COLLECTION COCU. J’ai fait la pute. (4/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION COCU. J’ai fait la pute. (4/4)
Havre de paix, j’aspire à un havre de paix, les choses m’ont échappé alors que je suis une femme qui sait ce qu’elle veut, la queue qu’Alexandre entre en moi après qu’il m’eut brouté le clito me faisant jouir.
Faire Cocu Guy, rien à foutre, je me rends compte que l’homme que j’ai épousé est loin des ambitions que j’avais quand je l’ai rencontré, quand j’ai su qu’il était le fils d’Henri mon beau-père le jour de notre remise de diplôme j’ai su que je devais tout faire pour l’épouser.
J’ai réussi mais très vite et surtout maintenant que le sexe qui vient de sortir de moi m’a clairement nettoyé les brumes de mon cerveau je sais que j’aurais dû épouser le père et non le fils même avec la différence d’âge, c’est lui qui a le pouvoir et est loin d’être prêt à le partager avec son cocu de fils.
Je sais maintenant pourquoi dans mon sac de bourgeoise à l’hôtel j’ai une boîte avec des pilules pour éviter d’avoir des enfants avec une chiffe molle comme Guy alors qu’il souhaite en avoir.
Ce dont je suis certaine c’est que dans les jours et les semaines prochaines je vais devoir continuer à le faire cocu pour honorer la carte Gold que j’ai acceptée de mon beau-père.
La carte c’est un bon début mais la bite d’Alexandre a réveillé en moi cette envie de dominer le monde, il est bien connu que dans une meute immanquablement il faut un dominant mâle ou femelle et dans le cabinet d’Henri se sera moi ou alors je reprendrais mon indépendance.
• Alexandre fait moi voir les photos que tu as prises.
• Natacha, j’ai vachement aimé te baiser, je voudrais que tu restes ici à Bordeaux avec moi, j’ai un petit atelier de photo que j’ai développé et qui me permette de gagner honorablement ma vie.
• Je te vois venir, je tiendrais ta boutique pendant que tu iras faire des photos minables comme celle d’aujourd’hui pour une bouchée de pain en attendant Noël et les photos des enfants dans les galeries marchandes.
• Mais je me suis fait 1 000 € pour celle de ce soir.
• Moi 3 000 pour que mon client me baise et ce con parce que j’ai pleuré sur la misère du monde croyant les bobards que je lui ai vendus à allonger1 000 € de plus.
Tiens, regarde, ils sont là, donne-les-moi.
Il tend la main et me donne les deux billets.
• Je les ai gagnés en lui suçant son petit bout de bite, j’ai d’ailleurs eu du mal à la trouver, tiens prend en la moitié, tu m’as bien fait jouir tu les mérites.
• Me prends-tu pour une pute ?
• Si c’est moi qui vends mon cul tu sembles d’accord puisque tu veux que l’on se mette en ménage, certes pour arriver dans la vie j’ai écarté mes cuisses, fait en autant, cherche des vieilles à baiser.
Fais-moi voir les photos de mon pigeon.
Il voit que je suis en colère mais attention une colère froide pas de celle qui vous fait perdre la tête, dans peu de temps je vais retrouver Henri qui lui aussi voudra me sauter, c’est normal avec sa carte il s’est payé une pute à domicile qui plus est sa belle-fille il aurait tort de s’en priver.
Je crois qu’il a compris la leçon, il saute du lit met les 500 € dans sa poche et récupère sa veste et sort l’appareil.
• Viens près de moi et montre-les-moi une par une.
Il y en a plusieurs qui sont inutilisables contre mon client car mal cadrés ou sans aucun intérêt pour le compte de notre autre client celui qui paye au moins 1 million à mon beau-père.
• Recommence du début lentement.
Celle-là tu l’enlèves.
• Pourquoi elle est parfaite on le voit très bien te serrer la main et comme tu es avec ta tenue de pute et ta valise on comprend très bien qu’il va te sauter, regarde ses yeux sortes de sa tête ?
• Il peut se défendre en disant que je suis une représentante de commerce avec une tenue osée pour le faire saliver et vendre ses produits.
Je te dis d'effacer.
Il le fait.
• Efface, efface là on garde.
• J’ai compris, tu veux que Natacha reste une femme anonyme, elle existe puisque je la vois allant avec son client vers l’ascenseur de dos montrant son joli petit cul mais pas son visage.
• Tu as tout compris.
Celle-là il y a dilemme qu’en penses-tu ?
• C’est vrai elle pose question.
• On voit la porte de l’ascenseur qui se ferme et ton client qui te met la main au panier, on voit juste le côté de ton corps et une oreille, même si elles sont parfaites personnes ne peut dire que c’est toi.
• Ok, on garde.
•
Passons aux suivantes celle dans la chambre, il y en a deux.
• Celle-là on garde, j’ai la tête sur le bas-ventre de ce gros porc et il lève la sienne surpris de ton arrivée.
L’autre efface là car moi aussi j’ai été surprise malgré que l’on m’ait prévenue que tu viendrais et même si je suis un peu flou mais on pourrait me reconnaître.
• On est d’accord, regarde je vais les envoyer directement sur le portable de notre client et de ton patron, ils les attendent avec impatience.
Il m’a dit que je devais les effacer après qu’il eut confirmé les avoirs reçus, je peux les garder, tu es incognito.
• Seulement la dernière dans le lit, tu pourras te masturber en regardant mon cul puisque tu le trouves beau.
Pendant qu’il fait la manœuvre j’appelle la réception et je commande un taxi puis-je m’habile.
• Salut beau gosse, réfléchi à ce que je t’ai dit, va sur Internet et inscrit toi sur un site qui gère les escortes boy.
Quelques minutes après je suis dans la chambre d’Henri.
• Bien jouer Adeline, notre client vient d’appeler et nous pouvons rentrer, la partie adverse se retire et nous avons gagné.
• Des millions d’euros alors que tu penses m’acheter avec cette petite carte pour 10 000 € par mois, ainsi tu auras une pute à demeure qui plus est ta belle-fille.
Si tu veux savoir ou j’étais et si je rentre si tard c’est parce que j’ai baisé avec votre jeune photographe, certes pour son joli petit cul mais aussi pour choisir les photos à vous envoyer, sans qu’on voie la pute qui vous permet de gagner votre masse de fric, tient reprend ta carte.
• Non garde là ; je veux te garder.
• Nous rentrons par le premier train, il y a une seule possibilité pour que je reste dans ton cabinet je te la dirais à Paris.
• Bien mon bouchon préparons-nous.
Nous sommes à Paris avant midi après que je me suis habillée plus soft, pas un mot pendant le voyage, je dors récupérant de ma nuit.
La seule preuve de ce que j’ai fait c’est que je traîne derrière moi deux valises.
• Adeline vient dans mon bureau !
Je sais que je le suis pour la dernière fois, la suite va dépendre de notre entretien.
• Pendant que tu dormais dans le train j’ai beaucoup réfléchi, que tu veuilles me rendre ma carte de crédit me montre la forte femme que tu aies, je vais te raconter ce qu’a été ma vie, brièvement je te le promets.
Quand j’ai épousé ma femme j’avais les dents qui rayaient le parquet de chez mes beaux-parents, c’était une vraie carpette, j’aurais pu en faire ce que je voulais, j’aurais été un mac elle serait sur le trottoir aujourd’hui.
Excuse-moi, toi tu choisis tes clients elle aurait tout ramassé.
Elle lui a refilé tous ses gènes négatifs sans prendre de moi ceux de l’ambition, quand il m’a dit qu’il voulait épouser une jeune fille avocate comme lui j’ai espéré qu’il se réveille mais c’est toi qui m’as montré que tu avais mes gènes, tu peux tout me demander, j’accepte toutes tes conditions.
• Je vais voir si tu mérites ma confiance, appellent deux hommes forts.
Il téléphone et deux personnes arrivent.
• Pouvez-vous déplacer le bureau du patron un peu sur la droite ?
C’est bien, allez chercher les miens, c’est bien posé le là à sa gauche légèrement en biais pour que l’on se voie.
Merci du dérangement, laissez-nous.
• J’ai compris, tu viens travailler dans mon bureau nous serons ensemble.
• Oui mais je touche 50 % des bénéfices de notre cabinet.
• C’est bien, je vais donner les ordres pour que tu sois tous les bilans, tu me donneras ton avis.
• Sans oublier ma part sur le virement venant de notre affaire de Bordeaux.
• Il va sans dire.
• Maintenant occupe-toi de mon divorce, je quitte ton fils.
• Aucun problème, je crée une antenne à Marseille, il va en prendre la direction ou quitter le cabinet, j’ai de quoi le faire accepter, il te fait cocu avec sa secrétaire, j’ai les photos qui le prouvent dans ce dossier.
• Fait voir.
Un peu con le fils mais il sait se faire sucer, merde dans mon propre bureau du moins l’ancien.
• Appelle-le et explique-lui, je sors place Vendôme choisir qu'elle bague tu vas m'offrir pour nos fiançailles dans l’attente de notre mariage.
• Si je comprends bien, tu restes ?
• Bien sûr, pour signer notre accord vient me baiser, je viens de voir Natacha entrer dans notre bureau, elle a la chatte qui dégouline.
Dernière chose, à partir de ce jour j’arrête cela.
J’ouvre mon sac et je sors la boîte de pilules.
• Je pense que d’ici 9 à 10 mois tu auras un fils avec nos gènes mélangés et qu’il saura faire la fierté de son papa.
• Une fille de ton acabit fera l’affaire aussi, je vois que j’ai fait le bon choix, écarte tes jambes ma salope.
La vie est belle à qui sait avoir de l’ambition et surtout quand on est une salope.
Faire Cocu Guy, rien à foutre, je me rends compte que l’homme que j’ai épousé est loin des ambitions que j’avais quand je l’ai rencontré, quand j’ai su qu’il était le fils d’Henri mon beau-père le jour de notre remise de diplôme j’ai su que je devais tout faire pour l’épouser.
J’ai réussi mais très vite et surtout maintenant que le sexe qui vient de sortir de moi m’a clairement nettoyé les brumes de mon cerveau je sais que j’aurais dû épouser le père et non le fils même avec la différence d’âge, c’est lui qui a le pouvoir et est loin d’être prêt à le partager avec son cocu de fils.
Je sais maintenant pourquoi dans mon sac de bourgeoise à l’hôtel j’ai une boîte avec des pilules pour éviter d’avoir des enfants avec une chiffe molle comme Guy alors qu’il souhaite en avoir.
Ce dont je suis certaine c’est que dans les jours et les semaines prochaines je vais devoir continuer à le faire cocu pour honorer la carte Gold que j’ai acceptée de mon beau-père.
La carte c’est un bon début mais la bite d’Alexandre a réveillé en moi cette envie de dominer le monde, il est bien connu que dans une meute immanquablement il faut un dominant mâle ou femelle et dans le cabinet d’Henri se sera moi ou alors je reprendrais mon indépendance.
• Alexandre fait moi voir les photos que tu as prises.
• Natacha, j’ai vachement aimé te baiser, je voudrais que tu restes ici à Bordeaux avec moi, j’ai un petit atelier de photo que j’ai développé et qui me permette de gagner honorablement ma vie.
• Je te vois venir, je tiendrais ta boutique pendant que tu iras faire des photos minables comme celle d’aujourd’hui pour une bouchée de pain en attendant Noël et les photos des enfants dans les galeries marchandes.
• Mais je me suis fait 1 000 € pour celle de ce soir.
• Moi 3 000 pour que mon client me baise et ce con parce que j’ai pleuré sur la misère du monde croyant les bobards que je lui ai vendus à allonger1 000 € de plus.
Tiens, regarde, ils sont là, donne-les-moi.
Il tend la main et me donne les deux billets.
• Je les ai gagnés en lui suçant son petit bout de bite, j’ai d’ailleurs eu du mal à la trouver, tiens prend en la moitié, tu m’as bien fait jouir tu les mérites.
• Me prends-tu pour une pute ?
• Si c’est moi qui vends mon cul tu sembles d’accord puisque tu veux que l’on se mette en ménage, certes pour arriver dans la vie j’ai écarté mes cuisses, fait en autant, cherche des vieilles à baiser.
Fais-moi voir les photos de mon pigeon.
Il voit que je suis en colère mais attention une colère froide pas de celle qui vous fait perdre la tête, dans peu de temps je vais retrouver Henri qui lui aussi voudra me sauter, c’est normal avec sa carte il s’est payé une pute à domicile qui plus est sa belle-fille il aurait tort de s’en priver.
Je crois qu’il a compris la leçon, il saute du lit met les 500 € dans sa poche et récupère sa veste et sort l’appareil.
• Viens près de moi et montre-les-moi une par une.
Il y en a plusieurs qui sont inutilisables contre mon client car mal cadrés ou sans aucun intérêt pour le compte de notre autre client celui qui paye au moins 1 million à mon beau-père.
• Recommence du début lentement.
Celle-là tu l’enlèves.
• Pourquoi elle est parfaite on le voit très bien te serrer la main et comme tu es avec ta tenue de pute et ta valise on comprend très bien qu’il va te sauter, regarde ses yeux sortes de sa tête ?
• Il peut se défendre en disant que je suis une représentante de commerce avec une tenue osée pour le faire saliver et vendre ses produits.
Je te dis d'effacer.
Il le fait.
• Efface, efface là on garde.
• J’ai compris, tu veux que Natacha reste une femme anonyme, elle existe puisque je la vois allant avec son client vers l’ascenseur de dos montrant son joli petit cul mais pas son visage.
• Tu as tout compris.
Celle-là il y a dilemme qu’en penses-tu ?
• C’est vrai elle pose question.
• On voit la porte de l’ascenseur qui se ferme et ton client qui te met la main au panier, on voit juste le côté de ton corps et une oreille, même si elles sont parfaites personnes ne peut dire que c’est toi.
• Ok, on garde.
•
Passons aux suivantes celle dans la chambre, il y en a deux.
• Celle-là on garde, j’ai la tête sur le bas-ventre de ce gros porc et il lève la sienne surpris de ton arrivée.
L’autre efface là car moi aussi j’ai été surprise malgré que l’on m’ait prévenue que tu viendrais et même si je suis un peu flou mais on pourrait me reconnaître.
• On est d’accord, regarde je vais les envoyer directement sur le portable de notre client et de ton patron, ils les attendent avec impatience.
Il m’a dit que je devais les effacer après qu’il eut confirmé les avoirs reçus, je peux les garder, tu es incognito.
• Seulement la dernière dans le lit, tu pourras te masturber en regardant mon cul puisque tu le trouves beau.
Pendant qu’il fait la manœuvre j’appelle la réception et je commande un taxi puis-je m’habile.
• Salut beau gosse, réfléchi à ce que je t’ai dit, va sur Internet et inscrit toi sur un site qui gère les escortes boy.
Quelques minutes après je suis dans la chambre d’Henri.
• Bien jouer Adeline, notre client vient d’appeler et nous pouvons rentrer, la partie adverse se retire et nous avons gagné.
• Des millions d’euros alors que tu penses m’acheter avec cette petite carte pour 10 000 € par mois, ainsi tu auras une pute à demeure qui plus est ta belle-fille.
Si tu veux savoir ou j’étais et si je rentre si tard c’est parce que j’ai baisé avec votre jeune photographe, certes pour son joli petit cul mais aussi pour choisir les photos à vous envoyer, sans qu’on voie la pute qui vous permet de gagner votre masse de fric, tient reprend ta carte.
• Non garde là ; je veux te garder.
• Nous rentrons par le premier train, il y a une seule possibilité pour que je reste dans ton cabinet je te la dirais à Paris.
• Bien mon bouchon préparons-nous.
Nous sommes à Paris avant midi après que je me suis habillée plus soft, pas un mot pendant le voyage, je dors récupérant de ma nuit.
La seule preuve de ce que j’ai fait c’est que je traîne derrière moi deux valises.
• Adeline vient dans mon bureau !
Je sais que je le suis pour la dernière fois, la suite va dépendre de notre entretien.
• Pendant que tu dormais dans le train j’ai beaucoup réfléchi, que tu veuilles me rendre ma carte de crédit me montre la forte femme que tu aies, je vais te raconter ce qu’a été ma vie, brièvement je te le promets.
Quand j’ai épousé ma femme j’avais les dents qui rayaient le parquet de chez mes beaux-parents, c’était une vraie carpette, j’aurais pu en faire ce que je voulais, j’aurais été un mac elle serait sur le trottoir aujourd’hui.
Excuse-moi, toi tu choisis tes clients elle aurait tout ramassé.
Elle lui a refilé tous ses gènes négatifs sans prendre de moi ceux de l’ambition, quand il m’a dit qu’il voulait épouser une jeune fille avocate comme lui j’ai espéré qu’il se réveille mais c’est toi qui m’as montré que tu avais mes gènes, tu peux tout me demander, j’accepte toutes tes conditions.
• Je vais voir si tu mérites ma confiance, appellent deux hommes forts.
Il téléphone et deux personnes arrivent.
• Pouvez-vous déplacer le bureau du patron un peu sur la droite ?
C’est bien, allez chercher les miens, c’est bien posé le là à sa gauche légèrement en biais pour que l’on se voie.
Merci du dérangement, laissez-nous.
• J’ai compris, tu viens travailler dans mon bureau nous serons ensemble.
• Oui mais je touche 50 % des bénéfices de notre cabinet.
• C’est bien, je vais donner les ordres pour que tu sois tous les bilans, tu me donneras ton avis.
• Sans oublier ma part sur le virement venant de notre affaire de Bordeaux.
• Il va sans dire.
• Maintenant occupe-toi de mon divorce, je quitte ton fils.
• Aucun problème, je crée une antenne à Marseille, il va en prendre la direction ou quitter le cabinet, j’ai de quoi le faire accepter, il te fait cocu avec sa secrétaire, j’ai les photos qui le prouvent dans ce dossier.
• Fait voir.
Un peu con le fils mais il sait se faire sucer, merde dans mon propre bureau du moins l’ancien.
• Appelle-le et explique-lui, je sors place Vendôme choisir qu'elle bague tu vas m'offrir pour nos fiançailles dans l’attente de notre mariage.
• Si je comprends bien, tu restes ?
• Bien sûr, pour signer notre accord vient me baiser, je viens de voir Natacha entrer dans notre bureau, elle a la chatte qui dégouline.
Dernière chose, à partir de ce jour j’arrête cela.
J’ouvre mon sac et je sors la boîte de pilules.
• Je pense que d’ici 9 à 10 mois tu auras un fils avec nos gènes mélangés et qu’il saura faire la fierté de son papa.
• Une fille de ton acabit fera l’affaire aussi, je vois que j’ai fait le bon choix, écarte tes jambes ma salope.
La vie est belle à qui sait avoir de l’ambition et surtout quand on est une salope.
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