COLLECTION COCU. Comment ai-je pu faire ça (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Comment ai-je pu faire ça (3/3)
• Regarde maman, la boulangerie est ouverte !
C’est ainsi que je me retrouve devant mon mensonge à ma fille pour sauver la face après ce que j’ai fait cette nuit dans la villa de nos vieux amis Louisette et Lucien.
Me donner à un homme qui plus est plus vieux que Lionel et moi, un homme qui semble avoir fui après m’avoir fait jouir il est vrai.
J’apprends très vite à mentir me raccrochant aux branches.
• Luce, inutile de faire les boutiques ensemble, emmène les jumeaux au square faire de la balançoire depuis le temps qu’ils veulent y aller.
Il entre, les garçons partent en courant, par chance les deux balançoires sont libres.
J’entre dans la boulangerie.
• Je voudrais une baguette et 6 croissants.
Je paye, je vais chez le traiteur, je connais ce commerçant depuis des années, j’ai l’impression qu’ils me regardent en se disant, elle a fait cocu son mari, quelle salope.
Profité de son travail à Paris pour le cocufier.
Il me revient en mémoire que si je suis là c’est parce qu’on a embauché une jeune avocate.
Je me persuade que comme moi, il m’a trompé avec elle, si c’est le cas, je n’ai fait que lui rendre la monnaie de sa pièce.
Je vais à l’épicerie, je croise une amie habitant à Saint Gorges de Didonne, elle aussi me salut.
Il faut que je me sorte de la tête ma tromperie, s’il a fui, ça aura été un accident de la vie.
Cannelloni mousse au chocolat en boîte, j’ai tout ce qu’il faut je rejoins mes enfants.
• Maman, la boulangère t’a dit pourquoi c’était fermé ce matin ?
• Oui, l’apprenti a oublié de mettre le levain dans la pâte, ça serait trop long à vous expliquer, ils ont été obligés de tout recommencer après avoir tous jetés.
• Le levain, c’est un morceau de pâte qu’ils gardent de la veille et qu’ils mettent dans la fournée du jour.
On a appris ça à l’école quand nous avons été visités une boulangerie à l’école cette année.
• C’est très bien mon chéri, je vois que tu écoutes à l’école.
• Je le savais aussi maman.
• J’ai dit à la boulangère que j’étais venue ce matin et que vous aviez été privés de pain au chocolat les enfants, pour se faire pardonner elle m’en a donné 6 pour demain matin, je vous les réchaufferais.
• Maman, on dit chocolatine, pas pain au chocolat.
• Maman, Luc dit des bêtises, j’ai entendu à la télé qu’à Paris on dit pain au chocolat.
• Les enfants arrêtés de vous chamailler, chacun de vous peut choisir le nom qu’il veut.
Nous rentrons, papa va téléphoner pendant sa pose de 13 heures.
De retour, nous entrons, le voisin semble bien parti, rien ne bouge.
Je suis un peu déçu même si sa disparition m’évitera de me poser des questions si ce soir il revient à la charge.
J’ouvre la boîte aux lettres, une enveloppe, un nom « Ludivine ».
• Qui c’est maman, j’attends une lettre de Lydia mon amie, elle m’a promis de m’écrire.
Mensonge, toujours mentir, je suis parti dans une spirale impossible.
• C’est simplement de la publicité, allez jouer, je vous appelle pour manger.
Dans la cuisine, j’ouvre l’enveloppe.
« Ludivine, merci pour cette nuit, j’ai bien trouvé l’imper avec ta lettre.
Je suis un peu déçu que notre aventure se termine si vite, mais tu vas constater que la villa est fermée.
Léandra vient de me téléphoner elle regrette de m’avoir quitté, elle m’a supplié de rentrer, j’ai fini par accepter.
Je t’ai vu partir vers le village avec tes enfants, j’ai aussi pris conscience que j’allais briser cette famille, soit heureuse, tu resteras un joli moment de ma vie.
J’espère qu’il en aura été de même pour toi.
Louis. »
Je m’en sors les cuisses propres même si ma chatte a baigné dans le sperme de mon amant.
Je démarre le gaz et je fais brûler la lettre et l’enveloppe.
Inutile de prendre des risques à ce que Lionel tombe sur cette lettre.
Le repas se passe sans plus de problème, je dois séparer les garçons de ma fille, ça devient de plus en plus de chien et de chat en grandissant.
Comme prévu mon portable sonne, je le mets sur haut-parleur pour que chacun puisse entendre et parler.
• Papa, maman a voulu aller chercher des croissants de matin, la boulangerie était fermée, l’apprenti a fait une erreur, la dame nous a donné des pains au chocolat pour demain matin.
• On dit des chocolatines Luce.
• Tu vois je te l’avais bien dit, papa à toujours raison, j’ai toujours raison.
• Terminer tous les deux, je vais vous enfermer dans votre chambre jusqu’à ce soir au lieu que nous allions à la plage.
• À cause d’eux, c’est moi qui serais puni, déjà que Lydia ne m’a pas écrite, ce n’est vraiment pas ma journée.
• Je vois qu’il y a de l’ambiance, les enfants, arrêtés de faire tourner votre mère en bourrique, sinon je reste ici au lieu de venir samedi.
• Merci mon chéri, c’est moi qui serais puni si tu ne viens pas.
À part ça comment ça va avec ma remplaçante, j’espère que tu es sage avec elle.
Je suis vache, c’est moi qui le fais cocu et je lui fais croire que c’est lui qui le fait avec Lorène.
• Lorène, parles-en, lundi quand je suis arrivé au bureau, j’avais une lettre me disant qu’elle partait à Marseille, son copain avait trouvé un poste là-bas et pourrait la faire embaucher.
Mais j’ai pu la remplacer dans la foulée, nous avions hésité avec Lorenzo, je l’ai appelé, il était enchanté de travailler avec nous, il est dans ton bureau, il travaille comme une bête.
Lionel en quelques secondes m’enlève mon alibi à l’avoir trompé, je connais mon mari, il est loin d’être attiré par les hommes.
• Bonne fin de semaine mon chéri, vous dites au revoir à votre père.
• C’est moi le premier.
• Non, c’est moi.
• Vous serez privé de piscine tout à l’heure.
• Je m’en fiche je sais nager, c’est bien fait pour vous.
Au revoir papa, travail bien.
Les garçons boudent, je m’en fiche à part le coup de la boulangerie fermée qui me poursuit tout se passe bien.
Nous allons à la plage, il y a quelques hommes seuls, à aucun moment je les regarde.
Les enfants sont au club des Licornes, nous avons payé les leçons il serait idiot que les jumeaux ne sachent pas nager à la fin des vacances.
Le samedi arrive, à l’heure où il est parti, Lionel sera là vers 11 heures, je profite de ce que les enfants dorment, et que Luce est avec eux pour aller à la boulangerie.
Ils font trois baguettes plus une gratuite et douze croissants, inutile qu’il aille leur parler de la fermeture que j’aurais subie.
Il arrive, tous l’embrasse, il me prend la bouche, malgré le temps passé, j’ai peur qu’il ne sente le goût du sperme sur mes lèvres.
Le soir les enfants couchés, je l’entraîne vers la plage, je tombe sur mes genoux, je lui descends son slip de bain et avant qu’il ne se pose des questions.
Je lui prends la queue en bouche.
• Attends, arrête Ludivine, c’est divin depuis le temps que j’espérais que tu me ferais une fellation, je vais décharger.
Dans la nuit, je lève les yeux vers lui rempli d’amour.
• Je veux te boire mon chéri, moi aussi j’avais envie depuis des mois.
Je suis bien une femelle, je suis prête à tout pour cacher ma tromperie.
Ça peut paraître bizarre, pour la première fois j’avale du sperme même si lorsque je l’ai fait avec Louis, sa verge en était recouverte.
Là ce sont les jets de huit jours d’abstinence, du moins je l’espère, que j’avale.
De retour dans notre lit après une douche commune, il est aussi en forme que sur la plage et c’est ma chatte qui est à la fête.
Les week-ends et les vacances d’août se déroulent sans plus de problème.
Les jumeaux savent nager.
J’arrive même à oublier ce que j’ai fait, mais la justice est immuable, de retour à Paris, j’avais pris rendez-vous chez ma gynéco comme je le fais chaque année.
Je lui parle de mes quelques retards de mes règles ce qui était le cas certaines fois.
• Madame, j’ai le plaisir de vous apprendre que vous êtes enceinte.
• Mais j’ai un stérilet !
• Oui, mais quelques fois, il bouge et se retrouve sans effet, ça doit être le cas pour vous.
• Je vais vous le retirer.
Vous semblez étonné, vous voulez le garder.
J’ai eu peu de morale quand j’ai laissé Louis me baiser, j’ai des convictions et comme lorsque j’annonce à Lionel qu’il va être papa, il est enchanté même si la famille augmentant il va falloir prévoir de déménager dans un logement plus grand.
Au cabinet, ça roule, Lorenzo s’avère un très bon avocat et les affaires succèdent aux affaires, pas de problèmes d’argent.
Luce est enchantée surtout quand nous lui annonçant qu’elle va avoir une petite sœur.
Un seul problème, le prénom, Lionel veut l’appeler Lily, je réserve ma réponse jusqu’au jour de sa naissance.
C’est en mars que j’accouche, elle s’appellera Lily-Rose, quand on me la met dans les bras, la première chose que je vois c’est sa touffe de cheveux, elle est d’un noir profond.
Je brise la bande des 5 L, mais je suis la seule qui sait pourquoi, la vie doit suivre son cours.
Aux vacances suivantes, Louisette et Lucien ont vendu.
Nous faisons la connaissance de Romane et Reine, elles se sont mariées cette année et vont habiter à l’année, elles ont racheté la boulangerie.
C’est ainsi que je me retrouve devant mon mensonge à ma fille pour sauver la face après ce que j’ai fait cette nuit dans la villa de nos vieux amis Louisette et Lucien.
Me donner à un homme qui plus est plus vieux que Lionel et moi, un homme qui semble avoir fui après m’avoir fait jouir il est vrai.
J’apprends très vite à mentir me raccrochant aux branches.
• Luce, inutile de faire les boutiques ensemble, emmène les jumeaux au square faire de la balançoire depuis le temps qu’ils veulent y aller.
Il entre, les garçons partent en courant, par chance les deux balançoires sont libres.
J’entre dans la boulangerie.
• Je voudrais une baguette et 6 croissants.
Je paye, je vais chez le traiteur, je connais ce commerçant depuis des années, j’ai l’impression qu’ils me regardent en se disant, elle a fait cocu son mari, quelle salope.
Profité de son travail à Paris pour le cocufier.
Il me revient en mémoire que si je suis là c’est parce qu’on a embauché une jeune avocate.
Je me persuade que comme moi, il m’a trompé avec elle, si c’est le cas, je n’ai fait que lui rendre la monnaie de sa pièce.
Je vais à l’épicerie, je croise une amie habitant à Saint Gorges de Didonne, elle aussi me salut.
Il faut que je me sorte de la tête ma tromperie, s’il a fui, ça aura été un accident de la vie.
Cannelloni mousse au chocolat en boîte, j’ai tout ce qu’il faut je rejoins mes enfants.
• Maman, la boulangère t’a dit pourquoi c’était fermé ce matin ?
• Oui, l’apprenti a oublié de mettre le levain dans la pâte, ça serait trop long à vous expliquer, ils ont été obligés de tout recommencer après avoir tous jetés.
• Le levain, c’est un morceau de pâte qu’ils gardent de la veille et qu’ils mettent dans la fournée du jour.
On a appris ça à l’école quand nous avons été visités une boulangerie à l’école cette année.
• C’est très bien mon chéri, je vois que tu écoutes à l’école.
• Je le savais aussi maman.
• J’ai dit à la boulangère que j’étais venue ce matin et que vous aviez été privés de pain au chocolat les enfants, pour se faire pardonner elle m’en a donné 6 pour demain matin, je vous les réchaufferais.
• Maman, on dit chocolatine, pas pain au chocolat.
• Maman, Luc dit des bêtises, j’ai entendu à la télé qu’à Paris on dit pain au chocolat.
• Les enfants arrêtés de vous chamailler, chacun de vous peut choisir le nom qu’il veut.
Nous rentrons, papa va téléphoner pendant sa pose de 13 heures.
De retour, nous entrons, le voisin semble bien parti, rien ne bouge.
Je suis un peu déçu même si sa disparition m’évitera de me poser des questions si ce soir il revient à la charge.
J’ouvre la boîte aux lettres, une enveloppe, un nom « Ludivine ».
• Qui c’est maman, j’attends une lettre de Lydia mon amie, elle m’a promis de m’écrire.
Mensonge, toujours mentir, je suis parti dans une spirale impossible.
• C’est simplement de la publicité, allez jouer, je vous appelle pour manger.
Dans la cuisine, j’ouvre l’enveloppe.
« Ludivine, merci pour cette nuit, j’ai bien trouvé l’imper avec ta lettre.
Je suis un peu déçu que notre aventure se termine si vite, mais tu vas constater que la villa est fermée.
Léandra vient de me téléphoner elle regrette de m’avoir quitté, elle m’a supplié de rentrer, j’ai fini par accepter.
Je t’ai vu partir vers le village avec tes enfants, j’ai aussi pris conscience que j’allais briser cette famille, soit heureuse, tu resteras un joli moment de ma vie.
J’espère qu’il en aura été de même pour toi.
Louis. »
Je m’en sors les cuisses propres même si ma chatte a baigné dans le sperme de mon amant.
Je démarre le gaz et je fais brûler la lettre et l’enveloppe.
Inutile de prendre des risques à ce que Lionel tombe sur cette lettre.
Le repas se passe sans plus de problème, je dois séparer les garçons de ma fille, ça devient de plus en plus de chien et de chat en grandissant.
Comme prévu mon portable sonne, je le mets sur haut-parleur pour que chacun puisse entendre et parler.
• Papa, maman a voulu aller chercher des croissants de matin, la boulangerie était fermée, l’apprenti a fait une erreur, la dame nous a donné des pains au chocolat pour demain matin.
• On dit des chocolatines Luce.
• Tu vois je te l’avais bien dit, papa à toujours raison, j’ai toujours raison.
• Terminer tous les deux, je vais vous enfermer dans votre chambre jusqu’à ce soir au lieu que nous allions à la plage.
• À cause d’eux, c’est moi qui serais puni, déjà que Lydia ne m’a pas écrite, ce n’est vraiment pas ma journée.
• Je vois qu’il y a de l’ambiance, les enfants, arrêtés de faire tourner votre mère en bourrique, sinon je reste ici au lieu de venir samedi.
• Merci mon chéri, c’est moi qui serais puni si tu ne viens pas.
À part ça comment ça va avec ma remplaçante, j’espère que tu es sage avec elle.
Je suis vache, c’est moi qui le fais cocu et je lui fais croire que c’est lui qui le fait avec Lorène.
• Lorène, parles-en, lundi quand je suis arrivé au bureau, j’avais une lettre me disant qu’elle partait à Marseille, son copain avait trouvé un poste là-bas et pourrait la faire embaucher.
Mais j’ai pu la remplacer dans la foulée, nous avions hésité avec Lorenzo, je l’ai appelé, il était enchanté de travailler avec nous, il est dans ton bureau, il travaille comme une bête.
Lionel en quelques secondes m’enlève mon alibi à l’avoir trompé, je connais mon mari, il est loin d’être attiré par les hommes.
• Bonne fin de semaine mon chéri, vous dites au revoir à votre père.
• C’est moi le premier.
• Non, c’est moi.
• Vous serez privé de piscine tout à l’heure.
• Je m’en fiche je sais nager, c’est bien fait pour vous.
Au revoir papa, travail bien.
Les garçons boudent, je m’en fiche à part le coup de la boulangerie fermée qui me poursuit tout se passe bien.
Nous allons à la plage, il y a quelques hommes seuls, à aucun moment je les regarde.
Les enfants sont au club des Licornes, nous avons payé les leçons il serait idiot que les jumeaux ne sachent pas nager à la fin des vacances.
Le samedi arrive, à l’heure où il est parti, Lionel sera là vers 11 heures, je profite de ce que les enfants dorment, et que Luce est avec eux pour aller à la boulangerie.
Ils font trois baguettes plus une gratuite et douze croissants, inutile qu’il aille leur parler de la fermeture que j’aurais subie.
Il arrive, tous l’embrasse, il me prend la bouche, malgré le temps passé, j’ai peur qu’il ne sente le goût du sperme sur mes lèvres.
Le soir les enfants couchés, je l’entraîne vers la plage, je tombe sur mes genoux, je lui descends son slip de bain et avant qu’il ne se pose des questions.
Je lui prends la queue en bouche.
• Attends, arrête Ludivine, c’est divin depuis le temps que j’espérais que tu me ferais une fellation, je vais décharger.
Dans la nuit, je lève les yeux vers lui rempli d’amour.
• Je veux te boire mon chéri, moi aussi j’avais envie depuis des mois.
Je suis bien une femelle, je suis prête à tout pour cacher ma tromperie.
Ça peut paraître bizarre, pour la première fois j’avale du sperme même si lorsque je l’ai fait avec Louis, sa verge en était recouverte.
Là ce sont les jets de huit jours d’abstinence, du moins je l’espère, que j’avale.
De retour dans notre lit après une douche commune, il est aussi en forme que sur la plage et c’est ma chatte qui est à la fête.
Les week-ends et les vacances d’août se déroulent sans plus de problème.
Les jumeaux savent nager.
J’arrive même à oublier ce que j’ai fait, mais la justice est immuable, de retour à Paris, j’avais pris rendez-vous chez ma gynéco comme je le fais chaque année.
Je lui parle de mes quelques retards de mes règles ce qui était le cas certaines fois.
• Madame, j’ai le plaisir de vous apprendre que vous êtes enceinte.
• Mais j’ai un stérilet !
• Oui, mais quelques fois, il bouge et se retrouve sans effet, ça doit être le cas pour vous.
• Je vais vous le retirer.
Vous semblez étonné, vous voulez le garder.
J’ai eu peu de morale quand j’ai laissé Louis me baiser, j’ai des convictions et comme lorsque j’annonce à Lionel qu’il va être papa, il est enchanté même si la famille augmentant il va falloir prévoir de déménager dans un logement plus grand.
Au cabinet, ça roule, Lorenzo s’avère un très bon avocat et les affaires succèdent aux affaires, pas de problèmes d’argent.
Luce est enchantée surtout quand nous lui annonçant qu’elle va avoir une petite sœur.
Un seul problème, le prénom, Lionel veut l’appeler Lily, je réserve ma réponse jusqu’au jour de sa naissance.
C’est en mars que j’accouche, elle s’appellera Lily-Rose, quand on me la met dans les bras, la première chose que je vois c’est sa touffe de cheveux, elle est d’un noir profond.
Je brise la bande des 5 L, mais je suis la seule qui sait pourquoi, la vie doit suivre son cours.
Aux vacances suivantes, Louisette et Lucien ont vendu.
Nous faisons la connaissance de Romane et Reine, elles se sont mariées cette année et vont habiter à l’année, elles ont racheté la boulangerie.
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