COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (8/14)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (8/14)
Depuis que je l’ai ramassé sur le parking de notre super marché où j’étais venue acheter des chaussures un soir d’orage, je suis tombé sous la coupe de Maître Angélique qui m’apporte tour à tour plaisir mais surtout humiliation mais j’adore cette soumission.
Un orage a éclaté et je me suis précipité dans ses bras de peur quand la foudre est tombée dans ce qui était encore mon jardin, Angélique qui n’a d’Angélique que le nom venant de me faire subir une nouvelle épreuve qui a failli me faire perdre la vie.
Pour qui aime comme je l’aime accepter d’être sa soumise et me faire dominer voire accrocher aux misères qu’elle peut inventer jusqu’aux douleurs qu’elle peut m’infliger a faites de moi une autre femme.
Après m’avoir donné à d’autres hommes chez moi et dans le club de son cousin, c’est dans ma piscine que j’ai subi l’épreuve de la mort pour lui prouver mon amour.
Elle m’a récupéré me laissant quelques secondes la tête sous l’eau où j’ai eu le temps d’avaler de l’eau l’obligeant à me faire du bouche-à-bouche pour me montrer tout l’amour que nous avons l’une envers l’autre.
Je suis toujours entravé alors qu’elle m’a dit aller chercher les clefs des menottes qui me tiennent pieds et poignets.
Je suis sur le ventre et alors que le temps passe, je finis par m’apercevoir en réussissant à me retourner qu’elle est la nue sur mon transat à siroter le verre d’orangeade que je lui avais préparée avec tous les sentiments que je pouvais lui apporter me laissant cuire au soleil.
• Tu vois ma salope, le jeu en est à son début, comment as-tu pu croire que j’allais te détacher alors que tu es si bandante à voir comme tu es placée ton joli postérieur défoncé par ce gros plug, j’en ai trouvé un de 11 au fond de ma valise, je vais te le mettre Achille entrera comme dans une motte de beurre.
En me disant ces mots, elle frappe la cravache qu’elle a dans le creux de sa main.
• Chérie, autre épreuve et là c’est la dernière pour aujourd’hui, regarde, je pose la clef si tu arrives à venir jusqu’au transat sans que je t’aide, et te libérer.
Je la pose et je te laisse à tes exercices pour venir la récupérer, ton ventre est presque plat comme je souhaite qu’il le soit, tu es sur le bon chemin.
Je vais m’habiller, car je viens de recevoir un coup de téléphone du garagiste qui me demande de passer à son garage.
Il a refusé de m’en dire plus, j’ai l’impression qu’il veut me baiser, mais tu me connais, il va falloir qu’il me fasse une fleur sur le prix de ma réparation.
Je la vois s’approcher ayant attrapé l’objet démentiel qu’elle m’a promis, me retourne comme une simple crêpe et me casse de nouveau le cul.
Elle repart et dix minutes plus tard j’entends sa Mercédès démarrer, le mal est en moi car je parle de ma voiture comme si c’était déjà la sienne.
Comment me détacher ?
Je me souviens d’un film où Mac Guyver dans la même situation arrive à faire passer ses pieds dans ses bras et retrouver son équilibre, j’essaye et bien sûr c’est infructueux.
Dans mes mouvements, seul mon dos sur les marches de la piscine me rappelle que je suis loin d’être à la hauteur du héros aussi en rampant sur mes genoux, j’arrive à remonter jusqu’à la pelouse où hier l’arbre couché par la foudre à creuser un grand trou lors de l’orage qui a fait basculer ma vie.
C’est dans un champ de copeaux formé par la tronçonneuse que j’essaye de nouveau, et après plusieurs essais infructueux, j’arrive à égaler mon héros en me redressant.
À coups de reins j’avance en sautant comme les Kangourous, loupé, je retombe lourdement sur le sol.
La deuxième est la bonne et en sautant j’arrive vers la chaise longue.
J’aurais dû m’en douter, la salope m’a encore fait voir qui commandait et la clef brille par son absence.
Pour arranger mes affaires, j’ai beau avoir mangé cinq radis et avoir bu l’eau de la piscine, la nature est là et il faut que je m’isole heureusement pour la simple commission, car le plug m’aurait posé des problèmes insurmontables.
J’y arrive en passant par la terrasse et la baie vitrée qu’elle a laissé entrebâiller non sans chuter deux fois.
Cela presse de plus en plus et comme je m’énerve, j’ai un moment peur que mon Maître revient et voit la trace humide après que je me suis soulagé, cette pensée me galvanise et j’arrive jusqu’au W.C.
C’est en pleurs que je m’assoie et le soulagement que je ressens me redonne le courage de repartir jusqu’à la cuisine.
Voir cette pièce augmente ma faim, je crois que jamais j’ai haï quelqu’un comme Maître Angélique à ce moment.
Comme pour la piscine, je fais appel à mes souvenirs de série télé et c’est dans le tiroir que je cherche le moyen de défaire ces foutues menottes.
Ne trouvant rien, j’ouvre un placard et je vois un pot de fruit au sirop que j’avais en réserve depuis des mois.
L’occasion faisant le Laron, je trouve dans le tiroir un ouvre-boîte qui me permet de défaire le couvercle.
Ces bons fruits sont à ma disposition et j’ai tellement hâte de les manger que par un faux mouvement le pot m’échappe et tombe au sol.
Tous les fruits se répandent et ce doit être mon jour de chance, car le pot reste entier.
Renonçant à toute pudeur, je me laisse tomber à quatre pattes et comme une gentille chienne, j’attrape les fruits un par un avec ma bouche, à mesure que je les bouffe car c’est tellement bon qu’il est impossible de parler de dégustation, j’en arrive même à lécher le sol.
Elle m’a fait pleurer, mais elle m’a apporté tellement de plaisirs aussi faire la petite chienne devient de plus en plus un moment de bonheur en me remplissant l’estomac.
C’est à ce moment que j’entends le bruit du portail et l’alarme de l’ouverture qui retentit.
C’est de nouveau à quatre pattes que je retourne dans la salle puis sur la terrasse pour me coucher sur les coussins du transat.
C’est une furie qui m’arrive dessus, car par malchance, elle est passée par la cuisine pour déposer un sac d’aliments et a vu le massacre fait avec le pot de fruit au sirop.
• Salope, tu crois que tu peux te jouer de moi, reconnaît que tu as été une méchante fille.
Je vais pour répondre, mais elle est déjà sur moi et dans une colère noire, elle m’attrape le sein et me tord la pointe au point que je crains qu’elle ne l’arrache.
Je connais de plus en plus la leçon de la dominée et de la dominante, je serre les dents et j’évite de lui donner le plaisir qu’un cri sorte de ma bouche.
Angélique à des réserves d’idées peut être lue dans mon livre sur la soumission d’Anastasia, car elle m’attrape la chatte en me plaçant trois doigts et elle me pince la vulve, là je suis carrément obligée, je hurle.
• Tu as de la chance que nous ayons des invités qui arrivent, car une fois de plus mes leçons sont trop gentilles et je vais te punir encore deux fois plus.
Au contraire, puisque ton estomac est rempli contre ma volonté, tu vas pouvoir apprécier la visite et le cadeau que je te fais alors que tu es loin de l’avoir mérité.
• Je te détache les pieds, allonge-toi à nouveau, avant donne-moi tes mains pour que je change tes menottes de place.
Elle sort de sa poche les clefs qu’elle avait emmenées et après avoir défait celle de mes pieds m’écarte les jambes et me place l’une après l’autre au sol et les attache au pied de la chaise longue.
Dans sa valise pleine de ressources elle a trouvé la deuxième paire de menottes.
Je me retrouve allongé la chatte entièrement écartée et à sa merci.
Elle défait celle de mes mains et me les fait passer derrière le dossier pour me les replacer.
Pour quel invité suis-je mise dans cette position, je vais être à la fête, car pour être soumise, je vais l’être dans l’impossibilité de bouger.
• Pour la dernière fois, si tu es à la hauteur avec celui qui arrive, je te promets de te sortir ce soir.
Elle peut toujours courir, je sais que je vais accepter son soi-disant cadeau et qu’elle me fera une crasse quand il s’agira de me sortir.
La position offerte qu’elle m’a fait prendre me donne une grande joie tout de même, si j’ai la chatte offerte, c’est que des hommes ou des femmes vont venir me donner du plaisir.
Faire l’amour avec des inconnus devant elle me prouve son amour, qui est capable de partager sa soumise avec d’autres alors que j’ai un cœur qui déborde d’amour pour elle.
La sonnette du portail retenti, je vais enfin savoir qui elle m’a choisi pour me donner du plaisir en cette fin de journée.
Une nouvelle fois j’ai un instant de lucidité et de remords à tromper celui qui m’a donné trois beaux-enfants surtout dans sa maison même si j’ai moi-même un salaire.
Le bruit deux voitures différentes se font entendre.
J’essaye de bouger, mais j’ai les cuisses tellement écartées que quand Fred le garagiste accompagné d’un jeune homme tourne le coin et vient directement vers moi accompagné par Angélique qui regarde ma réaction.
Je connais le garagiste, mais pas le jeune homme qui si j’étais un homme me ferait bander.
Grand malgré l’âge des bras bien développés sous son Marcel et un pantalon en jean qui m’annonce des moments qui chantent si c’est lui mon cadeau.
• Bonjour, madame Juliette, Angélique me dit qu’elle va être obligée de vous infliger une punition, car vous vous êtes empiffrée, c’est mal, mais j’aime beaucoup vous trouver dans la position qu’elle vous a placée surtout pour mon fils Lucas.
Elle m’a dit que vous étiez d’accord pour déniaiser ce grand dadais qui a plus de dix-huit ans est incapable de lever une petite salope pour la baiser.
J’espérais qu’il franchisse le pas avec la blonde qui s’amblait s’intéresser à lui, mais il a trouvé le moyen de la fâcher et elle brille par son absence.
Moi à son âge, je sautais tout ce qui avait une jupe surtout dans notre métier, on le voit avec vous les occasions font légions et il semble ignorer les appels du pied de ces dames.
• Vous lui avez demandé s’il aimait plus les hommes que les femmes, jeune homme êtes-vous homosexuelle.
Avant qu’il réponde, son père me coupe sèchement.
• Chez nous les Italiens un fils pédé, on le castre.
À vous d’en faire un homme.
On va vous laisser, je veux qu’il se sente à l’aise pour sa première expérience.
Angélique, venez essayer la voiture que je vous ai amenée pour remplacer celle qui est morte, vous avez coulé une bielle, je vous fais une nouvelle remise de 3 000 € et on fera comme prévu avec votre amie qui vous signera le chèque de 8 000 € qui reste à payer, en dernier cadeau, je vous donne une assurance pièce et main-d’œuvre pour un an.
Et voilà mon compte sera vidée en deux jours, heureusement que chacun de mes enfants a un livret de caisse d’épargne rempli au maximum, elle l’ignore et ce sera toujours cela de sauver mais je suis contente qu’elle ait trouvé une voiture qui lui plaise et surtout qu’elle m’offre à ce beau jeune homme.
Je suis loin d’être dupe après la manière dont elle m’a sauvé dans la piscine, je suis certaine qu’elle connaissait déjà la voiture et qu’ils sont dans la salle derrière la baie et qu’il la baise en regardant son fils se faire dépuceler.
Je trouve le jeune homme mal à l’aise.
• Viens Lucas si tu reste debout ton père va croire que tu es pédé et tu as entendu ce qu’il t’a promis.
• Mais il a raison, je le suis.
Tout de suite je vois le massacre qu’il va y avoir si j’annonce au père que son fils est réellement homosexuel.
• Attends, agenouille-toi à la hauteur de ma chatte comme si tu me léchais.
Il s’exécute et comme il est de dos en rapport de la baie, ils ont l’illusion qu’il me broute.
• Excuse-moi d’avoir voulu faire un trait d’esprit sur ton homosexualité qui est réelle si je comprends bien.
Bouge ta tête comme si tu me léchais de haut en bas.
• J’ai déjà sucé une bite quand je suis allé chez le coiffeur à Champigny.
• Il est ton ami.
• Oui, il s’appelle Luidgi et je l’ai rencontré dans une fête de famille.
• Surtout bouges ta tête.
À partir de là je fais celle qui jouit sous la langue du garçon.
• Tu vois, tu fais semblant et moi aussi, ils vont croire que nous prenons du plaisir.
• Il m’avait dit que si je descendais me faire coiffer, il me montrerait qui je suis.
J’y suis allé et dans l’arrière-boutique alors qu’il avait fermé la porte sans que je proteste, il a sorti sa verge et je l’ai sucée.
• Tu as aimé.
• Lui faire une pipe, j’ai beaucoup aimé, j’étais dans mon élément, mais quand j’espérais qu’il me sodomise un client avec qui il avait rendez-vous ai frappé à la porte et je suis resté frustré.
• Viens, sort ton sexe et amène-le-moi jusqu’à ma bouche, si tu veux sucer ton Luidgi, il faut continuer de donner le change et je vais te sucer.
Ferme les yeux et penses à ton ami, tu croiras que c’est lui qui t’a mis dans sa bouche, ton père verra clairement que tu te fais sucer par une femme et il sera content que tu sois en pleine forme pour me satisfaire.
Il accepte et je prends ma part de plaisir, car mine de rien la belle queue que j’ai devant moi, j’aimerais qu’elle entre dans ma chatte entièrement offerte.
Pendant un temps il m’est impossible de lui parler.
Je veux faire croire au père qu’il a perdu son pucelage aussi, je le pompe, mais pas à fond et quand je le fais ressortir, je l’incite à se coucher sur moi…
Un orage a éclaté et je me suis précipité dans ses bras de peur quand la foudre est tombée dans ce qui était encore mon jardin, Angélique qui n’a d’Angélique que le nom venant de me faire subir une nouvelle épreuve qui a failli me faire perdre la vie.
Pour qui aime comme je l’aime accepter d’être sa soumise et me faire dominer voire accrocher aux misères qu’elle peut inventer jusqu’aux douleurs qu’elle peut m’infliger a faites de moi une autre femme.
Après m’avoir donné à d’autres hommes chez moi et dans le club de son cousin, c’est dans ma piscine que j’ai subi l’épreuve de la mort pour lui prouver mon amour.
Elle m’a récupéré me laissant quelques secondes la tête sous l’eau où j’ai eu le temps d’avaler de l’eau l’obligeant à me faire du bouche-à-bouche pour me montrer tout l’amour que nous avons l’une envers l’autre.
Je suis toujours entravé alors qu’elle m’a dit aller chercher les clefs des menottes qui me tiennent pieds et poignets.
Je suis sur le ventre et alors que le temps passe, je finis par m’apercevoir en réussissant à me retourner qu’elle est la nue sur mon transat à siroter le verre d’orangeade que je lui avais préparée avec tous les sentiments que je pouvais lui apporter me laissant cuire au soleil.
• Tu vois ma salope, le jeu en est à son début, comment as-tu pu croire que j’allais te détacher alors que tu es si bandante à voir comme tu es placée ton joli postérieur défoncé par ce gros plug, j’en ai trouvé un de 11 au fond de ma valise, je vais te le mettre Achille entrera comme dans une motte de beurre.
En me disant ces mots, elle frappe la cravache qu’elle a dans le creux de sa main.
• Chérie, autre épreuve et là c’est la dernière pour aujourd’hui, regarde, je pose la clef si tu arrives à venir jusqu’au transat sans que je t’aide, et te libérer.
Je la pose et je te laisse à tes exercices pour venir la récupérer, ton ventre est presque plat comme je souhaite qu’il le soit, tu es sur le bon chemin.
Je vais m’habiller, car je viens de recevoir un coup de téléphone du garagiste qui me demande de passer à son garage.
Il a refusé de m’en dire plus, j’ai l’impression qu’il veut me baiser, mais tu me connais, il va falloir qu’il me fasse une fleur sur le prix de ma réparation.
Je la vois s’approcher ayant attrapé l’objet démentiel qu’elle m’a promis, me retourne comme une simple crêpe et me casse de nouveau le cul.
Elle repart et dix minutes plus tard j’entends sa Mercédès démarrer, le mal est en moi car je parle de ma voiture comme si c’était déjà la sienne.
Comment me détacher ?
Je me souviens d’un film où Mac Guyver dans la même situation arrive à faire passer ses pieds dans ses bras et retrouver son équilibre, j’essaye et bien sûr c’est infructueux.
Dans mes mouvements, seul mon dos sur les marches de la piscine me rappelle que je suis loin d’être à la hauteur du héros aussi en rampant sur mes genoux, j’arrive à remonter jusqu’à la pelouse où hier l’arbre couché par la foudre à creuser un grand trou lors de l’orage qui a fait basculer ma vie.
C’est dans un champ de copeaux formé par la tronçonneuse que j’essaye de nouveau, et après plusieurs essais infructueux, j’arrive à égaler mon héros en me redressant.
À coups de reins j’avance en sautant comme les Kangourous, loupé, je retombe lourdement sur le sol.
La deuxième est la bonne et en sautant j’arrive vers la chaise longue.
J’aurais dû m’en douter, la salope m’a encore fait voir qui commandait et la clef brille par son absence.
Pour arranger mes affaires, j’ai beau avoir mangé cinq radis et avoir bu l’eau de la piscine, la nature est là et il faut que je m’isole heureusement pour la simple commission, car le plug m’aurait posé des problèmes insurmontables.
J’y arrive en passant par la terrasse et la baie vitrée qu’elle a laissé entrebâiller non sans chuter deux fois.
Cela presse de plus en plus et comme je m’énerve, j’ai un moment peur que mon Maître revient et voit la trace humide après que je me suis soulagé, cette pensée me galvanise et j’arrive jusqu’au W.C.
C’est en pleurs que je m’assoie et le soulagement que je ressens me redonne le courage de repartir jusqu’à la cuisine.
Voir cette pièce augmente ma faim, je crois que jamais j’ai haï quelqu’un comme Maître Angélique à ce moment.
Comme pour la piscine, je fais appel à mes souvenirs de série télé et c’est dans le tiroir que je cherche le moyen de défaire ces foutues menottes.
Ne trouvant rien, j’ouvre un placard et je vois un pot de fruit au sirop que j’avais en réserve depuis des mois.
L’occasion faisant le Laron, je trouve dans le tiroir un ouvre-boîte qui me permet de défaire le couvercle.
Ces bons fruits sont à ma disposition et j’ai tellement hâte de les manger que par un faux mouvement le pot m’échappe et tombe au sol.
Tous les fruits se répandent et ce doit être mon jour de chance, car le pot reste entier.
Renonçant à toute pudeur, je me laisse tomber à quatre pattes et comme une gentille chienne, j’attrape les fruits un par un avec ma bouche, à mesure que je les bouffe car c’est tellement bon qu’il est impossible de parler de dégustation, j’en arrive même à lécher le sol.
Elle m’a fait pleurer, mais elle m’a apporté tellement de plaisirs aussi faire la petite chienne devient de plus en plus un moment de bonheur en me remplissant l’estomac.
C’est à ce moment que j’entends le bruit du portail et l’alarme de l’ouverture qui retentit.
C’est de nouveau à quatre pattes que je retourne dans la salle puis sur la terrasse pour me coucher sur les coussins du transat.
C’est une furie qui m’arrive dessus, car par malchance, elle est passée par la cuisine pour déposer un sac d’aliments et a vu le massacre fait avec le pot de fruit au sirop.
• Salope, tu crois que tu peux te jouer de moi, reconnaît que tu as été une méchante fille.
Je vais pour répondre, mais elle est déjà sur moi et dans une colère noire, elle m’attrape le sein et me tord la pointe au point que je crains qu’elle ne l’arrache.
Je connais de plus en plus la leçon de la dominée et de la dominante, je serre les dents et j’évite de lui donner le plaisir qu’un cri sorte de ma bouche.
Angélique à des réserves d’idées peut être lue dans mon livre sur la soumission d’Anastasia, car elle m’attrape la chatte en me plaçant trois doigts et elle me pince la vulve, là je suis carrément obligée, je hurle.
• Tu as de la chance que nous ayons des invités qui arrivent, car une fois de plus mes leçons sont trop gentilles et je vais te punir encore deux fois plus.
Au contraire, puisque ton estomac est rempli contre ma volonté, tu vas pouvoir apprécier la visite et le cadeau que je te fais alors que tu es loin de l’avoir mérité.
• Je te détache les pieds, allonge-toi à nouveau, avant donne-moi tes mains pour que je change tes menottes de place.
Elle sort de sa poche les clefs qu’elle avait emmenées et après avoir défait celle de mes pieds m’écarte les jambes et me place l’une après l’autre au sol et les attache au pied de la chaise longue.
Dans sa valise pleine de ressources elle a trouvé la deuxième paire de menottes.
Je me retrouve allongé la chatte entièrement écartée et à sa merci.
Elle défait celle de mes mains et me les fait passer derrière le dossier pour me les replacer.
Pour quel invité suis-je mise dans cette position, je vais être à la fête, car pour être soumise, je vais l’être dans l’impossibilité de bouger.
• Pour la dernière fois, si tu es à la hauteur avec celui qui arrive, je te promets de te sortir ce soir.
Elle peut toujours courir, je sais que je vais accepter son soi-disant cadeau et qu’elle me fera une crasse quand il s’agira de me sortir.
La position offerte qu’elle m’a fait prendre me donne une grande joie tout de même, si j’ai la chatte offerte, c’est que des hommes ou des femmes vont venir me donner du plaisir.
Faire l’amour avec des inconnus devant elle me prouve son amour, qui est capable de partager sa soumise avec d’autres alors que j’ai un cœur qui déborde d’amour pour elle.
La sonnette du portail retenti, je vais enfin savoir qui elle m’a choisi pour me donner du plaisir en cette fin de journée.
Une nouvelle fois j’ai un instant de lucidité et de remords à tromper celui qui m’a donné trois beaux-enfants surtout dans sa maison même si j’ai moi-même un salaire.
Le bruit deux voitures différentes se font entendre.
J’essaye de bouger, mais j’ai les cuisses tellement écartées que quand Fred le garagiste accompagné d’un jeune homme tourne le coin et vient directement vers moi accompagné par Angélique qui regarde ma réaction.
Je connais le garagiste, mais pas le jeune homme qui si j’étais un homme me ferait bander.
Grand malgré l’âge des bras bien développés sous son Marcel et un pantalon en jean qui m’annonce des moments qui chantent si c’est lui mon cadeau.
• Bonjour, madame Juliette, Angélique me dit qu’elle va être obligée de vous infliger une punition, car vous vous êtes empiffrée, c’est mal, mais j’aime beaucoup vous trouver dans la position qu’elle vous a placée surtout pour mon fils Lucas.
Elle m’a dit que vous étiez d’accord pour déniaiser ce grand dadais qui a plus de dix-huit ans est incapable de lever une petite salope pour la baiser.
J’espérais qu’il franchisse le pas avec la blonde qui s’amblait s’intéresser à lui, mais il a trouvé le moyen de la fâcher et elle brille par son absence.
Moi à son âge, je sautais tout ce qui avait une jupe surtout dans notre métier, on le voit avec vous les occasions font légions et il semble ignorer les appels du pied de ces dames.
• Vous lui avez demandé s’il aimait plus les hommes que les femmes, jeune homme êtes-vous homosexuelle.
Avant qu’il réponde, son père me coupe sèchement.
• Chez nous les Italiens un fils pédé, on le castre.
À vous d’en faire un homme.
On va vous laisser, je veux qu’il se sente à l’aise pour sa première expérience.
Angélique, venez essayer la voiture que je vous ai amenée pour remplacer celle qui est morte, vous avez coulé une bielle, je vous fais une nouvelle remise de 3 000 € et on fera comme prévu avec votre amie qui vous signera le chèque de 8 000 € qui reste à payer, en dernier cadeau, je vous donne une assurance pièce et main-d’œuvre pour un an.
Et voilà mon compte sera vidée en deux jours, heureusement que chacun de mes enfants a un livret de caisse d’épargne rempli au maximum, elle l’ignore et ce sera toujours cela de sauver mais je suis contente qu’elle ait trouvé une voiture qui lui plaise et surtout qu’elle m’offre à ce beau jeune homme.
Je suis loin d’être dupe après la manière dont elle m’a sauvé dans la piscine, je suis certaine qu’elle connaissait déjà la voiture et qu’ils sont dans la salle derrière la baie et qu’il la baise en regardant son fils se faire dépuceler.
Je trouve le jeune homme mal à l’aise.
• Viens Lucas si tu reste debout ton père va croire que tu es pédé et tu as entendu ce qu’il t’a promis.
• Mais il a raison, je le suis.
Tout de suite je vois le massacre qu’il va y avoir si j’annonce au père que son fils est réellement homosexuel.
• Attends, agenouille-toi à la hauteur de ma chatte comme si tu me léchais.
Il s’exécute et comme il est de dos en rapport de la baie, ils ont l’illusion qu’il me broute.
• Excuse-moi d’avoir voulu faire un trait d’esprit sur ton homosexualité qui est réelle si je comprends bien.
Bouge ta tête comme si tu me léchais de haut en bas.
• J’ai déjà sucé une bite quand je suis allé chez le coiffeur à Champigny.
• Il est ton ami.
• Oui, il s’appelle Luidgi et je l’ai rencontré dans une fête de famille.
• Surtout bouges ta tête.
À partir de là je fais celle qui jouit sous la langue du garçon.
• Tu vois, tu fais semblant et moi aussi, ils vont croire que nous prenons du plaisir.
• Il m’avait dit que si je descendais me faire coiffer, il me montrerait qui je suis.
J’y suis allé et dans l’arrière-boutique alors qu’il avait fermé la porte sans que je proteste, il a sorti sa verge et je l’ai sucée.
• Tu as aimé.
• Lui faire une pipe, j’ai beaucoup aimé, j’étais dans mon élément, mais quand j’espérais qu’il me sodomise un client avec qui il avait rendez-vous ai frappé à la porte et je suis resté frustré.
• Viens, sort ton sexe et amène-le-moi jusqu’à ma bouche, si tu veux sucer ton Luidgi, il faut continuer de donner le change et je vais te sucer.
Ferme les yeux et penses à ton ami, tu croiras que c’est lui qui t’a mis dans sa bouche, ton père verra clairement que tu te fais sucer par une femme et il sera content que tu sois en pleine forme pour me satisfaire.
Il accepte et je prends ma part de plaisir, car mine de rien la belle queue que j’ai devant moi, j’aimerais qu’elle entre dans ma chatte entièrement offerte.
Pendant un temps il m’est impossible de lui parler.
Je veux faire croire au père qu’il a perdu son pucelage aussi, je le pompe, mais pas à fond et quand je le fais ressortir, je l’incite à se coucher sur moi…
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