COLLECTION COCU. Seule pendant le salon de l’agriculture (4/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Seule pendant le salon de l’agriculture (4/5)
La présence de l’homme qui a fait aboyer Black, le labrador qu’avec Antoine nous avons été chercher à la SPA de la ville, après un vol de gasoil, vient de se manifester à l’entrée de notre stabulation.
L’assurance a fait des difficultés pour payer, car nos engins étaient mal protégés.
Clôture et chien que nous lâchons la nuit, nous ont permis d’éviter d’avoir de nouveaux vols.
On dit que les labradors sont gentils, Black l’est, mais c’est un très bon chien de garde.
L’homme qui entre dans la stabulation, me fait craindre le pire.
• Sophie, je viens d’être prévenu par les gendarmes d’Auxerre que ton mari a eu un accident près de la sortie nord de la ville.
Un chauffeur de poids lourd a perdu le contrôle, ils ignorent pourquoi a franchi le parapet et est venu percuter la bétaillère.
Je hurle littéralement.
• Antoine est mort !
• Non, les pompiers après l’avoir désincarcéré l’on conduit à l’hôpital d’Auxerre, c’est mon travail de venir te prévenir.
Ils m’ont dit qu’il avait vingt pourcents de s’en sortir.
Le taureau qui était dans la bétaillère est mort sur le coup, ils vont l’envoyer à l’équarrissage.
Voilà comment, je me retrouve morte d’angoisse au côté de Gustave qui conduit ma voiture sur l’autoroute.
Il a tenu à conduire dans l’état où je suis après cette terrible nouvelle.
Nous avions fini de nous occuper des bêtes et il a lâché Black.
Efficace, il a appelé son copain Paul fils d’un fermier de notre village qui doit être arrivé pour prendre tout en main pendant son absence.
En route, je pense à prévenir mes filles de l’accident de leur père.
Elle souhaite venir en montant de Lyon, mais je les en dissuade tant que j’ignore le temps qu’Antoine va rester à l’hôpital.
• Madame, nous avons tout essayé, mais votre mari est décédé il y a trente minutes, sa colonne était touchée.
• S’il avait survécu, les séquelles auraient été tel, que toute sa ville cette force de la nature aurait été clouée sur un fauteuil, des fois, il vaut mieux laisser partir ceux qu’on aime paisiblement.
Voilà comment je me retrouve veuve à presque quarante ans avec une ferme à gérer, mais par chance j’ai Gustave qui est là pour tout prendre en main malgré son propre deuil.
• Maman, j’ai eu papa hier au soir, il m’a appelé fière du prix obtenu par notre taureau.
J’étais avec Lucette, il était l’homme le plus heureux au monde.
Lucette, dis à maman, ce qu’il nous a dit de l’amour qu’il te portait même si en homme bourru il ignorait, comment te le montrer ?
Sandrine, mon aînée a beau dire, ces mots sont loin de me rassurer, mon mari m’aimait et moi je l’ai trompée avec notre commis, jeune garçon de leur âge.
Ça fait quelques jours que nous avons incinéré sa maman et moi mon mari.
Ils reposent côte à côte dans le cimetière de notre village, par un fait du hasard les sépultures de nos deux familles sont côte à côte.
Depuis la disparition d’Antoine, Gustave fait son travail, mange avec moi seul en tête à tête après que mes filles soient reparties à leurs études et leur vie en ce moment à Lyon.
On sonne à la porte, je quitte la cuisine et je vais ouvrir.
• Victor, que viens-tu m’annoncer, encore une mauvaise nouvelle ?
• Tu me permets d’entrer !
Ce grand échalas est à deux doigts de me bousculer et pénètre dans ma salle à manger, je le suis.
• Voilà, je sais que tu m’as mis une baffe lorsque je suis venu te déclarer mon amour malgré que tu sois mariée.
Il se rapproche de moi à me toucher.
• J’ai respecté un temps après ton veuvage, peux-tu reconsidérer ton jugement du moment maintenant que tu es seule.
Tu as besoin d’un homme pour défendre tes intérêts et ceux de tes filles, je vais bientôt quitter la gendarmerie et je pourrais reprendre la ferme avec toi.
• Tu rigoles, comment pourrais-je devenir la maîtresse d’un homme marié.
Va-t’en, va retrouver ta femme et laisse-moi tranquille, pourquoi mets-tu la main sur ton arme ?
Il retire sa main prestement.
• Dois-je me mettre à genoux pour te supplier, je vais faire le nécessaire pour ma femme, après nous nous marierons.
• Sophie, veux-tu que je t’aide à mettre dehors ce connard de flic ?
• Gustave, que fais-tu là, de quoi tu te mêles, cette affaire être entre ta patronne et moi.
Tu peux retourner vers tes vaches et laisse-moi dire à Sophie tout l’amour que j’ai pour elle depuis des années.
• Pour commencer, tu me parles sur un autre ton, tu fais le fière lorsque tu enfermes des jeunes dans ta gendarmerie, sous-couvert qu’il fait la fête dans la nuit de la nouvelle année comme l’an passé.
• Des gens nous avaient appelés, car tu pissais sur le porche de l’église en hurlant que tu enculais les curés.
• Ça, ça, se peut, mes parents avaient voulu me mettre dans un pensionnat pour jeunes garçons et le père nous faisant des cours de math a voulu voir comment était faite ma queue.
En pissant sur le porche de l’église, je leur pissais à la raie, j’ai une sainte horreur des pédés.
• Je t’ai placé simplement en cellule de dégrisement gardé par deux de mes adjoints qui étaient de service.
• Je sais, il picolait derrière ton dos et ont eu la langue bien pendue entre eux.
J’assiste à l’altercation entre les deux hommes, prête à m’interposer si les choses dérapent.
• Et que disaient-ils ?
• Ils parlaient du cocu que tu aies derrière ton dos !
Où est Jeanne ta femme à cette heure, le mercredi après-midi ?
• Chez sa copine Adèle, gendarmette à la ville, elle l’a rencontré lors d’une soirée organisée par le commandant de la caserne.
• Ce qu’il disait, c’est que ta femme se gouine avec cette Adèle derrière ton dos.
• Jeanne, une bouffeuse de chatte, tu te fous de ma gueule.
• Brouteuse de chatte, mais pas que !
• Quoi, explique-toi ?
• En ce moment, ta femme te fait cocu avec Adèle, mais ils forment un trio avec Sébastien.
• Sébastien, le commandant de notre gendarmerie, tu essayes de te venger que je t’ai enfermé !
• Sophie, ce connard en veut encore, je m’excuse de ce que je vais dire, ça c’était avant la mise à bas de Rosette et de ce qui s’en est suivi.
• Que veux-tu dire, que toi et Sophie, vous êtes ensemble ?
• Oui et non, nous sommes ensemble, mais j’ai le respect de son deuil, ce sera elle qui me dira lorsqu’elle se sentira prête à reprendre notre relation.
En attendant, je vais te parler de Sofiane ta petite fille chérie, tu sais que nous avons le même âge !
Nous courons les conscrits jusqu’en février et le bal que nous organisions suivant la tradition.
En juin, nous allions de ferme en maison pour distribuer des brioches et les saints.
Tu connais le trou de l’enfer !
• Oui, près de l’étang !
• C’est ça, il faisait chaud et nous avions un peu bu là encore et nous avons voulu nous baigner.
Sofiane a été la première à se dénuder, quatre conscrits, trois mâles et une femelle, on l’a défoncé, mais à sa demande, elle était loin d’être vierge, moi je le savais.
• Tu avais déjà couché avec elle !
• Non, ce sont tes adjoints qui se sont vantés de la sauter chaque fois que tu es en mission et qu’elle est seule dans sa chambre de jeunes filles.
J’étais dans ma cage et ils avaient complètement oublié ma présence.
Ta fille adore sucer et se faire prendre en double pénétration, c’est la plus grande salope de notre commune.
Pour conclure, ils ont dit qu’elle t’avait demandé de partir pour Paris pour faire des études.
• Oui, elle part à la rentrée chez une copine qui doit l’héberger.
• Tu remarqueras que mes renseignements sont bons.
Sache que ta fille va faire la pute à la capitale, elle est comme moi pour ses études.
Alors tire-toi grand connard.
Je vois Victor, partir comme l’on dit, la queue basse.
• Gustave, pourquoi lui as-tu parlé de sa fille, j’avais, moi aussi entendues deux femmes parler à la boulangerie que sa fille avait la cuisse légère.
Mais s’était inutile de le ramener plus bas que terre.
• Tu rigoles, il était à deux doigts te violer et pour moi c’est intolérable, même si depuis la mort de ton mari tu es sur la réserve.
• Mais tu es si jeune et moi si vieille.
Il me prend dans ses bras sans que je l’en empêche, il a raison, il faut savoir faire son deuil.
Si Victor, m’avait violé la table de la salle à manger, lui aurait certainement servi, c’est le meuble le plus près.
Je me retrouve les seins sortis de mon corsage, posés sur cette table...
L’assurance a fait des difficultés pour payer, car nos engins étaient mal protégés.
Clôture et chien que nous lâchons la nuit, nous ont permis d’éviter d’avoir de nouveaux vols.
On dit que les labradors sont gentils, Black l’est, mais c’est un très bon chien de garde.
L’homme qui entre dans la stabulation, me fait craindre le pire.
• Sophie, je viens d’être prévenu par les gendarmes d’Auxerre que ton mari a eu un accident près de la sortie nord de la ville.
Un chauffeur de poids lourd a perdu le contrôle, ils ignorent pourquoi a franchi le parapet et est venu percuter la bétaillère.
Je hurle littéralement.
• Antoine est mort !
• Non, les pompiers après l’avoir désincarcéré l’on conduit à l’hôpital d’Auxerre, c’est mon travail de venir te prévenir.
Ils m’ont dit qu’il avait vingt pourcents de s’en sortir.
Le taureau qui était dans la bétaillère est mort sur le coup, ils vont l’envoyer à l’équarrissage.
Voilà comment, je me retrouve morte d’angoisse au côté de Gustave qui conduit ma voiture sur l’autoroute.
Il a tenu à conduire dans l’état où je suis après cette terrible nouvelle.
Nous avions fini de nous occuper des bêtes et il a lâché Black.
Efficace, il a appelé son copain Paul fils d’un fermier de notre village qui doit être arrivé pour prendre tout en main pendant son absence.
En route, je pense à prévenir mes filles de l’accident de leur père.
Elle souhaite venir en montant de Lyon, mais je les en dissuade tant que j’ignore le temps qu’Antoine va rester à l’hôpital.
• Madame, nous avons tout essayé, mais votre mari est décédé il y a trente minutes, sa colonne était touchée.
• S’il avait survécu, les séquelles auraient été tel, que toute sa ville cette force de la nature aurait été clouée sur un fauteuil, des fois, il vaut mieux laisser partir ceux qu’on aime paisiblement.
Voilà comment je me retrouve veuve à presque quarante ans avec une ferme à gérer, mais par chance j’ai Gustave qui est là pour tout prendre en main malgré son propre deuil.
• Maman, j’ai eu papa hier au soir, il m’a appelé fière du prix obtenu par notre taureau.
J’étais avec Lucette, il était l’homme le plus heureux au monde.
Lucette, dis à maman, ce qu’il nous a dit de l’amour qu’il te portait même si en homme bourru il ignorait, comment te le montrer ?
Sandrine, mon aînée a beau dire, ces mots sont loin de me rassurer, mon mari m’aimait et moi je l’ai trompée avec notre commis, jeune garçon de leur âge.
Ça fait quelques jours que nous avons incinéré sa maman et moi mon mari.
Ils reposent côte à côte dans le cimetière de notre village, par un fait du hasard les sépultures de nos deux familles sont côte à côte.
Depuis la disparition d’Antoine, Gustave fait son travail, mange avec moi seul en tête à tête après que mes filles soient reparties à leurs études et leur vie en ce moment à Lyon.
On sonne à la porte, je quitte la cuisine et je vais ouvrir.
• Victor, que viens-tu m’annoncer, encore une mauvaise nouvelle ?
• Tu me permets d’entrer !
Ce grand échalas est à deux doigts de me bousculer et pénètre dans ma salle à manger, je le suis.
• Voilà, je sais que tu m’as mis une baffe lorsque je suis venu te déclarer mon amour malgré que tu sois mariée.
Il se rapproche de moi à me toucher.
• J’ai respecté un temps après ton veuvage, peux-tu reconsidérer ton jugement du moment maintenant que tu es seule.
Tu as besoin d’un homme pour défendre tes intérêts et ceux de tes filles, je vais bientôt quitter la gendarmerie et je pourrais reprendre la ferme avec toi.
• Tu rigoles, comment pourrais-je devenir la maîtresse d’un homme marié.
Va-t’en, va retrouver ta femme et laisse-moi tranquille, pourquoi mets-tu la main sur ton arme ?
Il retire sa main prestement.
• Dois-je me mettre à genoux pour te supplier, je vais faire le nécessaire pour ma femme, après nous nous marierons.
• Sophie, veux-tu que je t’aide à mettre dehors ce connard de flic ?
• Gustave, que fais-tu là, de quoi tu te mêles, cette affaire être entre ta patronne et moi.
Tu peux retourner vers tes vaches et laisse-moi dire à Sophie tout l’amour que j’ai pour elle depuis des années.
• Pour commencer, tu me parles sur un autre ton, tu fais le fière lorsque tu enfermes des jeunes dans ta gendarmerie, sous-couvert qu’il fait la fête dans la nuit de la nouvelle année comme l’an passé.
• Des gens nous avaient appelés, car tu pissais sur le porche de l’église en hurlant que tu enculais les curés.
• Ça, ça, se peut, mes parents avaient voulu me mettre dans un pensionnat pour jeunes garçons et le père nous faisant des cours de math a voulu voir comment était faite ma queue.
En pissant sur le porche de l’église, je leur pissais à la raie, j’ai une sainte horreur des pédés.
• Je t’ai placé simplement en cellule de dégrisement gardé par deux de mes adjoints qui étaient de service.
• Je sais, il picolait derrière ton dos et ont eu la langue bien pendue entre eux.
J’assiste à l’altercation entre les deux hommes, prête à m’interposer si les choses dérapent.
• Et que disaient-ils ?
• Ils parlaient du cocu que tu aies derrière ton dos !
Où est Jeanne ta femme à cette heure, le mercredi après-midi ?
• Chez sa copine Adèle, gendarmette à la ville, elle l’a rencontré lors d’une soirée organisée par le commandant de la caserne.
• Ce qu’il disait, c’est que ta femme se gouine avec cette Adèle derrière ton dos.
• Jeanne, une bouffeuse de chatte, tu te fous de ma gueule.
• Brouteuse de chatte, mais pas que !
• Quoi, explique-toi ?
• En ce moment, ta femme te fait cocu avec Adèle, mais ils forment un trio avec Sébastien.
• Sébastien, le commandant de notre gendarmerie, tu essayes de te venger que je t’ai enfermé !
• Sophie, ce connard en veut encore, je m’excuse de ce que je vais dire, ça c’était avant la mise à bas de Rosette et de ce qui s’en est suivi.
• Que veux-tu dire, que toi et Sophie, vous êtes ensemble ?
• Oui et non, nous sommes ensemble, mais j’ai le respect de son deuil, ce sera elle qui me dira lorsqu’elle se sentira prête à reprendre notre relation.
En attendant, je vais te parler de Sofiane ta petite fille chérie, tu sais que nous avons le même âge !
Nous courons les conscrits jusqu’en février et le bal que nous organisions suivant la tradition.
En juin, nous allions de ferme en maison pour distribuer des brioches et les saints.
Tu connais le trou de l’enfer !
• Oui, près de l’étang !
• C’est ça, il faisait chaud et nous avions un peu bu là encore et nous avons voulu nous baigner.
Sofiane a été la première à se dénuder, quatre conscrits, trois mâles et une femelle, on l’a défoncé, mais à sa demande, elle était loin d’être vierge, moi je le savais.
• Tu avais déjà couché avec elle !
• Non, ce sont tes adjoints qui se sont vantés de la sauter chaque fois que tu es en mission et qu’elle est seule dans sa chambre de jeunes filles.
J’étais dans ma cage et ils avaient complètement oublié ma présence.
Ta fille adore sucer et se faire prendre en double pénétration, c’est la plus grande salope de notre commune.
Pour conclure, ils ont dit qu’elle t’avait demandé de partir pour Paris pour faire des études.
• Oui, elle part à la rentrée chez une copine qui doit l’héberger.
• Tu remarqueras que mes renseignements sont bons.
Sache que ta fille va faire la pute à la capitale, elle est comme moi pour ses études.
Alors tire-toi grand connard.
Je vois Victor, partir comme l’on dit, la queue basse.
• Gustave, pourquoi lui as-tu parlé de sa fille, j’avais, moi aussi entendues deux femmes parler à la boulangerie que sa fille avait la cuisse légère.
Mais s’était inutile de le ramener plus bas que terre.
• Tu rigoles, il était à deux doigts te violer et pour moi c’est intolérable, même si depuis la mort de ton mari tu es sur la réserve.
• Mais tu es si jeune et moi si vieille.
Il me prend dans ses bras sans que je l’en empêche, il a raison, il faut savoir faire son deuil.
Si Victor, m’avait violé la table de la salle à manger, lui aurait certainement servi, c’est le meuble le plus près.
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