COLLECTION DOMINANT DOMINE. Chef d’Entreprise. (1x1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Chef d’Entreprise. (1x1)
• Ici c’est moi qui commande et si mes ordres vous déplaisent la porte est grande ouverte, des fainéants comme vous j’en ponds tous les jours et encore je suis polie, me présenter un projet de votre groupe aussi minable c’est indigne de la paye que je vous verse tous les mois.
Je me présente Aurélie chef d’entreprise, je gère 200 personnes dont une équipe de développement et de direction de 20 personnes.
Ils sont là tous autour de la table de réunion comme tous les matins et deux fois sur trois ils subissent mon courroux.
Ils savent que ces propos sont à prendre au premier degré car j’ai déjà viré trois collaborateurs dont ma secrétaire de direction personnelle qui s’était trompée dans l’envoi d’un courrier et qui nous a fait perdre un contrat de 10 000 €.
Je sais je suis intransigeante surtout sur ce dossier même au prud’homme car notre chiffre d’affaires est de 10 millions d’euros.
Trois jours plus tard je me suis aperçue que je m’étais trompée en donnant à ma secrétaire un mauvais dossier et que c’était une brochure de publicité que j’avais mise dans l’enveloppe, le contrat de 10 000 € a été validé avec en plus un achat d’une machine de 30 000 € présentée sur la brochure.
J’aurais pu faire amende honorable surtout quand j’ai donné les éléments à charge au juge des prud’hommes, faux bien sûr et qui nous ont permises de gagner sur toute la ligne.
Depuis 10 ans que j’ai créé cette boîte qui fonctionne du feu de Dieu les salaires que je verse à chacun me permet d’être dure avec eux, aucun ne retrouverait l’équivalent ailleurs.
Ils sont tous à mes pieds, ils savent quelle vie je leur apporte et que s’ils démissionnaient leur pouvoir d’achat serais coupé de près d’un tiers.
Ils tremblent mais cette pression que j’exerce sur eux me permet de faire avancer ma boîte et de donner à Louis mon mari une vie de nabab.
Tous les jours à 19 heures précises Victor mon chauffeur m’attend dans le parking de la société avec ma limousine et je rentre chez moi.
Mon tailleur Chanel avec mes bas et mes chaussures Louboutin à la célèbre semelle rouge rehausse le galbe de mes jambes.
Que dire de ma poitrine dans mon chemisier, sinon que ma paire de seins entièrement naturelle fait pâlir la plupart des femmes que je connais dans le cadre de mon travail ?
Arrivé chez moi mon chauffeur vient m’ouvrir ma porte après avoir rentré la voiture dans l’immense garage de la résidence où nous habitons.
Dès que la portière de la voiture s’ouvre, ce que fait tous les jours Victor pourrait en déboussoler plus d’un, je me suis mise nue mes vêtements pliés à mes côtés.
Je descends à quatre pattes moment difficile car il m’est arrivé de me vautrer.
• Madame votre cou.
Comme la bonne chienne que je suis, je tends mon cou et il m’attache avec mon collier et ma laisse pris sur le poteau central où elle m’attend tous les jours.
• Allez-y.
Cet ordre reçu toujours à quatre pattes j’avance jusqu’à la porte où j’entre dans mon domaine.
Je suis contente de retrouver mon chez-moi après cette journée harassante.
Les quelques mètres que je parcours dans cette position donnent l'occasion à Victor de me flatter la croupe avec la cravache pendue à côté de ma laisse et qu’il a pris en main.
J’adore ces quelques mètres qui sont devenus l’un de mes moments de plaisir quand je fais rouler ma croupe lui montrant l’intégralité de ma chatte.
Les jours où il est en forme ce qui est le cas ce soir, les trois coups sur chaque fesse qu’il m’assène me font énormément mouiller.
J’attends tous les jours ces moments mais ils sont trop rares à mon goût.
Dans la pièce sans fenêtre où je vis il défait ma laisse et la remplace par la chaîne qui va me permettre de me déplacer jusqu’au petit réduit où je peux faire mes ablutions et me préparer à aller gérer mon entreprise.
Il quitte la pièce et je vais faire mon pipi, j’ai un Wc à la turque et je me place comme les chiennes le trou de ma chatte au-dessus de celui qui reçoit mon urine, j’ai essayé de me laver en me léchant et à force de contorsions j’arrive à me nettoyer.
J’évite de dire comment je fais à un autre moment.
Le lavabo est à hauteur pour que lorsque je me prépare je sois assise, une chienne est incapable d’être debout.
La douche est à l’unisson du reste, derrière une vitre j’ai un bac à l’Italienne et quand avec mon museau j’appuie sur le buton placé à cet endroit pour que je puisse l’atteindre l’eau qui me tombe dessus est froide presque glacée.
Ma toilette faîte, après avoir mangé mes croquettes en les prenant dans ma gamelle avec mes dents et lapé de l'eau je me love sur ma couche composée d’une couverture pliée qui est entretenue chaque fois que je retourne à mon travail par Édith ma femme de ménage.
La caméra qui me surveille me maintien dans l’attente du moment où je vais être amenée dans mon salon.
Certains soirs je couche là sans que personne ne vienne me chercher et le lendemain étant prêt, du moins mon visage et mon corps parfumé avec du 5 de Chanel, Victor vient me remettre ma laisse et me reconduire dans ma voiture.
Ce soir je suis satisfaite, la porte de communication avec le reste de la maison s’ouvre et Victor m’emmène dans mon salon où je me mets en boule au pied du fauteuil où Louis va venir me voir.
Je suis sûre de sa venue car à la télé c’est l’heure de la météo avant le film.
Comme je l’avais pensé il entre de son pas feutré et sans m’adresser la parole il s’assied reposant ses pieds sur mon dos.
Je sens ses pieds sans le voir depuis le jour de notre mariage du moins le jour de ma nuit de noce où dès qu'il m'ait fait rentrer dans la chambre nuptiale deux hommes m’attendait, un petit barbecue électrique était allumé et que Maître Louis m’a personnellement gravé sur mon épaule ses armoiries.
Je venais d’épouser Louis descendant du temps des chevaliers ou l’ancêtre avait fait fortune dans le trafic d’esclaves avant que son grand-père ne revienne en France chassé des Amériques mais avec un bas de laine assez conséquent.
• Victor mon whisky.
Deux perspectives, le sexe ou le fouet car Maître Louis sait faire varier les plaisirs.
• Dite à Édith votre femme de venir me voir.
Pour elle je sais déjà le scénario qui va lui arriver, pendant presque trois quarts d’heure minimum elle va le sucer afin qu’il regarde son film en toute décontraction.
Maître Louis aime que nous le servions alors qu’il glande toute la journée.
Mais depuis notre mariage d'autres que moi ont le droit à sa verge, c’est le seul homme qui me laisse sans me planter mais j’aime attendre le jour où il le fera.
Édith arrive mais il m’est impossible de la voir, mes yeux sont libres de toute obstruction mais depuis que nous regardons la télé ensemble j’ai l’ordre de lui servir de repose-pied et qu’à aucun moment mon regard quitte la croix qu’il a dessinée au mur.
• Suce-moi bien petite salope, Victor voit comme ta femme est douée, je l’ai sortie du caniveau et ici elle est ma reine, ce soir tu vas pouvoir baiser ma soumise à toi de choisir, sa chatte ou son anus, à ton regard chaque fois que tu la sodomises je sais que c’est son petit trou que tu préfères.
Il va encore me sodomiser, depuis que je suis rentrée dans ma chambre de jeunes mariées, Victor étant l’un des deux hommes, l’autre l’attaque a été si rapide que je suis incapable de dire qui c’était.
• Victor pendant que je me fais sucer, va chercher le gode ceinture que ta femme portait lors de la nuit de noce de ma soumise, je voudrais que vous la baisiez en double pénétration, je suis sûre qu’elle en meurt d’envie.
Tu as les renseignements pour son boulot, j’espère qu’elle respecte les ordres et qu’elle est odieuse avec son personnel.
• Maître si vous saviez ce que l’on dit derrière son dos, tous la détestent, surtout Étienne le responsable en chef de projet, il fomente un coup pour prendre la place de votre femme.
• Je crois que demain elle va se faire un plaisir de trouver un motif pour le virer, à 15 heures une jeune femme va se présenter, elle va l’embaucher et après avoir réuni ses 20 collaborateurs elle va leur annoncer que Véronique prend la place d’Étienne.
Dernière chose, tu sais que j’ai horreur de sortir, mais j’ai fait une exception, tu iras dans ma chambre et tu trouveras un collier et une laisse verte que tu accrocheras à côté du rouge de ma soumise, tu les reconduiras toutes les deux ici, de temps en temps je pourrais changer de repose-pied.
Ce film est chiant, ramène là dans sa niche, je t’autorise à la fouetter, si elle est mécontente elle pourra se plaindre à la télé qui ne diffuse que des navets.
Édith arrête de me sucer, Victor emmène ta femme dans la cage où elle passera la nuit à méditer sur ce qu’est une bonne suceuse.
Évite de faire la tête, demain après que nous eûmes mis mes armoiries sur l’épaule de Véronique tu seras le premier à la baiser.
Édith, sa vue m’est inconnue car comme moi elle se tait et exécute les ordres de celui qui comme moi la domine, elle est toujours restée en retraît par rapport à cette croix que je suis obligée de fixer quand je suis dans le salon.
Je suis sûre que si je la voyais sur son épaule sont gravées les mêmes armoiries que celle que j’ai reçue le jour de mes noces.
Victor de retour dans ma niche sort son martinet à 9 queues et me suspend par les poignets à mon palan qui m’empêche de poser l’intégralité de mes pieds au sol.
Le lendemain matin dans la nuit je sens que l’on me libère et je m’affale jusqu’au matin.
• Monsieur dame, faîte moi votre rapport par secteur.
• Jennifer.
• Chiffre d’affaires en hausse de 15 % depuis l’apparition dans notre catalogue de la version 4 de notre machine.
• Merci j’aimerais que chacun d’entre vous soit aussi efficace, je sauris m’en souvenir quand il y aura une promotion à donner.
Étienne où en êtes-vous dans le projet 12 000 pièces mois ?
• Après 3 semaines nous avons réussi à atteindre 3 500 pièces.
• Étienne vous voyez la porte, allez jusqu’à elle.
Bien, ouvrez là.
Bien vous êtes virés, tous les autres je vous donne rendez-vous à 17 heures pour la désignation de ce bon à rien.
Tous ceux susceptibles d’avoir le poste se redressent persuadés d’être celui ou celle que je vais désigner, surtout Jennifer qui est sur les rangs et qui est sûre de décrocher la timbale après les éloges reçus.
15 heures, entre une jeune fille loin d’avoir ma classe ce qui me rassure, après ce que j’ai entendu, sous le regard de ceux qui passent devant mon bureau.
Je vis des regards crédules quand il me voit faire signer des papiers et serrer sa main.
• Mesdames et messieurs, je vous présente Véronique que je viens d’embaucher en remplacement de monsieur Étienne qui a décidé de nous quitter, faire lui un bon accueil, que chacun de vous se souvienne que c’est elle qui vous commande à partir de cette minute.
Tous sortent régurgitant leur rancœur, dès son arrivée la jeune femme vient de se faire un max d’ennemis.
• Véronique suivez-moi je vais vous présenter quelqu’un.
Dans la voiture je me déshabille comme je le fais tous les jours.
Je vois l’étonnement de mon invité et surtout quand on me met ma laisse et que je deviens chienne.
Je me retrouve attachée à ma chaîne.
• Suivez-moi mademoiselle.
Étonné elle passe la porte et quand j’entends un grand cri je sais que le fer rouge est entré dans ses chaires la marquant à vie aux armoiries de Maître Louis.
Bien venue Véronique dans le monde des femmes soumises.
Je me présente Aurélie chef d’entreprise, je gère 200 personnes dont une équipe de développement et de direction de 20 personnes.
Ils sont là tous autour de la table de réunion comme tous les matins et deux fois sur trois ils subissent mon courroux.
Ils savent que ces propos sont à prendre au premier degré car j’ai déjà viré trois collaborateurs dont ma secrétaire de direction personnelle qui s’était trompée dans l’envoi d’un courrier et qui nous a fait perdre un contrat de 10 000 €.
Je sais je suis intransigeante surtout sur ce dossier même au prud’homme car notre chiffre d’affaires est de 10 millions d’euros.
Trois jours plus tard je me suis aperçue que je m’étais trompée en donnant à ma secrétaire un mauvais dossier et que c’était une brochure de publicité que j’avais mise dans l’enveloppe, le contrat de 10 000 € a été validé avec en plus un achat d’une machine de 30 000 € présentée sur la brochure.
J’aurais pu faire amende honorable surtout quand j’ai donné les éléments à charge au juge des prud’hommes, faux bien sûr et qui nous ont permises de gagner sur toute la ligne.
Depuis 10 ans que j’ai créé cette boîte qui fonctionne du feu de Dieu les salaires que je verse à chacun me permet d’être dure avec eux, aucun ne retrouverait l’équivalent ailleurs.
Ils sont tous à mes pieds, ils savent quelle vie je leur apporte et que s’ils démissionnaient leur pouvoir d’achat serais coupé de près d’un tiers.
Ils tremblent mais cette pression que j’exerce sur eux me permet de faire avancer ma boîte et de donner à Louis mon mari une vie de nabab.
Tous les jours à 19 heures précises Victor mon chauffeur m’attend dans le parking de la société avec ma limousine et je rentre chez moi.
Mon tailleur Chanel avec mes bas et mes chaussures Louboutin à la célèbre semelle rouge rehausse le galbe de mes jambes.
Que dire de ma poitrine dans mon chemisier, sinon que ma paire de seins entièrement naturelle fait pâlir la plupart des femmes que je connais dans le cadre de mon travail ?
Arrivé chez moi mon chauffeur vient m’ouvrir ma porte après avoir rentré la voiture dans l’immense garage de la résidence où nous habitons.
Dès que la portière de la voiture s’ouvre, ce que fait tous les jours Victor pourrait en déboussoler plus d’un, je me suis mise nue mes vêtements pliés à mes côtés.
Je descends à quatre pattes moment difficile car il m’est arrivé de me vautrer.
• Madame votre cou.
Comme la bonne chienne que je suis, je tends mon cou et il m’attache avec mon collier et ma laisse pris sur le poteau central où elle m’attend tous les jours.
• Allez-y.
Cet ordre reçu toujours à quatre pattes j’avance jusqu’à la porte où j’entre dans mon domaine.
Je suis contente de retrouver mon chez-moi après cette journée harassante.
Les quelques mètres que je parcours dans cette position donnent l'occasion à Victor de me flatter la croupe avec la cravache pendue à côté de ma laisse et qu’il a pris en main.
J’adore ces quelques mètres qui sont devenus l’un de mes moments de plaisir quand je fais rouler ma croupe lui montrant l’intégralité de ma chatte.
Les jours où il est en forme ce qui est le cas ce soir, les trois coups sur chaque fesse qu’il m’assène me font énormément mouiller.
J’attends tous les jours ces moments mais ils sont trop rares à mon goût.
Dans la pièce sans fenêtre où je vis il défait ma laisse et la remplace par la chaîne qui va me permettre de me déplacer jusqu’au petit réduit où je peux faire mes ablutions et me préparer à aller gérer mon entreprise.
Il quitte la pièce et je vais faire mon pipi, j’ai un Wc à la turque et je me place comme les chiennes le trou de ma chatte au-dessus de celui qui reçoit mon urine, j’ai essayé de me laver en me léchant et à force de contorsions j’arrive à me nettoyer.
J’évite de dire comment je fais à un autre moment.
Le lavabo est à hauteur pour que lorsque je me prépare je sois assise, une chienne est incapable d’être debout.
La douche est à l’unisson du reste, derrière une vitre j’ai un bac à l’Italienne et quand avec mon museau j’appuie sur le buton placé à cet endroit pour que je puisse l’atteindre l’eau qui me tombe dessus est froide presque glacée.
Ma toilette faîte, après avoir mangé mes croquettes en les prenant dans ma gamelle avec mes dents et lapé de l'eau je me love sur ma couche composée d’une couverture pliée qui est entretenue chaque fois que je retourne à mon travail par Édith ma femme de ménage.
La caméra qui me surveille me maintien dans l’attente du moment où je vais être amenée dans mon salon.
Certains soirs je couche là sans que personne ne vienne me chercher et le lendemain étant prêt, du moins mon visage et mon corps parfumé avec du 5 de Chanel, Victor vient me remettre ma laisse et me reconduire dans ma voiture.
Ce soir je suis satisfaite, la porte de communication avec le reste de la maison s’ouvre et Victor m’emmène dans mon salon où je me mets en boule au pied du fauteuil où Louis va venir me voir.
Je suis sûre de sa venue car à la télé c’est l’heure de la météo avant le film.
Comme je l’avais pensé il entre de son pas feutré et sans m’adresser la parole il s’assied reposant ses pieds sur mon dos.
Je sens ses pieds sans le voir depuis le jour de notre mariage du moins le jour de ma nuit de noce où dès qu'il m'ait fait rentrer dans la chambre nuptiale deux hommes m’attendait, un petit barbecue électrique était allumé et que Maître Louis m’a personnellement gravé sur mon épaule ses armoiries.
Je venais d’épouser Louis descendant du temps des chevaliers ou l’ancêtre avait fait fortune dans le trafic d’esclaves avant que son grand-père ne revienne en France chassé des Amériques mais avec un bas de laine assez conséquent.
• Victor mon whisky.
Deux perspectives, le sexe ou le fouet car Maître Louis sait faire varier les plaisirs.
• Dite à Édith votre femme de venir me voir.
Pour elle je sais déjà le scénario qui va lui arriver, pendant presque trois quarts d’heure minimum elle va le sucer afin qu’il regarde son film en toute décontraction.
Maître Louis aime que nous le servions alors qu’il glande toute la journée.
Mais depuis notre mariage d'autres que moi ont le droit à sa verge, c’est le seul homme qui me laisse sans me planter mais j’aime attendre le jour où il le fera.
Édith arrive mais il m’est impossible de la voir, mes yeux sont libres de toute obstruction mais depuis que nous regardons la télé ensemble j’ai l’ordre de lui servir de repose-pied et qu’à aucun moment mon regard quitte la croix qu’il a dessinée au mur.
• Suce-moi bien petite salope, Victor voit comme ta femme est douée, je l’ai sortie du caniveau et ici elle est ma reine, ce soir tu vas pouvoir baiser ma soumise à toi de choisir, sa chatte ou son anus, à ton regard chaque fois que tu la sodomises je sais que c’est son petit trou que tu préfères.
Il va encore me sodomiser, depuis que je suis rentrée dans ma chambre de jeunes mariées, Victor étant l’un des deux hommes, l’autre l’attaque a été si rapide que je suis incapable de dire qui c’était.
• Victor pendant que je me fais sucer, va chercher le gode ceinture que ta femme portait lors de la nuit de noce de ma soumise, je voudrais que vous la baisiez en double pénétration, je suis sûre qu’elle en meurt d’envie.
Tu as les renseignements pour son boulot, j’espère qu’elle respecte les ordres et qu’elle est odieuse avec son personnel.
• Maître si vous saviez ce que l’on dit derrière son dos, tous la détestent, surtout Étienne le responsable en chef de projet, il fomente un coup pour prendre la place de votre femme.
• Je crois que demain elle va se faire un plaisir de trouver un motif pour le virer, à 15 heures une jeune femme va se présenter, elle va l’embaucher et après avoir réuni ses 20 collaborateurs elle va leur annoncer que Véronique prend la place d’Étienne.
Dernière chose, tu sais que j’ai horreur de sortir, mais j’ai fait une exception, tu iras dans ma chambre et tu trouveras un collier et une laisse verte que tu accrocheras à côté du rouge de ma soumise, tu les reconduiras toutes les deux ici, de temps en temps je pourrais changer de repose-pied.
Ce film est chiant, ramène là dans sa niche, je t’autorise à la fouetter, si elle est mécontente elle pourra se plaindre à la télé qui ne diffuse que des navets.
Édith arrête de me sucer, Victor emmène ta femme dans la cage où elle passera la nuit à méditer sur ce qu’est une bonne suceuse.
Évite de faire la tête, demain après que nous eûmes mis mes armoiries sur l’épaule de Véronique tu seras le premier à la baiser.
Édith, sa vue m’est inconnue car comme moi elle se tait et exécute les ordres de celui qui comme moi la domine, elle est toujours restée en retraît par rapport à cette croix que je suis obligée de fixer quand je suis dans le salon.
Je suis sûre que si je la voyais sur son épaule sont gravées les mêmes armoiries que celle que j’ai reçue le jour de mes noces.
Victor de retour dans ma niche sort son martinet à 9 queues et me suspend par les poignets à mon palan qui m’empêche de poser l’intégralité de mes pieds au sol.
Le lendemain matin dans la nuit je sens que l’on me libère et je m’affale jusqu’au matin.
• Monsieur dame, faîte moi votre rapport par secteur.
• Jennifer.
• Chiffre d’affaires en hausse de 15 % depuis l’apparition dans notre catalogue de la version 4 de notre machine.
• Merci j’aimerais que chacun d’entre vous soit aussi efficace, je sauris m’en souvenir quand il y aura une promotion à donner.
Étienne où en êtes-vous dans le projet 12 000 pièces mois ?
• Après 3 semaines nous avons réussi à atteindre 3 500 pièces.
• Étienne vous voyez la porte, allez jusqu’à elle.
Bien, ouvrez là.
Bien vous êtes virés, tous les autres je vous donne rendez-vous à 17 heures pour la désignation de ce bon à rien.
Tous ceux susceptibles d’avoir le poste se redressent persuadés d’être celui ou celle que je vais désigner, surtout Jennifer qui est sur les rangs et qui est sûre de décrocher la timbale après les éloges reçus.
15 heures, entre une jeune fille loin d’avoir ma classe ce qui me rassure, après ce que j’ai entendu, sous le regard de ceux qui passent devant mon bureau.
Je vis des regards crédules quand il me voit faire signer des papiers et serrer sa main.
• Mesdames et messieurs, je vous présente Véronique que je viens d’embaucher en remplacement de monsieur Étienne qui a décidé de nous quitter, faire lui un bon accueil, que chacun de vous se souvienne que c’est elle qui vous commande à partir de cette minute.
Tous sortent régurgitant leur rancœur, dès son arrivée la jeune femme vient de se faire un max d’ennemis.
• Véronique suivez-moi je vais vous présenter quelqu’un.
Dans la voiture je me déshabille comme je le fais tous les jours.
Je vois l’étonnement de mon invité et surtout quand on me met ma laisse et que je deviens chienne.
Je me retrouve attachée à ma chaîne.
• Suivez-moi mademoiselle.
Étonné elle passe la porte et quand j’entends un grand cri je sais que le fer rouge est entré dans ses chaires la marquant à vie aux armoiries de Maître Louis.
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