COLLECTION ESCORTE BOY. Le bal des vieilles. Début de la saison I (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2408 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 029 309 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 293 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION ESCORTE BOY. Le bal des vieilles. Début de la saison I (1/3)
Cette histoire aura deux saisons pour un total de 7 chapitres, voici les 3 premiers.
Depuis que je suis jeune, ma mère à voulu que je sache danser.
Elle est veuve depuis cinq ans et sans homme à la maison.
Il faut dire que mes parents dans leur jeunesse ont été champions de France de danse.
Je dirais classique pour moi, tangos, valses ou autres pasos.
J’ai carrément eu des cours de danse pendant cinq ou six ans à domicile.
Il était fréquent qu’elle me fasse reprendre un pas pendant plus d’une heure jusqu’à ce qu’il soit parfait.
Je viens d’avoir dix-neuf ans et j’ai enfin compris qu’il serait plus utile à ma mère que je trouve un travail pour l’aider, car nous sommes loin de rouler sur l’or.
J’épluche les petites annonces et je trouve un job à mi-temps dans une station de lavage à un quart d’heure de chez moi en voiture et presque une heure en bus.
• Maman voilà pour toi.
• Ou as-tu eu cet argent, je sais que tu as arrêté tes cours.
• Comment le sais-tu ?
• Tu croyais que tu pouvais rentrer et aller jouer de la guitare dans ta chambre sans faire de devoirs !
• C’est vrai tu as raison.
• Alors cet argent, comment là tu récupérés, deal-tu ?
• Tu es folle, je travaille de sept heures à treize heures dans une station de lavage où je lave des grosses voitures les finissant à la peau de chamois pour les sécher et les lustrer.
Cet argent est légalement gagné, tu peux me faire confiance.
Démarre la platine méchante mère, je vais te faire valser.
• Je te traite de vendeurs de drogue et tu me récompenses en me faisant valser.
Ton père serait fier de toi s’il était encore là, mais il aurait été mécontent que tu aies stoppé tes études.
Maman valse et je vois à son regard que l’argent et la danse la soulagent de ses soucis.
Au bout de trois mois j’achète une voiture à mon patron.
Loin d’être une merveille, mais elle est entièrement révisée.
Je peux lui payer en quarante-huit versements, ce qui avec l’essence et le fait que je vis chez ma mère me permet de continuer à l’aider.
Un soir je vais dans une brasserie où je bois un café ?
Depuis que je suis assez grand, ma mère m’interdit l’alcool, mon père étant décédé d’un accident de voiture en rentrant dans un lampadaire en état fortement alcoolisé pour éviter de dire bourré.
Je rencontre une jeune fille et qui a presque vingt ans m’ôte mon pucelage dans sa chambre de bonne faisant des études d’esthéticienne.
Elle vient d’avoir son diplôme et par change voulant simplement passer un bon moment, elle retourne dans la ville ou elle est née et ou elle a un fiancé.
Dans ma tête cette fille restera à jamais mon initiatrice car avec elle les trois fois où je la vois elle me donne de bons cours de self contrôlent sexuel.
Souvent l’après-midi je m’ennuie et je gratte des heures.
Aujourd’hui, je suis en train de retourner à la maison, ayant fini plus tard pour terminer la voiture d’un de mes clients qui me donne chaque fois un gros pourboire.
Ma route habituelle est en travaux et une déviation m’oblige à changer de route.
J’arrive à un croisement, au coin de deux routes je vois l’enseigne d’un dancing clignotant de tous ses feux.
« Bal à Jo ».
Je passe remarquant sa présence et ayant repris ma route normale, je rentre m’ennuyer.
Je fais la sieste et à un moment l’idée de démarrer l’ordi de ma mère me vient.
Elle vient de l’acheter pour tchater avec ses amies virtuelles.
Moteur de recherche, « bal à Jo ».
C’est un thé dansant tous les jours de la semaine de quatorze à vingt heures, tenue décente exigée.
Il vient d’ouvrir et suite à mon retard le dancing était ouvert ce qui a attiré mon attention.
Le lendemain, je fais du zèle pour partir au plus prêt dès quatorze heures et d’arriver à l’ouverture.
• Excusez-nous monsieur, il vous est interdit d’entrer, une tenue correcte est exigée ?
• Ma tenue qu’est-ce qui cloche ?
• Les jeans et les baskets sont interdits.
Chemise sans cravate, pantalon et chaussures en cuir de rigueurs.
Les dames qui viennent danser ici sont toutes très classes.
Déçu je repars et je vais au centre commercial changer mon look.
Pendant que je parlais au videur j’ai vu passer un garçon un peu plus vieux que moi habillé sélect comme il est dit sur Internet.
Il me sert de modèle afin de savoir quoi choisir.
Je viens de toucher ma paye amputée de la part pour ma voiture.
Je sais que maman accepte mon argent sans sourciller, mais ce mois-ci, il faudra qu’elle me loge et me nourrisse à l’œil, car presque tout y passe.
Le lendemain je suis sapé milord et je rentre sans problème après avoir réglé l’entrée qui me met à sec.
La salle est agréable et des couples valses, surtout des femmes entre elles.
L’une d’entre elles me regarde avec insistance.
J’ai une certaine appréhension, car les trois quarts sont de l’âge de maman, certaines plus jeunes, mais toujours en couple.
Je vais au bar ou je commande une limonade, une conso étant comprise avec le billet d’entrée.
Le barman me regarde étonné, je me rends compte que deux personnes non loin de moi on prit un verre de whisky.
• Bonjour beau ténébreux, savez-vous danser ?
La femme qui vient de m’apostropher est celle qui dansait avec son amie et fait partie des femmes plus jeunes que ma mère, mais plus vieille que moi.
L’orchestre composé de quatre musiciens et un chanteur habillé comme Claude François du temps de sa splendeur prépare une nouvelle intro.
Claude, je l’entends en boucle à la maison maman étant une groupie depuis sa jeunesse.
Elle allait l’attendre non loin de son domicile ou à la sortie des studios de télé quand elle arrivait à savoir où il se produisait.
Elles avaient tout un réseau qui leur donnait tous les renseignements nécessaires.
• Bien sûr, madame.
Je la fais danser et elle semble étonnée de mon niveau.
• C’est la première fois que je vous vois ici, vous danser divinement, ou avez-vous appris ?
• Avec ma mère, par le plus grand des hasards, je viens de découvrir ce dancing.
Je la fais danser toute l’après-midi, elle semble adorer les slows ou elle se colle à moi.
Je dois faire un effort surhumain pour que ma queue reste sage, quand sa copine vient la voir.
• Giselle, tu viens, je dois rentrer Alain rentre à vingt heures et il faut que je lui prépare à manger, il travail de nuit.
• Mince, il est si tard Alice, mon beau ténébreux dont j’ignore jusqu’à son nom m’a fait passer une après-midi exceptionnelle.
• Je m’appelle Bruno.
• Bruno as-tu une voiture ?
• Oui, mais elle est vieille.
• S’il le faut je la pousserai, tu peux me raccompagner, j’aimerais danser encore.
• J’ai eu plaisir à vous faire danser, vous êtes aussi doués que ma maman.
• Oui, mais je dois être bien plus jeune.
J’ai envie de la détromper bien qu’elle ait raison, mais si je suis resté puceau jusqu’à il y a peu, c’est à cause d’une petite timidité qui me caractérise.
Il est presque vingt heures quand nous quittons la boîte et c’est avec appréhension que je lui ouvre la portière de ma titine.
• Merci Bruno, ta maman a fait de toi un bon danseur et aussi un gentleman.
• Merci madame.
• Appelle-moi Giselle.
Elle me guide et me dirige vers les quartiers chics de notre cité.
Nous nous arrêtons devant un haut portail.
Je pense qu’elle va descendre, mais elle prend dans son sac une télécommande et l’ouvre.
• Entre ta voiture, tu as bien mérité un dernier verre.
En me disant cela elle me pose sa main sur ma cuisse.
J’entre et je descends devant la maison de nos rêves à maman et à moi.
Elle me fait entrer, elle me dirige vers une terrasse où je remarque à quelques mètres une piscine d’au moins vingt mètres de long.
• Prends-tu le même tarif que tes collègues ?
Tiens voilà pour toi.
Viens, on va se baigner.
Elle me met dans la main des billets dont le premier est de 200 €.
En même temps avant que j’aie le temps de réagir elle dégraphe sa robe qui tombe au sol me la montrant une fraction de seconde nue divinement calibrée.
Je reste sans voix regardant la liasse dans ma main.
• Allez, met les dans ta poche et viens me rejoindre.
À ce qu’elle me dit je me sens ridicule et comme un robot je fais ce qu’elle me demande.
J’enlève mes affaires gardant mon caleçon et je plonge à son côté.
Je suis à sa hauteur quand je reprends pied.
Elle vient dans mes bras collant sa poitrine bien plus forte que celle de maman avant de me donner sa bouche.
Elle se recule me permettant de reprendre mon souffle.
Il était temps, contrairement à la salle de danse, sa peau nue commence à me faire bander.
• Je vois que tu bandes, si tu me baises aussi bien que tu m’as fait danser, tu es le mâle parfait.
Après ma cuisse dans ma voiture, c’est carrément dans mon caleçon qu’elle entre sa main.
Elle me masturbe doucement, je bande comme jamais.
Est-ce la situation insolite, j’ai conscience qu’elle vient de m’acheter avec ses billets.
En nous embrassant nous sortons de l’eau.
Elle s’allonge sur un matelas posé sur la margelle de sa piscine, me plaçant dans sa fourche.
Ma bouche s'approche de sa chatte, je la lèche doucement, elle coule de plaisir.
J’aime lui reprendre la bouche, avoir ma poitrine sur ses seins et c’est dans la classique position du missionnaire que j’entre en elle.
Je la pénètre plus d’une demi-heure la prenant à la cuillère et aussi en levrette, la faisant jouir trois fois avant de la remplir de mon sperme.
• Merci mon bel étalon !
Je suis satisfait même si j’ai conscience d’avoir changé de monde…
Depuis que je suis jeune, ma mère à voulu que je sache danser.
Elle est veuve depuis cinq ans et sans homme à la maison.
Il faut dire que mes parents dans leur jeunesse ont été champions de France de danse.
Je dirais classique pour moi, tangos, valses ou autres pasos.
J’ai carrément eu des cours de danse pendant cinq ou six ans à domicile.
Il était fréquent qu’elle me fasse reprendre un pas pendant plus d’une heure jusqu’à ce qu’il soit parfait.
Je viens d’avoir dix-neuf ans et j’ai enfin compris qu’il serait plus utile à ma mère que je trouve un travail pour l’aider, car nous sommes loin de rouler sur l’or.
J’épluche les petites annonces et je trouve un job à mi-temps dans une station de lavage à un quart d’heure de chez moi en voiture et presque une heure en bus.
• Maman voilà pour toi.
• Ou as-tu eu cet argent, je sais que tu as arrêté tes cours.
• Comment le sais-tu ?
• Tu croyais que tu pouvais rentrer et aller jouer de la guitare dans ta chambre sans faire de devoirs !
• C’est vrai tu as raison.
• Alors cet argent, comment là tu récupérés, deal-tu ?
• Tu es folle, je travaille de sept heures à treize heures dans une station de lavage où je lave des grosses voitures les finissant à la peau de chamois pour les sécher et les lustrer.
Cet argent est légalement gagné, tu peux me faire confiance.
Démarre la platine méchante mère, je vais te faire valser.
• Je te traite de vendeurs de drogue et tu me récompenses en me faisant valser.
Ton père serait fier de toi s’il était encore là, mais il aurait été mécontent que tu aies stoppé tes études.
Maman valse et je vois à son regard que l’argent et la danse la soulagent de ses soucis.
Au bout de trois mois j’achète une voiture à mon patron.
Loin d’être une merveille, mais elle est entièrement révisée.
Je peux lui payer en quarante-huit versements, ce qui avec l’essence et le fait que je vis chez ma mère me permet de continuer à l’aider.
Un soir je vais dans une brasserie où je bois un café ?
Depuis que je suis assez grand, ma mère m’interdit l’alcool, mon père étant décédé d’un accident de voiture en rentrant dans un lampadaire en état fortement alcoolisé pour éviter de dire bourré.
Je rencontre une jeune fille et qui a presque vingt ans m’ôte mon pucelage dans sa chambre de bonne faisant des études d’esthéticienne.
Elle vient d’avoir son diplôme et par change voulant simplement passer un bon moment, elle retourne dans la ville ou elle est née et ou elle a un fiancé.
Dans ma tête cette fille restera à jamais mon initiatrice car avec elle les trois fois où je la vois elle me donne de bons cours de self contrôlent sexuel.
Souvent l’après-midi je m’ennuie et je gratte des heures.
Aujourd’hui, je suis en train de retourner à la maison, ayant fini plus tard pour terminer la voiture d’un de mes clients qui me donne chaque fois un gros pourboire.
Ma route habituelle est en travaux et une déviation m’oblige à changer de route.
J’arrive à un croisement, au coin de deux routes je vois l’enseigne d’un dancing clignotant de tous ses feux.
« Bal à Jo ».
Je passe remarquant sa présence et ayant repris ma route normale, je rentre m’ennuyer.
Je fais la sieste et à un moment l’idée de démarrer l’ordi de ma mère me vient.
Elle vient de l’acheter pour tchater avec ses amies virtuelles.
Moteur de recherche, « bal à Jo ».
C’est un thé dansant tous les jours de la semaine de quatorze à vingt heures, tenue décente exigée.
Il vient d’ouvrir et suite à mon retard le dancing était ouvert ce qui a attiré mon attention.
Le lendemain, je fais du zèle pour partir au plus prêt dès quatorze heures et d’arriver à l’ouverture.
• Excusez-nous monsieur, il vous est interdit d’entrer, une tenue correcte est exigée ?
• Ma tenue qu’est-ce qui cloche ?
• Les jeans et les baskets sont interdits.
Chemise sans cravate, pantalon et chaussures en cuir de rigueurs.
Les dames qui viennent danser ici sont toutes très classes.
Déçu je repars et je vais au centre commercial changer mon look.
Pendant que je parlais au videur j’ai vu passer un garçon un peu plus vieux que moi habillé sélect comme il est dit sur Internet.
Il me sert de modèle afin de savoir quoi choisir.
Je viens de toucher ma paye amputée de la part pour ma voiture.
Je sais que maman accepte mon argent sans sourciller, mais ce mois-ci, il faudra qu’elle me loge et me nourrisse à l’œil, car presque tout y passe.
Le lendemain je suis sapé milord et je rentre sans problème après avoir réglé l’entrée qui me met à sec.
La salle est agréable et des couples valses, surtout des femmes entre elles.
L’une d’entre elles me regarde avec insistance.
J’ai une certaine appréhension, car les trois quarts sont de l’âge de maman, certaines plus jeunes, mais toujours en couple.
Je vais au bar ou je commande une limonade, une conso étant comprise avec le billet d’entrée.
Le barman me regarde étonné, je me rends compte que deux personnes non loin de moi on prit un verre de whisky.
• Bonjour beau ténébreux, savez-vous danser ?
La femme qui vient de m’apostropher est celle qui dansait avec son amie et fait partie des femmes plus jeunes que ma mère, mais plus vieille que moi.
L’orchestre composé de quatre musiciens et un chanteur habillé comme Claude François du temps de sa splendeur prépare une nouvelle intro.
Claude, je l’entends en boucle à la maison maman étant une groupie depuis sa jeunesse.
Elle allait l’attendre non loin de son domicile ou à la sortie des studios de télé quand elle arrivait à savoir où il se produisait.
Elles avaient tout un réseau qui leur donnait tous les renseignements nécessaires.
• Bien sûr, madame.
Je la fais danser et elle semble étonnée de mon niveau.
• C’est la première fois que je vous vois ici, vous danser divinement, ou avez-vous appris ?
• Avec ma mère, par le plus grand des hasards, je viens de découvrir ce dancing.
Je la fais danser toute l’après-midi, elle semble adorer les slows ou elle se colle à moi.
Je dois faire un effort surhumain pour que ma queue reste sage, quand sa copine vient la voir.
• Giselle, tu viens, je dois rentrer Alain rentre à vingt heures et il faut que je lui prépare à manger, il travail de nuit.
• Mince, il est si tard Alice, mon beau ténébreux dont j’ignore jusqu’à son nom m’a fait passer une après-midi exceptionnelle.
• Je m’appelle Bruno.
• Bruno as-tu une voiture ?
• Oui, mais elle est vieille.
• S’il le faut je la pousserai, tu peux me raccompagner, j’aimerais danser encore.
• J’ai eu plaisir à vous faire danser, vous êtes aussi doués que ma maman.
• Oui, mais je dois être bien plus jeune.
J’ai envie de la détromper bien qu’elle ait raison, mais si je suis resté puceau jusqu’à il y a peu, c’est à cause d’une petite timidité qui me caractérise.
Il est presque vingt heures quand nous quittons la boîte et c’est avec appréhension que je lui ouvre la portière de ma titine.
• Merci Bruno, ta maman a fait de toi un bon danseur et aussi un gentleman.
• Merci madame.
• Appelle-moi Giselle.
Elle me guide et me dirige vers les quartiers chics de notre cité.
Nous nous arrêtons devant un haut portail.
Je pense qu’elle va descendre, mais elle prend dans son sac une télécommande et l’ouvre.
• Entre ta voiture, tu as bien mérité un dernier verre.
En me disant cela elle me pose sa main sur ma cuisse.
J’entre et je descends devant la maison de nos rêves à maman et à moi.
Elle me fait entrer, elle me dirige vers une terrasse où je remarque à quelques mètres une piscine d’au moins vingt mètres de long.
• Prends-tu le même tarif que tes collègues ?
Tiens voilà pour toi.
Viens, on va se baigner.
Elle me met dans la main des billets dont le premier est de 200 €.
En même temps avant que j’aie le temps de réagir elle dégraphe sa robe qui tombe au sol me la montrant une fraction de seconde nue divinement calibrée.
Je reste sans voix regardant la liasse dans ma main.
• Allez, met les dans ta poche et viens me rejoindre.
À ce qu’elle me dit je me sens ridicule et comme un robot je fais ce qu’elle me demande.
J’enlève mes affaires gardant mon caleçon et je plonge à son côté.
Je suis à sa hauteur quand je reprends pied.
Elle vient dans mes bras collant sa poitrine bien plus forte que celle de maman avant de me donner sa bouche.
Elle se recule me permettant de reprendre mon souffle.
Il était temps, contrairement à la salle de danse, sa peau nue commence à me faire bander.
• Je vois que tu bandes, si tu me baises aussi bien que tu m’as fait danser, tu es le mâle parfait.
Après ma cuisse dans ma voiture, c’est carrément dans mon caleçon qu’elle entre sa main.
Elle me masturbe doucement, je bande comme jamais.
Est-ce la situation insolite, j’ai conscience qu’elle vient de m’acheter avec ses billets.
En nous embrassant nous sortons de l’eau.
Elle s’allonge sur un matelas posé sur la margelle de sa piscine, me plaçant dans sa fourche.
Ma bouche s'approche de sa chatte, je la lèche doucement, elle coule de plaisir.
J’aime lui reprendre la bouche, avoir ma poitrine sur ses seins et c’est dans la classique position du missionnaire que j’entre en elle.
Je la pénètre plus d’une demi-heure la prenant à la cuillère et aussi en levrette, la faisant jouir trois fois avant de la remplir de mon sperme.
• Merci mon bel étalon !
Je suis satisfait même si j’ai conscience d’avoir changé de monde…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...