COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (4/14)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (4/14)
Je suis devenue folle, comment ai-je pu accepter que cette jolie fille noire que j’ai fait venir chez moi pour une simple douche un soir d’orage bouleverse mon couple au point de parler au téléphone à mon mari parti aux États-Unis pour quinze jours et de lui raconter que nous nous sommes gouinées.
J’apprends par sa bouche qu’il est content de savoir que je me fais lécher et qu’il aimera nous voir faire l’amour comme il aimerait aussi me voir me faire prendre par d’autres hommes.
• Juliette, tu m’as fait peur, tu as tourné de l’œil.
J’ouvre les yeux, mon corps est douloureux alors que je suis détaché des jambes mais pas des poignets.
Je regarde ma chatte en soulevant ma tête, sa main a disparu et le vagin assez souple est de nouveau refermé évitant que je sois difforme.
J’ai l’impression que l’on m’a fait passer dans une lessiveuse, mais son bras autour de mon cou et sa bouche qui vient sur la mienne m’apporte une certaine quiétude, la boule, elle est aussi disparue me fait oublier les moments où mon corps souffrait par sa volonté et qu’au fond de moi je suis certaine d’aimer souffrir encore.
Le lendemain mercredi elle vient vers moi me détache et me demande d’aller aux toilettes, il était temps, car je commençais à serrer les fesses pour éviter de mouiller le matelas entraînant certainement une nouvelle punition.
C’est la porte ouverte qu’elle me regarde uriner semblant aimer tout ce qui sort de moi.
Une fois terminée elle me replace sur mon lit que je sais être devenue ma chambre de souffrance.
Je la vois quitter la pièce descendre et revenir avec mon propre sac à main.
• Je prends les clefs de ta voiture, je vais faire des courses, il faut que je te trouve des vêtements plus bandants que ceux que j’ai trouvés dans ta penderie, cet après-midi, nous allons aller voir mon cousin dans Paris.
Elle sort ma Gold.
• Donne-moi ton numéro pour que tu payes !
Voyant mon peu d’empressement à lui donner, elle m’empoigne une jambe et sans tendresse, elle me la tire au-dessus de ma tête, prenant la menotte, elle me l’attache.
• C’est bon, libère-moi, 1105.
• Tu as été méchante aussi, tu es puni, tu attendras que je revienne pour que je te détache, prends ton mal en patience.
Repose-toi bien !
Je la vois partir médusé, ou vais-je m’arrêter, voilà que je lui donne la clef de mon coffre-fort personnelle, car ma paye est rarement utile à notre couple vu les revenus de Claude versés sur notre compte commun cet argent est prévu pour revenir à nos enfants ou en cas de problème grave.
La jambe qu’elle a attachée alors que l’autre est baissé est difficile à supporter mais que puis-je y faire, il fallait que j’évite de l’énerver.
J’ai dû m’endormir, car je sens que l’on me détache, ma jambe tombe sans que je puisse la retenir.
Elle me libère ainsi que mes mains, j’essaye de me lever pour retourner aux toilettes.
J’ai présumé de mes forces surtout de la jambe droite et je m’affale dans ses bras.
• Bien chérie, j’aime quand tu me tombes dans les bras, je vais te rattacher.
• Non, je te promets d’être sage et de faire tout ce que tu voudras.
• Tu me le promets.
• Oui, je te le promets.
• Nous verrons, cela cette après-midi en attendant essaye ces vêtements, j’ai pris exactement les mêmes pour moi d’une couleur différente.
Elle sort du sac qu’elle a posé sur le lit un short violine pour moi, blanc pour elle pour trancher sur sa peau.
Débardeur de même couleur et veste trois quarts.
• Tu as oublié les petites culottes et les soutiens-gorge, viens-j’en ai des sexy dans mes tiroirs.
• Une salope se promène la chatte à l’air ou presque sous son short, pour tes seins, ces débardeurs vont les mettre en valeur.
• Tu veux me transformer en salope.
• Si tu as compris la conversation avec ton mari tout à l’heure au téléphone, il souhaite que tu quittes tes grands airs pour que tu deviennes une roulure.
• Au fait, tu as parlé de candaulisme, qu’est-ce que cela veut dire ?
• Le candaulisme veut dire que dans un couple l’un ou l’autre aime regarder son partenaire faire l’amour avec des personnes homme ou femme.
• Et Claude aspire à cela.
• Plutôt deux fois qu’une il regrette que votre sexualité soit restée platonique depuis votre mariage, il souhaite que tu évolues.
• Depuis que je te connais, il va être comblé, j’ai déjà évolué avec toi et le garagiste.
• Tu verras, cette après-midi, tu vas franchir une nouvelle étape.
• Dis-moi, je bous d’impatience, on va aller voir si la réparation de ta voiture avance.
• Gourmande, tu as apprécié la grosse bite qu’il t’a enfilée.
• Oui bien sûr mais ce sont plutôt ses mains couvertes de cambouis et de callosités qui m’ont fait démarrer quand son doigt a effleuré mon clitoris.
• Tu me fais trop en dire, mais dis-toi bien question sexe, tu seras comblé.
• Chouette, j’ai compris que je vais me faire sauter et j’en mouille d’avance, je suis vraiment devenue grâce à toi la reine des salopes.
• Assez parlé, déshabille-toi pour éviter de salir tes affaires et va me préparer à manger, attention pour moi seule, car j’ai constaté que tu as un léger embonpoint.
Comme elle y va 1,60 mètre et moins de 55 kilos, pas un gramme de graisse, à oui, j’ai compris, elle attend que je me rebelle pour me punir, pas la peine de lui donner ce plaisir, les leçons entre, je veux être sa soumise 24 heures sur 24.
Elle mange et comme je suis trop lente quelques caresses bien appliquées sur mes fesses m’aident à me faire circuler le sang.
Vers 13 heures elle prend le volant de ma Mercedes A1 et nous rejoignons la capitale.
Parking souterrain, quelques mètres de marche, elle me conduit devant une porte au-dessus de laquelle est marquée « CLUB PRIVE. »Dès qu’elle appuie sur la sonnette un homme aussi noir que ma maîtresse vient nous ouvrir.
• Bonjour Achille, je t’amène comme je te l’ai téléphonée ta nouvelle barmaid.
Il doit y avoir méprise, je suis professeur de français même si je suis en vacances jusqu’en septembre.
• Bonjour cousine, tu étais en dessous de la vérité quand tu m’as dit qu’elle était bandante au téléphone.
• Entre Juliette, on va éviter de faire la conversation sur le trottoir, il a raison hier après la nuit et ta partie de jambes en l’air avec le garagiste, j’ai pensé que tu serais tout à fait capable de devenir la barmaid que mon cousin cherche pour servir ses clients.
C’est en venant le rejoindre le soir de l’orage que ma voiture m’a lâché.
Je sais ce que tu vas me dire, tu as déjà un travail à la fac sauf que tu es libre les mercredis après-midi et tous les samedis, si tu conviens pour ce travail à mon cousin, tu assureras quelques heures.
Comment la contredire surtout que l’établissement où nous entrons est très sélect ? Nous sommes non loin de la porte quand la sonnette retentie et après l’ouverture par Achille, un homme habillé avec un costume certainement fait sur mesure, entre.
• Bonjour Achille, il y a du monde.
• Comme tous les mercredis quand vous venez des couples illégitimes et des hommes seuls mais il y a deux ou trois poulettes qui vont adorer que vous les croquiez.
Après avoir pénétré, nous arrivons dans une salle où il y a un bar, deux couples entièrement dénudés sont en train de discuter en buvant du champagne.
L’un des hommes prend la main d’une des femmes et l’entraîne derrière un rideau rouge.
Je me doute qu’étant dans un club libertin ils vont faire autre chose que d’enfiler des perles.
J’ai rapidement compris qu’Angélique qui n’a d’angélique que le nom m’a amené dans un de ces clubs dont j’ai bien sûr entendu parler, mais avec loin de moi l’idée de venir les fréquenter.
• Cousine, j’ai du travail conduit Juliette au vestiaire, mets là au parfum du taf qu’elle doit assurer et qu’elle soit prête pour la séance de 16 heures.
Oui, qu’elle vienne me voir dès que tu l’auras fait déshabiller pour que je lui offre le collier que tu m’as demandé de lui acheter.
Nous nous déshabillons et Achille me met un collier avec un anneau, me voilà affublée d’un collier comme si j’étais devenue une chienne mais à ce qu’elle m’a dit mon mari aspire certainement à ce que j’en devienne une.
•Il faudra que tu le portes chaque fois que tu viendras ici.
Assieds-toi sur ce tabouret devant le bar et attend un peu, je vais t’expliquer la suite de ta journée de travail.
Elle s’éloigne, mais je sais qu’elle m’observe, l’homme qui est entré en même temps que nous vient vers moi et m’offre une coupe de champagne, je comprends qu’en parlant de barmaid, c’est une couverture mais que je suis là pour aider le patron à faire tourner sa boîte et qu’il faut que je fasse consommer les clients esseulés.
• Voulez-vous bien venir avec moi à côté bel enfant ?
Le jeu commence à m’exciter, je dois aider à la consommation et satisfaire les hommes seuls pour qu’ils trouvent assez de plaisir pour revenir rapidement dépenser leur argent.
Je fais office de pute sans en être une au regard de la loi, car à part l’entrée dans le club qu’il a payé aucun argent ne va passer dans mes mains.
Nous passons dans un couloir où des alvéoles avec des lits sont à la disposition des libertins.
Dans l’une d’elles la femme que j’ai vue partir avec l’homme se fait besogner en position de levrette.
• Chers amis pouvons-nous nous joindre à vous ?
• Venez Pierre, Agnès est toujours contente d’avoir une compagne dans nos jeux, permettez-lui si madame est d’accord qu’elle lui lèche la chatte.
C’est comme cela que, pour la troisième fois je trompe Claude, je suis prise dans un tourbillon de plaisir que j’étais loin d’imaginer quand Angélique est venue se laver chez moi.
Ma maîtresse, le garagiste et maintenant une femme et deux hommes qui se succèdent alors que la femme vient me mordiller les seins avant de prendre la bite de celui bien placée pour me pénétrer avec sa main pour qu’il plonge en moi.
Je jouis rapidement sous l’assaut de mes différents partenaires réussissant, moi aussi à les satisfaire.
Je perds la notion de l’heure quand ma chatte est arrosée et que Pierre me raccompagne au bar où nous buvons une bouteille de champagne vite suivie d’une autre commandée par mon deuxième partenaire qui m’a si j’ai bien vu fait jouir le plus fort.
Je trempe simplement les lèvres souhaitant rester lucides pour profiter au maximum des moments que je vais vivre les mercredis et samedis et de plus il me faudra conduire pour rentrer le soir.
Les clients satisfaits me quittent et Angélique qui a tout contrôlé du coin de l’œil m’entraîne sous une douche.
Je reviens au bar.
• Juliette, il est 16 heures, viens que je te mette ta laisse, nous allons faire notre numéro…
J’apprends par sa bouche qu’il est content de savoir que je me fais lécher et qu’il aimera nous voir faire l’amour comme il aimerait aussi me voir me faire prendre par d’autres hommes.
• Juliette, tu m’as fait peur, tu as tourné de l’œil.
J’ouvre les yeux, mon corps est douloureux alors que je suis détaché des jambes mais pas des poignets.
Je regarde ma chatte en soulevant ma tête, sa main a disparu et le vagin assez souple est de nouveau refermé évitant que je sois difforme.
J’ai l’impression que l’on m’a fait passer dans une lessiveuse, mais son bras autour de mon cou et sa bouche qui vient sur la mienne m’apporte une certaine quiétude, la boule, elle est aussi disparue me fait oublier les moments où mon corps souffrait par sa volonté et qu’au fond de moi je suis certaine d’aimer souffrir encore.
Le lendemain mercredi elle vient vers moi me détache et me demande d’aller aux toilettes, il était temps, car je commençais à serrer les fesses pour éviter de mouiller le matelas entraînant certainement une nouvelle punition.
C’est la porte ouverte qu’elle me regarde uriner semblant aimer tout ce qui sort de moi.
Une fois terminée elle me replace sur mon lit que je sais être devenue ma chambre de souffrance.
Je la vois quitter la pièce descendre et revenir avec mon propre sac à main.
• Je prends les clefs de ta voiture, je vais faire des courses, il faut que je te trouve des vêtements plus bandants que ceux que j’ai trouvés dans ta penderie, cet après-midi, nous allons aller voir mon cousin dans Paris.
Elle sort ma Gold.
• Donne-moi ton numéro pour que tu payes !
Voyant mon peu d’empressement à lui donner, elle m’empoigne une jambe et sans tendresse, elle me la tire au-dessus de ma tête, prenant la menotte, elle me l’attache.
• C’est bon, libère-moi, 1105.
• Tu as été méchante aussi, tu es puni, tu attendras que je revienne pour que je te détache, prends ton mal en patience.
Repose-toi bien !
Je la vois partir médusé, ou vais-je m’arrêter, voilà que je lui donne la clef de mon coffre-fort personnelle, car ma paye est rarement utile à notre couple vu les revenus de Claude versés sur notre compte commun cet argent est prévu pour revenir à nos enfants ou en cas de problème grave.
La jambe qu’elle a attachée alors que l’autre est baissé est difficile à supporter mais que puis-je y faire, il fallait que j’évite de l’énerver.
J’ai dû m’endormir, car je sens que l’on me détache, ma jambe tombe sans que je puisse la retenir.
Elle me libère ainsi que mes mains, j’essaye de me lever pour retourner aux toilettes.
J’ai présumé de mes forces surtout de la jambe droite et je m’affale dans ses bras.
• Bien chérie, j’aime quand tu me tombes dans les bras, je vais te rattacher.
• Non, je te promets d’être sage et de faire tout ce que tu voudras.
• Tu me le promets.
• Oui, je te le promets.
• Nous verrons, cela cette après-midi en attendant essaye ces vêtements, j’ai pris exactement les mêmes pour moi d’une couleur différente.
Elle sort du sac qu’elle a posé sur le lit un short violine pour moi, blanc pour elle pour trancher sur sa peau.
Débardeur de même couleur et veste trois quarts.
• Tu as oublié les petites culottes et les soutiens-gorge, viens-j’en ai des sexy dans mes tiroirs.
• Une salope se promène la chatte à l’air ou presque sous son short, pour tes seins, ces débardeurs vont les mettre en valeur.
• Tu veux me transformer en salope.
• Si tu as compris la conversation avec ton mari tout à l’heure au téléphone, il souhaite que tu quittes tes grands airs pour que tu deviennes une roulure.
• Au fait, tu as parlé de candaulisme, qu’est-ce que cela veut dire ?
• Le candaulisme veut dire que dans un couple l’un ou l’autre aime regarder son partenaire faire l’amour avec des personnes homme ou femme.
• Et Claude aspire à cela.
• Plutôt deux fois qu’une il regrette que votre sexualité soit restée platonique depuis votre mariage, il souhaite que tu évolues.
• Depuis que je te connais, il va être comblé, j’ai déjà évolué avec toi et le garagiste.
• Tu verras, cette après-midi, tu vas franchir une nouvelle étape.
• Dis-moi, je bous d’impatience, on va aller voir si la réparation de ta voiture avance.
• Gourmande, tu as apprécié la grosse bite qu’il t’a enfilée.
• Oui bien sûr mais ce sont plutôt ses mains couvertes de cambouis et de callosités qui m’ont fait démarrer quand son doigt a effleuré mon clitoris.
• Tu me fais trop en dire, mais dis-toi bien question sexe, tu seras comblé.
• Chouette, j’ai compris que je vais me faire sauter et j’en mouille d’avance, je suis vraiment devenue grâce à toi la reine des salopes.
• Assez parlé, déshabille-toi pour éviter de salir tes affaires et va me préparer à manger, attention pour moi seule, car j’ai constaté que tu as un léger embonpoint.
Comme elle y va 1,60 mètre et moins de 55 kilos, pas un gramme de graisse, à oui, j’ai compris, elle attend que je me rebelle pour me punir, pas la peine de lui donner ce plaisir, les leçons entre, je veux être sa soumise 24 heures sur 24.
Elle mange et comme je suis trop lente quelques caresses bien appliquées sur mes fesses m’aident à me faire circuler le sang.
Vers 13 heures elle prend le volant de ma Mercedes A1 et nous rejoignons la capitale.
Parking souterrain, quelques mètres de marche, elle me conduit devant une porte au-dessus de laquelle est marquée « CLUB PRIVE. »Dès qu’elle appuie sur la sonnette un homme aussi noir que ma maîtresse vient nous ouvrir.
• Bonjour Achille, je t’amène comme je te l’ai téléphonée ta nouvelle barmaid.
Il doit y avoir méprise, je suis professeur de français même si je suis en vacances jusqu’en septembre.
• Bonjour cousine, tu étais en dessous de la vérité quand tu m’as dit qu’elle était bandante au téléphone.
• Entre Juliette, on va éviter de faire la conversation sur le trottoir, il a raison hier après la nuit et ta partie de jambes en l’air avec le garagiste, j’ai pensé que tu serais tout à fait capable de devenir la barmaid que mon cousin cherche pour servir ses clients.
C’est en venant le rejoindre le soir de l’orage que ma voiture m’a lâché.
Je sais ce que tu vas me dire, tu as déjà un travail à la fac sauf que tu es libre les mercredis après-midi et tous les samedis, si tu conviens pour ce travail à mon cousin, tu assureras quelques heures.
Comment la contredire surtout que l’établissement où nous entrons est très sélect ? Nous sommes non loin de la porte quand la sonnette retentie et après l’ouverture par Achille, un homme habillé avec un costume certainement fait sur mesure, entre.
• Bonjour Achille, il y a du monde.
• Comme tous les mercredis quand vous venez des couples illégitimes et des hommes seuls mais il y a deux ou trois poulettes qui vont adorer que vous les croquiez.
Après avoir pénétré, nous arrivons dans une salle où il y a un bar, deux couples entièrement dénudés sont en train de discuter en buvant du champagne.
L’un des hommes prend la main d’une des femmes et l’entraîne derrière un rideau rouge.
Je me doute qu’étant dans un club libertin ils vont faire autre chose que d’enfiler des perles.
J’ai rapidement compris qu’Angélique qui n’a d’angélique que le nom m’a amené dans un de ces clubs dont j’ai bien sûr entendu parler, mais avec loin de moi l’idée de venir les fréquenter.
• Cousine, j’ai du travail conduit Juliette au vestiaire, mets là au parfum du taf qu’elle doit assurer et qu’elle soit prête pour la séance de 16 heures.
Oui, qu’elle vienne me voir dès que tu l’auras fait déshabiller pour que je lui offre le collier que tu m’as demandé de lui acheter.
Nous nous déshabillons et Achille me met un collier avec un anneau, me voilà affublée d’un collier comme si j’étais devenue une chienne mais à ce qu’elle m’a dit mon mari aspire certainement à ce que j’en devienne une.
•Il faudra que tu le portes chaque fois que tu viendras ici.
Assieds-toi sur ce tabouret devant le bar et attend un peu, je vais t’expliquer la suite de ta journée de travail.
Elle s’éloigne, mais je sais qu’elle m’observe, l’homme qui est entré en même temps que nous vient vers moi et m’offre une coupe de champagne, je comprends qu’en parlant de barmaid, c’est une couverture mais que je suis là pour aider le patron à faire tourner sa boîte et qu’il faut que je fasse consommer les clients esseulés.
• Voulez-vous bien venir avec moi à côté bel enfant ?
Le jeu commence à m’exciter, je dois aider à la consommation et satisfaire les hommes seuls pour qu’ils trouvent assez de plaisir pour revenir rapidement dépenser leur argent.
Je fais office de pute sans en être une au regard de la loi, car à part l’entrée dans le club qu’il a payé aucun argent ne va passer dans mes mains.
Nous passons dans un couloir où des alvéoles avec des lits sont à la disposition des libertins.
Dans l’une d’elles la femme que j’ai vue partir avec l’homme se fait besogner en position de levrette.
• Chers amis pouvons-nous nous joindre à vous ?
• Venez Pierre, Agnès est toujours contente d’avoir une compagne dans nos jeux, permettez-lui si madame est d’accord qu’elle lui lèche la chatte.
C’est comme cela que, pour la troisième fois je trompe Claude, je suis prise dans un tourbillon de plaisir que j’étais loin d’imaginer quand Angélique est venue se laver chez moi.
Ma maîtresse, le garagiste et maintenant une femme et deux hommes qui se succèdent alors que la femme vient me mordiller les seins avant de prendre la bite de celui bien placée pour me pénétrer avec sa main pour qu’il plonge en moi.
Je jouis rapidement sous l’assaut de mes différents partenaires réussissant, moi aussi à les satisfaire.
Je perds la notion de l’heure quand ma chatte est arrosée et que Pierre me raccompagne au bar où nous buvons une bouteille de champagne vite suivie d’une autre commandée par mon deuxième partenaire qui m’a si j’ai bien vu fait jouir le plus fort.
Je trempe simplement les lèvres souhaitant rester lucides pour profiter au maximum des moments que je vais vivre les mercredis et samedis et de plus il me faudra conduire pour rentrer le soir.
Les clients satisfaits me quittent et Angélique qui a tout contrôlé du coin de l’œil m’entraîne sous une douche.
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