rue, blonde en bourgeoise.
Je sors par la rue de l’autre côté parallèle à la première en jeune femme rousse, bien de son temps.
Quelques travaux, dont un passage entre les deux appartements avec l’achat de deux armoires me permettant, d’être l’une ou l’autre de mes personnages.
Lorsque l’on vient à une réception, le proprio nous donne les codes de la porte d’entrer.
J’arrive à leur étage en montant par l’escalier, moins je me montre aux autres plus sûrs, je serais de pouvoir me faire du pognon alors que je n’en ai nullement besoin.
Le Sacré-cœur, Notre dame avant qu’elle ne brûle, je fourgue ce que je vole et je donne le fruit de mes larcins à plus pauvre que moi.
Je suis la Robin des bois des temps modernes, hélas aujourd’hui peu de chances de me servir de mon flingue rangé dans la banane qu’une jeune sportive comme moi porte sur son ventre.
La serrure, trois minutes et elle rend l’âme, me permettant de rentrer m’abriter.
Les cons, ils pensent que « Verifuge » va les protéger d’un monte-en-l’air comme moi.
Plus de cassettes, image fixe sur les deux caméras que je vais avoir besoin de contourner pour rester anonyme.
Ma sécurité assurée, je vais dans la chambre où je sais trouver le coffre-fort de marque…
Non, pas de nom de marque, le temps que je vais mettre à l’ouvrir après avoir sorti mon stéthoscope de ma valise, leur ferait de la contre-publicité.
Trois minutes de moins que le dernier de même marque que j’ai forcé.
C’est étonnant la confiance qu’ont les gens ayant du pognon pour notre monnaie.
Plusieurs liasses en dollars américains, quelques lingots et des papiers que je parcours.
Quelques titres au porteur que je récupère.
Mais aussi des actes de propriété dont celui du yacht de Monaco.
Tiens, ce yacht, il mériterait une visite, ce sera possible en me rendant dans notre villa sur les hauteurs de Nice.
Une visite de courtoisie sur ce bateau long de vingt-cinq mètres sera la bienvenue.
Je repère le nom « Bella », c’est facile à retenir.
Je referme le coffre, je vais pour enlever mes gants de chirurgien.
Je n’en ai rien à battre de mon ADN dans le reste de l’appartement, lors de ma visite à leur pince-fesse, je l’ai laissé dans bien des pièces.
Vous allez rire, j’ai même glavioté sur un meuble empire alors que j’étais en robe du soir à presque 10 000 €.
Combien étions-nous, soixante, soixante-dix, à cette soirée ?
Mais sur le coffre et dans la chambre, je ne prends aucun risque.
L’appartement est resté dans l’état, il y aura un service de nettoyage qui va venir nettoyer demain.
Je vais au frigo, je prends une bouteille de champagne, je me rends dans le salon et sur le canapé ou dans la réception, j’en ai déjà bu une coupe.
Je fais péter le bouchon et je me bois deux coupes bien fraiches de suite.
C’est à ce moment que j’entends quelqu’un entrer dans l’appartement.
C’est sur le ton de la plaisanterie avec Herbin, le proprio que je viens de dépouiller que j’ai appris que le nettoyage, c’était pour demain, me laissant le temps de piller le coffre.
Je me cache derrière le rideau, une jeune femme passe dans un couloir et se rend directement vers les chambres.
Je récupère mon arme et je la suis.
La vingtaine, cheveux courts à la garçonne et brune.
Elle va droit au tableau qu’elle ouvre et tape la combinaison.

• Inutile de t’emmerder, je l’ai déjà ouvert, qui es-tu ?
• La servante de cette maison, vous qui êtes-vous ?
Vous me faites peur avec cette arme !
• À poil, je vais te faire voir qui je suis !

L’œil du révolver, même petit pour tenir dans ma banane doit l’impressionner, car elle s’exécute sans plus me poser de questions.

• Allonge-toi sur le lit, tu as fait monter mon adrénaline lorsque tu es entrée, je sens ma mouille inonder ma chatte.

J’enlève mes fringues et une fois nue, je monte sur le lit, je viens au-dessus de la servante et je lui donne ma chatte à sucer.
Ma chatte épilée, je me la fais épiler chaque semaine.
Inutile de donner des indices à ceux avec qui je baise, si besoin, lorsque je suis Josyane Alba.
Chaque semaine, je me rends à mon institut de beauté, une bourge de mon rang, doit toujours être impeccable.
Lorsque j’écarte mes grandes lèvres, je présente mon clito, que celle dont j’ignore le nom se met à me le lécher.
Je sens que je vais passer un bon moment, le temps ne m’étant pas compté…

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