COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (3/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (3/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (3/14)
J’ai voulu aider une jeune femme dans le besoin et je tombe sur celle que j’attendais depuis ma séparation avec Emmanuelle, ma colocataire de la fac de Dijon.
Ma jolie black me fait faire sexuellement tout ce qu’elle veut même me faire tromper mon mari avec un garagiste qui s’appelle Fred dont les mains calleuses m’ont procuré un plaisir sans bornes surtout qu’il était bien monté et très prolifique en sperme.

• Juliette, je monte m’habiller, on est de la même carrure, je t’emprunte des vêtements, je pars avec le monsieur, car je vais récupérer une valise ou j’ai quelques objets dont je vais avoir besoin.
En attendant va laver la cuisine et passer la serpillière dans la salle, je reviens.

Je les vois partir méduser, mais un ordre est un ordre et je me lève pour commencer mon travail.
J’entends le camion revenir et ayant un moment de lucidité sur ce que cette fille va encore me faire subir et que je sais que je vais accepter, je regrette de lui avoir donné le code 3BC4 de l’ouverture de mon portail.
Cela fait plus d’une heure qu’ils sont partis et je commence à sentir le manque de ma nouvelle amie black.

• Mon cœur, quel homme, je viens de monnayer quelques pourcentages de remise sur ta facture en me faisant baiser dans son camion, il était dans la même forme que tout à l’heure quand il t’a niquée.
J’en ai bien profité et je vois que tu as bien travaillé alors montons dans ta chambre, je vais te préciser ta condition à partir de maintenant.
Porte ma valise.

Comment j’accepte d’exécuter cet ordre, surtout nu devant elle sans me rebeller ?
La réponse est simple, en si peu de temps, je l’aime, autant que mon amie de Dijon et rien ne me fera risquer de briser les chaînes qu’elle a su tisser entre nous.
Je vais pour entrer dans notre chambre à Claude et à moi.

• Que fais-tu, la soupente crois-tu que tu te pavaneras dans des draps en soie, là-haut tu enlèves drap et couverture et tu te couches sur le matelas, pas d’oreiller bien sûr ?
Ici le lit est dans la bonne orientation pour que je dorme comme un bébé, là-haut je ferais des cauchemars.

Je grimpe dans ma soupente alors qu’elle me suit, je sais que ma vie est conditionnée par ses envies jusqu’au retour de Claude qui va m’aider à recouvrer ma liberté en virant celle que j’aime et que je hais. J’entre dans ce qui va être ma chambre pose la valise et enlève ce qu’elle m’a demandé pour coucher sur le matelas.

• Monte sur ton lit et mets tes mains derrière ta tête.

Cet ordre, je l’exécute en me demandant ou mes renoncements vont me mener et quand elle sort de sa valise une paire de menottes, je me laisse attacher sans aucun moment de révolte.
Quand c’est fait, elle se déshabille et vient à mes côtés.

• Je suis sûr que tu apprécies tout ce qui t’arrive depuis notre rencontre, je rêvais de rencontrer une femme comme toi qui assouvit tous mes désirs.
Tu les satisferas, même quand ton mari sera de retour.

Pour me parler elle me saisit les cheveux et les tires à me faire hurler.

• Aie, tu le sais, pourquoi poses-tu la question et pourquoi me fais-tu mal, je suis docile comme tu aimes !
• C’est bien, veux-tu me manger la chatte.
• Fait le, il faut me faire les choses sans me les demander, j’adore quand tu me surprennes comme avec le garagiste.
• Tu parles trop, moi seul, dois avoir le droit de parler ici, j’ai ce qu’il faut pour te faire taire.

Elle sort une boule avec deux lanières à attacher et me la place dans la bouche, ce qui me l’obstrue d’une manière très efficace.
Tu aimes mes joujoux, il servait à ma patronne qui m’a viré sous réserve de compression de personnel.

• Lève tes jambes par-dessus ta tête.

Une nouvelle fois je suis son ordre et elle attrape deux paires de menottes qu’elle fixe à mes chevilles et au barreau du lit comme pour mes poignets.
Je suis complètement replié sur moi-même ce qui dans cette position met mon sexe à son entière dispositionJe suis pied et poing lié à la merci de cette femme très proche de la mante religieuse.
Elle me fascine et quand dans cette valise de malheur ou plutôt de bonheur, elle en sort une plume comme celle sur les boas que les élégantes mettaient autour de leur cou, je me demande quel traitement machiavélique elle va me faire subir.
Je comprends pourquoi la boule pour étouffer mes cris de plaisir que je pousse quand elle la fait passer sur mon clitoris qui bande instantanément.
La position où je suis placé tire sur mes muscles pendant mon plaisir tellement intense.
D’un coup sa bouche remplace la plume, ce qui me fait repartir de plus belle.
Combien de temps restera elle près de moi, Dieu seul le sait, mais il est sûr que je ferais tout pour qu’elle reste ma dame de compagnie.
Claude, j’en fais mon affaire où il accepte nos jeux qui seront, je l’espère, toujours aussi lubrique où nous divorcerons au risque de perdre le confort acquis de haute lutte au fil de notre vie commune.

En bas nous entendons mon téléphone sonner.
Je fais des grands signes pour lui faire comprendre que c’est certainement mon portable que j’ai posé en montant sur la table de nuit de ma chambre qui sonne.
Telle une gazelle, elle part le chercher et je l’entends répondre à mon interlocuteur en remontant l’escalier.

• Oui, Claude, c’est moi Angélique, l’amie de votre femme.
• À non, elle est absente, il y a eu un gros orage et un arbre dont j’ai oublié le nom a été foudroyé et a cassé.
• Non, il est tombé sur la pelouse à côté de la piscine.

Elle vient de me rejoindre et tout en continuant à parler à mon mari, elle recommence à me caresser avec la plume.

• Elle est partie voir votre paysagiste pour qu’il vienne l’enlever.

Ma chatte est en feu, je me tortille dans tous les sens, grâce à la boule Claude est dans l’impossibilité de m’entendre et savoir que sa femme se comporte comme un gentil toutou, voire une vraie chienne.

• Oui, merci d’accepter de me prendre comme dame de compagnie pour aider votre femme.

Que lui a-t-il dit pour qu’elle réponde comme elle vient de le faire.

• Vous verrez, je serais aussi serviable pour vous que je le suis pour elle, d’ailleurs pendant l’orage, je me suis tenu à ses côtés, car elle avait une grande peur surtout quand l’arbre est tombé.

Elle est machiavélique, je sens qu’elle tisse sa toile surtout quand ses doigts glissent dans ma chatte qui coule de plaisir malgré le dos qui me tire mais la douleur qu’elle me procure est douce, venant d’elle.

• Pourquoi pas, vous savez dans ces moments-là ce qu’il peut se passer, surtout qu’elle est très réceptive aux amours féminins ?

Que dit-elle, c’est fait, elle vient de dire à Claude que je suis lesbienne, on est loin du machiavélisme, c’est une folle ?
Que peut-il lui dire, seulement ce qu’elle dit me parvient et le temps passe qui semble s’éterniser ?

• Non, tu as raison, nous avons peu parlé et je suis dans l’ignorance des liens ayant uni Juliette et sa copine Emmanuelle.
Je te promets de lui soutirer des renseignements avant ton retour samedi, je serais là pour t’accueillir, je te dirais si elle en pince toujours pour elle.

La belle garce, elle vient de le tutoyer à moins que ce soit lui et si je comprends bien, il sait pour Emmanuelle, oui, oui, oui j’en pince encore pour elle bien que depuis qu’Angélique est près de moi le bien-être qu’elle m’apporte diminue le manque de sa présence.

• Non, à part toi, l’orage a été si violent ajouter à la fin de la nuit un peu agitée avec ta femme ainsi que notre matinée nous avons peu discuté et tu m’apprends que vous avez trois enfants dont des jumeaux de 18 ans.

Toute la famille va y passer quant au moment où elle écoute sa bouche est de retour sur ma chatte qui a un grand plaisir à la recevoir quand la pointe de sa langue pointe à l’intérieur.

• Tu entends des bruits bizarres.
C’est moi en ce moment, je suce une glace, il fait si chaud, que dis-tu, tu croyais que je léchais une chatte, car tu as entendu des petits grognements.

Il est vrai que la surprise de sa langue et le fait qu’elle soit penchée vers moi, ma bouche obstruée par ma boule, a pu faire entendre les grognements que j’ai émis.

• Comme tu dis, cette nuit tu aurais pu entendre ces mêmes bruits quand elle jouissait, j’espère que tu es cool et que ces petits moments entre femmes sont sans conséquence pour votre amour et qui sait si tu aies sage que tu aime nous regarder sera le nôtre.

Je jouis, je me fiche de ce qu’ils disent depuis que quatre de ses doigts sont en moi.

• Comme je te le suggères, tu aimerais nous voir faire l’amour, c’est bien, j’adore ta demande, tu seras satisfait dimanche soir dès ton retour, je te promets une surprise avec en point d’orgue une jolie petite séance avec ta dulcinée.

Que disent-ils, je vais me gouiner avec Angélique devant lui, elle est folle bien que s’il aime, ce serait le moyen de lui faire voir mon attachement à cette jolie black et que ce sera elle ou lui s’il refuse le fait accompli ?

• Ne craint rien, je suis loin d’être farouche, tu rêves d’amour à trois et tu hésitais à le proposer à Juliette, tu vas être servi, depuis ce matin, elle peut difficilement me refuser de satisfaire ton envie.

Sa main a encore progressé, j’ignorais qu’à part le jour où j’ai accouché mon intimité pouvait se distendre sans que j’aie mal, bien au contraire.
Je me fiche de ce qu’ils disent, j’entends, mais mon cerveau est déconnecté, je suis tout orienté sur ce qu’elle me fait que je croyais impossible ce matin.

• Oui, ce matin, nous avons eu la visite du garagiste où elle est allée le jour où elle avait crevé, il est venu chercher ma voiture qui était en panne sur le parking du super marché.

Sa main a encore progressé, ces cinq doigts sont bien loin en moi, je confirme que c’est une folle, elle essaye de faire entrer son poignet à l’intérieur, elle va m’handicaper à vie.

• Comment, tu es fou, je me serais interposé s’il avait voulu la baiser, elle la reçut au bord de la piscine revêtue de son maillot de bain deux pièces !

Son poignet vient de passer, mes poignets et mes molets me tirent à l’endroit où les menottes les ansèrent à force de tirer dessus au long des jouissances qu’elle me procure.

• Dommage, là encore tu aimerais la voir se faire prendre par un autre, c’est de ta faute, il fallait lui proposer, si tu es candaulisme, il faut savoir assumer.
Promis, je vais t’aider à assouvir ton envie, tu vas voir, vous allez devenir un couple très branché.

Elle est en moi, j’espère qu’elle me dira ce qu’ils se sont dit à la fin, car je suis sur les sommets du plaisir, sa main entièrement fichée en moi, elle la fait aller d’avant en arrière, entrer et sortir sans difficultés jusqu’à ce qu’un voile noir passe devant mes yeux.
Je meurs de l’orgasme que cette salope me procure alors que je l’ai fait venir chez moi simplement pour prendre une douche…

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Texte coquin : COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (3/14)
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