COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Début de la saison IV (10/13)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Début de la saison IV (10/13) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Début de la saison IV (10/13)
Voici la dernière saison de cette série, en espérant que cela vous a plu !

Nous avons laissé Gladys et Clarisse avec Marie en proie à bien des doutes sur la vraie nature de cette jeune femme voulant se faire passer pour hétéro alors que dans sa nature profonde, ce sont les chattes qui la font vibrer.
Comme moi, cette jeune femme a été élevée dans le respect et la biséance d’une famille un peu coincée et a fini par en être frustrée.
C’est lorsqu’elle était scoute sous une tente qu’elle a connu ses premiers émois sexuels refoulés en elle avec une jeune femme qu’elle a dit s’appeler Christine.
On voit bien ce qui a dû se passer sous cette tente entre ces deux filles.
J’ai moi-même connu ce genre d’émoi avec Clarisse, il y a peu, à qui j’ai donné du plaisir avec ma langue dans la pinède de toutes les débauches.
Que se serait-il passé si j’avais connu les mêmes plaisirs sous la surveillance de mon père ayant certainement, comme Marie maudit que sa fille soit une gouine ?
En posant cette question dans ma tête, je connais la réponse, je lui aurais caché ces mœurs qu’il aurait trouvées déviantes et je me serais tu !
Marie a choisi la fuite en avant en épousant un homme alors que celui-ci était loin d’être sa tartine de pain à la confiture.
Ce qui m’étonne et qui doit étonné Clarisse, c’est quand elle l’interroge sur une hypothétique naissance et des analyses sur les possibilités de procréer de l’un ou de l’autre.

• Vous vous trompez, j’avais pris mon parti cacher mon amour des femmes au profit de mon couple et de mon mari, c’était ma propre décision.
Il refusait de consulter, car il bandait et il déchargeait.
Il pensait et il pense que ça suffisait.

C'est vrai, j’avais pu le constater en prenant plein la figure.

• J’ai pris un rendez-vous pour moi chez mon gynéco qui m’a fait une batterie de contrôle, j’étais une jeune femme entièrement apte à procréer !
Gilbert a refusé de son côté aussi, j’ai usé d’un subterfuge.
J’ai prétexté un problème strictement féminin et nous avons fait l’amour comme d’habitude sans aucune fioriture.
Je suis du genre passive, c’était le cas avec Christine, c’est elle qui menait nos jeux.
Ça a continué avec Gilbert et comme lui manquait d’initiative à la longue, j’ai fini par me lasser et de le repousser.
En prenant ce prétexte d’un petit souci féminin, je lui ai fait mettre une capote.
Il a failli tout mettre en l’air lorsque je l’ai vu la porter et se diriger vers les toilettes.
J’ai prétexté qu’il allait les boucher et qu’il la mette dans la poubelle de la salle de bains.
Il l’a fait et le lendemain lorsqu’il est parti à son travail, je l’ai récupéré et porté pour analyse.
• Et elles ont donné une entière négativité des spermatozoïdes de ton mari !
• Négativité non, mais avec 0,5 % d’avoir une chance qu’un de ces spermatozoïdes atteigne mon ovule.
J’étais coincée, entre ma propre vie sexuelle portée vers les femmes et donnée un fils à mon mari.
• Mais tes parents, je les connais, je les vois lorsque je viens en hiver vérifier les villas !
Où sont-ils en ce moment?
• Eux aussi veulent être grands-parents, cette année ils sont un mois au Portugal et ils nous laissent la villa.
• Et la PMA, Gilbert m’a dit que tu étais contre et que tu avais même défilé à Paris cet hiver.
• Il t’en a parlé Gladys, il a raison, je me vois mal dire à mes parents que leur petit-fils est né en passant par des éprouvettes, ça les ferait mourir !
• Et si je te disais que j’ai une idée, la suivrais-tu, sans rien me demander dans les détails ?
• Si c’est pour que tous soient satisfaits sans que je perde la face, je t’écoute.

Qu’a encore intenté Clarisse pour qu’elle devienne mère sans que son mari sache, qu’il est stérile et que malgré cela, ses parents pensent que c’est son mari qui l’a fécondé ?
J’attends la solution avec impatience en buvant une grande gorgée d’orangeade.

• Il te faut un homme, qui te fournisse du sperme.
Je dois encore t’avoué une chose, Gilbert a fait l’amour à Gladys dans la pinède non loin de nos villas.
Il voudrait bien que tu te lâches un peu plus sur le plan sexuel.
Demain soir, j’organise le barbecue annuel du 15 août, je vous invite, tu feras l’amour avec les hommes qui seront là dont celui de Gladys et le mien.
Attention, Gladys peut te le dire, à part avec nos moitiés, nous baisons toujours couvert.
Malgré ça tu as de fortes chances de porter un enfant grâce à un stratagème dont j’ai connaissance et que je te cacherai même à toi.
• En prime, Marie, je te promets de m’occuper de ta jolie chatte, bien qu’il serait nécessaire d’en débroussailler une grande partie.
Et si nous allions nous baigner, la glace a fondu pendant que nous papotions ensemble.

Je me dirige vers la piscine oubliant ma foulure.

• J’ai tout compris, c’était un coup monté, ta cheville, c’est du pipo pour venir me voir.
• Tu as raison, Marie, tu permets, moi aussi j’aime les femmes et si tu viens demain, comme Gladys, je serais à ta disposition comme je le suis pour toi dès maintenant.

Je saute dans l’eau au moment où je vois Clarisse envelopper de son bras la jolie Marie et de joindre ses lèvres aux siennes.
Je reste médusé de la manière dont elle a retourné la situation en notre avantage et celui de Gilbert.
C’est à ce moment que je vois le maillot une pièce glisser vers la margelle de la piscine.
J’ai embrassé la petite lesbienne, mais Clarisse semble la vider de l’intérieur tellement leur baiser se prolonge et est fougueux.
Je pense que c’est gagné lorsque la petite laisse descendre sa main entre elles et qu’elle entre ses doigts dans la coquine sachant si bien y faire pour nous amener là où elle veut nous conduire.
Toutes deux enlacées, elles me rejoignent et c’est trois naïades qui jouent dans l’eau, caresses, baisers étant la plus grande partie du temps passant.
À un moment, je coince Marie sur les marches de la piscine.
C’est ma bouche qui vient dans sa forêt, je lèche avec envie, les sécrétions sortant du corps de celle qui rapidement se tord de plaisir.
Clarisse nous rejoint.

• Dès son retour avant de lui dire que, demain, tu as accepté une invitation avec des échangistes, veux-tu lui faire voir que tu t’es émancipée ?
• Comment, je veux bien suivre un de tes conseils Clarisse !
• Gilbert se rase-t-il avec un rasoir électrique ?
• Non, ce que l’on appelle un coupe-choux et du savon à barbe !
• Encore mieux qu’un rasoir à main, lorsque j’étais jeune, je travaillais dans un salon de soins esthétiques, je faisais des dizaines de tabliers chaque semaine.
Il est dans la salle de bains, reste là je vais le chercher.

J’ai déjà dit qu’elle était féline.

• La salle de bains est à droite en entrant !

Elle doit chercher, car quelques minutes se passent, mais elle revient.
Pendant ces quelques minutes, je reste active, Marie comme elle nous l’a dit est passive, mais fait ce que l’on désire.
Quand ma bouche retrouve la sienne, elle m’embrasse, mais ses bras sont ballants reposant sur les marches.
Je lui prends une main et je la porte sur mon sein qui malgré la fraîcheur de l’eau se tétanise.
Je l’avance vers la bouche de Marie qui se met à me téter.

• Me voilà, je cherchais une bassine !

Elle saute dans l’eau, remplit sa bassine, il y a ce qu’il faut autour de nous.
C’est une vraie experte, mousse à raser en tube et coupe-choux et en quelques minutes, Marie se retrouve avec un joli triangle brun, pas plus grand qu’un timbre-poste.
La bassine est pleine de ces poils, si on les récupérait, on pourrait en faire une petite perruque.
C’est moi qui profite de la chatte bien taillée de Marie, j’avance ma bouche et je lui titille le clito.
Elle écarte ses grandes lèvres enfin libérées de cette masse qui les encombraient.
Ses cris de plaisir s’estompent, un regard vers le haut en sortant ma langue que je plonge dans sa chatte béante, Clarisse l’embrasse, ses cris étant filtrés comme l’eau de la piscine.
Nous la lâchons quand elle a un orgasme.
Je suis frustrée, car moi aussi j’aurais bien voulu profiter d’une des deux langues faisant couler ma cyprine.

• Gladys, il faut y aller, nos familles nous attendent !
Marie, les dés sont dans tes mains, tes parents ont entouré leur maison de haut mur, pour s’isoler du quartier, lorsqu’il est devenu naturiste et libertin pour certains.
À toi de les abattre et en même temps abattre la tutelle que ton éducation, mais surtout ton père fait peser sur toi.
• Clarisse à raison, Marie, assume-toi comme je viens de le faire au début de ces vacances.
J’étais rempli de préjugés et j’étais en train de perdre mon couple.
Depuis que j’ai brisé mes chaînes moi aussi issu de ma jeunesse, je me sens moi-même et je me sens libre.
Comme Clarisse te l'a dit, si nous sommes là c’est que j’ai rencontré Gilbert en faisant mon jogging.
Nous avons été dans la pinède passer un moment très intime, nous étions assis pour récupérer quand il m’a dit l’amour qu’il avait pour toi.
Ton mari t’aime et je lui ai promis de tout faire pour te faire changer d’avis, en tout bien tout honneur.
Assume ton homosexualité comme moi, grâce à Clarisse et ses amis, j’assume ma bisexualité.
J’ai découvert aimer faire l’amour avec des hommes et des femmes dans le respect de chacun.
Demain, je compte sur toi et Gilbert bien sûr, nous fêterons ton anniversaire
Ce qui est sûr, c’est que je suis impatiente de voir comment Clarisse va s'y prendre pour que nos amis aient un enfant.
Je serai très attentive...

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Histoire sexe : Une rose rouge
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