COLLECTION COCU. Seule pendant le salon de l’agriculture (3/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Seule pendant le salon de l’agriculture (3/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Seule pendant le salon de l’agriculture (3/5)
Après ce que je suis en train de me laisser faire dans le lit conjugal, comme puis-je dire que je suis seule !
C’est à cause de Rosette, une jeune génisse que Brutus a fécondée en ma présence et qui ayant des difficultés à mettre son veau au monde que j’ai cédé à Gustave notre commis.
Très fatiguée après la venue au monde de ce petit animal et après avoir cédé deux fois à Gustave, lui aussi vraie bête de sexe, c’est dans le lit conjugal qu’il me prend une troisième fois.
C’est à ce moment que mon portable me rappelle à la réalité du monde.
Contre toute attente, Brutus a gagné la catégorie des taureaux de plus de 1 000 kilos de la race charolaise rendant Antoine fou de joie.

• Tu es essoufflée que se passe-t-il ?
Allo.

Comment dire à mon mari, que la langue qui fouille ma chatte et principalement mon clitoris doublé de la main de mon amant embrasant mon sein est en train de me faire repartir vers des sommets jamais atteints avec lui !
J’apprends très vite à être une femme trompant son mari, il le faut pour protéger mon couple.

• Je suis essoufflée, car j’étais dans la salle de bain lorsque mon portable a sonné, je suis venue en courant sachant que c’était...

Je dois reprendre mon souffle, mon clito s’enflamme de plus en plus malgré que j’essaye de repousser la tête de mon subordinateur.

• ... Moi qui t’appelais, je comprends.
Je rentre demain, je vais quitter le salon dès le matin espérant que la circulation sera fluide de la porte de Versailles jusqu’à la porte d’Orléans où je récupèrerais l’autoroute.
Je sortirais à Auxerre, pour aller voir ma tante avant de rentrer vers 15 heures à 16 heures à la maison.
Brutus sera heureux de se détendre les pattes dans nos champs, je lui présenterais Blanchette, la jeune génisse, il va nous faire de beaux petits veaux que nous vendrons plein tarif.
Espérons que ce soit des jumeaux, sa mère m’en faisait deux chaque fois.

Les risques qu’il s’aperçoive que je le trompe sont de plus en plus grands, car la simple bouche de mon amant est en train de me faire partir.
Je respire un grand coup et je me lance.

• C’est très bien, appelle-moi d’Auxerre, ça me rassurera, je dois te laisser, je vois le facteur arrêter sa camionnette, il nous livre un colis.
• Ce doit être les médicaments que Charles nous fait livrer pour les veaux à leur donner dès leur naissance, nous allions en manquer.
Fait passer le carton à Gustave, il sait ou les ranger dans le frigo dans la remise de la vieille...

J’ai déjà raccroché, car je hurle de plaisir, c’est à ce moment que l’on sonne à notre porte.
J’enfile ma robe de chambre et ce sont les jambes un peu flageolantes que je vais voir qui viens m’emmerder au plus profond de mon plaisir.

• C’est la poste madame Sophie, c’est un colis fragile, c’est la première fois que je vous trouve en robe de chambre à cette heure, vous êtes malade !
• Non, Jules, une vache à mi-bas et j’allais prendre une douche.
• Gustave doit être auprès d’elle, vous savez que je joue au rugby avec lui, il m’a promis de me faire voir un veau après sa naissance, c’est l’occasion, je vais le rejoindre !

J’en ai déjà un dans ma chambre à coucher, s’il va dans l’étable, il verra le veau sans Gustave, là encore je réagis vite.

• Inutile, le veau est mort, ça arrive de temps en temps, il faut le laisser seul, car pour mon mari et lui lorsque ça arrive, ils en sont malade.
Lors d’une prochaine naissance, je lui dirais de t’appeler, espérant que ce seront des jumeaux, ils sont souvent plus petits, mais bien plus chou.

Je signe, je récupère le colis que je place dans notre frigo, je vois la camionnette repartir, j’ai une nouvelle fois évité le pire.

• Alors comme ça, je suis peiné après la mort d’un petit veau, tu es une fieffée menteuse.

Ces grands bras puissants m’entourant, je sens qu’il est de nouveau prêt à me mettre un petit coup où cela m’a fait tant de bien.

• Arrête, il faut que j’aille sortir les poules et ramasser les œufs, elles vont se demander ce que je fais ce matin et elles doivent attendre leur grain.
À midi, j’avais mis au vin rouge une daube, tu te contenteras des restes de poulets d’hier.
• Excuse, je vais m’habiller, aller sortir les poules et je te ramènerais les œufs pondus du jour.
Tes restes de poulets, j’adore quand tu les prépares en boucher à la reine.
Reine comme toi mon amour, tu me feras trois œufs à la coque à midi, tout frais je les adore.
• Tiens en passant récupèrent le colis dans le frigo, Antoine m’a dit qu’il l’attendait et que tu savais où ranger ce qu’il contient.

Toute la journée, je cours après mon retard, le rattrapant simplement lorsque je rejoins Gustave pour nettoyer la stabulation et donner à manger aux bêtes.
J’ai même regardé « plus belle-la vie » en Replay, car dès son retour avant de regarder l’épisode de demain soir, il voudra savoir si l’intrigue a évolué.

• Je te laisse, je vais voir ma mère si tout va bien, j’espère que Geneviève l’infirmière est bien venue s’en occuper pendant tout ce qui nous est arrivé.

Une nuit seule et j’ai devant moi une nuit pour me remettre de ma tromperie de mon mari.
Je pensais prendre de bonnes décisions, mais la fatigue me rattrape et au matin je me réveille à l’heure habituelle.
C’est là que mon portable sonne, je suis dans la cuisine en peignoir buvant un café.
Je décroche.

• Sophie, c’est moi Gustave, maman est morte, j’ai failli t’appeler hier au soir, mais j’ai pensé que tu avais à récupérer après la folle nuit et journée que nous avons vécue.
Lorsque je suis arrivé, il y avait Victor, le gendarme avec Geneviève, notre infirmière, maman était allongée sur un brancard.
C’est de ma faute si elle est morte.
Il y a des années que nous avions une balançoire sous le cerisier, elle servait encore à notre nièce lorsqu’elle venait nous voir, nous l’avions gardée.
Elle a dû la voir de la fenêtre de la salle à manger et a voulu aller en faire à cause de sa maladie, ça a dû lui rappeler sa jeunesse, elle en parlait souvent.
La branche que je devais couper, à casser tombant sur sa tête, la tuant sur le coup.
C’est du moins ce qu’en a conclu Victor, au dire du père Léon qui de sa fenêtre à tout vu.
Le docteur Benoit est venu constater le décès et elle a été emmenée au crématorium.
Je vais la rejoindre pour m’occuper des formalités de son décès.
• Toutes mes condoléances, tu vas t’en sortir financièrement !
• Mon père, avant sa mort avec souscri des « capital décès », toute est déjà prévu.
• Antoine sera de retour ce soir, occupe-toi de ta maman, même s’il est fatigué, tu le connais, nous nous occuperons des vaches.

Une chose est sûre, ce qui arrive à Gustave m’arrange, le chien fou qu’il est, il aurait encore une fois essayé de me faire l’amour avant le retour de mon mari.
Le décès de sa maman va me permettre de recadrer ma vie auprès de celui à qui j’avais juré fidélité.
Pendant mon travail, je repense à Victor le gendarme.
C’est le sergent, responsable de notre gendarmerie dépendant de la gendarmerie qui se trouve à quelques kilomètres dans la grande ville voisine.
Lors de la dernière hausse des carburants, Antoine a constaté que les réservoirs des tracteurs et de la moissonneuse avaient été siphonés, il l’avait invitée à venir constater.
Je le connaissais depuis notre prime jeunesse, car ses parents avaient vécu dans le même village que le mien.
C’était un petit timide, souffrent douleurs des jeunes de notre village.
Lorsque l’on m’a aidé à me marier, j’ai su qu’il s’était engagé et devenu gendarme.
Il a fait son enquête et a quitté la ferme, nous promettant de trouver les coupables.
Une quinzaine de jours plus tard, on a sonné, c’était Victor, il était emprunté et a fini par me dire que son enquête était au point mort malgré sa promesse.
Antoine était absent, il se trouvait à la salle des ventes, pour enchérir sur une terre d’un hectare qui se libérait près d’un de nos champs.
Il a essayé de m’embrasser lorsque je lui ai dit être seule.
Il a ramassé la baffe de sa vie, malgré sa tenue de gendarme.
Il a fini par m’avouer qu’il avait lu le journal à la gendarmerie et qu’il était tombé sur l’enchère.
Il avait décidé de venir tenter sa chance lorsqu’il avait vu mon mari prendre le chemin de la ville où se trouvait la salle des ventes.
Comme bien des gens, il savait qu’Antoine était accro à la terre et qu’il lui en fallait de plus en plus.
Le principal, c’est qu’il ait lavé Gustave de tous les soupçons possibles.
Les gens sont tellement méchants qu’ils auraient pu dire qu’il avait fait exprès de se débarrasser de sa mère devenue un boulet.

À midi, j’espérais un coup de bigophone d’Antoine, rien !
J’attends, j’ai peur qu’il lui soit arrivé un accident, mais je sais qu’il a horreur que je l’appelle lui donnant l’impression d’avoir peur d’un accident.
Je finis par céder, je suis renvoyé sur sa messagerie.

• Gustave que fais-tu là !
• J’ai terminé les démarches pour l’incinération de maman, je suis venu voir notre taureau, son prix est un peu le mien.

À 18 heures, pas de retour de la bétaillère, il est temps d’aller nous occuper des vaches.
Mon anxiété doit être grande, car avec Gustave nous passons vers le tas de foin, ou j’ai fauté sans que l’une ou l’autre pension à recommencer nos exploits.

C’est à ce moment que dans son enclos, Black notre mâle labrador se met à japper comme il le fait lorsqu’il y a quelqu’un qui arrive.

• Sophie, tu es là, je suis dans l’obligation de t’apporter une mauvaise nouvelle...

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Histoire sexe : Une rose rouge
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