COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Fin de la saison II (6/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Fin de la saison II (6/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Fin de la saison II (6/6)
Lorsque je suis arrivée en vacances dans les Landes avec mes deux enfants Gwendoline et Gabriel son ainé, j’étais une jeune femme, plein de complexe.
À la veille de notre départ pour les Landes, une violente altercation avec Gaétan, mon mari, m'a fait prendre conscience que les quatre G étaient en danger.
Quatre G parce que je m’appelle Gladys.
Deux facteurs à cet état de fait, mon éducation familiale dirigée par un père tyrannique que j’ai fui dès que Gaétan a demandé ma main.
Par malchance, le deuxième facteur, c'est d’avoir rencontré ce garçon un peu plus vieux que moi, mais aussi inexpérimenté.
Dès la première fois qui fut mon dépucelage, jusqu’à notre arrivée dans cette villa possédant une jumelle, nous faisions l’amour comme la bienséance l’exigeait.
J’écartais mes cuisses, je le masturbais assez pour qu’il bande et il me pénétrait.
Je me satisfaisais de ça, car il me faisait jouir régulièrement, mais certainement pas suffisamment pour lui.
Il est vrai que lorsque nous défaisions nos bagages, lorsqu’il m’a prise dans ce qu’il a appelé une levrette sur le lit de ma fille, les sensations ressenties étaient toutes bien supérieures.
Pour moi et certainement pour lui.
Magali m’avait bien dit, que le sexe bien fait pour un couple, était un gage de longévité.
Je crois avoir bien retenu la leçon dans la pinède en lui offrant Clarisse, la propriétaire de cette villa mitoyenne et en finissant par me faire sodomiser.
J’aurais dû me méfier, les choses s’emboitaient trop bien, si l’on peut dire, jusqu’à l’arrivée d’Alain, le mari de cette entremetteuse de Clarisse.
Apprendre que notre séjour dans ces maisons de luxure surtout avec nos enfants, sur le moment il m’a été impossible de l’admettre et de le supporter.
Heureusement, Abby la jeune baby-sitter anglaise était là, car sa candeur à vouloir me faire croire qu’elle était responsable et que je la fesse comme son éducation dans son collège la préparait était touchante.
Clarisse puis cette jolie rousse, je viens rapidement de passer du statut de femme digne et mère de famille à salope dans la chambre de Gwendoline et à bisexuelle en me gouinant avec Clarisse et Abby !
La jolie rousse nous fait rejoindre le reste de la troupe se trouvant sur l’autre terrasse.
Me souvenant qu’Abby voulait que je la fesse, voyant Clarisse assise sur une chaise, je pense que si l’une d’entre nous doit être fessée, c’est elle.
La prenant sur mes genoux le cul en l’air, je m’applique à lui caresser les fesses en aller et retour sur son joli cul rebondi.
Mince, je sens que ça la fait jouir malgré son cul rubicond.

• Bravo, Gladys, Clarisse méritait depuis longtemps la fessée que tu viens de lui administrer, j’ai si souvent voulu le faire.
D’ailleurs, si Gaétan s’est retrouvé dans la situation d’avoir envie, que tu acceptes de devenir une libertine, c’est entièrement de sa faute.
• Alain, les enfants , ils pourraient venir.
• Je vais aller les rejoindre, Clarisse.
• Inutile Abby, regardez, dans la chambre j’ai branché le « babyphone » et je mets le récepteur sur la table, comme nous le faisons chaque fois que nous recevons des amis.

Ingénieux, j’en ai deux à Paris, devenu inutile les enfants ayant grandi.
Je vais me souvenir au retour de les récupérer ainsi nous pourrons baiser sans la moindre retenue en ayant les jetons dont l’un ou l’autre de nos enfants se réveille.

• Gladys lorsque Gaétan est venu pour me dépanner, comme le prévoyait le contrat que j’ai passé avec une filiale de la boîte informatique.
Celui qui avait fait l’installation était malade et après en congé.
La maison mère nous a envoyé leur meilleur spécialiste, ce qui a été le cas, je dois le reconnaitre.
Clarisse a trouvé le moyen de nous emmener le soir dans notre restaurant échangiste habituel, persuadé de lui être agréable.
Rassure-toi, il est resté à regarder, mais nous a expliqué qu’il aimerait avoir une femme aussi libre que la mienne.
• Pourtant, j’ai tout fait pour qu’il participe, il voulait que ça change dans son couple, alors que tu étais partie prenante.
• Clarisse, pour une fois, c’est moi qui raconte.
Nous possédons cette villa mixte et c’est encore elle qui s’est fait fort de te mener sur le chemin de l’échangisme.
Le simple risque, c’était que tu veuilles repartir avec les enfants.
Gaétan et elle viennent de m’expliquer ce qui s’était passé, sans que tu saches le départ de notre aventure.
• Je m’excuse Gladys, je devais tout te dire, mais j’avais peur que tu te défiles, alors que dès que je t’ai vu, j’ai espéré une aventure avec toi.
J’aime, mieux j’adore Alain, mais j’ai craqué sur toi comme je l’ai fait avec ma petite Abby.
J’ai mal aux fesses, mais ta fessée a été exemplaire, je l’avais bien méritée.
• Oui, Clarisse, au collège je faisais tout pour me faire punir, car ces badines me déchirant les fesses étaient source d’immense jouissance sans que celle qui nous l’administrait le sacha !
• Le « sache » ma chérie et non « sacha », tu sais que tu es ici pour améliorer ta diction en Français !

Je prends Abby dans mes bras rejoints par Gaétan, que j’ai offert à Clarisse dans la pinède.
Je pense qu’avant la fin de la nuit, c’est avec Abby, que je souhaite le voir baiser, ma petite maîtresse m’a donné tant de plaisir.
Je dois reconnaître comme je l’ai dit, je veux profondément changer pour garder mon homme, même s’il m’a caché son envie de libertinage allant jusqu’à l’échangisme.
De mon côté, Alain et Clarisse m'entourent et je sens deux bouches et quatre mains qui s’emparent de mon corps.

Alain se couche sur la pelouse et je m’empale.
Comme je l’ai fait pour Gaétan dans la pinède, c’est Clarisse qui guide son homme en moi.
Je rythme notre coït pour profiter du moment le plus longtemps possible.
Surtout que je vois Abby, s’empaler, elle aussi sur la bite de mon homme qui a pris ma place sur la chaise où j’ai fessé la petite garce qui nous reçoit.

• Je me doutais bien que l’on s’amusait dans cette maison.

Au fond de la terrasse, il y a une porte, plutôt un portillon avec la villa voisine.
J’entends parler dans la nuit tombante, un couple que nous avons déjà vu cet après-midi vient d’arriver.
René et Alice, le couple plus âgé revenant de la plage à cause de la chaleur sont là.
Tout en continuant à me pénétrer de la verge d’Alain et de la langue de Clarisse, venue entre les jambes de son mari, je peux mieux voir, ceux croiser quelques secondes sur ce chemin de sable.

Clarisse nous quitte et viens prendre Alice dans ses bras, ses seins et son ventre sont un peu ridés, mais elle a dû être une femme magnifique surtout avec son bronzage parfait.
René me regarde et vient vers moi, sa bite en main.
Elle est flasque, mais me la présentant à ma bouche, je la prends en main et je commence à en sucer le gland.
Peut-on avoir un truc plus gros que celui qui a du mal à entrer dans ma bouche ?
À l’école où j’enseigne, rare sont les hommes qui se présentent la bite à la main et j’ai peu de moyens de comparaison.
Gaétan et Alain et c’est tout.
Pardon, j’oubliais les cinq voyeurs qui se masturbaient en nous voyant dans la pinède.
Il est vrai que l’un d’eux avait un magnifique organe, mais Gaétan venait d’arriver et à partir de ce moment je regardais seulement sa verge.

• Ta bouche est divine Gladys, nous connaissons ton nom, Clarisse est venue nous voir et nous a dit que Gaétan et toi alliez venir.
• Vous a-t-elle dit, que mon mari voulait faire de moi une salope ?
Vous voyez c’est fait, mais bon sang, que vous êtes gros !
• Gladys, je te comprends, il y a plus de quarante ans, j’ai rencontré un garçon dont je suis tombé follement amoureuse, il m’a demandé ma main et très fleur bleue, je l’ai accepté.
J’avais 20 ans et j’étais pucelle.
Ce garçon avait une grande expérience des femmes et même quelquefois de garçon, simplement des fellations pour lui, mais là je déborde.
Ce garçon m’a dépucelée un soir sur une plage près d’ici, nous sommes parisiens, mais c’était pendant les vacances.
Ça fait quarante ans cette année que nous sommes mariées et que je l’aime plus que tout au monde, comme j’ai l’habitude de le dire, c’est mon homme.
Après notre mariage, René, c’est de lui que je parle, mais tu avais dû le comprendre, m’as annoncé qu’il avait invité une amie de longue date.
C’est sans le moindre soupçon que nous l’avons reçu.
C’était dans notre appartement à Paris que ça s’est passée, cette grande rousse, un peu le genre d’Abby, mais avec son accent en moins.
Élyse a voulu que l’on danse, dans nos cadeaux de mariage, il y avait une chaîne moderne dans ces années-là !
René était resté à table, à nous regarder, Clarisse nous a expliqué qu’avec ton mari, il t’avait monté un coup, comme Élyse et René l’on fait pour moi.
Élyse était très caressante et je suis tombée dans le piège, après bien du recul.
Ce soir, quand je te vois la bite d’Alain en toi, c’est un peu moi qui le chevauche comme j’ai chevauché Élyse.
• Chevauché, tu avais posé ta chatte sur la bouche d’Élyse et elle te broutait !
• J’ai employé le bon mot, chevauché, car Élyse était un transsexuel, femme jusqu’au bout de ses ongles de vraies serres.
Je dois reconnaître que j’ai failli la foutre dehors, mais quand René s’est levé pour m’embrasser, il était tellement enfoncé en moi qu’il m’a été impossible de me retirer.

De mon côté, les choses avances, la verge de René lentement avance, il bande suffisamment.
C’est assez drôle de tenir la bavette avec Alice, un sexe au fond de moi et en masturbant un autre.

• Donc, si je résume, ton mari t’a piégé et comme tu as apprécié d’être baisée devant lui, vous avez continué.
• Oui, avec de la difficulté au début, les clubs échangistes en étaient à leur balbutiement, sans compter les applis de rencontre devant être inventée.
• Revois-tu toujours Élyse ?
• Oui bien sûrs, mais il m’est impossible de m’empaler, nous l’avons aidé à se faire opérer.
Maintenant, elle tient un club échangiste dans la vallée de Chevreuse, dans une ancienne maison de tolérance clandestine où les hommes ayant les moyens se sautaient des putes de luxe.
Nous t’y emmènerons avec Gaétan après notre retour à Paris fin septembre.

C’est au moment où René allait m’arroser la glotte et que j’allais jouir grâce à la bite d’Alain que le « babyphone » se déclenche.
Je reconnais la voix de Gwendoline pleurant...


Voilà, là encore nous arrivons à la fin d’une saison, Gladys, même si Gaétan l’a conduite vers la luxure et le libertinage reste mère, elle a filé vers la chambre des enfants.
Il m’est impossible de raconter son histoire sans sa présence.
Attendons son retour dans la saison III de notre série.

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