COLLECTION ESCORTBOY. Comment j’ai débuté ? Fin de la saison II. (6/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTBOY. Comment j’ai débuté ? Fin de la saison II. (6/6)
J’ai passé ma soirée entourée de jeunes et jolies femmes à l’hôtel Excelsior dans Paris ayant rencontré celle qui se fait appeler Sabrina, nom d’emprunt comme moi, je suis passé de Bruno à Célian.
Éléonore, la créatrice du parfum qui a servi de support à notre venue dans ce salon de l’hôtel où je me pose encore des questions à quoi nous avons servi.
La rousse, dont j’ignore le nom, mais qui semble préférer brouter la chatte d’Éléonore que de recevoir des bites masculines.
J’ai horreur de rester sur ma faim.
Une idée me vient, sur les sacs en papier noirs avec en lettre d’or, le nom du parfum me revient à l’esprit.
« Nuit chaude.»
Je vais dans une parfumerie près de chez moi.
J’y ai acheté une eau de toilettes de base il y a quelque temps.
La patronne femme d’une cinquantaine d’années avait dû me repérer, car c’était sa jeune employée qui m’avait servie.
Je m’approche de cette dernière espérant faire jouer mes pectoraux sous ma chemise, mais elle se fait rembarrer et envoyer voir une mémé à l’autre bout de la boutique.
Je vois que, discrètement elle détache le premier bouton de son chemisier.
• Que puis-je pour vous ?
Je vous ai déjà vu il y a peu, vous résidez dans notre quartier.
La boutique est classe et sa gérante aussi.
C’est le genre de femme que je vais rejoindre souvent pour mon nouveau métier d’escorte.
Tailleur blanc sur ce chemisier blanc lui-même montrant le gros bombé de sa poitrine.
Chaussure à talons effilés avec des bas résille soulignant le galbe parfait de ses jambes et de sa chute de reins.
La bijouterie et le maquillage montre une bourgeoise très cochonne quand elles viennent dans votre lit.
• Avez-vous le parfum, « Nuit chaud », je le cherche ?
• C’est pour votre petite amie, je vois que vous êtes sans alliance à votre doigt.
Disant ces mots, elle me met sous mon nez, sa panoplie de bagues.
Avec ses énormes boucles d’oreilles, surement pas en toc, elle est réellement potentiellement une cliente.
• Non, c’est pour une cliente à qui je désire l’offrir.
• Votre cliente a de la chance d’avoir un beau jeune homme comme vous, pour lui offrir un tel parfum d’Éléonore Martial.
Je fais bouger les pectoraux, ma chemise frétille.
• Aimez-vous la franchise ?
• Plutôt, oui.
• Ma cliente a plus de 60 ans et aime encore passer un moment avec un beau jeune homme.
Quand je dis que j’aime prendre des risques.
• Vous êtes !
• Je suis !
Pourquoi en dire plus, on s’est compris ?
Je vois qu’elle regarde si sa serveuse est assez loin de nous, pouvant parler sans qu’elle nous entende.
• Eh peut-on ?
• Oui, regardez sur le site où je travaille, Célian, vous aurez tous les renseignements.
Je me garde bien de parler de mes tarifs, elle les découvrira bien assez tôt.
• Puis-je me permettre de vous demander votre parfum personnel ?
• C’est simple N°5 de Chanel, pourquoi ?
• Ou puis-je en trouver dans votre magasin.
• Derrière vous, parfum, eau de toilette, vous avez toute la gamme.
Je récupère les deux parfums et lui donne.
• Pouvez-vous m’en faire deux paquets ?
• Sylvia, je vois que tu viens de finir avec ta cliente.
• Peux-tu me faire deux paquets cadeaux pour monsieur ?
Venez, je vais vous encaisser pendant qu’elle vous fait les paquets.
Pas donner, surtout le N°5 de Chanel, mais il faut savoir amorcer.
Sylvia arrive à la caisse avec ses paquets et s’éclipse, un autre homme vient d’entrer.
• Chère madame, merci, pour tous ces bons renseignements et votre charmant sourire.
Un coup de pectoraux avant de poursuivre.
• Ceci est pour vous, pour me faire pardonner de vous avoir demandé le nom de votre parfum.
• J’aurais dû me souvenir que des femmes de votre classe portent toujours un tel parfum.
• Vil séducteur file avant que je te croque.
Raeeee.
Une vraie féline, si elle veut me manger, il faudra qu’elle crache quelques billets, mais je suis sûr que si j’attends plus de deux jours, ce sera le bout du monde avant de revoir le bout de son nez.
• Madame Geneviève, le monsieur a besoin de vos conseils.
Lorsque je quitte la boutique avec mon paquet de chez Éléonore, j’ai tous les renseignements que je recherchais.
C’est à Courbevoie, grâce à Internet, sans contrat avec des clientes et les vacances de la fac ayant commencé, que je me rends, ayant tout mon temps.
De toute façon, j’ai mon portable que je peux décrocher et suivre les instructions à tout moment.
J’arrive à l’étage ou sur la porte est marqué « Parfum Éléonore Martial. »
« Entrer sans frapper. »
Je m’exécute, ce sont des bureaux, à la gauche, debout dans toute sa splendeur, la rousse est là.
• Éléonore est absente, monsieur.
Elle lève sa tête du document qu’elle lisait enlevant une paire de lunettes la rendant encore plus belle.
• Je vous reconnais, vous étiez à la présentation de « Nuit noire » dans les salons de l’hôtel Excelsior.
• J’ai eu l’impression d’avoir été transparent pour vous.
• Deux choses mon marquées, votre belle gueule ainsi que l’amour que vous sembliez porter à cette femme après l’enveloppe qu’Éléonore vous avait remise.
Je tombe de haut, cette gouine qu’il me plairait de ramener dans la droite ligne de ma bite découvrant ainsi si ce que l’on dit sur les rousses est vrai, sait que je suis une escorte.
• Pouvez-vous m’expliquer ?
• Je rentrais de la poste, Éléonore était derrière son bureau dans la pièce vitrée derrière vous.
Elle parlait avec une jeune femme qui lui a tendu les enveloppes qu’elle est allée vous remettre au bar à votre arrivée.
La jeune femme partie, elle me les a remises, vous gagnez bien votre vie.
Dommage, ma paye y passerait, vu l’épaisseur qu’elle avait.
Sur le bureau derrière elle, son nom, Reine. G.
• Comment savez-vous Reine que ces enveloppes étaient pour nous payer ?
• Vos noms écrits, le vôtre particulièrement Célian ainsi que le coup de fil qu’elle a passé à votre agence pour que vous veniez à cette présentation.
C’est simple.
• J’ai vu votre nom Reine derrière vous, vous connaissez le mien, c’est parfait.
Cette jeune femme, était-elle à la présentation ?
• Bien sûr, vous lui avez même parlé, j’ai même trouvé que s’était donné du lard à un cochon qu’elle soit avec ce vieux ventripotent.
Lauriane, c’est elle qui nous a payés, Sabrina et moi.
Je comprends tout, elle m’avait dit que si je refusais de la dépuceler, elle coucherait avec un clodo.
Elle l’a en partie fait, mais c’est cet homme à la moumoute dans les bras duquel, elle l’a perdu.
Nous étions là pour me rendre jaloux et ainsi me faire voir que ce gros porc l’avait dépucelé.
• Qu’avez-vous dit, à oui ?
Avec ce que je touche pour passer un moment avec des femmes, vous étiez incapable de vous payer mes services.
Je me rapproche à presque la toucher.
• L’argent est une chose, l’envie d’une belle femme comme toi en est une autre.
Je suis capable de faire abstraction de l’argent pour une bombe comme toi.
• Éléonore est à Grasse dans la parfumerie où elle compose ses parfums, ici ce sont nos bureaux parisiens.
Elle se retourne et prend un trousseau sur son bureau.
• Je dois rester jusqu’à 19 heures, viens, je te donner mes clefs, mon logement est à l’étage supérieur.
Attends-moi.
Nos bouches se trouvent, son odeur est forte, mais je trouve ça agréable.
À moins qu’elle soit recouverte de « Nuit noire », ce que je doute, son odeur est poivrée.
Je vais pour lui caresser la poitrine, mais elle me repousse.
• Va m’attendre, j’attends un client dans un instant.
• Une chose, je croyais que tu te gouinais avec Éléonore !
• Je suis bisexuelle, va m’attendre, j’espère que tu auras bien du temps pour moi.
À regret, je quitte cette femme, qui va me faire découvrir les mystères des rousses, je l’aurais bien sauté sur son bureau.
Sur le palier, l’ascenseur monte, je vois les cheveux grisonnant d’un homme au travers des grilles et de la porte vitrée de sécurité.
Je monte vers l’étage, inutile que je le vois...
Mais à quel jeu joue Lauriane voulant me rendre jaloux.
Même si son hymen est perforé, que cherche-t-elle, vous le saurez dans la saison III de mon histoire, le temps que Chris est le temps de l’écrire.
À bientôt, je sens que ma verge va être à la fête ce soir.
Éléonore, la créatrice du parfum qui a servi de support à notre venue dans ce salon de l’hôtel où je me pose encore des questions à quoi nous avons servi.
La rousse, dont j’ignore le nom, mais qui semble préférer brouter la chatte d’Éléonore que de recevoir des bites masculines.
J’ai horreur de rester sur ma faim.
Une idée me vient, sur les sacs en papier noirs avec en lettre d’or, le nom du parfum me revient à l’esprit.
« Nuit chaude.»
Je vais dans une parfumerie près de chez moi.
J’y ai acheté une eau de toilettes de base il y a quelque temps.
La patronne femme d’une cinquantaine d’années avait dû me repérer, car c’était sa jeune employée qui m’avait servie.
Je m’approche de cette dernière espérant faire jouer mes pectoraux sous ma chemise, mais elle se fait rembarrer et envoyer voir une mémé à l’autre bout de la boutique.
Je vois que, discrètement elle détache le premier bouton de son chemisier.
• Que puis-je pour vous ?
Je vous ai déjà vu il y a peu, vous résidez dans notre quartier.
La boutique est classe et sa gérante aussi.
C’est le genre de femme que je vais rejoindre souvent pour mon nouveau métier d’escorte.
Tailleur blanc sur ce chemisier blanc lui-même montrant le gros bombé de sa poitrine.
Chaussure à talons effilés avec des bas résille soulignant le galbe parfait de ses jambes et de sa chute de reins.
La bijouterie et le maquillage montre une bourgeoise très cochonne quand elles viennent dans votre lit.
• Avez-vous le parfum, « Nuit chaud », je le cherche ?
• C’est pour votre petite amie, je vois que vous êtes sans alliance à votre doigt.
Disant ces mots, elle me met sous mon nez, sa panoplie de bagues.
Avec ses énormes boucles d’oreilles, surement pas en toc, elle est réellement potentiellement une cliente.
• Non, c’est pour une cliente à qui je désire l’offrir.
• Votre cliente a de la chance d’avoir un beau jeune homme comme vous, pour lui offrir un tel parfum d’Éléonore Martial.
Je fais bouger les pectoraux, ma chemise frétille.
• Aimez-vous la franchise ?
• Plutôt, oui.
• Ma cliente a plus de 60 ans et aime encore passer un moment avec un beau jeune homme.
Quand je dis que j’aime prendre des risques.
• Vous êtes !
• Je suis !
Pourquoi en dire plus, on s’est compris ?
Je vois qu’elle regarde si sa serveuse est assez loin de nous, pouvant parler sans qu’elle nous entende.
• Eh peut-on ?
• Oui, regardez sur le site où je travaille, Célian, vous aurez tous les renseignements.
Je me garde bien de parler de mes tarifs, elle les découvrira bien assez tôt.
• Puis-je me permettre de vous demander votre parfum personnel ?
• C’est simple N°5 de Chanel, pourquoi ?
• Ou puis-je en trouver dans votre magasin.
• Derrière vous, parfum, eau de toilette, vous avez toute la gamme.
Je récupère les deux parfums et lui donne.
• Pouvez-vous m’en faire deux paquets ?
• Sylvia, je vois que tu viens de finir avec ta cliente.
• Peux-tu me faire deux paquets cadeaux pour monsieur ?
Venez, je vais vous encaisser pendant qu’elle vous fait les paquets.
Pas donner, surtout le N°5 de Chanel, mais il faut savoir amorcer.
Sylvia arrive à la caisse avec ses paquets et s’éclipse, un autre homme vient d’entrer.
• Chère madame, merci, pour tous ces bons renseignements et votre charmant sourire.
Un coup de pectoraux avant de poursuivre.
• Ceci est pour vous, pour me faire pardonner de vous avoir demandé le nom de votre parfum.
• J’aurais dû me souvenir que des femmes de votre classe portent toujours un tel parfum.
• Vil séducteur file avant que je te croque.
Raeeee.
Une vraie féline, si elle veut me manger, il faudra qu’elle crache quelques billets, mais je suis sûr que si j’attends plus de deux jours, ce sera le bout du monde avant de revoir le bout de son nez.
• Madame Geneviève, le monsieur a besoin de vos conseils.
Lorsque je quitte la boutique avec mon paquet de chez Éléonore, j’ai tous les renseignements que je recherchais.
C’est à Courbevoie, grâce à Internet, sans contrat avec des clientes et les vacances de la fac ayant commencé, que je me rends, ayant tout mon temps.
De toute façon, j’ai mon portable que je peux décrocher et suivre les instructions à tout moment.
J’arrive à l’étage ou sur la porte est marqué « Parfum Éléonore Martial. »
« Entrer sans frapper. »
Je m’exécute, ce sont des bureaux, à la gauche, debout dans toute sa splendeur, la rousse est là.
• Éléonore est absente, monsieur.
Elle lève sa tête du document qu’elle lisait enlevant une paire de lunettes la rendant encore plus belle.
• Je vous reconnais, vous étiez à la présentation de « Nuit noire » dans les salons de l’hôtel Excelsior.
• J’ai eu l’impression d’avoir été transparent pour vous.
• Deux choses mon marquées, votre belle gueule ainsi que l’amour que vous sembliez porter à cette femme après l’enveloppe qu’Éléonore vous avait remise.
Je tombe de haut, cette gouine qu’il me plairait de ramener dans la droite ligne de ma bite découvrant ainsi si ce que l’on dit sur les rousses est vrai, sait que je suis une escorte.
• Pouvez-vous m’expliquer ?
• Je rentrais de la poste, Éléonore était derrière son bureau dans la pièce vitrée derrière vous.
Elle parlait avec une jeune femme qui lui a tendu les enveloppes qu’elle est allée vous remettre au bar à votre arrivée.
La jeune femme partie, elle me les a remises, vous gagnez bien votre vie.
Dommage, ma paye y passerait, vu l’épaisseur qu’elle avait.
Sur le bureau derrière elle, son nom, Reine. G.
• Comment savez-vous Reine que ces enveloppes étaient pour nous payer ?
• Vos noms écrits, le vôtre particulièrement Célian ainsi que le coup de fil qu’elle a passé à votre agence pour que vous veniez à cette présentation.
C’est simple.
• J’ai vu votre nom Reine derrière vous, vous connaissez le mien, c’est parfait.
Cette jeune femme, était-elle à la présentation ?
• Bien sûr, vous lui avez même parlé, j’ai même trouvé que s’était donné du lard à un cochon qu’elle soit avec ce vieux ventripotent.
Lauriane, c’est elle qui nous a payés, Sabrina et moi.
Je comprends tout, elle m’avait dit que si je refusais de la dépuceler, elle coucherait avec un clodo.
Elle l’a en partie fait, mais c’est cet homme à la moumoute dans les bras duquel, elle l’a perdu.
Nous étions là pour me rendre jaloux et ainsi me faire voir que ce gros porc l’avait dépucelé.
• Qu’avez-vous dit, à oui ?
Avec ce que je touche pour passer un moment avec des femmes, vous étiez incapable de vous payer mes services.
Je me rapproche à presque la toucher.
• L’argent est une chose, l’envie d’une belle femme comme toi en est une autre.
Je suis capable de faire abstraction de l’argent pour une bombe comme toi.
• Éléonore est à Grasse dans la parfumerie où elle compose ses parfums, ici ce sont nos bureaux parisiens.
Elle se retourne et prend un trousseau sur son bureau.
• Je dois rester jusqu’à 19 heures, viens, je te donner mes clefs, mon logement est à l’étage supérieur.
Attends-moi.
Nos bouches se trouvent, son odeur est forte, mais je trouve ça agréable.
À moins qu’elle soit recouverte de « Nuit noire », ce que je doute, son odeur est poivrée.
Je vais pour lui caresser la poitrine, mais elle me repousse.
• Va m’attendre, j’attends un client dans un instant.
• Une chose, je croyais que tu te gouinais avec Éléonore !
• Je suis bisexuelle, va m’attendre, j’espère que tu auras bien du temps pour moi.
À regret, je quitte cette femme, qui va me faire découvrir les mystères des rousses, je l’aurais bien sauté sur son bureau.
Sur le palier, l’ascenseur monte, je vois les cheveux grisonnant d’un homme au travers des grilles et de la porte vitrée de sécurité.
Je monte vers l’étage, inutile que je le vois...
Mais à quel jeu joue Lauriane voulant me rendre jaloux.
Même si son hymen est perforé, que cherche-t-elle, vous le saurez dans la saison III de mon histoire, le temps que Chris est le temps de l’écrire.
À bientôt, je sens que ma verge va être à la fête ce soir.
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