COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (13/14)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (13/14)
C’est devant la piscine que je retrouve Claude mon mari qu’Angélique est allée chercher à l’aéroport à son retour des États-Unis pendant que je retrouvais Emmanuelle la jeune femme qui m’a initié aux amours entre femmes.
Pour asseoir son autorité elle me demande de plonger dans la piscine où elle est déjà mais je saute et les coups de cravache qu’elle demande à Claude de m’infliger se montent à 8.
• Trois, quatre.
• Claude, tu recommences, caresser le cul de ta femme s’était avant maintenant elle te fait voir qu’elle aime être punie car je la connais depuis que je l’ai trouvé sur le parking du super marché elle fait exprès de sauter au lieu de plonger, sachant que je compte les coups de cravache que tu dois lui infliger.
• Un.
• Voilà c’est mieux, tu peux faire mieux.
• Un.
• C’est bien.
• Deux, trois, quatre.
• Parfait, tu vois elle se mord les lèvres car elle sait que je déteste que l’on crie.
• Huit, aller encore deux.
• Juliette je t’ai fait mal.
• Maître dit lui que tes punitions sont douces.
• Si j’avais su.
• Tu l’aurais fessé depuis longtemps je te comprends les petites putes comme là tienne il faut leur caresser l’arrière-train pour les dresser.
Mon cul me cuit car les coups que je reçois sont appliqués avec toute la puissance que le bras de mon mari peut donner.
C’est ainsi que je retourne dans ma mansarde trouver ce que je vais mettre pour aller au restaurant dans les nouvelles affaires que ma Maîtresse m’a offertes et il m’emmène dans la grosse Mercedes de Claude, c’est tout juste si j’ai le droit au siège arrière frisant de peu la relégation dans le coffre.
En arrivant je suis étonnée qu’aucune voiture de clients ne soit sur le parking.
• Bonjour mes amis, je suis heureuse de vous recevoir, je vous ai installé dans le petit salon qui va vous permettre de rester entre vous, d’ailleurs j’ai plusieurs surprises pour vous, pour commencer vous êtes mes invités le restaurant étant fermé car le chef mariait sa fille hier.
Quand monsieur Claude a appelé pour réserver trois couverts j’ai compris que tu serais là Angélique.
L’autre surprise c’est que j’ai été chercher Catherine et nous allons pouvoir manger le repas que je nous ai concocté et comparé nos soumises, je te donnerais des conseils s’il le faut pour que son mari ait la femme la plus docile entièrement à votre dévotion.
Je suis le couple dont un des éléments faisait partie de mon propre couple il y a encore quelques jours et nous entrons dans un salon où une jeune femme nous attend entièrement déshabillée ayant un simple collier en cuir autour du cou et juchée sur des talons bien plus hauts que les miens.
Sa chatte est soigneusement épilée et ornée d’un piercing, elle tient dans ses mains un paquet.
• Catherine offre à notre amie le cadeau que nous lui avons acheté pour la réconforter après le malaise qu’elle a eu l’autre soir, si maître Angélique le permet.
• Un cadeau alors qu’elle m’a empêché de manger mes profiteroles, je vais certainement refuser qu’elle le prenne.
Donne-le-moi Catherine.
Catherine est bien éduquée et reste sans bouger comme je l’ai fait avec Claude quand il m’a demandé de le sucer jusqu’à ce que Létitia lui donne l’ordre de lui donner le paquet.
• Super Létitia j’aurais dû en acheter un avant moi-même.
Elle sort du paquet un collier en cuir rouge identique à celui que Catherine a autour de son cou et qui est vert, d’un coup elle m’ait très sympathique.
Elle me le place et j’attends qu’elle nous installe.
Je vois une fois de plus Claude écarquiller les yeux devant se demander dans quel monde j’ai acceptée de rentrer et ou son avion l’a fait atterrir.
• Angélique, si tu es d’accord je vais manger avec vous, Catherine et Juliette nos soumises nous servirons.
• Bonne idée, Juliette va te déshabiller et aide Catherine.
Je me mets nue devant nos trois tortionnaires et Catherine m’entraîne dans les cuisines par une porte qui nous évite de passer dans la salle du restaurant.
• Je vois que vous l’avez flagellé, Angélique tu l’as bien cravaché.
• Non, c’est Claude.
• Je comprends mieux les stries.
Nous les servons restants sans bouger et surtout sans manger du moins je le crois en sortant du réfrigérateur les plats froids, caviar sur toasts et autres foies gras sur un lit de gelée et pour finir des profiteroles Catherine réchauffant le chocolat.
• Catherine va chercher les deux assiettes que nous avons préparées tout à l’heure et venez-les manger assis parterre à nos côtés.
Nous allons chercher les assiettes remplies d’une bouillie que j’aurais hésité à donner à mon chien si j’en avais eu un.
• Angélique je te donnerais la recette de ce plat que Catherine adore manger chaque jour et qui contient tout ce qu’il faut pour allier équilibre du corps sans pour autant grossir, regarde comme elle est fine et ciselée.
Depuis que nous sommes entrées et que je fais le service avec elle, elle est restée muette, mais la moue qu’elle fait à ces propos n’a d’égale que le plat qui est immangeable mais que je m’oblige à finir pour éviter une nouvelle crise d’hypoglycémie.
En dessert Laétitia mange les profiteroles allant même jusqu’à lécher son assiette sous le regard bienveillant de Létitia et de Claude qui semble être subjugé par mon Maître.
Je me rappelle ce que m’a dit Emmanuelle dans la nuit, elle va vampiriser toute notre famille avant de disparaître les poches pleines.
Depuis quelques minutes le soleil semble c’être caché et Catherine après l’ordre de son Maître allume la lumière.
• Létitia, puisque le resto est fermé, si tu venais chez nous avec ta pute pour finir la soirée, ta petite salope à un piercing qui me fait envie de tirer avec mes dents pour qu’elle souffre un peu.
• Bonne idée, je verrais où est ta maison et je profiterais de Claude qui s’occupera de ma chatte.
C’est ainsi que nous retournons à quelques kilomètres le ciel étant devenu proche d’un noir d’encre et que les premières éclaires et grondements de tonnerre se font entendre.
• Un, deux, trois, huit, neuf et dix.
• L’orage est à dix kilomètres de nous entrons vite.
Le portail automatique ouvert nous garons les deux voitures et entrons dans la maison.
Angélique ouvre la baie vitrée et je la vois se déshabiller.
• Claude et toi Laétitia nous nous occuperons de nos salopes après, venez, j’adore l’orage et la pluie sur mon corps.
Je vois les deux se déshabiller et la rejoindre.
• Allons dans la piscine, je l’ai fait une fois s’était divin et excitant à la fois.
Elle leur prend les mains et ils partent en courant.
• Attention à la foudre.
• Deux fois au même endroit, c’est impossible.
Crac.
Quand ils sautent, tout devient vert et j’ai les yeux qui se voilent en même temps qu’un bruit deux fois supérieur à celui de l’autre jour se produit, je suis abasourdie et je tombe sur les fesses.
Combien de temps suis-je restée prostrer, c’est une main qui me secoue qui me fait reprendre conscience de ce qui se passe autour de moi.
C’est Catherine qui me secoue l’épaule car quand le bruit et la lumière verte nous ont entourés je l’ai vu une fraction de seconde se retourner ayant ramassé les vêtements de Létitia pour les plier sur une chaise près de la valise d’Angélique.
Pour la première fois, elle parle.
• Juliette, vite quel malheur, regarde la piscine.
Je me redresse et le spectacle que mes yeux voient est catastrophique, trois corps flottent à la surface, Claude et Létitia sur le ventre la tête dans l’eau et Angélique sur le dos les bras en croix comme si elle faisait la planche.
• Il faut appeler les pompiers, il faut sauver Létitia, qu’est-ce que je vais devenir.
Je commence à réagir et je sors mon portable du sac d’Angélique et je fais le 18.
• Allo les pompiers, ils sont dans la piscine, la foudre.
Dans un brouillard je me souviens qu’il me demande notre adresse et sous la pluie battante les éclaires éclairant l’autre côté de la maison je déclenche l’ouverture du portail à distance.
Catherine est à genoux au bord de la piscine tendant les bras vers sa dominatrice.
• Viens Létitia prend ma main, je vais t’aider mais tu sais qu’il faut que j’apprenne à nager.
Rapidement j’entends au loin la sirène des pompiers qui s’engouffre par le portail.
• Albert amène la perche pour sortir les corps de l’eau, le toubib arrive dans trente secondes il faut que nous ayons sorti les corps.
Christophe emmène ces femmes dans la maison, il passera les voir après, elle semble pétrifiée.
• Nous je veux rester, sortez Létitia je vais lui faire du bouche-à-bouche.
Je la prends par les épaules et j’arrive à l’asseoir dans la salle derrière la baie regardant fixement les pompiers sortir les corps un par un, regarder et s’occuper d’Angélique.
• Toubib venez, celle-là respire encore mais est très mal en point.
Je laisse Catherine une minute et j’attrape deux plaids qui sont sur les fauteuils du salon que je mets sur nos épaules, la pluie vient de s’arrêter quand je sors et le ciel commence à se dégager.
J’ai repris entièrement mes esprits sachant très bien ce qui arrive aux trois corps, les pompiers ont sorti deux draps et les ont placés sur ceux de Létitia et Claude me montrant que pour eux tout est fini.
Ils ont mis Angélique sur un brancard qu’il charge dans leur ambulance qui démarre toute sirène hurlante vers le centre hospitalier le plus proche.
• Madame, vous êtes la propriétaire.
• Oui.
• Entrons, emmenons votre amie, j’ai quelques questions à vous poser…
Pour asseoir son autorité elle me demande de plonger dans la piscine où elle est déjà mais je saute et les coups de cravache qu’elle demande à Claude de m’infliger se montent à 8.
• Trois, quatre.
• Claude, tu recommences, caresser le cul de ta femme s’était avant maintenant elle te fait voir qu’elle aime être punie car je la connais depuis que je l’ai trouvé sur le parking du super marché elle fait exprès de sauter au lieu de plonger, sachant que je compte les coups de cravache que tu dois lui infliger.
• Un.
• Voilà c’est mieux, tu peux faire mieux.
• Un.
• C’est bien.
• Deux, trois, quatre.
• Parfait, tu vois elle se mord les lèvres car elle sait que je déteste que l’on crie.
• Huit, aller encore deux.
• Juliette je t’ai fait mal.
• Maître dit lui que tes punitions sont douces.
• Si j’avais su.
• Tu l’aurais fessé depuis longtemps je te comprends les petites putes comme là tienne il faut leur caresser l’arrière-train pour les dresser.
Mon cul me cuit car les coups que je reçois sont appliqués avec toute la puissance que le bras de mon mari peut donner.
C’est ainsi que je retourne dans ma mansarde trouver ce que je vais mettre pour aller au restaurant dans les nouvelles affaires que ma Maîtresse m’a offertes et il m’emmène dans la grosse Mercedes de Claude, c’est tout juste si j’ai le droit au siège arrière frisant de peu la relégation dans le coffre.
En arrivant je suis étonnée qu’aucune voiture de clients ne soit sur le parking.
• Bonjour mes amis, je suis heureuse de vous recevoir, je vous ai installé dans le petit salon qui va vous permettre de rester entre vous, d’ailleurs j’ai plusieurs surprises pour vous, pour commencer vous êtes mes invités le restaurant étant fermé car le chef mariait sa fille hier.
Quand monsieur Claude a appelé pour réserver trois couverts j’ai compris que tu serais là Angélique.
L’autre surprise c’est que j’ai été chercher Catherine et nous allons pouvoir manger le repas que je nous ai concocté et comparé nos soumises, je te donnerais des conseils s’il le faut pour que son mari ait la femme la plus docile entièrement à votre dévotion.
Je suis le couple dont un des éléments faisait partie de mon propre couple il y a encore quelques jours et nous entrons dans un salon où une jeune femme nous attend entièrement déshabillée ayant un simple collier en cuir autour du cou et juchée sur des talons bien plus hauts que les miens.
Sa chatte est soigneusement épilée et ornée d’un piercing, elle tient dans ses mains un paquet.
• Catherine offre à notre amie le cadeau que nous lui avons acheté pour la réconforter après le malaise qu’elle a eu l’autre soir, si maître Angélique le permet.
• Un cadeau alors qu’elle m’a empêché de manger mes profiteroles, je vais certainement refuser qu’elle le prenne.
Donne-le-moi Catherine.
Catherine est bien éduquée et reste sans bouger comme je l’ai fait avec Claude quand il m’a demandé de le sucer jusqu’à ce que Létitia lui donne l’ordre de lui donner le paquet.
• Super Létitia j’aurais dû en acheter un avant moi-même.
Elle sort du paquet un collier en cuir rouge identique à celui que Catherine a autour de son cou et qui est vert, d’un coup elle m’ait très sympathique.
Elle me le place et j’attends qu’elle nous installe.
Je vois une fois de plus Claude écarquiller les yeux devant se demander dans quel monde j’ai acceptée de rentrer et ou son avion l’a fait atterrir.
• Angélique, si tu es d’accord je vais manger avec vous, Catherine et Juliette nos soumises nous servirons.
• Bonne idée, Juliette va te déshabiller et aide Catherine.
Je me mets nue devant nos trois tortionnaires et Catherine m’entraîne dans les cuisines par une porte qui nous évite de passer dans la salle du restaurant.
• Je vois que vous l’avez flagellé, Angélique tu l’as bien cravaché.
• Non, c’est Claude.
• Je comprends mieux les stries.
Nous les servons restants sans bouger et surtout sans manger du moins je le crois en sortant du réfrigérateur les plats froids, caviar sur toasts et autres foies gras sur un lit de gelée et pour finir des profiteroles Catherine réchauffant le chocolat.
• Catherine va chercher les deux assiettes que nous avons préparées tout à l’heure et venez-les manger assis parterre à nos côtés.
Nous allons chercher les assiettes remplies d’une bouillie que j’aurais hésité à donner à mon chien si j’en avais eu un.
• Angélique je te donnerais la recette de ce plat que Catherine adore manger chaque jour et qui contient tout ce qu’il faut pour allier équilibre du corps sans pour autant grossir, regarde comme elle est fine et ciselée.
Depuis que nous sommes entrées et que je fais le service avec elle, elle est restée muette, mais la moue qu’elle fait à ces propos n’a d’égale que le plat qui est immangeable mais que je m’oblige à finir pour éviter une nouvelle crise d’hypoglycémie.
En dessert Laétitia mange les profiteroles allant même jusqu’à lécher son assiette sous le regard bienveillant de Létitia et de Claude qui semble être subjugé par mon Maître.
Je me rappelle ce que m’a dit Emmanuelle dans la nuit, elle va vampiriser toute notre famille avant de disparaître les poches pleines.
Depuis quelques minutes le soleil semble c’être caché et Catherine après l’ordre de son Maître allume la lumière.
• Létitia, puisque le resto est fermé, si tu venais chez nous avec ta pute pour finir la soirée, ta petite salope à un piercing qui me fait envie de tirer avec mes dents pour qu’elle souffre un peu.
• Bonne idée, je verrais où est ta maison et je profiterais de Claude qui s’occupera de ma chatte.
C’est ainsi que nous retournons à quelques kilomètres le ciel étant devenu proche d’un noir d’encre et que les premières éclaires et grondements de tonnerre se font entendre.
• Un, deux, trois, huit, neuf et dix.
• L’orage est à dix kilomètres de nous entrons vite.
Le portail automatique ouvert nous garons les deux voitures et entrons dans la maison.
Angélique ouvre la baie vitrée et je la vois se déshabiller.
• Claude et toi Laétitia nous nous occuperons de nos salopes après, venez, j’adore l’orage et la pluie sur mon corps.
Je vois les deux se déshabiller et la rejoindre.
• Allons dans la piscine, je l’ai fait une fois s’était divin et excitant à la fois.
Elle leur prend les mains et ils partent en courant.
• Attention à la foudre.
• Deux fois au même endroit, c’est impossible.
Crac.
Quand ils sautent, tout devient vert et j’ai les yeux qui se voilent en même temps qu’un bruit deux fois supérieur à celui de l’autre jour se produit, je suis abasourdie et je tombe sur les fesses.
Combien de temps suis-je restée prostrer, c’est une main qui me secoue qui me fait reprendre conscience de ce qui se passe autour de moi.
C’est Catherine qui me secoue l’épaule car quand le bruit et la lumière verte nous ont entourés je l’ai vu une fraction de seconde se retourner ayant ramassé les vêtements de Létitia pour les plier sur une chaise près de la valise d’Angélique.
Pour la première fois, elle parle.
• Juliette, vite quel malheur, regarde la piscine.
Je me redresse et le spectacle que mes yeux voient est catastrophique, trois corps flottent à la surface, Claude et Létitia sur le ventre la tête dans l’eau et Angélique sur le dos les bras en croix comme si elle faisait la planche.
• Il faut appeler les pompiers, il faut sauver Létitia, qu’est-ce que je vais devenir.
Je commence à réagir et je sors mon portable du sac d’Angélique et je fais le 18.
• Allo les pompiers, ils sont dans la piscine, la foudre.
Dans un brouillard je me souviens qu’il me demande notre adresse et sous la pluie battante les éclaires éclairant l’autre côté de la maison je déclenche l’ouverture du portail à distance.
Catherine est à genoux au bord de la piscine tendant les bras vers sa dominatrice.
• Viens Létitia prend ma main, je vais t’aider mais tu sais qu’il faut que j’apprenne à nager.
Rapidement j’entends au loin la sirène des pompiers qui s’engouffre par le portail.
• Albert amène la perche pour sortir les corps de l’eau, le toubib arrive dans trente secondes il faut que nous ayons sorti les corps.
Christophe emmène ces femmes dans la maison, il passera les voir après, elle semble pétrifiée.
• Nous je veux rester, sortez Létitia je vais lui faire du bouche-à-bouche.
Je la prends par les épaules et j’arrive à l’asseoir dans la salle derrière la baie regardant fixement les pompiers sortir les corps un par un, regarder et s’occuper d’Angélique.
• Toubib venez, celle-là respire encore mais est très mal en point.
Je laisse Catherine une minute et j’attrape deux plaids qui sont sur les fauteuils du salon que je mets sur nos épaules, la pluie vient de s’arrêter quand je sors et le ciel commence à se dégager.
J’ai repris entièrement mes esprits sachant très bien ce qui arrive aux trois corps, les pompiers ont sorti deux draps et les ont placés sur ceux de Létitia et Claude me montrant que pour eux tout est fini.
Ils ont mis Angélique sur un brancard qu’il charge dans leur ambulance qui démarre toute sirène hurlante vers le centre hospitalier le plus proche.
• Madame, vous êtes la propriétaire.
• Oui.
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