COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Juge d’instruction (2/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Juge d’instruction (2/4)
• Me voilà, c’est comme ça que vous vouliez que je me présente à vous à 21 heures !
• Arrête de faire ta juge d’instruction, dans ton bureau tu me prends de haut, m’abaissant comme tu l’as fait lors de ma dernière audition !
Rabaisse ton caquet, sinon je te conduis à la police pour que tu te repentes de ton délit de fuite.
Tu sais que j’ai assez de preuves en mains.
Eh oui, je suis, ou j’étais juge d’instruction, jusqu’au moment où un dossier sur un détenu m’a fait perdre du temps et que j’ai fini par faire un délit de fuite à un carrefour.
• Tu es canon Double V, te savoir nue sous cette robe et tes cheveux libérés, tu vas plaire.
Que veut dire Alex, l’homme la quarantaine en smoking lui aussi ?
Je vais plaire, je dois dire que lorsque le vent prend mes cheveux dans sa décapotable, je suis tellement anxieuse que je suis à deux doigts de lui demander de me ramener chez moi.
Nous sortons de la ville avant d’emprunter un chemin de terre.
La voiture entre dans un corps de vielle ferme.
Plusieurs autres personnes semblent là, toutes des voitures de luxe.
Devant nous un couple sort de l’une d’elles, j’ai l’impression que la silhouette de l’homme m’est connue, mais ils entrent par une porte, me les cachant à ma vue.
Nous les suivons.
La porte franchie, une musique sort d’une grande tenture rouge.
Nous entrons.
Une soubrette récupère les objets dont nous pouvons nous passer.
Moi, mon châle qui complète ma robe.
Quelle surprise, un homme s’avance vers moi et me fait un baisemain.
• Double V, vous devez être surprise de me voir ici devant vous !
• Oui, monsieur le Président.
• Au diable, les titres, appelez-moi Hubert.
Vous devez être surprise de ce que vous voyez !
Comment en serait-il autrement ?
Derrière ce rideau, ce qui avait dû être une grange, a été transformée en salle qui m’interpelle.
Des divans, des tas de coussins, des tapis persans et une table le long du mur avec un immense buffet.
Sur un canapé, une femme entièrement nue se fait sucer la chatte par une autre alors qu’elle-même suce un homme.
Près du buffet deux couples boivent une coupe de champagne, les deux femmes semblant être très intimes.
Caresse d’un sein et main sur la fesse de l’autre.
Je reconnais l’homme à la silhouette, monsieur le nouveau maire et sa femme.
C’est lors de l’ouverture de la session juridique annuelle que je les ai rencontrés.
Moi en robe de juge avec mon col en hermine, le maire comme ce soir en smoking et madame en robe de cocktail.
Cette ouverture annuelle dans tous les tribunaux de France, est l’occasion de faire des discours interminables.
Mais aussi de claquer une somme folle en petits fours et champagne alors que la justice pleure son manque de moyens.
Dominique, le maire et sa femme Odile, ont remplacé le vieux maire, Antoine et sa femme dont j’ai oublié le nom aux dernières élections.
Nous avions fait les gros titres des journaux, il est le plus jeune maire élu d’une ville de plus de 50 000 habitants à 30 ans comme moi.
• Je vois que tu reconnais du monde, tu les croises de temps en temps.
Nous sommes des libertins et nous nous réunissons le premier samedi de chaque mois dans cette ferme désaffectée pour une soirée entre amis.
Je comprends mieux cette femme venant de se faire prendre par celui qu’elle suçait la femme venue à son tour lui lécher la chatte dans le dos du président du tribunal.
Alex m’a amené dans une partouze de personnes friquées d’une petite ville de province.
• Quand hier au soir, Alex m’a appelé pour me montrer des photos d’un délit de fuite qu’il avait subi avec mise en péril d’une vieille femme en grillant un feu rouge.
Que la femme qui conduisait la voiture rouge, était Double V, notre jeune juge d’instruction toujours droite dans ses bottes avec son chignon et ses tenues sévères.
Mon sang se glace, le président sait tout et je vais perdre ma place dans le tribunal.
Fini les dossiers me passionnant, je vais finir secrétaire dans le fin fond du limousin.
• Tout de suite, j’ai su que je devais saisir l’opportunité d’élargir notre groupe d’amis.
Bien des fois au tribunal quand je te croisais, l’envie de te dénouer tes cheveux m’est venue, mais la bien séance m’en a empêché.
Une femme de plus au sein de notre assemblée est la bienvenue.
Tu vas leur plaire.
Fait moi voir si tu es doué avec ta bouche comme tu l’es avec tes stylos pour signer des mises en accusation.
Le président sort sa bite et sans qu’il en demande plus, voyant que je suis coincée, je prends cette vieille verge noueuse pour me baissant, la plonger dans ma bouche.
Je suis à deux doigts d’éclater de rire, simplement, car il a dû s’asperger la bite d’un produit mentholé.
• Avale ça, ça va te donner du tonus pour la nuit.
Je lève ma tête, Hubert a récupéré une bouteille de champagne à une jeune serveuse à qui il a dû faire signe.
Il me tend ce qui semble être un cachet que j’avale sans plus me poser de questions et du champagne qui m’aide à avaler.
• Reprend ma bite, tu suces divinement Double V.
Je continue à pomper ce vieux libidineux, mais rapidement je sens ma chatte et tout mon corps s’échauffer.
Pour commencer cette soirée, qui semble longue, Hubert décharge dans ma bouche une petite quantité de sperme mélangée au champagne qu’il se fait couler dessus.
• Viens, je vais te présenter à quelques amis, après tu pourras aller au gré de la soirée et de tes envies.
Parmi nous de nombreuses femmes adorent se gouiner.
Regarde Claude, ma femme sur ce divan, elle se fait prendre par Dominique et suce la chatte d’Odile, sa femme.
À y bien regarder, je reconnais cette femme vue plusieurs fois au tribunal.
Légèrement plus jeune que son mari, elle semble chaude avec ce couple.
• Claude, je voudrais te présenter une nouvelle, Double V, elle est à vous autant que vous aurez envie d’elle.
Elle est prête à tout pour nous satisfaire.
• Enfin, du sang neuf, quel surnom débile messieurs, pour une si jolie femme.
Victoire vient avec moi.
Je t’ai vu à la session de rentrée du tribunal, tu m’as tout de suite plus, mais ton chignon était un peu rébarbatif.
Viens, j’ai envie de me rouler sur ces coussins avec toi.
Dominique récupère sa robe, inutile de la froisser.
C’est nu, la chatte en feu que pour la première fois une bouche de femme se trouve sur la mienne.
Depuis trois ans que je suis ici, si j’avais su qu’un tel endroit existait au lieu de me morfondre dans mon lit à me masturber les soirs de grande tension, je serais venu ici me faire baiser.
Je suis à deux doigts de penser que j’aurais dû faire mon délit de fuite plus tôt.
• Fais voir tes yeux.
Tu as pris un cachet d’ecstasy !
• C’est ton mari le président qui me l’a donné ?
• Tu vas être en feu ce soir.
Il y a longtemps j’en prenais, mais pendant plusieurs heures, j’étais folle du cul et Hubert avait du mal à éteindre le feu qui brûlait en moi.
À partir de ce moment, elle me suce le clito avant que nous pratiquions ce qu’elle appelle un ciseau, nos chattes collées l’une à l’autre.
Mon clitoris était une boule de feu.
Comme avec le président, une servante sur laquelle j’aurais pu me défouler passe et donne une bouteille de champagne qu’elle s’empresse de me verser dans ma bouche.
D’un coup, une boule de feu me dévaste, alcool et sexe m’apportant un orgasme.
L’orgasme, un méga orgasme, je suis devenue un orgasme moi-même.
Je sens, sans que mon cerveau soit en état de différencier ce qui m’arrive.
Qui, je lèche, les fesses en l’air la chatte pilonnée par une verge inconnue.
Qui sont ces deux hommes qui arrivent avec leur verge à entrer tous les deux dans ma chatte sans que je les repousse.
Champagne et sexe toute la nuit, je participe à la plus grande partouze de ma jeune vie.
Dans mes rares moments de lucidité, je reconnais l’un ou l’autre des participants, mâle ou femelle, vu quand je suis arrivé avant de sucer le président.
Le président lui-même m’a-t-il baisé ?
Je l’ignore à moins que lundi, il m’en parle voulant continuer à profiter de l’esclave sexuelle qu’ils ont créée après mon délit de fuite.
Je me vois mal lui poser la question si nous avons forniqué ensemble.
Je tombe, je tombe, je jouis, je tombe, je jouis, je jouis.
Une dernière gorgée de champagne, je tombe dans un puits sans fond...
• Arrête de faire ta juge d’instruction, dans ton bureau tu me prends de haut, m’abaissant comme tu l’as fait lors de ma dernière audition !
Rabaisse ton caquet, sinon je te conduis à la police pour que tu te repentes de ton délit de fuite.
Tu sais que j’ai assez de preuves en mains.
Eh oui, je suis, ou j’étais juge d’instruction, jusqu’au moment où un dossier sur un détenu m’a fait perdre du temps et que j’ai fini par faire un délit de fuite à un carrefour.
• Tu es canon Double V, te savoir nue sous cette robe et tes cheveux libérés, tu vas plaire.
Que veut dire Alex, l’homme la quarantaine en smoking lui aussi ?
Je vais plaire, je dois dire que lorsque le vent prend mes cheveux dans sa décapotable, je suis tellement anxieuse que je suis à deux doigts de lui demander de me ramener chez moi.
Nous sortons de la ville avant d’emprunter un chemin de terre.
La voiture entre dans un corps de vielle ferme.
Plusieurs autres personnes semblent là, toutes des voitures de luxe.
Devant nous un couple sort de l’une d’elles, j’ai l’impression que la silhouette de l’homme m’est connue, mais ils entrent par une porte, me les cachant à ma vue.
Nous les suivons.
La porte franchie, une musique sort d’une grande tenture rouge.
Nous entrons.
Une soubrette récupère les objets dont nous pouvons nous passer.
Moi, mon châle qui complète ma robe.
Quelle surprise, un homme s’avance vers moi et me fait un baisemain.
• Double V, vous devez être surprise de me voir ici devant vous !
• Oui, monsieur le Président.
• Au diable, les titres, appelez-moi Hubert.
Vous devez être surprise de ce que vous voyez !
Comment en serait-il autrement ?
Derrière ce rideau, ce qui avait dû être une grange, a été transformée en salle qui m’interpelle.
Des divans, des tas de coussins, des tapis persans et une table le long du mur avec un immense buffet.
Sur un canapé, une femme entièrement nue se fait sucer la chatte par une autre alors qu’elle-même suce un homme.
Près du buffet deux couples boivent une coupe de champagne, les deux femmes semblant être très intimes.
Caresse d’un sein et main sur la fesse de l’autre.
Je reconnais l’homme à la silhouette, monsieur le nouveau maire et sa femme.
C’est lors de l’ouverture de la session juridique annuelle que je les ai rencontrés.
Moi en robe de juge avec mon col en hermine, le maire comme ce soir en smoking et madame en robe de cocktail.
Cette ouverture annuelle dans tous les tribunaux de France, est l’occasion de faire des discours interminables.
Mais aussi de claquer une somme folle en petits fours et champagne alors que la justice pleure son manque de moyens.
Dominique, le maire et sa femme Odile, ont remplacé le vieux maire, Antoine et sa femme dont j’ai oublié le nom aux dernières élections.
Nous avions fait les gros titres des journaux, il est le plus jeune maire élu d’une ville de plus de 50 000 habitants à 30 ans comme moi.
• Je vois que tu reconnais du monde, tu les croises de temps en temps.
Nous sommes des libertins et nous nous réunissons le premier samedi de chaque mois dans cette ferme désaffectée pour une soirée entre amis.
Je comprends mieux cette femme venant de se faire prendre par celui qu’elle suçait la femme venue à son tour lui lécher la chatte dans le dos du président du tribunal.
Alex m’a amené dans une partouze de personnes friquées d’une petite ville de province.
• Quand hier au soir, Alex m’a appelé pour me montrer des photos d’un délit de fuite qu’il avait subi avec mise en péril d’une vieille femme en grillant un feu rouge.
Que la femme qui conduisait la voiture rouge, était Double V, notre jeune juge d’instruction toujours droite dans ses bottes avec son chignon et ses tenues sévères.
Mon sang se glace, le président sait tout et je vais perdre ma place dans le tribunal.
Fini les dossiers me passionnant, je vais finir secrétaire dans le fin fond du limousin.
• Tout de suite, j’ai su que je devais saisir l’opportunité d’élargir notre groupe d’amis.
Bien des fois au tribunal quand je te croisais, l’envie de te dénouer tes cheveux m’est venue, mais la bien séance m’en a empêché.
Une femme de plus au sein de notre assemblée est la bienvenue.
Tu vas leur plaire.
Fait moi voir si tu es doué avec ta bouche comme tu l’es avec tes stylos pour signer des mises en accusation.
Le président sort sa bite et sans qu’il en demande plus, voyant que je suis coincée, je prends cette vieille verge noueuse pour me baissant, la plonger dans ma bouche.
Je suis à deux doigts d’éclater de rire, simplement, car il a dû s’asperger la bite d’un produit mentholé.
• Avale ça, ça va te donner du tonus pour la nuit.
Je lève ma tête, Hubert a récupéré une bouteille de champagne à une jeune serveuse à qui il a dû faire signe.
Il me tend ce qui semble être un cachet que j’avale sans plus me poser de questions et du champagne qui m’aide à avaler.
• Reprend ma bite, tu suces divinement Double V.
Je continue à pomper ce vieux libidineux, mais rapidement je sens ma chatte et tout mon corps s’échauffer.
Pour commencer cette soirée, qui semble longue, Hubert décharge dans ma bouche une petite quantité de sperme mélangée au champagne qu’il se fait couler dessus.
• Viens, je vais te présenter à quelques amis, après tu pourras aller au gré de la soirée et de tes envies.
Parmi nous de nombreuses femmes adorent se gouiner.
Regarde Claude, ma femme sur ce divan, elle se fait prendre par Dominique et suce la chatte d’Odile, sa femme.
À y bien regarder, je reconnais cette femme vue plusieurs fois au tribunal.
Légèrement plus jeune que son mari, elle semble chaude avec ce couple.
• Claude, je voudrais te présenter une nouvelle, Double V, elle est à vous autant que vous aurez envie d’elle.
Elle est prête à tout pour nous satisfaire.
• Enfin, du sang neuf, quel surnom débile messieurs, pour une si jolie femme.
Victoire vient avec moi.
Je t’ai vu à la session de rentrée du tribunal, tu m’as tout de suite plus, mais ton chignon était un peu rébarbatif.
Viens, j’ai envie de me rouler sur ces coussins avec toi.
Dominique récupère sa robe, inutile de la froisser.
C’est nu, la chatte en feu que pour la première fois une bouche de femme se trouve sur la mienne.
Depuis trois ans que je suis ici, si j’avais su qu’un tel endroit existait au lieu de me morfondre dans mon lit à me masturber les soirs de grande tension, je serais venu ici me faire baiser.
Je suis à deux doigts de penser que j’aurais dû faire mon délit de fuite plus tôt.
• Fais voir tes yeux.
Tu as pris un cachet d’ecstasy !
• C’est ton mari le président qui me l’a donné ?
• Tu vas être en feu ce soir.
Il y a longtemps j’en prenais, mais pendant plusieurs heures, j’étais folle du cul et Hubert avait du mal à éteindre le feu qui brûlait en moi.
À partir de ce moment, elle me suce le clito avant que nous pratiquions ce qu’elle appelle un ciseau, nos chattes collées l’une à l’autre.
Mon clitoris était une boule de feu.
Comme avec le président, une servante sur laquelle j’aurais pu me défouler passe et donne une bouteille de champagne qu’elle s’empresse de me verser dans ma bouche.
D’un coup, une boule de feu me dévaste, alcool et sexe m’apportant un orgasme.
L’orgasme, un méga orgasme, je suis devenue un orgasme moi-même.
Je sens, sans que mon cerveau soit en état de différencier ce qui m’arrive.
Qui, je lèche, les fesses en l’air la chatte pilonnée par une verge inconnue.
Qui sont ces deux hommes qui arrivent avec leur verge à entrer tous les deux dans ma chatte sans que je les repousse.
Champagne et sexe toute la nuit, je participe à la plus grande partouze de ma jeune vie.
Dans mes rares moments de lucidité, je reconnais l’un ou l’autre des participants, mâle ou femelle, vu quand je suis arrivé avant de sucer le président.
Le président lui-même m’a-t-il baisé ?
Je l’ignore à moins que lundi, il m’en parle voulant continuer à profiter de l’esclave sexuelle qu’ils ont créée après mon délit de fuite.
Je me vois mal lui poser la question si nous avons forniqué ensemble.
Je tombe, je tombe, je jouis, je tombe, je jouis, je jouis.
Une dernière gorgée de champagne, je tombe dans un puits sans fond...
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