COLLECTION DOMINANT DOMINE. Ma belle-mère croit me piéger (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Ma belle-mère croit me piéger (1/2)
J’ai épousé Léopold, il y a deux ans, contre la volonté de ma belle-mère.
C’est une femme au regard méchant imbu de sa personne et surtout de son argent, il est vrai qu’elle est à la tête d’une immense fortune.
Elle est divorcée et elle a vu en moi une arriviste qui en voulait à sa fortune en épousant son fils, la prunelle de ses yeux, surtout venant d’un milieu modeste.
Elle avait raison sur un seul point, ma moralité, dès le premier coup d’œil, dès la première minute, dès la porte de sa demeure franchie, son regard qui me transperce et tout est dit, même si ce regard tueur est réciproque.
Depuis cinq ans que je me suis fait prendre mon pucelage par un inconnu rencontré dans un bar, l’ayant suivi dans un hôtel où il vous fait subir tout ce qu’une femme normale découvre au fil des mois ou des années.
D’autant plus si vous aimez être une salope, vous ne sortez pas pendant deux jours, vous vous faites servir vos repas dans votre chambre, apprenant à faire des fellations, avant d’ouvrir les cuisses pour perdre votre pucelage.
Deux jours où il s’occupe de votre anus le sodomisant, ce que j’ai adoré et de votre vagin entraînant légèrement une douleur de trois jours, que vous acceptez, car au fond de vous vous savez qu’après la pluie vient le soleil.
Pendant les années suivantes, il est vrai que j’ai rarement cherché du travail régulier, gagnant quelques billets ici ou là avec des hommes qui n’avaient de cesse pour me faire plaisir d’ouvrir leur portefeuille.
Attention, quand je parle de portefeuille et d’argent, je n’ai pas été une pute, mais quand mon amant du moment me faisait vivre chez lui, me faisant des cadeaux, j’acceptais jusqu’au moment où je recouvrais mon indépendance.
Dans cette période, deux ans avant mon mariage, j’ai connu Miky joli brin de fille qui comme moi ayant une vie assez dissolue.
Avec elle, dès notre première rencontre, encore dans un bar, endroit que j’adore fréquenter y trouvant souvent pleins de surprises, elle m’a amené dans son loft, qu’elle loue et m’a appris les amours féminins.
J’adore la sucer, surtout son clito assez développé, je l’aspire dans ma bouche, jusqu’à ce qu’elle crie son plaisir ainsi que nos chattes que nous réunissons et que nous frottons jusqu'à atteindre le plaisir, bien supérieur procuré par la verge d’un homme.
Est-ce la tendresse qui se noue entre nous, alors que les hommes sont des queues qui nous aident à vivre notre quotidien, j’en suis quelle part persuadée.
Un soir, Micky m’a entraîné dans une boîte, bon chic bon genre, rencontrer son flirt du moment.
Comme nous disions entre nous, nous entrions chez le beau linge, car à porte de cette boîte, les physionomistes savaient reconnaître ceux qui avaient du fric aux traîne-savates qui avait été notre quotidien depuis que, j’avais appris à m’émanciper.
Ce qui m’a beaucoup plu, outre le cadre irréprochable, c’était le nombre de bouchons de champagne qui sautaient à chaque table, ouvert par les clients friqués.
Certains biberonnaient au whisky, mais le champagne était roi.
C’est là que j’ai fait la connaissance de Léopold fils d’une grande famille descendant de la révolution où l’ancêtre avait fait fortune dans le coupage de tête d’aristos en s’accaparant leurs biens.
Une famille pas très belle à la base, mais qui depuis s’était donné des airs de respectabilité.
J’ai joué les vierges effarouchées par le sexe pour convaincre Léopold qu’il allait trouver en moi la vierge de sa vie.
Micky toujours aussi inventif m’a aidé à faire croire à ma belle-famille que leur fils avait épousé une jeune fille pure.
En tant que première et seule demoiselle d’honneur, elle avait réussi à décider ma belle-mère que c’était à elle que revenait le droit de nous apporter notre petit-déjeuner au lit, vers midi.
Connaissant la pudibonderie des hommes de la famille que j’intégrais lorsqu’elle a frappé, Léopold s’est levé et a filé vers la salle de bains, chez eux un homme avait interdiction de se montrer, même seulement torse nu, devant une femme qui plus ait une jeune femme.
• Anaïs écarte les cuisses vite.
Rapidement, elle a sorti de sa poche une fiole où à l’intérieur, se trouvait du sang du même groupe sanguin que le mien.
Pour cela, elle m’a avoué avoir couché avec un étudiant en médecine qui lui a fourni la fiole prétextant une blague de potache faite à une copine.
Elle a mis des gouttes de sang sur les draps du même resus que le mien à l’endroit où la verge de mon mari était entrée en moi.
Dans son scénario, au moment de la pénétration, je devais pousser un petit cri, ce que j’avais fait comme s’il m’avait fait mal.
Bien sûr, après ma première perforation supposée, j’ai évité de jouir pour qu’il pense qu’il s’y était mal pris.
Je le fréquentais depuis assez longtemps pour savoir qu’il était puceau à vingt-trois ans.
L’excitation de la première fois, on fait qu’il m’a rempli la vulve dans les deux minutes qui ont suivi.
Micky a pensé à ce subterfuge, ayant lu un ouvrage sur les grandes cocottes royales s’en servant après se faire baiser afin d’épouser des vieux beaux quand le moment de trouver à se casser se faisait sentir, leur beauté se flétrissant.
Lorsque nous avons rejoint nos invités encore présents dans le parc de leur propriété de Levallois-Perret, elle a traîné vers notre chambre et a vu ma belle-mère emporter le drap souillé.
Elle pouvait s’accrocher si elle faisait analyser le sang grâce à ma copine, elle aurait confirmation que c’était bien mon groupe sanguin et que son fils avait bien dépuceléeune vierge.
Cet épisode des draps m’a montré jusqu’où elle était capable d’aller pour protéger leur pré carré.
Rapidement, je la voyais contrariée que nous ne lui annoncions pas une future naissance.
À ce moment, je n’y suis pour rien, je fais mon devoir conjugal correctement même si l’entrain que je mets au lit dépasse rarement le cadre de la bienséance dans notre couple.
Bien sûr, j’ai fait semblant de découvrir la position de la cuillère lorsqu’un matin, j’ai senti sa queue venir agresser ma rosette.
J’en ai profité pour me relever comme si ce mouvement était naturel et de me placer en levrette.
Rapidement, il m’a enculé semblant avoir une bonne pratique du trou anal.
Je dois reconnaître que depuis ce jour, j’ai eu des doutes sur son homosexualité me donnant l’impression que la sodomie, il connaissait déjà.
Une amie à lui, un soir où elle avait légèrement abusé du champagne dans la boîte où je l’avais rencontré, dans un slow langoureux se frottant sa chatte contre la mienne, m’avoua qu’avant moi, c’était avec de beaux mâles bien virils qu’on le voyait.
Elle m’a appris que, lorsqu’il m’a proposé de m’épouser, c’était un grand black qui avait ses faveurs et que c’est sa mère qui l’a poussé à convoler pour que leur fortune reste dans le giron familial en ayant une descendance.
Ce qu’elle ne semblait pas appréciée, c’est que ce soit moi, une petite salope qu’il est levé alors qu’elle espérait qu’il épouse du sang bleu.
N’ayant rien à redire sur mon dépucelage, grâce à la fiole de Micky, c’est à Cabourg, ville de leur villa de vacances, tout près de la plage, que tout a évolué.
Je suis parti avec ma copine me reposer suite à un virus qui m’avait abattu.
J’étais déjà venu avec Léopold pour que nous nous reposions de notre voyage de noces, un jour qu’il était parti faire l’entretient de notre voiture, je me suis permis de fouiller les pièces pour découvrir quelques secrets de famille.
Dans la chambre de ma belle-mère, j’ai fait une trouvaille exceptionnelle.
Au bas de l’armoire une malle en osier fermée avec deux petits cadenas.
L’intelligence est assez limitée dans cette famille, quelques minutes auparavant, j’avais vu deux petites clefs dans la table de nuit de madame mère.
La malle ouverte, je suis effarée, plusieurs paires de menottes, une laisse pour chiens avec son collier, cravaches, boules pour obstruer la bouche, sans oublier le martinet indispensable pour tout bon dominant.
J’oubliai, une magnifique guêpière en cuir noir avec gants et cuissardes montantes au-dessus des genoux, à la d’Artagnan.
Bref tout un matériel sado-maso.
J’avais encore du temps, j’ai essayé l’ensemble que je trouvais assez saillant.
J’ai tout remis en place, je voulais faire découvrir à ma copine ma trouvaille, j’ai attendu le bon moment, mon mari partant dans le Sud pour un séminaire et ma belle-mère recevant son amie Marguerite ayant fait le chemin inverse, habitant Bordeaux ou son mari l’avait emmené vivre après leur mariage.
Je savais que nous serions tranquilles, ma belle-mère tient, je ne me souviens pas vous avoir dit son nom, Gisèle, recevant son amie était coincé à Paris.
Je venais de mettre la guêpière et les cuissardes, je demandais à Micky de me présenter ses fesses, la cravache, elle a beaucoup aimée, d'autant plus qu’étant novice dans ces pratiques, je ne tapais pas très fort.
C’est au moment où j’allais taper plus fort à sa demande que j’ai entendue du bruit, quelqu’un montait l’escalier en bois massif, qui dans cette vieille bâtisse a craqué.
J’ai suspendu mon geste, faisant signe à Micky de se taire, elle venait de pousser ses premiers cris.
Nouveau craquement, on essayait de nous surprendre…
C’est une femme au regard méchant imbu de sa personne et surtout de son argent, il est vrai qu’elle est à la tête d’une immense fortune.
Elle est divorcée et elle a vu en moi une arriviste qui en voulait à sa fortune en épousant son fils, la prunelle de ses yeux, surtout venant d’un milieu modeste.
Elle avait raison sur un seul point, ma moralité, dès le premier coup d’œil, dès la première minute, dès la porte de sa demeure franchie, son regard qui me transperce et tout est dit, même si ce regard tueur est réciproque.
Depuis cinq ans que je me suis fait prendre mon pucelage par un inconnu rencontré dans un bar, l’ayant suivi dans un hôtel où il vous fait subir tout ce qu’une femme normale découvre au fil des mois ou des années.
D’autant plus si vous aimez être une salope, vous ne sortez pas pendant deux jours, vous vous faites servir vos repas dans votre chambre, apprenant à faire des fellations, avant d’ouvrir les cuisses pour perdre votre pucelage.
Deux jours où il s’occupe de votre anus le sodomisant, ce que j’ai adoré et de votre vagin entraînant légèrement une douleur de trois jours, que vous acceptez, car au fond de vous vous savez qu’après la pluie vient le soleil.
Pendant les années suivantes, il est vrai que j’ai rarement cherché du travail régulier, gagnant quelques billets ici ou là avec des hommes qui n’avaient de cesse pour me faire plaisir d’ouvrir leur portefeuille.
Attention, quand je parle de portefeuille et d’argent, je n’ai pas été une pute, mais quand mon amant du moment me faisait vivre chez lui, me faisant des cadeaux, j’acceptais jusqu’au moment où je recouvrais mon indépendance.
Dans cette période, deux ans avant mon mariage, j’ai connu Miky joli brin de fille qui comme moi ayant une vie assez dissolue.
Avec elle, dès notre première rencontre, encore dans un bar, endroit que j’adore fréquenter y trouvant souvent pleins de surprises, elle m’a amené dans son loft, qu’elle loue et m’a appris les amours féminins.
J’adore la sucer, surtout son clito assez développé, je l’aspire dans ma bouche, jusqu’à ce qu’elle crie son plaisir ainsi que nos chattes que nous réunissons et que nous frottons jusqu'à atteindre le plaisir, bien supérieur procuré par la verge d’un homme.
Est-ce la tendresse qui se noue entre nous, alors que les hommes sont des queues qui nous aident à vivre notre quotidien, j’en suis quelle part persuadée.
Un soir, Micky m’a entraîné dans une boîte, bon chic bon genre, rencontrer son flirt du moment.
Comme nous disions entre nous, nous entrions chez le beau linge, car à porte de cette boîte, les physionomistes savaient reconnaître ceux qui avaient du fric aux traîne-savates qui avait été notre quotidien depuis que, j’avais appris à m’émanciper.
Ce qui m’a beaucoup plu, outre le cadre irréprochable, c’était le nombre de bouchons de champagne qui sautaient à chaque table, ouvert par les clients friqués.
Certains biberonnaient au whisky, mais le champagne était roi.
C’est là que j’ai fait la connaissance de Léopold fils d’une grande famille descendant de la révolution où l’ancêtre avait fait fortune dans le coupage de tête d’aristos en s’accaparant leurs biens.
Une famille pas très belle à la base, mais qui depuis s’était donné des airs de respectabilité.
J’ai joué les vierges effarouchées par le sexe pour convaincre Léopold qu’il allait trouver en moi la vierge de sa vie.
Micky toujours aussi inventif m’a aidé à faire croire à ma belle-famille que leur fils avait épousé une jeune fille pure.
En tant que première et seule demoiselle d’honneur, elle avait réussi à décider ma belle-mère que c’était à elle que revenait le droit de nous apporter notre petit-déjeuner au lit, vers midi.
Connaissant la pudibonderie des hommes de la famille que j’intégrais lorsqu’elle a frappé, Léopold s’est levé et a filé vers la salle de bains, chez eux un homme avait interdiction de se montrer, même seulement torse nu, devant une femme qui plus ait une jeune femme.
• Anaïs écarte les cuisses vite.
Rapidement, elle a sorti de sa poche une fiole où à l’intérieur, se trouvait du sang du même groupe sanguin que le mien.
Pour cela, elle m’a avoué avoir couché avec un étudiant en médecine qui lui a fourni la fiole prétextant une blague de potache faite à une copine.
Elle a mis des gouttes de sang sur les draps du même resus que le mien à l’endroit où la verge de mon mari était entrée en moi.
Dans son scénario, au moment de la pénétration, je devais pousser un petit cri, ce que j’avais fait comme s’il m’avait fait mal.
Bien sûr, après ma première perforation supposée, j’ai évité de jouir pour qu’il pense qu’il s’y était mal pris.
Je le fréquentais depuis assez longtemps pour savoir qu’il était puceau à vingt-trois ans.
L’excitation de la première fois, on fait qu’il m’a rempli la vulve dans les deux minutes qui ont suivi.
Micky a pensé à ce subterfuge, ayant lu un ouvrage sur les grandes cocottes royales s’en servant après se faire baiser afin d’épouser des vieux beaux quand le moment de trouver à se casser se faisait sentir, leur beauté se flétrissant.
Lorsque nous avons rejoint nos invités encore présents dans le parc de leur propriété de Levallois-Perret, elle a traîné vers notre chambre et a vu ma belle-mère emporter le drap souillé.
Elle pouvait s’accrocher si elle faisait analyser le sang grâce à ma copine, elle aurait confirmation que c’était bien mon groupe sanguin et que son fils avait bien dépuceléeune vierge.
Cet épisode des draps m’a montré jusqu’où elle était capable d’aller pour protéger leur pré carré.
Rapidement, je la voyais contrariée que nous ne lui annoncions pas une future naissance.
À ce moment, je n’y suis pour rien, je fais mon devoir conjugal correctement même si l’entrain que je mets au lit dépasse rarement le cadre de la bienséance dans notre couple.
Bien sûr, j’ai fait semblant de découvrir la position de la cuillère lorsqu’un matin, j’ai senti sa queue venir agresser ma rosette.
J’en ai profité pour me relever comme si ce mouvement était naturel et de me placer en levrette.
Rapidement, il m’a enculé semblant avoir une bonne pratique du trou anal.
Je dois reconnaître que depuis ce jour, j’ai eu des doutes sur son homosexualité me donnant l’impression que la sodomie, il connaissait déjà.
Une amie à lui, un soir où elle avait légèrement abusé du champagne dans la boîte où je l’avais rencontré, dans un slow langoureux se frottant sa chatte contre la mienne, m’avoua qu’avant moi, c’était avec de beaux mâles bien virils qu’on le voyait.
Elle m’a appris que, lorsqu’il m’a proposé de m’épouser, c’était un grand black qui avait ses faveurs et que c’est sa mère qui l’a poussé à convoler pour que leur fortune reste dans le giron familial en ayant une descendance.
Ce qu’elle ne semblait pas appréciée, c’est que ce soit moi, une petite salope qu’il est levé alors qu’elle espérait qu’il épouse du sang bleu.
N’ayant rien à redire sur mon dépucelage, grâce à la fiole de Micky, c’est à Cabourg, ville de leur villa de vacances, tout près de la plage, que tout a évolué.
Je suis parti avec ma copine me reposer suite à un virus qui m’avait abattu.
J’étais déjà venu avec Léopold pour que nous nous reposions de notre voyage de noces, un jour qu’il était parti faire l’entretient de notre voiture, je me suis permis de fouiller les pièces pour découvrir quelques secrets de famille.
Dans la chambre de ma belle-mère, j’ai fait une trouvaille exceptionnelle.
Au bas de l’armoire une malle en osier fermée avec deux petits cadenas.
L’intelligence est assez limitée dans cette famille, quelques minutes auparavant, j’avais vu deux petites clefs dans la table de nuit de madame mère.
La malle ouverte, je suis effarée, plusieurs paires de menottes, une laisse pour chiens avec son collier, cravaches, boules pour obstruer la bouche, sans oublier le martinet indispensable pour tout bon dominant.
J’oubliai, une magnifique guêpière en cuir noir avec gants et cuissardes montantes au-dessus des genoux, à la d’Artagnan.
Bref tout un matériel sado-maso.
J’avais encore du temps, j’ai essayé l’ensemble que je trouvais assez saillant.
J’ai tout remis en place, je voulais faire découvrir à ma copine ma trouvaille, j’ai attendu le bon moment, mon mari partant dans le Sud pour un séminaire et ma belle-mère recevant son amie Marguerite ayant fait le chemin inverse, habitant Bordeaux ou son mari l’avait emmené vivre après leur mariage.
Je savais que nous serions tranquilles, ma belle-mère tient, je ne me souviens pas vous avoir dit son nom, Gisèle, recevant son amie était coincé à Paris.
Je venais de mettre la guêpière et les cuissardes, je demandais à Micky de me présenter ses fesses, la cravache, elle a beaucoup aimée, d'autant plus qu’étant novice dans ces pratiques, je ne tapais pas très fort.
C’est au moment où j’allais taper plus fort à sa demande que j’ai entendue du bruit, quelqu’un montait l’escalier en bois massif, qui dans cette vieille bâtisse a craqué.
J’ai suspendu mon geste, faisant signe à Micky de se taire, elle venait de pousser ses premiers cris.
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