COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Fin de la saison I (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Fin de la saison I (3/3)
Je m’appelle Gaétan, comme je l’ai dit au début de notre récit, j’ai émis des doutes sur mon couple, certainement en partie de ma faute dès nos premières années de mariage.
J’ai connu Gladys j’étais un peu plus vieux qu’elle.
Elle sait tout de ma vie d’avant comme je sais qu’elle était vierge le jour de notre mariage.
J’en ai eu la preuve lors de notre nuit de noces !
Outre son cri lorsque je l’ai pénétré pourtant avec toute la patience que j’ai pu et lorsque je suis allée dans la salle de bains, j’ai bien vu ma queue maculée de sang.
J’ai mis trois jours à pouvoir recommencer à lui faire l’amour, attendant que la douleur disparaisse.
Dans notre couple, l’amour à la missionnaire depuis ce jour me court sur le haricot, alors après une grande engueulade avant notre départ, j’ai pris mon parti et j’ai évoqué notre rupture.
Depuis ce moment, les choses se sont accélérées, Clarisse, notre voisine propriétaire de la villa que j’ai loué semble bien nous aider sans s’en rendre compte.
Certes, Gladys respecte ce qu’elle m’a promis après notre dispute en acceptant que je la baise en levrette sur le lit dans la chambre que ma fille doit occuper pendant tout ce mois.
Mais hier au soir, quand je lui ai brouté la zézette comme dirait Gwendolyne du haut de ses 6 ans, nous avons fait évoluer nos rapports de mille lieux.
Et que dire lorsqu’elle a avalé mon sperme, même si je pense qu’elle a encore du chemin à faire.
J’en ai trop dit, un jour je suis allé à Champigny-sur-Marne pour dépanner une société.
Près du champ de courses de Vincennes, j’ai vu une pute, elle avait des seins comme des obus et je me suis mis à bander.
50 € et dans une allée sombre, elle m’a sucé.
Là j’avais une pro, une main me branlant, l’autre me tâtant les couilles et que dire de sa langue sur le bout de ma verge.
Là où Gladys a été à la hauteur, c’est quand lui prenant les oreilles, je suis allée au fond de sa gorge et que j’ai déchargé sans qu’elle recrache.
C’est ce qu’avait fait la pute se servant d’un mouchoir en papier.
Quand j’arrive dans la cuisine, les enfants dorment encore, est-ce l’air de la mer et les bains pris avec Abby la baby-sitter.
Cette baby-sitter, qui hier soir semble être la maîtresse de notre propriétaire en l’absence d’Alain, le mari.
Ouais ! ma femme fait la vaisselle en tenue d’Ève, elle a suivi le conseil de Clarisse.
Je m’approche et je me colle à elle.
• Chérie, je suis habillé, car je descends en ville, je vais voir les côtes au PMU.
Je me sens en veine, hier tu as été parfaite, tu es juste la femme dont je révais.
C’est con, je pense que les enfants vont se lever et je veux éviter qu’ils puissent penser que leur maman est une salope.
Alors à plus.
Magali avait raison, les hommes ont les tiens par la queue, même si présentement celle de Gaétan est rentrée dans son pantalon.
Après la soirée d’hier, je suis fière qu’en une soirée j’aie réussi à renverser la situation.
La main qu’il pose sur ma chatte alors que l’autre est sur mes seins, m’électrice, je suis mouillée, je dégouline, pourtant ça été simple de le satisfaire.
Que dire sur ses lèvres sur mon coup, dans un baiser me laissant pantoise ?
Je suis à deux doigts de l’entraîner dans notre chambre, mais j’entends que ça bouge dans la chambre de Gabriel.
À 8 ans, j’ai appris qu’il bande déjà, inutile qu’il se pose des questions.
C’est guilleret que je le vois sortir et deux minutes après j’entends notre voiture démarrer.
• Maman, on va à la plage !
• Oui, maman, je bois un chocolat et on va se baigner.
• C’est très bien les enfants, vous avez bien dormi et longtemps pourquoi à Paris vous vous levez à 7 heures, regardez, il est 9 heures.
Pour la plage, ce sera possible cet après-midi, je dois faire les lits et préparer le repas, si vous êtes sage, ce soir avec papa on ira au restaurant.
• Au McDo, maman ?
• Les McDo, ici, ça m'étonnerait, mais si vous voulez des Burgers, on en trouve partout, Gwendolyne, bois ton chocolat.
• Maman, moi ce que je veux ce sont des frites.
On m’interpelle, je sursaute.
• Gladys, dès que tes enfants auront déjeuner, ils vont pouvoir aller à la plage, Abby emmène les miens et je venais te demander si tu voulais qu’elle emmène les tiens.
• Je vais t’aider à faire tes lits.
Aussitôt dit aussitôt fait, en une demi-heure on a fini, même les légumes sont prèts sur un plat.
• Voilà, nous avons deux heures à nous, les enfants vont être de retour pour 11 heures 30.
Allons dans tes relaxes nous faire bronzer ou dans les miens, c’est comme ça que je conçois les vacances qui pour moi durent trois mois.
Je suis ici depuis le début juin, mes filles restent avec Abby qui est arrivée au début de ce mois et jusqu’à la fin de celui-ci.
• Tu laisses ta baby-sitter seule avec ton mari, elle est belle !
• Elle est sa maîtresse comme je suis la sienne, hier, nous nous sommes donné du plaisir dans la chambre se trouvant derrière ce mur !
• Je vais peut-être te choquer, mais nous étions dans ces relaxes.
Gaétan lisait et moi je somnolais, on vous a entendu vous donner du plaisir, mais je te rassure, c’était très diffus, c’est l’accent d’Abby que nous reconnaissions.
Es-tu lesbienne ?
Pendant que je lui dis ça, Clarisse prend la bouteille de produit solaire et s’en met dans sa main.
Je suis couchée sur le dos et elle commence à m’en mettre sur le ventre, remontant sur mes seins.
• Lesbienne, non, bisexuelle, j’aime autant les hommes que les femmes, avec Alain, depuis les premiers jours de notre mariage, nous sommes échangistes.
Sa main caresse mon sein.
• Tu couches avec d’autres hommes, ce serait impossible pour moi, mon éducation me l’interdit.
• Tu penses cela, car dans ta prime jeunesse, on t’a orienté vers la vertu.
Tu devais faire tous bien, jusqu’à ton mariage ou là encore, tu devais être fidèle à celui qui t’avait choisi.
Comment disent-ils ceux qui préconisent la fidélité ?
A oui « jusqu’à ce que la mort nous sépare. »C’est ce que tu as dit au curé le jour de ton mariage et je parie que Gaétan a eu ton hymen le soir de tes noces.
Je me trompe ma belle Gladys.
Je dois reconnaître que ses doigts passant de l’ambre solaire sur ma poitrine altèrent mon jugement.
Papa me dirait, arrête sinon, je te fesse et la femme que j’aspire à devenir pour retrouver l’envie de mon mari, lui dirait tu peux continuer.
• Continue, tes doigts sont si doux, donne-moi tes lèvres comme tu devais les donner à Abby hier au soir derrière ce mur.
• Mais tu sais que tu vas aller mourir dans les flammes de l’enfer.
• C’est là que...
La bouche de Clarisse vient rejoindre ma bouche, sa langue prend littéralement ma langue.
Clarisse s’est agenouillée pour me passer l’huile sur mon corps, sans vraiment m’en rendre compte, ma main vient empommer son sein.
Notre baiser est si intense qu’il nous faut reprendre notre souffle.
• On est folle, si Gaétan revient !
• On entendrait votre voiture et je sauterais sur le transat voisin et lorsqu’il passerait le coin, il trouverait deux amies en train de papoter.
Veux-tu que je te fasse voir ce que je faisais à Abby lorsqu’elle m’a rejoint les filles couchées et que tu l’as entendu prendre son plaisir ?
Pas le temps de répondre, sa main vient s’incérer dans la fourche de mes jambes.
Un, puis carrément trois doigts bien huilés entrent dans ma chatte.
Doigts huilés et vagin coulant d’envie, ils me pénètrent.
Son pouce resté à l’extérieur vient se poser sur mon clito.
Au moment du contact je me cabre sous la décharge qui me traverse.
Je savais mon clitoris sensible, quand je dois l’avouer, malgré la colère encourue par papa s’il avait su que je me caressais.
C’est dans mon bain que je le faisais, me faisant tout de même enguirlander, car j’étais trop longue.
Lorsque je parle de papa et de ses colères, il m’a toujours respectée comme le fait Gaétan avec sa fille.
Mais j’avais tendance dans un premier temps à parler à maman du ressenti de mon corps et rapidement je me suis aperçu que c’était une vraie pipelette.
Ça m’a aidé à me refermer sur moi-même et quand j’ai rencontré celui qui devait devenir mon mari, je suis resté dans le même schéma comme bon nombre de jeunes filles dites pures.
• Mon dieu, que c’est bon, Clarisse, je, je, je...
• Je, je, jouis.
En prononçant ces mots, ma maîtresse.
Car je considère que c’est ma maîtresse, approche sa bouche de ma chatte ruisselante et c’est moi qui ouvre mes cuisses de manière si obscène que je me fais presque honte.
• Ah ! ah ! ah !
Clarisse relève sa tête et avec son joli regard bleu, manque de me faire éclater de rire.
• Gladys, tu jouis plus fort qu’Abby.
J’ai du mal à reprendre pied, mais une fraction de seconde, je prends conscience que moi aussi je suis bisexuelle...
Voilà, Gladys, vient de s’apercevoir que la sexualité est multiple et qu’une femme peut la faire jouir autant que son mari.
Jusqu’à ou va-t-elle s’enfoncer dans la débauche ?
J’en ai une vague idée, mais cette femme est tellement surprenante, que j’ignore les chemins qu’elle prendra.
J’ai connu Gladys j’étais un peu plus vieux qu’elle.
Elle sait tout de ma vie d’avant comme je sais qu’elle était vierge le jour de notre mariage.
J’en ai eu la preuve lors de notre nuit de noces !
Outre son cri lorsque je l’ai pénétré pourtant avec toute la patience que j’ai pu et lorsque je suis allée dans la salle de bains, j’ai bien vu ma queue maculée de sang.
J’ai mis trois jours à pouvoir recommencer à lui faire l’amour, attendant que la douleur disparaisse.
Dans notre couple, l’amour à la missionnaire depuis ce jour me court sur le haricot, alors après une grande engueulade avant notre départ, j’ai pris mon parti et j’ai évoqué notre rupture.
Depuis ce moment, les choses se sont accélérées, Clarisse, notre voisine propriétaire de la villa que j’ai loué semble bien nous aider sans s’en rendre compte.
Certes, Gladys respecte ce qu’elle m’a promis après notre dispute en acceptant que je la baise en levrette sur le lit dans la chambre que ma fille doit occuper pendant tout ce mois.
Mais hier au soir, quand je lui ai brouté la zézette comme dirait Gwendolyne du haut de ses 6 ans, nous avons fait évoluer nos rapports de mille lieux.
Et que dire lorsqu’elle a avalé mon sperme, même si je pense qu’elle a encore du chemin à faire.
J’en ai trop dit, un jour je suis allé à Champigny-sur-Marne pour dépanner une société.
Près du champ de courses de Vincennes, j’ai vu une pute, elle avait des seins comme des obus et je me suis mis à bander.
50 € et dans une allée sombre, elle m’a sucé.
Là j’avais une pro, une main me branlant, l’autre me tâtant les couilles et que dire de sa langue sur le bout de ma verge.
Là où Gladys a été à la hauteur, c’est quand lui prenant les oreilles, je suis allée au fond de sa gorge et que j’ai déchargé sans qu’elle recrache.
C’est ce qu’avait fait la pute se servant d’un mouchoir en papier.
Quand j’arrive dans la cuisine, les enfants dorment encore, est-ce l’air de la mer et les bains pris avec Abby la baby-sitter.
Cette baby-sitter, qui hier soir semble être la maîtresse de notre propriétaire en l’absence d’Alain, le mari.
Ouais ! ma femme fait la vaisselle en tenue d’Ève, elle a suivi le conseil de Clarisse.
Je m’approche et je me colle à elle.
• Chérie, je suis habillé, car je descends en ville, je vais voir les côtes au PMU.
Je me sens en veine, hier tu as été parfaite, tu es juste la femme dont je révais.
C’est con, je pense que les enfants vont se lever et je veux éviter qu’ils puissent penser que leur maman est une salope.
Alors à plus.
Magali avait raison, les hommes ont les tiens par la queue, même si présentement celle de Gaétan est rentrée dans son pantalon.
Après la soirée d’hier, je suis fière qu’en une soirée j’aie réussi à renverser la situation.
La main qu’il pose sur ma chatte alors que l’autre est sur mes seins, m’électrice, je suis mouillée, je dégouline, pourtant ça été simple de le satisfaire.
Que dire sur ses lèvres sur mon coup, dans un baiser me laissant pantoise ?
Je suis à deux doigts de l’entraîner dans notre chambre, mais j’entends que ça bouge dans la chambre de Gabriel.
À 8 ans, j’ai appris qu’il bande déjà, inutile qu’il se pose des questions.
C’est guilleret que je le vois sortir et deux minutes après j’entends notre voiture démarrer.
• Maman, on va à la plage !
• Oui, maman, je bois un chocolat et on va se baigner.
• C’est très bien les enfants, vous avez bien dormi et longtemps pourquoi à Paris vous vous levez à 7 heures, regardez, il est 9 heures.
Pour la plage, ce sera possible cet après-midi, je dois faire les lits et préparer le repas, si vous êtes sage, ce soir avec papa on ira au restaurant.
• Au McDo, maman ?
• Les McDo, ici, ça m'étonnerait, mais si vous voulez des Burgers, on en trouve partout, Gwendolyne, bois ton chocolat.
• Maman, moi ce que je veux ce sont des frites.
On m’interpelle, je sursaute.
• Gladys, dès que tes enfants auront déjeuner, ils vont pouvoir aller à la plage, Abby emmène les miens et je venais te demander si tu voulais qu’elle emmène les tiens.
• Je vais t’aider à faire tes lits.
Aussitôt dit aussitôt fait, en une demi-heure on a fini, même les légumes sont prèts sur un plat.
• Voilà, nous avons deux heures à nous, les enfants vont être de retour pour 11 heures 30.
Allons dans tes relaxes nous faire bronzer ou dans les miens, c’est comme ça que je conçois les vacances qui pour moi durent trois mois.
Je suis ici depuis le début juin, mes filles restent avec Abby qui est arrivée au début de ce mois et jusqu’à la fin de celui-ci.
• Tu laisses ta baby-sitter seule avec ton mari, elle est belle !
• Elle est sa maîtresse comme je suis la sienne, hier, nous nous sommes donné du plaisir dans la chambre se trouvant derrière ce mur !
• Je vais peut-être te choquer, mais nous étions dans ces relaxes.
Gaétan lisait et moi je somnolais, on vous a entendu vous donner du plaisir, mais je te rassure, c’était très diffus, c’est l’accent d’Abby que nous reconnaissions.
Es-tu lesbienne ?
Pendant que je lui dis ça, Clarisse prend la bouteille de produit solaire et s’en met dans sa main.
Je suis couchée sur le dos et elle commence à m’en mettre sur le ventre, remontant sur mes seins.
• Lesbienne, non, bisexuelle, j’aime autant les hommes que les femmes, avec Alain, depuis les premiers jours de notre mariage, nous sommes échangistes.
Sa main caresse mon sein.
• Tu couches avec d’autres hommes, ce serait impossible pour moi, mon éducation me l’interdit.
• Tu penses cela, car dans ta prime jeunesse, on t’a orienté vers la vertu.
Tu devais faire tous bien, jusqu’à ton mariage ou là encore, tu devais être fidèle à celui qui t’avait choisi.
Comment disent-ils ceux qui préconisent la fidélité ?
A oui « jusqu’à ce que la mort nous sépare. »C’est ce que tu as dit au curé le jour de ton mariage et je parie que Gaétan a eu ton hymen le soir de tes noces.
Je me trompe ma belle Gladys.
Je dois reconnaître que ses doigts passant de l’ambre solaire sur ma poitrine altèrent mon jugement.
Papa me dirait, arrête sinon, je te fesse et la femme que j’aspire à devenir pour retrouver l’envie de mon mari, lui dirait tu peux continuer.
• Continue, tes doigts sont si doux, donne-moi tes lèvres comme tu devais les donner à Abby hier au soir derrière ce mur.
• Mais tu sais que tu vas aller mourir dans les flammes de l’enfer.
• C’est là que...
La bouche de Clarisse vient rejoindre ma bouche, sa langue prend littéralement ma langue.
Clarisse s’est agenouillée pour me passer l’huile sur mon corps, sans vraiment m’en rendre compte, ma main vient empommer son sein.
Notre baiser est si intense qu’il nous faut reprendre notre souffle.
• On est folle, si Gaétan revient !
• On entendrait votre voiture et je sauterais sur le transat voisin et lorsqu’il passerait le coin, il trouverait deux amies en train de papoter.
Veux-tu que je te fasse voir ce que je faisais à Abby lorsqu’elle m’a rejoint les filles couchées et que tu l’as entendu prendre son plaisir ?
Pas le temps de répondre, sa main vient s’incérer dans la fourche de mes jambes.
Un, puis carrément trois doigts bien huilés entrent dans ma chatte.
Doigts huilés et vagin coulant d’envie, ils me pénètrent.
Son pouce resté à l’extérieur vient se poser sur mon clito.
Au moment du contact je me cabre sous la décharge qui me traverse.
Je savais mon clitoris sensible, quand je dois l’avouer, malgré la colère encourue par papa s’il avait su que je me caressais.
C’est dans mon bain que je le faisais, me faisant tout de même enguirlander, car j’étais trop longue.
Lorsque je parle de papa et de ses colères, il m’a toujours respectée comme le fait Gaétan avec sa fille.
Mais j’avais tendance dans un premier temps à parler à maman du ressenti de mon corps et rapidement je me suis aperçu que c’était une vraie pipelette.
Ça m’a aidé à me refermer sur moi-même et quand j’ai rencontré celui qui devait devenir mon mari, je suis resté dans le même schéma comme bon nombre de jeunes filles dites pures.
• Mon dieu, que c’est bon, Clarisse, je, je, je...
• Je, je, jouis.
En prononçant ces mots, ma maîtresse.
Car je considère que c’est ma maîtresse, approche sa bouche de ma chatte ruisselante et c’est moi qui ouvre mes cuisses de manière si obscène que je me fais presque honte.
• Ah ! ah ! ah !
Clarisse relève sa tête et avec son joli regard bleu, manque de me faire éclater de rire.
• Gladys, tu jouis plus fort qu’Abby.
J’ai du mal à reprendre pied, mais une fraction de seconde, je prends conscience que moi aussi je suis bisexuelle...
Voilà, Gladys, vient de s’apercevoir que la sexualité est multiple et qu’une femme peut la faire jouir autant que son mari.
Jusqu’à ou va-t-elle s’enfoncer dans la débauche ?
J’en ai une vague idée, mais cette femme est tellement surprenante, que j’ignore les chemins qu’elle prendra.
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