COLLECTION COCU. Le poulain. Fin de la Saison II (8/8)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Le poulain. Fin de la Saison II (8/8)
Lorsque je suis revenue de chez Poupette l’autre nuit, Fadette mettait bas dans les écuries.
Maria la petite pouliche gambade avec sa maman alors qu’elle était passée à deux doigts de passer de vie à trépas.
J’avais demandé à Wanda de me prévenir lorsqu’une nouvelle naissance aura lieu.
Depuis que j’avais épousé Louis, qui a envoyé une carte de la Martinique disant à ma belle-mère que tout allait bien et la mort de Duc son père mais aussi mon amant juste avant de nous quitter, je me désintéressais de ces moments de vie.
Le travail a commencé et contrairement à la première fois, les pattes se montrent sur vingt centimètres.
Loris a attaché les pattes du poulain pour aider la mère.
Je me souviens de ma grossesse encore très présente dans ma tête et de mon accouchement.
C'était la sage-femme dépêchée pour m’accoucher qui avait tiré sur Jules et Duchesse sans corde bien sûr.
Je porte ma main à mon ventre, je ressens encore le mal que j’ai eu lorsque la deuxième épaule de chacun d’eux est sortie de moi.
Ma belle-mère comme le veut la tradition a voulu que j’accouche au manoir avec seulement cette sage-femme proche de la retraite.
Ce que je sais, c’est que ma fille ira dans une clinique quand elle mettra ses enfants au monde.
Il faut savoir casser les vieilles coutumes même si celle-là plaisait au Duc.
- Wanda vient m’aider à tirer.
- Laisse Wanda, c’est moi qui vais le faire.
Je pourrais dire que j’aurais tout appris à faire dans un haras.
- Non madame, il y a aussi les saillis.
- Quand faite vous la prochaine, je promets d’y assister.
Je vois Loris avoir un petit sourire en coin.
- J’avais dit à Jules de taire la visite de Lord Cromwell dans un mois avec une de ses juments qui sera en chaleur.
On m’avait dit que les saillies surtout leur rudesse vous indisposait.
- Je vais faire un effort.
Jules savait que mon amant venait et s’est tu.
Est-il jaloux de mon amant ce qui serait plausible malgré son jeune âge ?
Comme tout jeune garçon, souffre-t-il du complexe d’Oedipe qui a tué son père pour épouser sa mère.
Du moins c’est la littérature qui le dit.
Pour tuer son père, il lui faudrait traverser l’atlantique pour retrouver le sien, j’ai une chance qu’on en réchappe.
- Allée madame, une dernière fois.
On tire, il a raison, le poulain, car il s’agit d’un mâle vu ses coucougnettes que je vois quand il est encore au sol et que Loris le sort de sa poche évitant de s’étouffer.
- Merci madame, voyez, il tète déjà.
Satisfaite d’avoir mis mon premier poulain au monde, je me lave les mains et je retourne chez moi bien fatiguée.
Devant la porte du manoir l’Audi est toujours là.
Belle-maman doit en prendre plein la chatte.
Je vais pour ouvrir la porte quand la poignée m’échappe.
De l’autre côté une main a dû être plus rapide que moi.
- Bonsoir, je m’excuse de vous avoir fait peur.
- Non, ça va.
C’est la première fois que je vois un escorte d’aussi près.
Beau gosse, très bien habillé, j’ignore combien il coûte mais belle-maman doit payer bonbon pour se servir des services d’un tel mâle.
- Vous êtes Marie, la belle-fille d’Isabelle !
Ça fait plusieurs fois que je viens lui proposer mes services et elle m’a souvent parlé de vous et de votre abnégation à faire prospérer vos biens.
- Ceux de mon fils et un peu de toute la famille.
Je suis seulement sa tutrice.
- Une bien jolie tutrice.
Pardon, je sais que c’est votre fils qui a hérité et que c’est vous qui gérez pour lui.
Joignons l’utile à l’agréable, ici c’est impossible, j’ai pour habitude d’éviter les conflits entre les femmes d’une même maison.
Mais si vous venez à Paris, voici ma carte avec mon numéro de téléphone, j’aurais plaisir à vous revoir.
- Payer un gigolo pour baiser, quand j’en serais là, j’aurais plus de cheveux blancs qu’Isabelle.
- En vous donnant ma carte, loin de moi l’idée de vous faire payer, c’est réserver aux vieilles dames et non aux jeunes femmes comme toi.
Toi, je te ferais l’amour à l’œil, à la limite c’est moi qui te payerais.
Pardon, c’est maladroit, vous me faite dire des bêtises, vous pourriez croire que je vous prends pour une escorte vous aussi.
Souviens-toi, tu viens à Paris, tu me téléphones, je te promets une soirée de rêve.
Il tourne les talons, saute par-dessus sa portière et démarra vers la grille toujours ouverte de notre parc.
Quand je suis dans mon bain, je ferme les yeux et je me masturbe en revoyant le visage de Xavier, 06 02 02…
Je connais déjà son numéro.
Quand je reviens dans ma chambre pour enfin dormir, j’ai réussi à me faire jouir moins qu’avec mon Lord.
Je trouve la carte que j’ai posée sur mon lit.
Je vais pour la déchirer, passer après belle-maman même gratuitement me gêne un peu mais avant de faire ce geste définitif, je la range dans le tiroir de ma table de nuit.
Une semaine plus tard, je rêve à la venue de John qui vient pour une saillie que je me suis juré d’assister.
On frappe à la porte de ma chambre.
- Mère voulez-vous m’accompagner pour une sortie en forêt, mon poney veut se dégourdir les pattes.
C’est nouveau, il m’appelait déjà mère, voilà qu’il me vouvoie, si ça peut l’amuser pourquoi pas.
- Oui Jules, j’appelle Loris pour qu’il m’en prépare un.
- Inutile, il prépare le mien et Wanda allait promener Filomène la pouliche que nous venons de prendre en garde.
- Sors que je m’habille, il faut que je passe ma tenue, j’arrive.
- Oui mère a tout de suite.
Leggings très moulant, c’est le propre d’un leggings, polo à manches rose, ça souligne ma poitrine et mes bottes.
À oui, j’oubliais ma bombe, je devrais dire mon casque car j’ai toujours entendu le Duc dire à ses employés que s’ils voulaient garder leur tête, une bombe renforcée était leur garantie.
En grand petit homme, Jules quand je le rejoins est lui aussi en parfaite tenue même pour monter sur son poney.
- Mère, vous êtes magnifique, je vous épouserais si nous étions de famille différente.
Oedipe quand tu nous tien !
A-t-il conscience des mots qu’il prononce ?
Nous récupérons les chevaux et je me sers du banc pour débutant pour monter sur ma monture.
J’ai bien progressé à force de monter et j’arrive même à mettre Filomène au petit galop.
Nous faisons le tour dans la forêt passant à quelques mètres de la grange qui a vu tant de mes aventures sexuelles même jusqu’à l’adultère.
Que ce temps me semble lointain, j’étais vraiment une oie blanche dans ce temps-là.
Un moment je rêve !
Lord John vient le mois prochain et si je l’amenais ici pour me faire sauter me rappelant les bons moments passés malgré la façon dont ça c’est fini.
Les chemins dans la forêt tracés par l’homme formant des carrés ou rectangles, tournant à gauche, puis à gauche le soleil passant entre les arbres montre que nous avons repris la direction du haras après presque une heure de promenade.
- Mère, si vous arrivez après-moi à la maison, vous me faite des crêpes demain dimanche.
Nous avons une femme de service, le temps nous manquant pour faire le ménage et la cuisine.
Depuis qu’il est petit, les crêpes même si je suis une bonne normande, j’adore en faire à mon fils.
Duchesse va pouvoir en profiter car elle est à deux doigts de marcher et de manger les mêmes aliments que nous.
- C’est parti, tu vas perdre.
Surtout que Filomène est au pas comme l’était le poney de Jules après une course et surtout des chemins plus dangereux à prendre au galop.
Je le vois filer, je donne un coup avec mes bottes dans les étriers et la jument se met à trotter.
J’ai dit que les parcelles de bois étaient carrées ou rectangles, il y a donc quelques virages comme ceux que j’aborde Jules étant déjà hors de ma vue.
J’aborde le virage quand j’entends un bruit de moteur.
Filomène se cabre et je tombe sur le côté en essayant de m’accrocher à son encolure.
- Vous êtes-vous fait mal ?
Un peu piteuse d’avoir manqué de maîtrise, je me relève et je me frotte le côté où de la terre a marqué mon leggings et mon polo rose.
- Quand on roule avec de tels engins, comment voulez-vous qu’un cheval comprenne que vous arrivez.
- Vous êtes bien agressive, les chemins sont à tout le monde, parce que vous gérez le haras vous vous croyez tout permis.
Je prends conscience de ma mauvaise humeur plus par dépit d’avoir fait un soleil que de ce garçon dans son fauteuil roulant à moteur avec ses deux jambes coupées…
Je pensais écrire II saisons, mais vous en aurez IV.
Qui est ce garçon, nous le saurons dans la saison III du « Poulain » que mon beau-père et amant a offerte à mon fils pour ses cinq ans et le poney que ma belle-sœur lui a offert le même jour.
Maria la petite pouliche gambade avec sa maman alors qu’elle était passée à deux doigts de passer de vie à trépas.
J’avais demandé à Wanda de me prévenir lorsqu’une nouvelle naissance aura lieu.
Depuis que j’avais épousé Louis, qui a envoyé une carte de la Martinique disant à ma belle-mère que tout allait bien et la mort de Duc son père mais aussi mon amant juste avant de nous quitter, je me désintéressais de ces moments de vie.
Le travail a commencé et contrairement à la première fois, les pattes se montrent sur vingt centimètres.
Loris a attaché les pattes du poulain pour aider la mère.
Je me souviens de ma grossesse encore très présente dans ma tête et de mon accouchement.
C'était la sage-femme dépêchée pour m’accoucher qui avait tiré sur Jules et Duchesse sans corde bien sûr.
Je porte ma main à mon ventre, je ressens encore le mal que j’ai eu lorsque la deuxième épaule de chacun d’eux est sortie de moi.
Ma belle-mère comme le veut la tradition a voulu que j’accouche au manoir avec seulement cette sage-femme proche de la retraite.
Ce que je sais, c’est que ma fille ira dans une clinique quand elle mettra ses enfants au monde.
Il faut savoir casser les vieilles coutumes même si celle-là plaisait au Duc.
- Wanda vient m’aider à tirer.
- Laisse Wanda, c’est moi qui vais le faire.
Je pourrais dire que j’aurais tout appris à faire dans un haras.
- Non madame, il y a aussi les saillis.
- Quand faite vous la prochaine, je promets d’y assister.
Je vois Loris avoir un petit sourire en coin.
- J’avais dit à Jules de taire la visite de Lord Cromwell dans un mois avec une de ses juments qui sera en chaleur.
On m’avait dit que les saillies surtout leur rudesse vous indisposait.
- Je vais faire un effort.
Jules savait que mon amant venait et s’est tu.
Est-il jaloux de mon amant ce qui serait plausible malgré son jeune âge ?
Comme tout jeune garçon, souffre-t-il du complexe d’Oedipe qui a tué son père pour épouser sa mère.
Du moins c’est la littérature qui le dit.
Pour tuer son père, il lui faudrait traverser l’atlantique pour retrouver le sien, j’ai une chance qu’on en réchappe.
- Allée madame, une dernière fois.
On tire, il a raison, le poulain, car il s’agit d’un mâle vu ses coucougnettes que je vois quand il est encore au sol et que Loris le sort de sa poche évitant de s’étouffer.
- Merci madame, voyez, il tète déjà.
Satisfaite d’avoir mis mon premier poulain au monde, je me lave les mains et je retourne chez moi bien fatiguée.
Devant la porte du manoir l’Audi est toujours là.
Belle-maman doit en prendre plein la chatte.
Je vais pour ouvrir la porte quand la poignée m’échappe.
De l’autre côté une main a dû être plus rapide que moi.
- Bonsoir, je m’excuse de vous avoir fait peur.
- Non, ça va.
C’est la première fois que je vois un escorte d’aussi près.
Beau gosse, très bien habillé, j’ignore combien il coûte mais belle-maman doit payer bonbon pour se servir des services d’un tel mâle.
- Vous êtes Marie, la belle-fille d’Isabelle !
Ça fait plusieurs fois que je viens lui proposer mes services et elle m’a souvent parlé de vous et de votre abnégation à faire prospérer vos biens.
- Ceux de mon fils et un peu de toute la famille.
Je suis seulement sa tutrice.
- Une bien jolie tutrice.
Pardon, je sais que c’est votre fils qui a hérité et que c’est vous qui gérez pour lui.
Joignons l’utile à l’agréable, ici c’est impossible, j’ai pour habitude d’éviter les conflits entre les femmes d’une même maison.
Mais si vous venez à Paris, voici ma carte avec mon numéro de téléphone, j’aurais plaisir à vous revoir.
- Payer un gigolo pour baiser, quand j’en serais là, j’aurais plus de cheveux blancs qu’Isabelle.
- En vous donnant ma carte, loin de moi l’idée de vous faire payer, c’est réserver aux vieilles dames et non aux jeunes femmes comme toi.
Toi, je te ferais l’amour à l’œil, à la limite c’est moi qui te payerais.
Pardon, c’est maladroit, vous me faite dire des bêtises, vous pourriez croire que je vous prends pour une escorte vous aussi.
Souviens-toi, tu viens à Paris, tu me téléphones, je te promets une soirée de rêve.
Il tourne les talons, saute par-dessus sa portière et démarra vers la grille toujours ouverte de notre parc.
Quand je suis dans mon bain, je ferme les yeux et je me masturbe en revoyant le visage de Xavier, 06 02 02…
Je connais déjà son numéro.
Quand je reviens dans ma chambre pour enfin dormir, j’ai réussi à me faire jouir moins qu’avec mon Lord.
Je trouve la carte que j’ai posée sur mon lit.
Je vais pour la déchirer, passer après belle-maman même gratuitement me gêne un peu mais avant de faire ce geste définitif, je la range dans le tiroir de ma table de nuit.
Une semaine plus tard, je rêve à la venue de John qui vient pour une saillie que je me suis juré d’assister.
On frappe à la porte de ma chambre.
- Mère voulez-vous m’accompagner pour une sortie en forêt, mon poney veut se dégourdir les pattes.
C’est nouveau, il m’appelait déjà mère, voilà qu’il me vouvoie, si ça peut l’amuser pourquoi pas.
- Oui Jules, j’appelle Loris pour qu’il m’en prépare un.
- Inutile, il prépare le mien et Wanda allait promener Filomène la pouliche que nous venons de prendre en garde.
- Sors que je m’habille, il faut que je passe ma tenue, j’arrive.
- Oui mère a tout de suite.
Leggings très moulant, c’est le propre d’un leggings, polo à manches rose, ça souligne ma poitrine et mes bottes.
À oui, j’oubliais ma bombe, je devrais dire mon casque car j’ai toujours entendu le Duc dire à ses employés que s’ils voulaient garder leur tête, une bombe renforcée était leur garantie.
En grand petit homme, Jules quand je le rejoins est lui aussi en parfaite tenue même pour monter sur son poney.
- Mère, vous êtes magnifique, je vous épouserais si nous étions de famille différente.
Oedipe quand tu nous tien !
A-t-il conscience des mots qu’il prononce ?
Nous récupérons les chevaux et je me sers du banc pour débutant pour monter sur ma monture.
J’ai bien progressé à force de monter et j’arrive même à mettre Filomène au petit galop.
Nous faisons le tour dans la forêt passant à quelques mètres de la grange qui a vu tant de mes aventures sexuelles même jusqu’à l’adultère.
Que ce temps me semble lointain, j’étais vraiment une oie blanche dans ce temps-là.
Un moment je rêve !
Lord John vient le mois prochain et si je l’amenais ici pour me faire sauter me rappelant les bons moments passés malgré la façon dont ça c’est fini.
Les chemins dans la forêt tracés par l’homme formant des carrés ou rectangles, tournant à gauche, puis à gauche le soleil passant entre les arbres montre que nous avons repris la direction du haras après presque une heure de promenade.
- Mère, si vous arrivez après-moi à la maison, vous me faite des crêpes demain dimanche.
Nous avons une femme de service, le temps nous manquant pour faire le ménage et la cuisine.
Depuis qu’il est petit, les crêpes même si je suis une bonne normande, j’adore en faire à mon fils.
Duchesse va pouvoir en profiter car elle est à deux doigts de marcher et de manger les mêmes aliments que nous.
- C’est parti, tu vas perdre.
Surtout que Filomène est au pas comme l’était le poney de Jules après une course et surtout des chemins plus dangereux à prendre au galop.
Je le vois filer, je donne un coup avec mes bottes dans les étriers et la jument se met à trotter.
J’ai dit que les parcelles de bois étaient carrées ou rectangles, il y a donc quelques virages comme ceux que j’aborde Jules étant déjà hors de ma vue.
J’aborde le virage quand j’entends un bruit de moteur.
Filomène se cabre et je tombe sur le côté en essayant de m’accrocher à son encolure.
- Vous êtes-vous fait mal ?
Un peu piteuse d’avoir manqué de maîtrise, je me relève et je me frotte le côté où de la terre a marqué mon leggings et mon polo rose.
- Quand on roule avec de tels engins, comment voulez-vous qu’un cheval comprenne que vous arrivez.
- Vous êtes bien agressive, les chemins sont à tout le monde, parce que vous gérez le haras vous vous croyez tout permis.
Je prends conscience de ma mauvaise humeur plus par dépit d’avoir fait un soleil que de ce garçon dans son fauteuil roulant à moteur avec ses deux jambes coupées…
Je pensais écrire II saisons, mais vous en aurez IV.
Qui est ce garçon, nous le saurons dans la saison III du « Poulain » que mon beau-père et amant a offerte à mon fils pour ses cinq ans et le poney que ma belle-sœur lui a offert le même jour.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Cher lecteur de Chris71 peut-être êtes vous Pierre Corneille pour comparer Chris71 à Vivaldi. Si c'est le cas j'aimerais beaucoup lire un de vos textes.
A.
A.
Dommage, je sais écrire des lettres pas des notes sur une portée...
Putain !!! Quatre saisons ! Il se prend pour Vivaldi maintenant...