COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Saison IV (12/13)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Saison IV (12/13)
C’est fait, Clarisse et moi nous avons assumé notre volonté d’aider Marie, la femme de Gilbert avec qui j’ai baisé dans la pinède.
La soirée bat son plein, Marie a accepté les faveurs de Claude qui se trouvait sans sa femme.
Rapidement il l’a entreprise et Clarisse l’a aidée à accepter ses faveurs.
• Tu y vas ou bien c’est moi qui y vais, regarde le bel homme que c’est, je t’ai promis d’être là, alors fonce.
Lui aussi semble avoir des vues sur notre nouvelle amie et quand elle se fond dans ses bras, je me rapproche de Gilbert et je lui caresse la queue.
• Alors, tu es satisfait, je t’avais promis de t’aider, j’ai tenu parole.
• Regarde, si un jour on m’avait dit que Marie se laisserait embrasser par deux hommes.
Pinces-moi Gladys, voire le pire ennemi de mes beaux-parents se joindre à eux.
Je vois bien, c’est Félix, qu’elle suce passant de Claude à lui et le faisant entrer le plus loin qu’elle le peut dans sa bouche.
• Non, c’est bien elle, elle aussi était frustrée suite à l’éducation qu’elle a reçue de son père semblant un homme tyrannique.
• Si je te disais ce que je sais, tu verrais le fumier qu’il est.
• Tu en as trop dit, Gilbert, faut-il que je te pince les couilles pour que tu me dises ce que tu sais du père de ta femme.
• Tu me fais mal, mais tu peux continuer, tu me fais bander.
• Vicieux, alors, parle.
• Un jour où je me promenais dans les dunes, j’ai entendu du bruit, tu sais que j’aime matter, tu en as fait l’expérience, il était là, mais la personne qui était avec lui était un jeune éphèbe.
• Tu veux me dire, que ton beau-père est homosexuel et qu’il se faisait sucer par un jeune homme !
• Sucé et enculé, il s’est mis à quatre pattes, le jeune homme est venu derrière lui, s’est légèrement baisser et a poussé un grand coup.
Vous, les femmes, dans cette position, nous avons deux chemin possible.
Albert, il s’appelle Albert, la seule voix à emprunter en a fait un sodomite.
Je vois bien le spectacle, surtout du côté de Marie, qui a entrainé ou s’est fait entrainer par les deux hommes sur un matelas.
Comme elle lui avait dit, Clarisse voyant que notre amie était prête à se faire mettre lui passe une capote après avoir déchiré l’étui avec sa bouche.
Elle dépose l’étui sur la table et avec sa bouche, en grande experte déroule la capote sur la verge de Félix.
Il la prend en levrette, Claude changeant de partenaire commence à sucer Clarisse qui en vraie salope se laisse faire.
Gaétan sans client, pour les grillades, étant à un mètre des baiseurs soulève son tablier, il bande.
Marie le reçoit dans sa bouche pendant que Félix enterre définitivement la hache de guerre entre voisins.
Les Indiens fumaient le calumet de la paix.
Ici, après avoir fumé le sexe de Félix, c’est dans sa chatte qu’elle le reçoit.
Félix devait fantasmer sur notre amie, mais il crie son plaisir et sors de son vagin.
Je vois la capote pleine de sperme qu’il noue et met dans une corbeille mise à disposition par les maîtres de maison.
Je récupérerais bien cette capote pour voir ce qu’elle a de spéciale, mais Gaétan voyant la place libre la retourne et la met en position du missionnaire.
• Tu peux y aller, elle est chaude comme la braise.
Gilbert, ta femme est une belle salope, demain venez à la maison, nous vous invitons pour enterrer définitivement l’animosité entre nous.
Merde, c’est dur, de se faire pilonner en regardant ce qu’il se passe.
À son tour, Gaétan est couvert grâce à la bouche de Clarisse et c’est elle qui guide mon mari dans le fourreau impeccablement dégagé de ses poils disgracieux.
Au moment où un orgasme démarre au plus profond de moi, je vois Clarisse reposer l’étui à côté du premier.
Un moment plus tard alors que je viens de manger une grillade avec Marie, c’est moi qui m’occupe d’elle.
Je prends gout à avoir des rapports sexuels avec mes congénères alors qu’elle me suce de son côté.
Je vois Alain, se faire couvrir par Clarisse et c’est moi qui prends sa verge pour la mettre dans la chatte de Marie.
Je suis aux premières loges, quand il finit et que je vois qu’il décharge.
Je sens très nettement la jouissance de Marie dans ma chatte avec ses lèvres qu’elle me colle.
Lorsqu’il sort pour enlever sa capote, je la mets dans ma bouche, je sens le goût du sperme sur mes papilles.
La salope, je comprends ce qu’elle a dû fomenter toute la soirée.
À partir de ce moment, je regarde fixement les trois étuis qui sont sur la table, il faut que je les récupère pour enlever le doute que je pressant.
C’est une grillade qui m’en donne l’occasion, un morceau de croquant, la poubelle à capote est là et rapidement les quatre étuis se retrouve dans ma main.
• Chéri, je vais aux toilettes, continue à t’amuser !
Je vais aux toilettes, j’examine les étuis, un, non, un à un.
Deux, non, deux à deux.
Dans deux des quatre pochettes, trois petits trous.
Si, j’enlève celui qui a certainement servi à Gilbert quand je l’ai vu la prendre dans le saladier où nos amis les avaient mis à disposition.
Parmi les trois restantes deux ont été posées sur la queue des hommes par Clarisse.
Deux des trois hommes dont Alain, le gout de sperme me prouvant qu’il a hérité d’une capote percée.
Il en reste obligatoirement deux autres qui ont, eux aussi enfilés l’une de ces capotes.
Parmi ces deux, il y a Gaétan, est-il possible que mon mari ait fécondé Marie me faisant indirectement cocu.
Je suis à deux doigts d’aller dire son fait à Clarisse, mais en bonne prof je respire un grand coup me calmant et analysant.
Quelle décision aurais-je prise si Marie acceptant une PMA nous avait demandé de lui fournir du sperme ?
La réponse aurait été facile à prendre, aider une jeune femme sans que son mari sache que son enfant est celui d’un autre, je suis certain que nous l’aurions fait.
Là c’est fait et pleurer serait inutile.
Gwendoline et Gabriel auront peut-être un demi-frère ou sœur sans le savoir.
Lorsque je sors des toilettes Marie est là et me fait peur.
• Excuse, je venais aussi aux toilettes, chez Clarisse il y avait du monde et je me suis permis de venir chez toi.
En attendant qu’elle est finie, je vais dans la cuisine jeter les pochettes de capotes, inutile que quiconque, trouve la supercherie.
Même à Gaétan je décide de cacher la vérité sur ce que c’est permis Clarisse.
J’entends la chasse et l’eau coulée dans le lavabo avant que Marie me rejoigne.
• Alors, Marie, regrettes-tu ta décision, que vas-tu dire à tes parents lorsqu’ils seront de retour.
• Si nous sommes arrivés en retard c’est parce que maman m’a appelé au moment où nous allions partir vous rejoindre.
Ils nous avaient caché le but de leur voyage.
Ils avaient entendu la proposition des autorités portugaise d’aide pour que les seniors viennent s’installer dans leur pays.
Ils ont acheté une maison et vont venir récupérer meubles et bagages, ils nous laissent la villa pour toute l’année.
Papa a fait la connaissance de leur voisin, ils ont un fils et papa, c’est tout de suite très bien entendu avec lui.
Après ce que m’a dit Gilbert, sur ce qu’aime son père faire avec les jeunes garçons, je comprends leur décision de s’installer définitivement au Portugal.
• Marie, je t’avais dit que je m’occuperais de toi, vient dans mes bras !
Nous nous enlaçons et comme les enfants sont absents, j’emmène Marie vers ma chambre.
• Fait moi voir ce que ton amie Christine t’a appris à faire à une femme, tu sais, j’ai eu une aventure avec Clarisse, mais je suis loin d’être expérimenté !
Mes seins, sa langue quittant la mienne vient s’occuper d’eux, la douceur de leur caresse l’emporte sur les pénétrations viriles des hommes.
Ma chatte s’écoule de plaisir et quand elle vient dans ma fourche, que j’ouvre pour qu’elle puisse aller plus loin dans mon intimité, j’ai un premier frisson.
• Je peux me joindre à vous, je vois que vous vous amusez bien !
C’est Abby qui veut se joindre à nous et rapidement l’une nous occupons de l’autre, nous formons un anneau de plaisir.
J’ai joui et j’ai dû m’endormir quelques minutes, j’émerge dans les bras de Marie, Abby a dû repartir s’amuser avec les autres.
Quelle salope cette jeune anglaise, le jour où elle se mariera, son mari aura qu’à bien se tenir pour la suivre.
• Vous êtes là, ma chérie, je te cherchais, je peux me joindre à vous !
Pourquoi refuser à mon mari ce que j’ai accepté d’Abby ?
• Met toi entre nous, nous allons nous occuper de toi mon amour.
Une fois couché, ce sont deux bouches et quatre mains qui lui redonnent toute sa force et sa virilité.
• Prends Marie, moi je t’ai tous le reste de l’année, du moins si tu es décidé de continuer la route entre nous.
• Comment penser à autre chose, tu es l’épouse parfaite que j’espérais ?
Attendez, je file chercher une capote, je te cherchais Gladys et je suis venue sans capote, j’ignorais que tu étais avec Marie et que tu me l’offrirais...
La soirée bat son plein, Marie a accepté les faveurs de Claude qui se trouvait sans sa femme.
Rapidement il l’a entreprise et Clarisse l’a aidée à accepter ses faveurs.
• Tu y vas ou bien c’est moi qui y vais, regarde le bel homme que c’est, je t’ai promis d’être là, alors fonce.
Lui aussi semble avoir des vues sur notre nouvelle amie et quand elle se fond dans ses bras, je me rapproche de Gilbert et je lui caresse la queue.
• Alors, tu es satisfait, je t’avais promis de t’aider, j’ai tenu parole.
• Regarde, si un jour on m’avait dit que Marie se laisserait embrasser par deux hommes.
Pinces-moi Gladys, voire le pire ennemi de mes beaux-parents se joindre à eux.
Je vois bien, c’est Félix, qu’elle suce passant de Claude à lui et le faisant entrer le plus loin qu’elle le peut dans sa bouche.
• Non, c’est bien elle, elle aussi était frustrée suite à l’éducation qu’elle a reçue de son père semblant un homme tyrannique.
• Si je te disais ce que je sais, tu verrais le fumier qu’il est.
• Tu en as trop dit, Gilbert, faut-il que je te pince les couilles pour que tu me dises ce que tu sais du père de ta femme.
• Tu me fais mal, mais tu peux continuer, tu me fais bander.
• Vicieux, alors, parle.
• Un jour où je me promenais dans les dunes, j’ai entendu du bruit, tu sais que j’aime matter, tu en as fait l’expérience, il était là, mais la personne qui était avec lui était un jeune éphèbe.
• Tu veux me dire, que ton beau-père est homosexuel et qu’il se faisait sucer par un jeune homme !
• Sucé et enculé, il s’est mis à quatre pattes, le jeune homme est venu derrière lui, s’est légèrement baisser et a poussé un grand coup.
Vous, les femmes, dans cette position, nous avons deux chemin possible.
Albert, il s’appelle Albert, la seule voix à emprunter en a fait un sodomite.
Je vois bien le spectacle, surtout du côté de Marie, qui a entrainé ou s’est fait entrainer par les deux hommes sur un matelas.
Comme elle lui avait dit, Clarisse voyant que notre amie était prête à se faire mettre lui passe une capote après avoir déchiré l’étui avec sa bouche.
Elle dépose l’étui sur la table et avec sa bouche, en grande experte déroule la capote sur la verge de Félix.
Il la prend en levrette, Claude changeant de partenaire commence à sucer Clarisse qui en vraie salope se laisse faire.
Gaétan sans client, pour les grillades, étant à un mètre des baiseurs soulève son tablier, il bande.
Marie le reçoit dans sa bouche pendant que Félix enterre définitivement la hache de guerre entre voisins.
Les Indiens fumaient le calumet de la paix.
Ici, après avoir fumé le sexe de Félix, c’est dans sa chatte qu’elle le reçoit.
Félix devait fantasmer sur notre amie, mais il crie son plaisir et sors de son vagin.
Je vois la capote pleine de sperme qu’il noue et met dans une corbeille mise à disposition par les maîtres de maison.
Je récupérerais bien cette capote pour voir ce qu’elle a de spéciale, mais Gaétan voyant la place libre la retourne et la met en position du missionnaire.
• Tu peux y aller, elle est chaude comme la braise.
Gilbert, ta femme est une belle salope, demain venez à la maison, nous vous invitons pour enterrer définitivement l’animosité entre nous.
Merde, c’est dur, de se faire pilonner en regardant ce qu’il se passe.
À son tour, Gaétan est couvert grâce à la bouche de Clarisse et c’est elle qui guide mon mari dans le fourreau impeccablement dégagé de ses poils disgracieux.
Au moment où un orgasme démarre au plus profond de moi, je vois Clarisse reposer l’étui à côté du premier.
Un moment plus tard alors que je viens de manger une grillade avec Marie, c’est moi qui m’occupe d’elle.
Je prends gout à avoir des rapports sexuels avec mes congénères alors qu’elle me suce de son côté.
Je vois Alain, se faire couvrir par Clarisse et c’est moi qui prends sa verge pour la mettre dans la chatte de Marie.
Je suis aux premières loges, quand il finit et que je vois qu’il décharge.
Je sens très nettement la jouissance de Marie dans ma chatte avec ses lèvres qu’elle me colle.
Lorsqu’il sort pour enlever sa capote, je la mets dans ma bouche, je sens le goût du sperme sur mes papilles.
La salope, je comprends ce qu’elle a dû fomenter toute la soirée.
À partir de ce moment, je regarde fixement les trois étuis qui sont sur la table, il faut que je les récupère pour enlever le doute que je pressant.
C’est une grillade qui m’en donne l’occasion, un morceau de croquant, la poubelle à capote est là et rapidement les quatre étuis se retrouve dans ma main.
• Chéri, je vais aux toilettes, continue à t’amuser !
Je vais aux toilettes, j’examine les étuis, un, non, un à un.
Deux, non, deux à deux.
Dans deux des quatre pochettes, trois petits trous.
Si, j’enlève celui qui a certainement servi à Gilbert quand je l’ai vu la prendre dans le saladier où nos amis les avaient mis à disposition.
Parmi les trois restantes deux ont été posées sur la queue des hommes par Clarisse.
Deux des trois hommes dont Alain, le gout de sperme me prouvant qu’il a hérité d’une capote percée.
Il en reste obligatoirement deux autres qui ont, eux aussi enfilés l’une de ces capotes.
Parmi ces deux, il y a Gaétan, est-il possible que mon mari ait fécondé Marie me faisant indirectement cocu.
Je suis à deux doigts d’aller dire son fait à Clarisse, mais en bonne prof je respire un grand coup me calmant et analysant.
Quelle décision aurais-je prise si Marie acceptant une PMA nous avait demandé de lui fournir du sperme ?
La réponse aurait été facile à prendre, aider une jeune femme sans que son mari sache que son enfant est celui d’un autre, je suis certain que nous l’aurions fait.
Là c’est fait et pleurer serait inutile.
Gwendoline et Gabriel auront peut-être un demi-frère ou sœur sans le savoir.
Lorsque je sors des toilettes Marie est là et me fait peur.
• Excuse, je venais aussi aux toilettes, chez Clarisse il y avait du monde et je me suis permis de venir chez toi.
En attendant qu’elle est finie, je vais dans la cuisine jeter les pochettes de capotes, inutile que quiconque, trouve la supercherie.
Même à Gaétan je décide de cacher la vérité sur ce que c’est permis Clarisse.
J’entends la chasse et l’eau coulée dans le lavabo avant que Marie me rejoigne.
• Alors, Marie, regrettes-tu ta décision, que vas-tu dire à tes parents lorsqu’ils seront de retour.
• Si nous sommes arrivés en retard c’est parce que maman m’a appelé au moment où nous allions partir vous rejoindre.
Ils nous avaient caché le but de leur voyage.
Ils avaient entendu la proposition des autorités portugaise d’aide pour que les seniors viennent s’installer dans leur pays.
Ils ont acheté une maison et vont venir récupérer meubles et bagages, ils nous laissent la villa pour toute l’année.
Papa a fait la connaissance de leur voisin, ils ont un fils et papa, c’est tout de suite très bien entendu avec lui.
Après ce que m’a dit Gilbert, sur ce qu’aime son père faire avec les jeunes garçons, je comprends leur décision de s’installer définitivement au Portugal.
• Marie, je t’avais dit que je m’occuperais de toi, vient dans mes bras !
Nous nous enlaçons et comme les enfants sont absents, j’emmène Marie vers ma chambre.
• Fait moi voir ce que ton amie Christine t’a appris à faire à une femme, tu sais, j’ai eu une aventure avec Clarisse, mais je suis loin d’être expérimenté !
Mes seins, sa langue quittant la mienne vient s’occuper d’eux, la douceur de leur caresse l’emporte sur les pénétrations viriles des hommes.
Ma chatte s’écoule de plaisir et quand elle vient dans ma fourche, que j’ouvre pour qu’elle puisse aller plus loin dans mon intimité, j’ai un premier frisson.
• Je peux me joindre à vous, je vois que vous vous amusez bien !
C’est Abby qui veut se joindre à nous et rapidement l’une nous occupons de l’autre, nous formons un anneau de plaisir.
J’ai joui et j’ai dû m’endormir quelques minutes, j’émerge dans les bras de Marie, Abby a dû repartir s’amuser avec les autres.
Quelle salope cette jeune anglaise, le jour où elle se mariera, son mari aura qu’à bien se tenir pour la suivre.
• Vous êtes là, ma chérie, je te cherchais, je peux me joindre à vous !
Pourquoi refuser à mon mari ce que j’ai accepté d’Abby ?
• Met toi entre nous, nous allons nous occuper de toi mon amour.
Une fois couché, ce sont deux bouches et quatre mains qui lui redonnent toute sa force et sa virilité.
• Prends Marie, moi je t’ai tous le reste de l’année, du moins si tu es décidé de continuer la route entre nous.
• Comment penser à autre chose, tu es l’épouse parfaite que j’espérais ?
Attendez, je file chercher une capote, je te cherchais Gladys et je suis venue sans capote, j’ignorais que tu étais avec Marie et que tu me l’offrirais...
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