COLLECTION ESCORTE - GIRL. Carole (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE - GIRL. Carole (1/3)
- Nous avons retenu votre candidature au poste de responsable adjointe des achats.
Votre salaire sera de 2 000 € à vos débuts et 2 500 après votre période d’essai d’un mois.
La maison mère de nos magasins se trouve à Paris.
Si nous arrivons à tomber d’accord, vous irez faire un séminaire pendant quatre jours !
Tous frais payés bien sûr.
Vous y apprendrez les valeurs de notre société, nous sommes très stricts sur quelques points, surtout la morale de nos employés.
Je m’appelle Carole, j’ai 22 ans, je viens d’être reçue à mon BTS, force de vente, et j’ai répondu à une petite annonce de ce centre commercial, le plus gros de notre ville près d’Orléans.
Je suis fiancé à Luc, je l’ai connu dans mon lycée au moment du bac.
Joli garçon, mais je dois le dire, peu porté sur le sexe.
J’ai des moments de frustration surtout que depuis mon adolescence, j’ai rapidement su satisfaire mon corps.
Cette formation est fastidieuse, surtout que tous les participants sont chiants à mourir.
Même le grand patron daignant passer nous voir comme s’il nous faisait l’aumône de sa présence est gros et con à en crever.
Si je pouvais éviter de prendre ce travail, je me lèverais et je partirais en courant.
Je déposerai ma lettre de démission sur le coin du bureau du plus mauvais animateur que la France puisse connaître.
J’espère qu’à la fin une estimation de ces quatre jours sera faite anonymement bien sûr, je lâcherai mon fiel à la hauteur du temps où je me suis emmerdée.
Trois nuits que les six participants garçons et deux filles dont moi passe tout leur temps ensemble.
Pardon du matin jusqu’à 17 heures fin de mon calvaire ou prétextant une indisposition, j’évite la sortie apéro et bouffe dans une brasserie voisine.
Chaque soir, je me fais servir un plat par le roomservice, la direction en trouvera la note lorsque nous serons partis.
S’il me convoque dans notre magasin, je trouverai bien le moyen de biaiser, proposant même de les rembourser.
Hélas, ce soir, c’est le dernier jour et je suis coincée par un repas dans la salle de l’hôtel qui nous héberge, ce repas se tiendra à partir de 20 heures.
Difficile d’y échapper, buffet froid avec la présence d’Adrien, numéro 2 de la société nettement plus bandant qu’Albert le directeur principal indisponible ce soir.
Il est 21 heures, j’en ai ras la casquette des minauderies des uns et des autres, surtout celle que peut faire Babette bretonne du magasin de Quimper, qui cherche par tous les moyens à s’accaparer Adrien.
Pour cette soirée, moi qui aime les tenues décontractées, j’ai mis le tailleur beige que Luc aime me voir porté.
Même s’il est peu porté sur la chose, ce tailleur l’excite, car il dit que ça fait ressortir mes fesses.
Il est vrai que j’aime mes fesses et mon clitoris qui démarre à la moindre sollicitation.
Pendant ces trois premières nuits, films érotiques que je regarde sur la chaîne payante ainsi que mon gode que j’ai emmené et qui me sert chez moi lorsque je suis frustrée.
Toute seule, je me suis satisfaite me calmant mes nerfs.
Dans le buffet, je prends deux mini-quiches et deux mini-sandwichs au foie de canard.
Leurs magasins vendent du foie gras, mais pour le petit peuple comme nous, ils doivent penser que de la mousse nous suffit.
Je prends un verre de blanc servi dans des carafes.
J’aime le vin, ils auraient mis de la pisse d’âne mise au frais pour faire passer la pilule, ça serait du pareil au même.
Un besoin naturel devient pressant, j’ai mon petit baise-en-ville ou j’ai mis ma clef magnétique de chambre et un léger nécessaire de maquillage.
Bien sûr, sans oublier un petit paquet de mouchoirs en papier toujours très utile.
Je quitte la salle discrètement, à droite, la porte est ouverte et quelques convives dînent la plupart en couple dans la salle du restaurant.
Toilettes, avec la figurine en jupe, j’entre, je me soulage.
Je refais une touche de maquillage me regardant dans la grande glace de ces toilettes pour femmes.
Je serais une autre, je m’aimerais, car je me trouve bandante à souhait.
Comment Luc peut-il être si peu actif, moi qui suis prête à tout accepter de lui ?
Demain, je vais lui dire que s’il continue à rester passif, je prendrai un amant, ça le débloquera peut-être.
Peu d’hommes acceptent d’être cocus.
Lorsque je passe devant la salle à quelques mètres de celle où je vais retourner m’emmerder encore quelques minutes, j’entends un air de slow langoureux.
Cloclo, ça vient d’une porte à quelques mètres.
« Bar »
J’entre, seul un serveur lavant des verres est derrière le bar.
Je vais m’assoir sur un tabouret haut, ce qui montre mes jarretelles, car sous ce tailleur, j’aime en porter.
- Un whisky, s’il vous plait.
Il me sert et pousse le verre vers moi.
- Vous êtes à l’hôtel, je vous ai déjà vu !
Votre numéro de chambre, s’il vous plait.
Lorsque le barman me dit ça, je prends conscience que ma carte bleue est restée dans la veste que je portais avec mon jean et mes petites chaussures à talon plat noires cette après-midi.
- Oui, la 82 !
- Je mets votre verre sur votre compte.
- Merci.
Je bois mon verre tranquillement quand un homme entre.
Du moins, je le vois dans la glace derrière le barman.
Costume trois pièces, aussi bien mis qu’Adrien notre directeur adjoint.
Il vient s’assoir près de moi alors qu’il y a deux autres tabourets.
- Un whisky comme madame s’il vous plait.
Il se penche vers moi.
- Carole ?
- Oui.
- Excusez mon retard, j’étais en visio avec mon patron et il me tenait la jambe pour des futilités.
Ça c’est ce qui était convenu.
Il pousse vers-moi, une enveloppe qui me paraît bien remplie.
J’ai vu des escortes recevoir leur enveloppe et monter baiser avec leur client.
Je veux voir ou tout ça va me mener, pour un soir où je m’amuse, je la prends et la range dans mon baise-en-ville.
- J’ai de la chance, c’est la deuxième fois que je sollicite une escorte sur votre site et je dois dire que vous êtes deux fois plus belle que vos photos.
- Merci du compliment, vous savez, les photos sont souvent décevantes.
- Je vois que vous avez fini votre verre, en voulez-vous un autre.
- Vous cherchez à me saouler, pour mieux profiter de moi.
- C’est mal me connaître, vous pouvez compter sur moi pour être chevaleresque, c’est vous qui dirigerez nos ébats, mais avant allons dîner.
La tuile, j’ai déjà dîné dans l’autre salle, heureusement que j’ai mangé frugalement.
Nous rejoignons le restaurant.
Nous passons devant de la salle où la réception a lieu, la porte est vitrée et je vois qu’il y a encore du monde.
- Bonsoir, madame, monsieur, aviez-vous réservé !
- Oui, monsieur Michel et madame.
- Nous vous attendions, nous avons prévu de vous mettre à cette table.
- Ça ira, c’est parfait.
- Michel, s’il te plait.
- Oui, Carole ma chérie, tu as un problème.
- Je préférerais cette table dans le coin.
- Madame, nous sommes là pour votre plaisir.
Firmin, pouvez-vous enlever le couvert des personnes qui viennent de partir et la dresser afin que ces personnes s’installent.
Je fais le nécessaire, ça va nous prendre cinq minutes.
Caprice d’escorte ?
Non, la table qu’elle nous proposait était dans l’axe de la porte que j’avais vue ouverte en allant aux toilettes.
Nous nous installons rapidement.
Chevaleresque, il attend que je sois assise et pousse ma chaise.
Luc lui se serait assis sans plus de manière.
Je m’amuse comme une petite folle.
Il sera toujours temps de dire à Michel qu’il s’est trompé et que si le destin a voulu que j’aie le même nom que la pute à qui il avait donné rendez-vous, je suis une jeune femme respectable.
Il sera toujours temps de lui rendre son argent et même s’il le veut d’aller baiser dans la chambre qu’il a dû réserver.
Je sais, où est la respectabilité d’aller baiser avec un inconnu.
- Tu as eu raison, cette table est plus discrète, regarde ce pilier nous cache des quelques clients qui sont ici.
Que veux-tu manger, je te suggère, le foie gras maison ?
La gibelotte d’agneau aux petits navets nouveaux.
En dessert, nous verrons suivant notre faim.
Leurs soufflés sont succulant.
- Je vois que monsieur est déjà venu et sait ce qui est bon.
En boisson, je vous envoie notre sommelier.
Le sommelier est une sommelière.
- Bonsoir, madame, monsieur que prendrez-vous ?
- Ma chérie, blanc ou rouge.
Verre de sauterne avec le foie gras et bouteille de pommard 2009 dont la sommelière nous dit que c’est une année exceptionnelle.
Dire que j’avais dix ans quand les raisins ont été récoltés.
Le repas se passe bien, nous parlons de nos goûts, je m’invente une ferme que je rénove de mes propres mains d’où mon activité parallèle.
Lui, c’est le vélo, il fait presque deux cents kilomètres, chaque week-end.
- Je vois que tu as enlevé ton alliance, ce soleil est un peu bête, il laisse des traces.
- Quand je l’ai ôté je savais que c’était con, mais j’ai l’impression d’un geste de fidélité.
Il a sa main posée sur la table.
Que ferait la vraie Carole, avec son client ?
Je décide de jouer un petit peu en attendant la gibelotte.
Je pose ma main sur la sienne et je regarde si l’on peut nous voir.
La salle est presque vide et le pilier nous protège.
- Michel glisse ta main libre sous la table, j’avance mon bassin et ôte-moi ma petite culotte...
Votre salaire sera de 2 000 € à vos débuts et 2 500 après votre période d’essai d’un mois.
La maison mère de nos magasins se trouve à Paris.
Si nous arrivons à tomber d’accord, vous irez faire un séminaire pendant quatre jours !
Tous frais payés bien sûr.
Vous y apprendrez les valeurs de notre société, nous sommes très stricts sur quelques points, surtout la morale de nos employés.
Je m’appelle Carole, j’ai 22 ans, je viens d’être reçue à mon BTS, force de vente, et j’ai répondu à une petite annonce de ce centre commercial, le plus gros de notre ville près d’Orléans.
Je suis fiancé à Luc, je l’ai connu dans mon lycée au moment du bac.
Joli garçon, mais je dois le dire, peu porté sur le sexe.
J’ai des moments de frustration surtout que depuis mon adolescence, j’ai rapidement su satisfaire mon corps.
Cette formation est fastidieuse, surtout que tous les participants sont chiants à mourir.
Même le grand patron daignant passer nous voir comme s’il nous faisait l’aumône de sa présence est gros et con à en crever.
Si je pouvais éviter de prendre ce travail, je me lèverais et je partirais en courant.
Je déposerai ma lettre de démission sur le coin du bureau du plus mauvais animateur que la France puisse connaître.
J’espère qu’à la fin une estimation de ces quatre jours sera faite anonymement bien sûr, je lâcherai mon fiel à la hauteur du temps où je me suis emmerdée.
Trois nuits que les six participants garçons et deux filles dont moi passe tout leur temps ensemble.
Pardon du matin jusqu’à 17 heures fin de mon calvaire ou prétextant une indisposition, j’évite la sortie apéro et bouffe dans une brasserie voisine.
Chaque soir, je me fais servir un plat par le roomservice, la direction en trouvera la note lorsque nous serons partis.
S’il me convoque dans notre magasin, je trouverai bien le moyen de biaiser, proposant même de les rembourser.
Hélas, ce soir, c’est le dernier jour et je suis coincée par un repas dans la salle de l’hôtel qui nous héberge, ce repas se tiendra à partir de 20 heures.
Difficile d’y échapper, buffet froid avec la présence d’Adrien, numéro 2 de la société nettement plus bandant qu’Albert le directeur principal indisponible ce soir.
Il est 21 heures, j’en ai ras la casquette des minauderies des uns et des autres, surtout celle que peut faire Babette bretonne du magasin de Quimper, qui cherche par tous les moyens à s’accaparer Adrien.
Pour cette soirée, moi qui aime les tenues décontractées, j’ai mis le tailleur beige que Luc aime me voir porté.
Même s’il est peu porté sur la chose, ce tailleur l’excite, car il dit que ça fait ressortir mes fesses.
Il est vrai que j’aime mes fesses et mon clitoris qui démarre à la moindre sollicitation.
Pendant ces trois premières nuits, films érotiques que je regarde sur la chaîne payante ainsi que mon gode que j’ai emmené et qui me sert chez moi lorsque je suis frustrée.
Toute seule, je me suis satisfaite me calmant mes nerfs.
Dans le buffet, je prends deux mini-quiches et deux mini-sandwichs au foie de canard.
Leurs magasins vendent du foie gras, mais pour le petit peuple comme nous, ils doivent penser que de la mousse nous suffit.
Je prends un verre de blanc servi dans des carafes.
J’aime le vin, ils auraient mis de la pisse d’âne mise au frais pour faire passer la pilule, ça serait du pareil au même.
Un besoin naturel devient pressant, j’ai mon petit baise-en-ville ou j’ai mis ma clef magnétique de chambre et un léger nécessaire de maquillage.
Bien sûr, sans oublier un petit paquet de mouchoirs en papier toujours très utile.
Je quitte la salle discrètement, à droite, la porte est ouverte et quelques convives dînent la plupart en couple dans la salle du restaurant.
Toilettes, avec la figurine en jupe, j’entre, je me soulage.
Je refais une touche de maquillage me regardant dans la grande glace de ces toilettes pour femmes.
Je serais une autre, je m’aimerais, car je me trouve bandante à souhait.
Comment Luc peut-il être si peu actif, moi qui suis prête à tout accepter de lui ?
Demain, je vais lui dire que s’il continue à rester passif, je prendrai un amant, ça le débloquera peut-être.
Peu d’hommes acceptent d’être cocus.
Lorsque je passe devant la salle à quelques mètres de celle où je vais retourner m’emmerder encore quelques minutes, j’entends un air de slow langoureux.
Cloclo, ça vient d’une porte à quelques mètres.
« Bar »
J’entre, seul un serveur lavant des verres est derrière le bar.
Je vais m’assoir sur un tabouret haut, ce qui montre mes jarretelles, car sous ce tailleur, j’aime en porter.
- Un whisky, s’il vous plait.
Il me sert et pousse le verre vers moi.
- Vous êtes à l’hôtel, je vous ai déjà vu !
Votre numéro de chambre, s’il vous plait.
Lorsque le barman me dit ça, je prends conscience que ma carte bleue est restée dans la veste que je portais avec mon jean et mes petites chaussures à talon plat noires cette après-midi.
- Oui, la 82 !
- Je mets votre verre sur votre compte.
- Merci.
Je bois mon verre tranquillement quand un homme entre.
Du moins, je le vois dans la glace derrière le barman.
Costume trois pièces, aussi bien mis qu’Adrien notre directeur adjoint.
Il vient s’assoir près de moi alors qu’il y a deux autres tabourets.
- Un whisky comme madame s’il vous plait.
Il se penche vers moi.
- Carole ?
- Oui.
- Excusez mon retard, j’étais en visio avec mon patron et il me tenait la jambe pour des futilités.
Ça c’est ce qui était convenu.
Il pousse vers-moi, une enveloppe qui me paraît bien remplie.
J’ai vu des escortes recevoir leur enveloppe et monter baiser avec leur client.
Je veux voir ou tout ça va me mener, pour un soir où je m’amuse, je la prends et la range dans mon baise-en-ville.
- J’ai de la chance, c’est la deuxième fois que je sollicite une escorte sur votre site et je dois dire que vous êtes deux fois plus belle que vos photos.
- Merci du compliment, vous savez, les photos sont souvent décevantes.
- Je vois que vous avez fini votre verre, en voulez-vous un autre.
- Vous cherchez à me saouler, pour mieux profiter de moi.
- C’est mal me connaître, vous pouvez compter sur moi pour être chevaleresque, c’est vous qui dirigerez nos ébats, mais avant allons dîner.
La tuile, j’ai déjà dîné dans l’autre salle, heureusement que j’ai mangé frugalement.
Nous rejoignons le restaurant.
Nous passons devant de la salle où la réception a lieu, la porte est vitrée et je vois qu’il y a encore du monde.
- Bonsoir, madame, monsieur, aviez-vous réservé !
- Oui, monsieur Michel et madame.
- Nous vous attendions, nous avons prévu de vous mettre à cette table.
- Ça ira, c’est parfait.
- Michel, s’il te plait.
- Oui, Carole ma chérie, tu as un problème.
- Je préférerais cette table dans le coin.
- Madame, nous sommes là pour votre plaisir.
Firmin, pouvez-vous enlever le couvert des personnes qui viennent de partir et la dresser afin que ces personnes s’installent.
Je fais le nécessaire, ça va nous prendre cinq minutes.
Caprice d’escorte ?
Non, la table qu’elle nous proposait était dans l’axe de la porte que j’avais vue ouverte en allant aux toilettes.
Nous nous installons rapidement.
Chevaleresque, il attend que je sois assise et pousse ma chaise.
Luc lui se serait assis sans plus de manière.
Je m’amuse comme une petite folle.
Il sera toujours temps de dire à Michel qu’il s’est trompé et que si le destin a voulu que j’aie le même nom que la pute à qui il avait donné rendez-vous, je suis une jeune femme respectable.
Il sera toujours temps de lui rendre son argent et même s’il le veut d’aller baiser dans la chambre qu’il a dû réserver.
Je sais, où est la respectabilité d’aller baiser avec un inconnu.
- Tu as eu raison, cette table est plus discrète, regarde ce pilier nous cache des quelques clients qui sont ici.
Que veux-tu manger, je te suggère, le foie gras maison ?
La gibelotte d’agneau aux petits navets nouveaux.
En dessert, nous verrons suivant notre faim.
Leurs soufflés sont succulant.
- Je vois que monsieur est déjà venu et sait ce qui est bon.
En boisson, je vous envoie notre sommelier.
Le sommelier est une sommelière.
- Bonsoir, madame, monsieur que prendrez-vous ?
- Ma chérie, blanc ou rouge.
Verre de sauterne avec le foie gras et bouteille de pommard 2009 dont la sommelière nous dit que c’est une année exceptionnelle.
Dire que j’avais dix ans quand les raisins ont été récoltés.
Le repas se passe bien, nous parlons de nos goûts, je m’invente une ferme que je rénove de mes propres mains d’où mon activité parallèle.
Lui, c’est le vélo, il fait presque deux cents kilomètres, chaque week-end.
- Je vois que tu as enlevé ton alliance, ce soleil est un peu bête, il laisse des traces.
- Quand je l’ai ôté je savais que c’était con, mais j’ai l’impression d’un geste de fidélité.
Il a sa main posée sur la table.
Que ferait la vraie Carole, avec son client ?
Je décide de jouer un petit peu en attendant la gibelotte.
Je pose ma main sur la sienne et je regarde si l’on peut nous voir.
La salle est presque vide et le pilier nous protège.
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