COLLECTION COCU. La pêche au carrelet. (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION COCU. La pêche au carrelet. (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. La pêche au carrelet. (2/2)
C’est dur à avaler, je suis cocu par une femme faisant glousser la mienne.
J’ai bien entendu c’est loin d’être la première fois.
Je le suis à chaque vacances, je suis cocu depuis plusieurs années.

- Oui, mange-moi ma chatte, je suis dégoulinante, lape ma jouissance, je coule tu es divine.

J’ai l’impression d’être dans une alcôve les pieds et les points liés, mais surtout les yeux bandés à entendre les deux femmes se donner du plaisir sans pouvoir intervenir au risque de voir mon couple voler en éclat.
J’ai épousé une lesbienne.
Assis sur cette chaise je prends conscience que j’ai une envie d’amour envers ma femme plus fort que le jour ou je l’ai demandé en mariage.
J’ai certainement abusé en passant toutes nos vacances en haut de mon carrelet, je dominais la mer et je pense que je me suis vu le capitaine d’un bateau restant au port.
À quoi bon en entendre plus, à part affronter Gisèle et risquer de tout perdre surtout quand je me lève les deux femmes semblent avoir une jouissance simultanée.
Je suis tellement troublé que mon pied oublie les épines et en écrase, les faisant crisser une nouvelle fois.

- Tu as entendu, il y a quelqu’un à côté.
- Tu fais une fixation, je vais faire un tour, tu seras rassurée et nous pourrons enfin passer un après-midi agréable.
Dans la voiture, tu m’as bien dit qu’il rentrerait à la nuit.
- Oui, mon cœur, nous avons encore de longs moments ensemble.
Surtout que tu as bien commencé à t’occuper de moi.
Je suis frustrée depuis le nombre de jours ou j’ai attendu que nous nous retrouvions.
Où as-tu mis mon maillot, si je sors à poils, je vais faire sensation si les voisins m’aperçoivent.
Je vois la ficelle de ton maillot, tu es assise dessus.

Je suis coincé, si je sors, ma voiture se trouve loin et cette salope de Matilda risque de me voir.
Il faut que je me cache.
À droite un mur, en face un mur, à gauche le mur mitoyen avec la maison ou ma femme vient me cocufier avec cette femme depuis plusieurs années.
Surtout que j’ignorais que Gisèle était une bouffeuse de chatte.
Il y a trois murs et la maison les volets sont fermés.
La seule échappatoire possible le long de la villa, je suis pris au piège.
Je réfléchis vite et il me reste une porte de sortie.
Les trois pins !
L’un d’eux à une branche assez basse pour que je grimpe le plus vite possible. J’ai un peu de chance celui dans lequel je monte, c’est le plus éloigné des trois et assez près du mur mitoyen pour que je puisse voir chez la copine de ma femme.
Gisèle est debout de dos regardant par l’allée menant au portail d’entrée se mordant le point rongé par l’anxiété.
Les pins sont dans l’axe de la même allée, mais je suis assez haut et cacher quand Matilda fait son entrée par le portail que j’ai oublié de fermer derrière moi en arrivant.

- Miaou.
- Eh bien, toi tu peux dire que tu as fait peur à mon amie, oui elle est belle ta souris, va la manger plus loin.

Sauvé par un chat, Matilda lui donne une petite tape avec son pied évitant de toucher la souris que je vois dans la gueule du félin entièrement roux.
Elle le suit et je la vois repartir refermant le portail.
Une minute, les deux femmes se parlent à distance.

- Gisèle, c’était un chat qui avait attrapé une souris.
Je vais aux toilettes et je t’apporte une surprise, mets-toi dans la position que j’adore, tu es rassurée, chez les voisins rien à craindre, nous allons nous détendre.

Ma femme très belle dans sa nudité se retourne et s’approche du transat ou elle se place agenouillée le cul en l’air dans une pose très perverse.
Perverse, mais très bandante pour moi qui suis à moins de cinq mètres en surplomb.
Si elle lève la tête, immanquablement elle me verra.
Son visage est tourné et ce que je vois me laisse pantois.
Assis sur une branche, étonné, car depuis que nous nous sommes mariés le visage qu’elle me montre m’est inconnu.
Quand je dis le visage, c’est une façon de parler, car c’est plus son cul qu’elle me montre quand sa maîtresse la rejoint un objet multicolore tournant à la main.

- Regarde, le nouveau godemichet que j’ai acheté à Paris pour amuser mes clients.
Il raffole de me voir me le mettre et qu’il tournoie de ses mille couleurs, je vois que tu es prête, comme je te l’ai demandé.

Et dire que je vois tout cela depuis mon arbre.
J’aurais envie de sauter par-dessus le mur et de venir lui mettre mon sexe dans son vagin.
Elle demande à être pénétrée comme dans les beaux jours de notre mariage où elle mouillait dès que je m’approchais.
Matilda approche son engin en forme de sexe mâle.
Dès qu’elle le place dans sa vulve appuyant certainement sur un bouton, car le bruit et la lumière qu’il émet se remettent en marche.

- Salope, tu vas me le donner, il tourne dans ma chatte et je sens que mon plaisir monte déjà.
Tu es diabolique, je suis sûre que tes clients doivent bander à mort quand tu te le places dans la chatte.

Mes clients, tes clients, Matilda serait-elle une pute en vacances.
Le plus surprenant c’est quand elle s’agenouille et que sa langue que j’aperçois une fraction de seconde se place sur sa rosette Cette scène pourrait être comique, moi dans mon arbre, mon épouse sur son transat un gode dans la chatte et une langue fouillant son anus.
Ajouté à ça ma main venue naturellement dans mon slip où je me surprends à me masturber.
Je bande facilement, mais là j’ai une trique d’enfer.
Il faudrait que j’ai le courage de descendre, passer le premier portail entrer par son jumeau dans l’allée symétrique à celui que je vois quand je baisse la tête.
Que je passe le coin pour aller sur leur terrasse.
Que je bouscule celle qui a fait de ma femme une lesbienne.
Que je lui arrache le gode et que je la plante dans le vagin ou dans l’anus, peu importe.
Le principal, c’est que je la plante et que je la remplisse de mes longs jets de sperme.
Que, que, que.

- Miaou.

Quel con je m’y voyais tellement que j’ai giclé et que mon sperme est tombé sur la tête de ce putain de chat qui essayait de monter dans l’arbre comme moi.
La seule chose de positive c’est que je le vois partir en courant certainement pour se nettoyer.
J’ai perdu pied et je me serais bien vu de l’autre côté, mais le morceau flasque qui pend entre mes jambes après mon éjaculation me force à rester sage.
J’aurais l’air d’un con d’arriver en bandant mou.
Un con, je le suis certainement dans cet arbre à matter ma femme qui change de position.
Matilda lui enlevant le gode qui je m’aperçois à un mouvement hélicoïdal qui doit donner des sensations extraordinaires à la fille qui se l’introduit là où cela fait du bien.

- Allonge-toi sur cette couverture que j’ai posée sur la terrasse, je veux te lécher la chatte.

Je manque de me mettre à rigoler, la pelouse fait trois mètres sur trois, Merde, c’est foutu, Clotilde va avoir la tête en l’air et immanquablement me voir.
Je me redresse, il va falloir que je tourne espérant que le tronc est assez large pour me cacher.

« Crac »......

Excusez ce blanc, la branche a cassé.
Je suis tombé en cascade sur deux ou trois branches, elles cèdent toutes l’une après l’autre.

- Là, c’est un chat, regarde les branches cassées.
- J’y retourne, mais il y a eu une tempête cet hiver, j’avais deux pins moi aussi, l’un d’eux, je l’ai fait couper au printemps quand je suis venue.
Une grosse branche était tombée sur les tuiles en cassant quelques-unes.
- Je sens que tu as de la rancœur, tu m’as appelé pour que je vienne te rejoindre.
C’était l’anniversaire de Sylvain et nous avions réservé le restaurant où nous allons chaque année.

Pendant qu’elle discute, je cherche, il y a un tas de bois, certainement stocké là pour l’hiver.
En plus de ma légère commotion, mais côtes me font mal.
Je me traîne jusque-là.
La toile est assez grande pour recevoir plus de bois.
Je me glisse espérant être assez caché.
C’est toutes les deux qu’elles arrivent, je les vois car la toile à une légère fente d’usure.
Elles commencent à discuter.

- Tu vois je te l’avais dit, deux branches cassées et personne ou alors il a détalé plus vite que son ombre.
- Miaou, miaou.

Je vois du roux passer, merde de nouveau le chat.

- C’est bien, tu as caché ta souris sous ce tas de bois.
- Atchoum.

La toile cirée est pleine de poussière et je suis allergique, ça m’a fait éternuer.

- Sylvain, c’est toi qui étais perché sur cet arbre.
Tu nous épiais.
Si tu as tout entendu et vu que j’aime Matilda, il y a longtemps que je voulais te quitter.
Adieu.

On a divorcé, dans le dossier, j’apprends que son amante est en profession libérale et vend des godes.
Elle habite à Bordeaux et faisait du porte-à-porte l’été sur nos plages, car comme ma femme, la maison de Saint-Palais, c’est un héritage.
Elle était venue sur la plage de Nozan et avait proposé un de ses godes à Gisèle.
Elles étaient remontées chez nous et elles s’étaient trouvées.
Nous louions à Montrouge, j’ai gardé le logement.
Elle a demandé sa mutation à Bordeaux et comme l’administration était trop longue, elle a démissionné.
La seule chose que les deux salopes m’offrent c’est le carrelet.

Le lit que j’hésitais à y mettre, je l’ai installé.
C’est l’été, je viens d’aller faire mes courses, j’arrive vers le petit portillon empêchant les touristes de prendre la passerelle de bois.
Une jeune petite blonde est là, 25 à 30 ans.

- C’est à vous ce truc pour pêcher !
- Ce truc, c’est un carrelet.
Oui, pourquoi ?
- Je pourrais le visiter et voir, comment vous pêchez ?

Je la conduis à la cabane.
Vu par l’arrière, joli petit cul, j’ai bien fait d’installer un lit, la marée, c’est dans deux heures.

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