COLLECTION DOMINANT DOMINE. Incarcérée (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Incarcérée (2/2)
C’est fou, moi la femme mariée deux enfants et petits-enfants, après des vacances au Maroc, je suis prise dans une spirale infernale, condamnation, appel, condamnation aggravée et incarcération.
Une gardienne me fait entrer dans une cellule où il y a déjà deux femmes, ils ont mis un matelas au sol, je découvre un monde de perversité et de luxure féminine.
• Debout les filles, j’ai superbement dormi, et toi la bourge, cette première nuit, c’est bien passé !
Qu’est-ce qu'elle espère que je lui réponde, elle aura toujours raison, j’ai essayé de me rebeller, j’en ai été pour mes frais !
• Évite de me faire la gueule, j’ai pensé que tu avais soif.
Lucette me regarde sans poser de questions, a-t-elle vu ou est-elle au courant de la déviance de cette fille tatouée partout sur son corps.
Café, tartines, je fais ma toilette après les deux autres, priorité aux anciennes, j’ai du mal, elle tourne comme des vautours autour de moi, mains sur mes fesses, Cruella allant même jusqu’à tâter.
Ça m’existe, je passe ma pattemouille entre mes jambes, entre l’eau sur le tissu et ma cyprine, j’ignore ce qui me mouille le plus, je me lave les dents avec la brosse à dents fournie par l’administration, je finis par m’habiller.
Un moment, j’ai un mouvement pour prendre mon flacon de parfum, comme je le faisais à la maison, c’est un geste qui me manque depuis que je l’ai quitté, pour combien de temps, hélas.
Du bruit derrière la porte, les verrous qui claquent, la porte qui s’ouvre elle aussi.
• Promenade les filles, c’est ici qu’il y a une emmerdeuse, Gertrude m’a parlé de toi à la relève, si elle aime la tranquillité, j’ai un mari qui me fait chier, alors tient toi pénarde, je suis pire qu’elle lorsque l’on emmerde.
• Pourquoi me tutoyez-vous madame ?
• Elle disait vrai, une emmerdeuse, aller dehors.
• On s’en occupe Gabrielle, laisse-nous le temps de l’amadouer, c’est normal, elle est innocente.
Les trois filles éclatent de rire, je dois admettre que je suis définitivement seule devant l’adversité.
Je comprends que les filles se mettent deux par deux, nous sommes conduites vers une cour intérieure entre de hauts murs, là encore, je comprends que pendant des années ce carré de ciel bleu sera le seul qu’il me saura donner de voir.
• Clopes-tu ?
• Non merci, pas de cigarette et pas d’alcool.
• Une pure, la clope, tu vas t’y mettre très vite, on s’emmerde tellement ici, vient me voir quand l’envie t’en prendra.
Cette femme, ayant environ mon âge, me passe la main sur ma joue, encore une brouteuse de chatte, les rapports saphiques semblent légion dans cette prison, il est vrai que pour les longues peines, la tentation à aimer ce doit être important.
Regardez, en moins de vingt-quatre heures, le chemin parcouru avec Cruella et Lucette.
• La Lèche, laisse tomber, c’est ma femme, si tu continues à l’approcher, je vais te défoncer ta jolie petite gueule.
• Reste calme Cruella, j’ignorais qu’elle avait passé la nuit dans ta cellule, vous êtes trois avec Lucette, tu lui as fait le coup des chiottes.
• Tu es bien indiscrète la lèche, je te demande ce que tu as fait quand tu as passé trois jours avec nous, c’est vrai, tous savent que ta pute a terminé sa peine et que tu en cherches une autre, excuse, cette bourge m’appartient.
Je devrais me rebeller, lui sauter aux yeux et lui arracher, mais sur le chemin de ronde Gabrielle nous regarde en parlant avec une autre matonne.
Cruella se pend à mon bras et se met à marcher suivie de Lucette nous suivant comme un toutou, nous faisons le tour de la cour, je me sens exhibée, montrée comme un objet de foire.
Je me souviens, un jour nous sommes allées à la foire du trône avec Jules, il y avait une sorte de podium où des filles courtes vêtues venaient s’exhiber, Jules a voulu entrer, ces filles étaient des strip-teaseuses itinérantes, elles m’ont fait honte.
En ce moment même, si j’ai mes affaires sur le dos, je suis une de ces femmes qui se montrent pour dire qui elles sont et à qui elles appartiennent.
• On rentre les filles, mettez-vous deux par deux.
Ce rythme, nous le faisons tous les jours depuis presque un mois, je subis toujours les asseaux de mes congénères dès que nous sommes seules, la porte franchie, j’enlève mes vêtements.
Je me mets dos au mur sur mon matelas et j’attends le bon vouloir des salopes avec qui je vis 23 heures sur 24, nous avons bien une télé, mais en panne depuis que Cruella l'a déglingué ayant du mal à supporter un reportage sur les prisons.
Elles étaient montrées comme un lieu idyllique alors que nous crevons de chaud dans notre cellule où nous sommes trois pour un espace de deux.
• C’est bien, la bourge jouis, tu aimes que je te fist, dit moi que tu es une salope.
Je suis à la limite d’avoir du mal à respirer et je finis toujours par avoir un orgasme, je parlais de leur perversité, depuis quelques jours, elles ont trouvé un nouveau jeu, la brosse à dents dans le cul.
J’avais jeté l’une d’elles, dans la poubelle, Cruella l’a vu, là ramassé, j’étais en levrette, j’ai senti quelque chose sur ma rosette, le temps de me poser des questions, elle me ramonait l’anus.
J’ignore, jusqu’à où elle est capable d’aller, plus elle m’humilie plus j’ai envie qu’elle m’humilie, je suis devenue sa chose sa soumise.
Les mois passent, le provisoire à trois se poursuit, la surpopulation s’amplifiant, je suis de plus en plus sous l’emprise de Cruella, un peu moins de Lucette qui fait seulement ce que Cruella lui demande.
Toute la prison, sait que ma maîtresse est ma dominatrice, lors de la promenade, aucune ambiguïté, si les matonnes lui en donneraient le droit, elle ferait entrer un collier de chien et une laisse.
C’est là que je suis appelé à rencontrer mon baveux, avocat dans le milieu carcéral.
• Madame Sylvie, j’ai des papiers à vous faire signer.
Madame et Sylvie, quelle bouffée d’air, mais je déchante vite, Jules vient d’être libérée à mi-peine pour bonne conduite, il me demande le divorce.
• J’ai vu le notaire, votre mari vend votre appartement, il change de ville, ces papiers vont lui donner le droit de le faire, vous sortirez dans quelques mois vous aussi et le notaire mettra à votre disposition l’argent qui vous revient, vous aurez de quoi redémarrer une vie nouvelle.
• A-t-il rencontré une pétasse ?
• Une visiteuse de prisons, elle l’a visitée, maintenant, c’est lui qui la visite.
• Que le diable l’emporte.
C’est ce jour au parloir, que je vois Cruella avec une jolie blonde, la grenouille et le crapaud, tellement leur différence est grande, elle me regarde et semble parler de moi.
Je suis reconduite dans ma cellule, je me garde bien de lui poser des questions.
Les semaines passent, je suis devenue une gouine à part entière, j’ai récupéré le lit de Lucette qui après bien des demandes a été transféré à la centrale de Bordeaux, j’apprends qu’elle a un fils et que ce sont ses parents qui s’en occupent, elle pourra le voir plus facilement.
Ma situation avec Cruella reste la même, tous voient que je suis sa petite chienne, elle abois, j’accours, je suis soumise plus que soumise, j’adore ma condition, sa main, sa langue, les claques sur mon fessier qu’elle adore me donner, me ravissent.
J’espère une libération conditionnelle comme mon ex-mari, quand une nouvelle fois mon baveux veut me rencontrer.
• Madame Sylvie, j’ai une bonne nouvelle, vous allez être libérée dès que les procédures seront enclenchées.
Au Maroc, la police a arrêté un individu qui tentait de donner un paquet comme celui que vous avez ramené et qui vous a valu votre privation de liberté, comme pour vous, il y avait 5 kilos de cocaïne.
Il a reconnu pratiquer ce trafic depuis des années, l’un des policiers s’est souvenu que vous aviez subi le même traitement et il a envoyé un rapport à Paris.
Vous allez être reconnu innocente, dès que cela est fait, j’engage une procédure comme le permet notre législation, vous serez indemnisée pour les années de prison que vous avez faite indûment.
De retour dans la cellule, Cruella voit que quelque chose me trouble, j’ai oublié de me dévêtir, je lui explique.
C’est la seule fois où me prenant dans ses bras, elle me montre une once d’humanité.
• Si tu sors, tu montes à Paris, tu vas au bar de nuit « Elle et Elle » tu demandes Susy, tu l’as déjà vue au parloir le jour où tu as appris que ton mari divorçait, elle s'occupera de toi, le plus dur quand on se retrouve dehors, c’est d’y rester, je sais de quoi je parle, j’ai replongé trois fois.
Je sors demain, j’avais de l’argent quand on m'a arrêté, j’en ai assez pour prendre le train pour Paris.
Ce soir, veillé d’armes, pour une nuit, on nous a mis une gamine de 18 ans, en attente de son procès.
Dans la nuit, elle tambourine à la porte, dérangeant Gertrude qui nous fait le même numéro qu’avec moi.
Je suis réveillée par des bruits suspects, ce que fait Cruella à la petite pute, c’est le nom qu’elle lui a donnée dès son entrée, me rappelle mes débuts dans cette cellule, elle a sa chatte sur la bouche de la nouvelle, je la vois se tendre, elle jouit aux petits cris qu’elle pousse.
Je pense qu’elle va en rester là, mais la phrase qu’elle prononce le plus bas possible est explicite.
• Allez, bois, ton matelas m’empêche d’ouvrir les toilettes.
Je devrais être écoeuré, mais j’ai tellement bu son urine ou sa cyprine que je me retourne, je veux être en forme demain.
• Excusez, je vous reconnais, vous êtes Susy.
• Oui, c’est moi, je vous reconnais aussi, je savais que vous alliez venir, vous êtes la bourge, Anabella m’a téléphoné pour m’annoncer votre venue, prenez cet escalier, mon appartement est là.
Faite comme chez vous, je vous rejoins dès que je ferme.
Susy est une très jolie femme ayant mes mensurations, au bar, elle avait une jolie combinaison en cuir blanc, dans son armoire, j’en trouve une noire que je passe, elle me va comme un gant.
Je trouve même des godes dont un gode ceinture et une cravache, quand elle monte, il me faut cinq minutes pour que je fasse d’elle, ma soumise, de toute façon, c’était déjà sa nature.
Déshabiller, elle se tord sous mes coups de cravache, terminée la bourge, Vampira vient de naître et commence une nouvelle vie.
Cruella, vous allez me dire, en ce moment Susy me suce la chatte, je vais en faire ma pute, attention seulement pour mon plaisir, Cruella, elle a encore des années de prison, je me poserais la question quand sa sortie sera effective.
En attendant, je compte bien me payer sur la bête en deux points, Susy bien sûr et le bar, ma petite pute l’a acheté avec le pognon qui a entraîné Cruella en tôle, il est certain, que j’en aurais croqué une très grosse partie.
Si elle veut revoir trois sous, en sortant, il faudra qu’elle se place sous ma chatte et que je lui pisse à la gueule.
Une gardienne me fait entrer dans une cellule où il y a déjà deux femmes, ils ont mis un matelas au sol, je découvre un monde de perversité et de luxure féminine.
• Debout les filles, j’ai superbement dormi, et toi la bourge, cette première nuit, c’est bien passé !
Qu’est-ce qu'elle espère que je lui réponde, elle aura toujours raison, j’ai essayé de me rebeller, j’en ai été pour mes frais !
• Évite de me faire la gueule, j’ai pensé que tu avais soif.
Lucette me regarde sans poser de questions, a-t-elle vu ou est-elle au courant de la déviance de cette fille tatouée partout sur son corps.
Café, tartines, je fais ma toilette après les deux autres, priorité aux anciennes, j’ai du mal, elle tourne comme des vautours autour de moi, mains sur mes fesses, Cruella allant même jusqu’à tâter.
Ça m’existe, je passe ma pattemouille entre mes jambes, entre l’eau sur le tissu et ma cyprine, j’ignore ce qui me mouille le plus, je me lave les dents avec la brosse à dents fournie par l’administration, je finis par m’habiller.
Un moment, j’ai un mouvement pour prendre mon flacon de parfum, comme je le faisais à la maison, c’est un geste qui me manque depuis que je l’ai quitté, pour combien de temps, hélas.
Du bruit derrière la porte, les verrous qui claquent, la porte qui s’ouvre elle aussi.
• Promenade les filles, c’est ici qu’il y a une emmerdeuse, Gertrude m’a parlé de toi à la relève, si elle aime la tranquillité, j’ai un mari qui me fait chier, alors tient toi pénarde, je suis pire qu’elle lorsque l’on emmerde.
• Pourquoi me tutoyez-vous madame ?
• Elle disait vrai, une emmerdeuse, aller dehors.
• On s’en occupe Gabrielle, laisse-nous le temps de l’amadouer, c’est normal, elle est innocente.
Les trois filles éclatent de rire, je dois admettre que je suis définitivement seule devant l’adversité.
Je comprends que les filles se mettent deux par deux, nous sommes conduites vers une cour intérieure entre de hauts murs, là encore, je comprends que pendant des années ce carré de ciel bleu sera le seul qu’il me saura donner de voir.
• Clopes-tu ?
• Non merci, pas de cigarette et pas d’alcool.
• Une pure, la clope, tu vas t’y mettre très vite, on s’emmerde tellement ici, vient me voir quand l’envie t’en prendra.
Cette femme, ayant environ mon âge, me passe la main sur ma joue, encore une brouteuse de chatte, les rapports saphiques semblent légion dans cette prison, il est vrai que pour les longues peines, la tentation à aimer ce doit être important.
Regardez, en moins de vingt-quatre heures, le chemin parcouru avec Cruella et Lucette.
• La Lèche, laisse tomber, c’est ma femme, si tu continues à l’approcher, je vais te défoncer ta jolie petite gueule.
• Reste calme Cruella, j’ignorais qu’elle avait passé la nuit dans ta cellule, vous êtes trois avec Lucette, tu lui as fait le coup des chiottes.
• Tu es bien indiscrète la lèche, je te demande ce que tu as fait quand tu as passé trois jours avec nous, c’est vrai, tous savent que ta pute a terminé sa peine et que tu en cherches une autre, excuse, cette bourge m’appartient.
Je devrais me rebeller, lui sauter aux yeux et lui arracher, mais sur le chemin de ronde Gabrielle nous regarde en parlant avec une autre matonne.
Cruella se pend à mon bras et se met à marcher suivie de Lucette nous suivant comme un toutou, nous faisons le tour de la cour, je me sens exhibée, montrée comme un objet de foire.
Je me souviens, un jour nous sommes allées à la foire du trône avec Jules, il y avait une sorte de podium où des filles courtes vêtues venaient s’exhiber, Jules a voulu entrer, ces filles étaient des strip-teaseuses itinérantes, elles m’ont fait honte.
En ce moment même, si j’ai mes affaires sur le dos, je suis une de ces femmes qui se montrent pour dire qui elles sont et à qui elles appartiennent.
• On rentre les filles, mettez-vous deux par deux.
Ce rythme, nous le faisons tous les jours depuis presque un mois, je subis toujours les asseaux de mes congénères dès que nous sommes seules, la porte franchie, j’enlève mes vêtements.
Je me mets dos au mur sur mon matelas et j’attends le bon vouloir des salopes avec qui je vis 23 heures sur 24, nous avons bien une télé, mais en panne depuis que Cruella l'a déglingué ayant du mal à supporter un reportage sur les prisons.
Elles étaient montrées comme un lieu idyllique alors que nous crevons de chaud dans notre cellule où nous sommes trois pour un espace de deux.
• C’est bien, la bourge jouis, tu aimes que je te fist, dit moi que tu es une salope.
Je suis à la limite d’avoir du mal à respirer et je finis toujours par avoir un orgasme, je parlais de leur perversité, depuis quelques jours, elles ont trouvé un nouveau jeu, la brosse à dents dans le cul.
J’avais jeté l’une d’elles, dans la poubelle, Cruella l’a vu, là ramassé, j’étais en levrette, j’ai senti quelque chose sur ma rosette, le temps de me poser des questions, elle me ramonait l’anus.
J’ignore, jusqu’à où elle est capable d’aller, plus elle m’humilie plus j’ai envie qu’elle m’humilie, je suis devenue sa chose sa soumise.
Les mois passent, le provisoire à trois se poursuit, la surpopulation s’amplifiant, je suis de plus en plus sous l’emprise de Cruella, un peu moins de Lucette qui fait seulement ce que Cruella lui demande.
Toute la prison, sait que ma maîtresse est ma dominatrice, lors de la promenade, aucune ambiguïté, si les matonnes lui en donneraient le droit, elle ferait entrer un collier de chien et une laisse.
C’est là que je suis appelé à rencontrer mon baveux, avocat dans le milieu carcéral.
• Madame Sylvie, j’ai des papiers à vous faire signer.
Madame et Sylvie, quelle bouffée d’air, mais je déchante vite, Jules vient d’être libérée à mi-peine pour bonne conduite, il me demande le divorce.
• J’ai vu le notaire, votre mari vend votre appartement, il change de ville, ces papiers vont lui donner le droit de le faire, vous sortirez dans quelques mois vous aussi et le notaire mettra à votre disposition l’argent qui vous revient, vous aurez de quoi redémarrer une vie nouvelle.
• A-t-il rencontré une pétasse ?
• Une visiteuse de prisons, elle l’a visitée, maintenant, c’est lui qui la visite.
• Que le diable l’emporte.
C’est ce jour au parloir, que je vois Cruella avec une jolie blonde, la grenouille et le crapaud, tellement leur différence est grande, elle me regarde et semble parler de moi.
Je suis reconduite dans ma cellule, je me garde bien de lui poser des questions.
Les semaines passent, je suis devenue une gouine à part entière, j’ai récupéré le lit de Lucette qui après bien des demandes a été transféré à la centrale de Bordeaux, j’apprends qu’elle a un fils et que ce sont ses parents qui s’en occupent, elle pourra le voir plus facilement.
Ma situation avec Cruella reste la même, tous voient que je suis sa petite chienne, elle abois, j’accours, je suis soumise plus que soumise, j’adore ma condition, sa main, sa langue, les claques sur mon fessier qu’elle adore me donner, me ravissent.
J’espère une libération conditionnelle comme mon ex-mari, quand une nouvelle fois mon baveux veut me rencontrer.
• Madame Sylvie, j’ai une bonne nouvelle, vous allez être libérée dès que les procédures seront enclenchées.
Au Maroc, la police a arrêté un individu qui tentait de donner un paquet comme celui que vous avez ramené et qui vous a valu votre privation de liberté, comme pour vous, il y avait 5 kilos de cocaïne.
Il a reconnu pratiquer ce trafic depuis des années, l’un des policiers s’est souvenu que vous aviez subi le même traitement et il a envoyé un rapport à Paris.
Vous allez être reconnu innocente, dès que cela est fait, j’engage une procédure comme le permet notre législation, vous serez indemnisée pour les années de prison que vous avez faite indûment.
De retour dans la cellule, Cruella voit que quelque chose me trouble, j’ai oublié de me dévêtir, je lui explique.
C’est la seule fois où me prenant dans ses bras, elle me montre une once d’humanité.
• Si tu sors, tu montes à Paris, tu vas au bar de nuit « Elle et Elle » tu demandes Susy, tu l’as déjà vue au parloir le jour où tu as appris que ton mari divorçait, elle s'occupera de toi, le plus dur quand on se retrouve dehors, c’est d’y rester, je sais de quoi je parle, j’ai replongé trois fois.
Je sors demain, j’avais de l’argent quand on m'a arrêté, j’en ai assez pour prendre le train pour Paris.
Ce soir, veillé d’armes, pour une nuit, on nous a mis une gamine de 18 ans, en attente de son procès.
Dans la nuit, elle tambourine à la porte, dérangeant Gertrude qui nous fait le même numéro qu’avec moi.
Je suis réveillée par des bruits suspects, ce que fait Cruella à la petite pute, c’est le nom qu’elle lui a donnée dès son entrée, me rappelle mes débuts dans cette cellule, elle a sa chatte sur la bouche de la nouvelle, je la vois se tendre, elle jouit aux petits cris qu’elle pousse.
Je pense qu’elle va en rester là, mais la phrase qu’elle prononce le plus bas possible est explicite.
• Allez, bois, ton matelas m’empêche d’ouvrir les toilettes.
Je devrais être écoeuré, mais j’ai tellement bu son urine ou sa cyprine que je me retourne, je veux être en forme demain.
• Excusez, je vous reconnais, vous êtes Susy.
• Oui, c’est moi, je vous reconnais aussi, je savais que vous alliez venir, vous êtes la bourge, Anabella m’a téléphoné pour m’annoncer votre venue, prenez cet escalier, mon appartement est là.
Faite comme chez vous, je vous rejoins dès que je ferme.
Susy est une très jolie femme ayant mes mensurations, au bar, elle avait une jolie combinaison en cuir blanc, dans son armoire, j’en trouve une noire que je passe, elle me va comme un gant.
Je trouve même des godes dont un gode ceinture et une cravache, quand elle monte, il me faut cinq minutes pour que je fasse d’elle, ma soumise, de toute façon, c’était déjà sa nature.
Déshabiller, elle se tord sous mes coups de cravache, terminée la bourge, Vampira vient de naître et commence une nouvelle vie.
Cruella, vous allez me dire, en ce moment Susy me suce la chatte, je vais en faire ma pute, attention seulement pour mon plaisir, Cruella, elle a encore des années de prison, je me poserais la question quand sa sortie sera effective.
En attendant, je compte bien me payer sur la bête en deux points, Susy bien sûr et le bar, ma petite pute l’a acheté avec le pognon qui a entraîné Cruella en tôle, il est certain, que j’en aurais croqué une très grosse partie.
Si elle veut revoir trois sous, en sortant, il faudra qu’elle se place sous ma chatte et que je lui pisse à la gueule.
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