COLLECTION ESCORTE BOY. Le bal des vieilles. Début de la saison II (4/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE BOY. Le bal des vieilles. Début de la saison II (4/7)
Véronique ma cliente vient de se mettre en levrette afin que je la sodomise afin de réaliser un fantasme que Stéphane son mari coucher près de moi lui refuse.
Je prends du champagne au bout de mes doigts dans la coupe qu’elle a posée sur la table de nuit et j’en badigeonne son anus.
• Chérie, il me prépare au champagne, ma chatte mouille d’anxiété.
J’ai très envie, mais j’ai très peur d’avoir mal.
• Quand il t’a pris la chatte avant moi, il a été très doux.
Il a l’habitude avec les femmes, c’est pour cela que j’ai souhaité que ta première sodomie soit pratiquée par un professionnel du sexe, c’est son métier de satisfaire les femmes.
• Stéphane à raison Véronique, je vais entrer doucement et si tu me le demandes, je me retirerais, mais pour mieux avancer.
Je suis là pour ton plaisir et être une bonne petite pute.
• J’adore l’idée que c’est toi l’homme qui fasse la pute, à ce jour dans mon esprit pute est lié à femme depuis la nuit des temps.
• À Sodome et Gomorrhe ma chérie, il y avait des esclaves hommes pour satisfaire les notables de la ville.
Assez, parlez, je suis en place, la rosette bien humidifiée dans l’axe de ma bite, aussi j’entre doucement de quelques centimètres jusqu’à ce que mon gland soit presque entièrement à l’intérieur.
J’arrête pour voir sa réaction et contre toute attente elle donne un coup de rein.
Avant que j’aie eu le temps de me ressaisir, je me retrouve emmanché jusqu’à mes couilles.
• Voilà c’est fait, pourquoi hésiter, mais, peux-tu rester deux secondes sans bouger.
J’aspire à devenir un bon pro, pour ma première sodo en professionnelle, car Alice m’ayant dépucelé avait accepté une seule fois que je l’encule.
Mais surtout j’étais rentré moins loin dans le fion de Véronique.
J’attends avant de la prendre par les hanches et de manœuvrer dans son cul bien plus étroit que lorsque j’étais entré dans sa chatte.
D’un coup je sens des jets humides sortir de la chatte de Véronique, inondant mes jambes et le lit.
Elle me fait voir qu’elle est heureuse quand mon foutre part en gerbes successives faisant sortir des petits veulement du fond de sa gorge.
Je me retire et Stéphane nous tend deux coupes de champagne.
• À ton dépucelage ma chérie, tu es toujours aussi dévergondé, tu as été fontaine.
C’est la première fois depuis notre nuit de noce, je désespérais de te voir remettre cela.
Fontaine, tu as été fontaine, demain, il va falloir que j’aille voir sur Internet.
• Tu as déjà eu une femme fontaine comme cliente !
C’est surprenant quand le vagin de la femme expulse de la cyprine en quantité phénoménale, regarde, elle a mouillé tout le lit.
• C’est parti tout seul, Bruno me limait tendrement sans me faire mal et c’est parti d’un coup, de longs jets, je voulais m’arrêter, mais c’était impossible et s’était bon.
Contrairement à mes habitudes je prends la coupe de champagne et j’y trempe mes lèvres.
C’est la première fois que mes lèvres touchent une boisson alcoolisée et je dois reconnaître que j’aime cela.
Un peu pompette j’attends que ma cliente émette son deuxième fantasme, ce qui arrive au bout de quelques minutes le temps d’avaler sa coupe de champagne.
Pour la finir Stéphane lui en verse, une dernière.
Si je suis pompette, Véronique est carrément bourrée.
Mais assez lucide pour nous exposer son principal fantasme d’où mon engagement très bien rémunéré.
• Voyer mon principal fantasme, vous allez me prendre en double pénétration.
Stéphane couche-toi sur le lit je vais te sucer la queue pour que tu recommences à bander.
• Non, c’est moi qui passe sous toi, Stéphane, j’aimerais que ce soi toi qui aies le plaisir d’enculer ta femme.
• Tu sais que je suis rébarbatif.
• Pour la première fois, met une capote tu auras l'impression d’être dans sa chatte.
• Je suis d’accord Stéphane, c’est ma soirée d’anniversaire.
Quarante ans et bientôt vingt ans de vie commune sans que mon amour daigne m’enculer.
Regarde Bruno, il m’a dépucelé et il est prêt à recommencer, fais-moi plaisir mon petit cœur.
• Tu sais me prendre par les sentiments et tu sais que tu peux tout te permettre avec moi, tu fais de moi ton toutou, mais j’adore cela.
Ouaf, ouaf.
Ce sont les seuls mots qui sortent de sa bouche quand elle se sent prise des deux côtés.
La sensation est nouvelle pour moi, car je sens la verge de Stéphane coulisser et me toucher à travers son périnée.
Il est tellement fin que j’ai l’impression que sa verge est directement en contact avec la mienne.
Elle jouit et nous arrose principalement moi sur le ventre et Stéphane sur les jambes avant de crier un grand coup traversé par un orgasme.
• Je vous quitte, Stéphane tu vas prendre Véronique par l’anus dès qu’elle sera remise de cette double.
• Stéphane apporte-moi mon sac à main.
Elle en sort, un porte-monnaie l’ouvre et me tend un billet de 500 €.
• Merci Bruno grâce à vous j’ai passé le cap de quarante ans sans trop me poser de question.
J’ai réalisé mon fantasme le plus cher et Stéphane sa phobie de mon fondement même si j’ai divinement mal au cul.
Chéri on profite de la chambre toute cette nuit, tu trouveras bien le moyen de m’en remettre un petit coup quand tu auras un petit peu récupéré.
Je vais prendre une douche et je sors discrètement de la chambre, Véronique masturbant Stéphane négligement en le regardant au fond des yeux.
Une nouvelle fois ayant été à la hauteur de ce que j’appellerais mon nouveau métier je rentre à la maison.
• Maman, je t’emmène au restaurant, fais-toi belle même si tu l’es déjà.
• Tu as de l’argent pour payer, tu sais, je suis loin d’être riche, mais comment fais-tu ?
• Aucun problème, hier après midi j’ai commencé mon nouveau travail et ma patronne m’a fait gagner de l’argent et surtout j’ai même eu une plus-value de 500 €.
• 500, plus de la moitié de ce que je gagne en un mois à faire mes ménages.
Nous allons dans un resto aussi select que celui où j’étais hier avec Véronique et Stéphane.
Maman restera toujours la même, car elle semble décalée dans cette salle malgré comme je l’ai dit, à mes yeux, c’est la plus jolie des femmes de la salle.
• Allo Bruno, je contrôlais que tout va bien et que tu étais prêt à me rendre un petit service rémunéré, es-tu libre samedi en quinze, le 12.
• Le 12 attend, je regarde.
Le 11 en soirée j’ai une cliente et une autre le 14 !
Le samedi je serais content de te retrouver.
• Tu connais la boutique pour hommes de la rue piétonne qui fait des costumes sur mesure ?
• Oui, c’est hors de prix même si ces temps-ci mon portefeuille se porte plutôt bien grâce à toi.
Je viens de louer un petit studio près du dancing ou je vais pouvoir emmener mes clientes.
Plusieurs on dit qu’elles étaient prêtes à venir avec moi, mais sont dans l’incapacité d’aller chez elles et refusent l’hôtel.
Que vais-je faire là-bas ?
• Tu y vas sans poser de question, je les préviens tu te fais confectionner un costume et je le réglerais.
Le samedi tu viendras chez moi à 20 heures, mes parents seront là et je leur présenterais mon fiancé.
• Ton fiancé, tu aurais pu me prévenir, j’aurais acheté une bague.
• Arrête de dire des conneries.
Je t’explique, depuis des mois ils veulent que je vive ma vie de femme et espèrent que je vais me marier afin de leur donner des petits enfants.
Tu joueras le jeu de mon fiancé et je serais tranquille pendant des semaines.
Donc, beau costume sur mesure pour bien présenter, mon père fait le même travail que moi dans la finance et il faut que tu sois à sa hauteur.
Mais je suis certaine que tu sauras donner le change.
Bien sûr, ta soirée sera payée et si tu arrives à les calmer dans cette envie de me voir marier, je te ferais un super cadeau.
Super contrat, si je comprends bien à part donner le change à ses parents, sexuellement ce sera une soirée de repos, je me vois mal la baiser dans la maison de ses parents.
Je fais mes soirées qui sont programmées et le samedi je suis à l’heure dans mon costume sur mesure.
• Papa, maman, je vous présente Bruno, nous nous sommes rencontrés à une soirée et nous avons eu le coup de foudre.
Je sais père, il est un peu plus jeune que moi mais Bruno est tellement mature que tu comprendras pourquoi nous nous sommes choisi.
En lui disant cela elle se pend à mon bras et je l’embrasse de façon langoureusement en rajoutant un peu.
• Je t’aime.
• Moi aussi mon cœur arrête de me faire tes yeux de biche, malgré tes parents je serais capable de leur demander de nous attendre quelques minutes.
Mais le savoir-vivre va te faire attendre que nous ayons mangé le bon repas que tu as dû nous faire livrer.
• Si j’avais su, Richard nous serions venus en début d’après-midi et je vous aurais cuisiné ma spécialité, les épinards à la crème de framboise et aux airelles, c’est un délice.
• Dommage belle-maman j’adore les épinards, mais c’est parti remis.
Tu vois Giselle je t’avais proposé de préparer moi-même le repas, mais tu as eu peur que je perde de l’argent dans une transaction importante qu’évidemment j’ai remportée.
• Elle portait sur quel groupe industriel ?
• Secret beau-papa, vous, plus que quiconque sait que ces transactions se font dans le plus grand secret même avec le respect que je vous dois.
Vous seriez capable de surenchérir et de me faire perdre des milliers d’euros.
• C’est bien ma fille, Bruno est à bonne école, tu t’es souvenue de ta première affaire que je t’ai piquée sans aucun scrupule pour t’apprendre l’a. b. c. de notre métier.
Bruno venez prendre que je vous serve un apéritif.
• Sans alcool pour moi.
Dommage, maman m’a appris à danser et à faire la cuisine, le dernier Noël, c’est moi qui ai préparé notre réveillon.
Le repas terminé je vois une chaîne stéréo, je vais mettre un CD de danse.
• Belle-maman, permettez-moi de vous inviter à danser…
Je prends du champagne au bout de mes doigts dans la coupe qu’elle a posée sur la table de nuit et j’en badigeonne son anus.
• Chérie, il me prépare au champagne, ma chatte mouille d’anxiété.
J’ai très envie, mais j’ai très peur d’avoir mal.
• Quand il t’a pris la chatte avant moi, il a été très doux.
Il a l’habitude avec les femmes, c’est pour cela que j’ai souhaité que ta première sodomie soit pratiquée par un professionnel du sexe, c’est son métier de satisfaire les femmes.
• Stéphane à raison Véronique, je vais entrer doucement et si tu me le demandes, je me retirerais, mais pour mieux avancer.
Je suis là pour ton plaisir et être une bonne petite pute.
• J’adore l’idée que c’est toi l’homme qui fasse la pute, à ce jour dans mon esprit pute est lié à femme depuis la nuit des temps.
• À Sodome et Gomorrhe ma chérie, il y avait des esclaves hommes pour satisfaire les notables de la ville.
Assez, parlez, je suis en place, la rosette bien humidifiée dans l’axe de ma bite, aussi j’entre doucement de quelques centimètres jusqu’à ce que mon gland soit presque entièrement à l’intérieur.
J’arrête pour voir sa réaction et contre toute attente elle donne un coup de rein.
Avant que j’aie eu le temps de me ressaisir, je me retrouve emmanché jusqu’à mes couilles.
• Voilà c’est fait, pourquoi hésiter, mais, peux-tu rester deux secondes sans bouger.
J’aspire à devenir un bon pro, pour ma première sodo en professionnelle, car Alice m’ayant dépucelé avait accepté une seule fois que je l’encule.
Mais surtout j’étais rentré moins loin dans le fion de Véronique.
J’attends avant de la prendre par les hanches et de manœuvrer dans son cul bien plus étroit que lorsque j’étais entré dans sa chatte.
D’un coup je sens des jets humides sortir de la chatte de Véronique, inondant mes jambes et le lit.
Elle me fait voir qu’elle est heureuse quand mon foutre part en gerbes successives faisant sortir des petits veulement du fond de sa gorge.
Je me retire et Stéphane nous tend deux coupes de champagne.
• À ton dépucelage ma chérie, tu es toujours aussi dévergondé, tu as été fontaine.
C’est la première fois depuis notre nuit de noce, je désespérais de te voir remettre cela.
Fontaine, tu as été fontaine, demain, il va falloir que j’aille voir sur Internet.
• Tu as déjà eu une femme fontaine comme cliente !
C’est surprenant quand le vagin de la femme expulse de la cyprine en quantité phénoménale, regarde, elle a mouillé tout le lit.
• C’est parti tout seul, Bruno me limait tendrement sans me faire mal et c’est parti d’un coup, de longs jets, je voulais m’arrêter, mais c’était impossible et s’était bon.
Contrairement à mes habitudes je prends la coupe de champagne et j’y trempe mes lèvres.
C’est la première fois que mes lèvres touchent une boisson alcoolisée et je dois reconnaître que j’aime cela.
Un peu pompette j’attends que ma cliente émette son deuxième fantasme, ce qui arrive au bout de quelques minutes le temps d’avaler sa coupe de champagne.
Pour la finir Stéphane lui en verse, une dernière.
Si je suis pompette, Véronique est carrément bourrée.
Mais assez lucide pour nous exposer son principal fantasme d’où mon engagement très bien rémunéré.
• Voyer mon principal fantasme, vous allez me prendre en double pénétration.
Stéphane couche-toi sur le lit je vais te sucer la queue pour que tu recommences à bander.
• Non, c’est moi qui passe sous toi, Stéphane, j’aimerais que ce soi toi qui aies le plaisir d’enculer ta femme.
• Tu sais que je suis rébarbatif.
• Pour la première fois, met une capote tu auras l'impression d’être dans sa chatte.
• Je suis d’accord Stéphane, c’est ma soirée d’anniversaire.
Quarante ans et bientôt vingt ans de vie commune sans que mon amour daigne m’enculer.
Regarde Bruno, il m’a dépucelé et il est prêt à recommencer, fais-moi plaisir mon petit cœur.
• Tu sais me prendre par les sentiments et tu sais que tu peux tout te permettre avec moi, tu fais de moi ton toutou, mais j’adore cela.
Ouaf, ouaf.
Ce sont les seuls mots qui sortent de sa bouche quand elle se sent prise des deux côtés.
La sensation est nouvelle pour moi, car je sens la verge de Stéphane coulisser et me toucher à travers son périnée.
Il est tellement fin que j’ai l’impression que sa verge est directement en contact avec la mienne.
Elle jouit et nous arrose principalement moi sur le ventre et Stéphane sur les jambes avant de crier un grand coup traversé par un orgasme.
• Je vous quitte, Stéphane tu vas prendre Véronique par l’anus dès qu’elle sera remise de cette double.
• Stéphane apporte-moi mon sac à main.
Elle en sort, un porte-monnaie l’ouvre et me tend un billet de 500 €.
• Merci Bruno grâce à vous j’ai passé le cap de quarante ans sans trop me poser de question.
J’ai réalisé mon fantasme le plus cher et Stéphane sa phobie de mon fondement même si j’ai divinement mal au cul.
Chéri on profite de la chambre toute cette nuit, tu trouveras bien le moyen de m’en remettre un petit coup quand tu auras un petit peu récupéré.
Je vais prendre une douche et je sors discrètement de la chambre, Véronique masturbant Stéphane négligement en le regardant au fond des yeux.
Une nouvelle fois ayant été à la hauteur de ce que j’appellerais mon nouveau métier je rentre à la maison.
• Maman, je t’emmène au restaurant, fais-toi belle même si tu l’es déjà.
• Tu as de l’argent pour payer, tu sais, je suis loin d’être riche, mais comment fais-tu ?
• Aucun problème, hier après midi j’ai commencé mon nouveau travail et ma patronne m’a fait gagner de l’argent et surtout j’ai même eu une plus-value de 500 €.
• 500, plus de la moitié de ce que je gagne en un mois à faire mes ménages.
Nous allons dans un resto aussi select que celui où j’étais hier avec Véronique et Stéphane.
Maman restera toujours la même, car elle semble décalée dans cette salle malgré comme je l’ai dit, à mes yeux, c’est la plus jolie des femmes de la salle.
• Allo Bruno, je contrôlais que tout va bien et que tu étais prêt à me rendre un petit service rémunéré, es-tu libre samedi en quinze, le 12.
• Le 12 attend, je regarde.
Le 11 en soirée j’ai une cliente et une autre le 14 !
Le samedi je serais content de te retrouver.
• Tu connais la boutique pour hommes de la rue piétonne qui fait des costumes sur mesure ?
• Oui, c’est hors de prix même si ces temps-ci mon portefeuille se porte plutôt bien grâce à toi.
Je viens de louer un petit studio près du dancing ou je vais pouvoir emmener mes clientes.
Plusieurs on dit qu’elles étaient prêtes à venir avec moi, mais sont dans l’incapacité d’aller chez elles et refusent l’hôtel.
Que vais-je faire là-bas ?
• Tu y vas sans poser de question, je les préviens tu te fais confectionner un costume et je le réglerais.
Le samedi tu viendras chez moi à 20 heures, mes parents seront là et je leur présenterais mon fiancé.
• Ton fiancé, tu aurais pu me prévenir, j’aurais acheté une bague.
• Arrête de dire des conneries.
Je t’explique, depuis des mois ils veulent que je vive ma vie de femme et espèrent que je vais me marier afin de leur donner des petits enfants.
Tu joueras le jeu de mon fiancé et je serais tranquille pendant des semaines.
Donc, beau costume sur mesure pour bien présenter, mon père fait le même travail que moi dans la finance et il faut que tu sois à sa hauteur.
Mais je suis certaine que tu sauras donner le change.
Bien sûr, ta soirée sera payée et si tu arrives à les calmer dans cette envie de me voir marier, je te ferais un super cadeau.
Super contrat, si je comprends bien à part donner le change à ses parents, sexuellement ce sera une soirée de repos, je me vois mal la baiser dans la maison de ses parents.
Je fais mes soirées qui sont programmées et le samedi je suis à l’heure dans mon costume sur mesure.
• Papa, maman, je vous présente Bruno, nous nous sommes rencontrés à une soirée et nous avons eu le coup de foudre.
Je sais père, il est un peu plus jeune que moi mais Bruno est tellement mature que tu comprendras pourquoi nous nous sommes choisi.
En lui disant cela elle se pend à mon bras et je l’embrasse de façon langoureusement en rajoutant un peu.
• Je t’aime.
• Moi aussi mon cœur arrête de me faire tes yeux de biche, malgré tes parents je serais capable de leur demander de nous attendre quelques minutes.
Mais le savoir-vivre va te faire attendre que nous ayons mangé le bon repas que tu as dû nous faire livrer.
• Si j’avais su, Richard nous serions venus en début d’après-midi et je vous aurais cuisiné ma spécialité, les épinards à la crème de framboise et aux airelles, c’est un délice.
• Dommage belle-maman j’adore les épinards, mais c’est parti remis.
Tu vois Giselle je t’avais proposé de préparer moi-même le repas, mais tu as eu peur que je perde de l’argent dans une transaction importante qu’évidemment j’ai remportée.
• Elle portait sur quel groupe industriel ?
• Secret beau-papa, vous, plus que quiconque sait que ces transactions se font dans le plus grand secret même avec le respect que je vous dois.
Vous seriez capable de surenchérir et de me faire perdre des milliers d’euros.
• C’est bien ma fille, Bruno est à bonne école, tu t’es souvenue de ta première affaire que je t’ai piquée sans aucun scrupule pour t’apprendre l’a. b. c. de notre métier.
Bruno venez prendre que je vous serve un apéritif.
• Sans alcool pour moi.
Dommage, maman m’a appris à danser et à faire la cuisine, le dernier Noël, c’est moi qui ai préparé notre réveillon.
Le repas terminé je vois une chaîne stéréo, je vais mettre un CD de danse.
• Belle-maman, permettez-moi de vous inviter à danser…
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