COLLECTION ESCORTE – GIRL. Carole (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE – GIRL. Carole (3/3)
Je vais m’excuser, j’ai eu une petite panne de paupière et je pense que j’ai dormi quelques minutes.
Combien de temps dure ma panne, je l’ignore ?
D’un coup je me réveille ou suis-je ?
C’est vrai l’homme qui est couché sur le ventre en travers du lit, c’est Michel, celui qui a fait de moi une pute.
5 000 € pour satisfaire cet homme loin d’être décrépi, ça m’a propulsé dans le monde des escortes se servant de leur cul pour vivre.
Après la méprise au bar par Michel, ayant certainement rendez-vous avec une autre Carole, je peux me sortir de cette impression en sortant l’enveloppe de mon sac.
Je la pose bien en vue à ses côtés et je rejoins la chambre voisine où pour la première fois mon gode restera, dans sa housse, être pute, c’est un métier crevant.
Je me lève, mais lorsque j’ai mon baise-en-ville en main, je pense à tout ce que je vais pouvoir faire pour m’installer chez Luc près d’Orléans.
Et que lui dirais-je d’avoir accepté de dîner alors que j’étais une autre.
Certes sexuellement, j’ai l’impression que je l’ai comblé, mais c’est sur un coup de tête que je ramasse mes affaires.
Je glisse ma main dans mon sac pour récupérer ma clef magnétique et nue mes vêtements et chaussures sous le bras, je me glisse hors de la chambre.
Les chambres sont toutes identiques, le réveil incorporé dans la tête de lit me montre qu’il est presque cinq heures.
Un dernier regard vers celui qui aura été un joli moment de détente et je me glisse dans ma chambre.
J’ai la chatte encore remplie de la dernière fois où Michel m’a prise, mais dans peu de temps il faut que je me lève, j’ai mon train à 8 heures.
Comme mon amant, je m’affale en travers du lit replongeant dans mon puits sans fond dans la seconde.
On frappe à ma porte.
Carole, on frappe à ta porte.
On insiste Carole, va voir qui vient te voir.
J’ouvre un œil, il est à moins d’un mètre du réveil.
Merde 9 heures 10, pourquoi la réception a oublié de me réveiller ?
Quelle conne, j’étais tellement concentré pour éviter tout impaire avec celui qui a été pour moi un agréable moment dans ce séjour plus que merdique, que j’ai oublié de passer à la réception.
Nous sommes montés par l’ascenseur intérieur évitant le réceptionniste.
Je vais devoir téléphoner à Luc, qui va m’attendre à la gare.
Mais avant je me lève, je cherche ma nuisette où je l’ai mise !
Ça insiste, je mets mon chemisier et je vais ouvrir.
- Bonjour, Carole ?
- Oui !
- Entrez jeune homme et laissez le plateau du petit déjeuner de mademoiselle.
La scène est irréelle, je suis presque nue devant une femme élégante, qui fait entrer un serveur avec un plateau où je sens la bonne odeur du café et des croissants chauds.
- Je t’ai fait mettre deux croissants supplémentaires, je sais ce que s'est que de passer la nuit avec un homme.
Je deviens rouge, le serveur à une petite moue ironique, mais il dépose le plateau et sort, la femme lui donne un billet.
- Mange, tu dois te demander pourquoi je suis là, bien que tu dois te douter que ce soit suite à la nuit que tu as passée avec un de nos clients.
La pute dont j’ai pris la place !
Elle a dû se renseigner et a compris ce que j’ai fait.
Elle sert deux tasses, elle avait prévu le coup.
- Je me présente, dans notre milieu, on m’appelle madame Colette, par où commencer !
Oui, hier, un client de mon agence, Michel m’a appelée afin que je lui fournisse une fille pour la soirée et la nuit.
Hélas, la fille que j’avais contactée pour lui, s’appelant Carole !
Elle m’a appelé pour me dire qu’elle était tombée amoureuse et arrêtait le métier.
Effet immédiat, j’ai téléphoné de suite à mon client, or j’ai eu sa boîte vocale et ce plusieurs fois.
Tout à l’heure, Michel m’a appelé vu mes coups de fil et a été étonné, il avait passé une nuit formidable avec une certaine Carole qui avait été aux petits soins pour lui.
Mange, tout va bien, je continue.
Je prends du café et j’avale un café, je vois que madame Colette dans son tailleur sortie d’une grande boutique sourit, je sens que sa décontraction me permette d’être zen moi aussi.
- Sans rentrer dans les détails, tu as vu que mon client était un gentleman, j’ai voulu savoir comment par le pur hasard Carole était devenue Carole.
Je lui ai demandé si rien de ce qui s’était passé lui avait attiré l’attention.
As-tu regardé dans ton sac à main au moment de quitter sa chambre ?
- Oui, pour trouver ma clef magnétique.
- Sans plus !
Il est là, ouvre le, que vois-tu ?
- L’enveloppe, voulez-vous la récupérer ?
- Le problème est ailleurs, regarde bien !
- 500 €, qu’est-ce que c'est ?
- Michel a cherché l’insolite qui pourrait me dire qui tu étais.
Il m’a raconté ce que tu avais fait au restaurant !
Tu veux que je te dise, j’ai fait l’escorte avant de monter mon agence devenant trop âgée, là, tu as montré tes dispositions d’adaptation à notre métier.
Souvent des situations simples s’avèrent compliquées et tu as su lui faire plaisir.
Ces 500 €, ce sont ceux qu’il a glissés dans ton sac pour te rembourser le string qu’il a cassé et gardé pour se souvenir de cette nuit folle que tu lui as fait passée.
Il avait vu ta clef magnétique pensant que je payais une chambre pour que ma fille se change et se repose.
Dans mon métier, il faut avoir des appuis, le barman du bar de cet hôtel que j’ai joint, a pu me dire qu’il avait mis ton verre sur la note de la chambre 80.
Et me voilà avec ton petit déjeuner.
- Vous voulez que je vous rende les 5 000 € !
- Pas du tout, tu les as très bien gagnés, une vraie pro.
As la rigueur, je pourrais te demander les 30 % que je prends sur les prestations de mes filles.
- Tout ça est très bien, mais je vais devoir vous quitter, car j’ai déjà loupé mon premier train et mon fiancé m’attend chez nous.
- Tu pourrais attendre ce que j’ai à te proposer, pour les 30 %, je t’en fais cadeau, en guise de bien venue.
J’ai interrogé le réceptionniste, lui aussi un ami, que je rémunère pour surveiller mes filles.
Il m’a dit que tu étais là en séminaire pour une boîte de supermarché dont je suis actionnaire.
J’ai appelé qui de droit et je sais que tu vas commencer dans un poste pour 2 500 € par mois lundi prochain.
J’ai besoin de fille comme toi, jolie et intelligente, il faut que je remplace Carole, ce serait bien qu’une carole remplace une autre Carole.
En une nuit, tu toucheras deux mois de travail à te faire tripoter les fesses par un chef de service en fermant ta bouche pour éviter d’être virée.
Je sais de quoi je parle, dans ma jeunesse, j’ai travaillé dans ce genre d’endroit.
Sur les 5 000 pour la nuit, je prends 1 500, pour les 2 000 pour une heure, 600 tout le reste est à toi.
Il y a les extras, par exemple dans un mois, trois semaines à Trinidad et Tobago dans un hôtel 5 étoiles, à bronzer et à baiser.
Là les 30 000 € sont net, ce genre de client fortuné prêt à payer pour promener une jolie fille, je règle tout moi-même.
Je reste bouche bée, madame Colette me propose de devenir escorte, elle est folle, moi une pute.
Lorsque j’ai ouvert mon baise-en-ville, j’ai légèrement sorti l’enveloppe.
Qu’elle attache, j’ai, Luc, en rentrant j’ai prévu de le larguer.
Mes parents ?
Ils m’ont quitté comme toute ma famille, je suis seule au monde.
Je vois aussi qu’il suffit d’appeler madame Colette pour lui que j’arrête.
Si j’ai bien compris, si maintenant je lui dis « oui », dans un mois je serais à me faire bronzer sur une plage des Caraïbes avec 30 000 € sur mon compte en banque.
- Il faut que je libère la chambre, il est bientôt 10 heures !
- Inutile, la réception est au courant que tu la gardes jusqu’à demain matin.
Carole devait revenir ce soir un autre client de passage devait la rencontrer.
Es-tu partante ?
Il est 21 heures, on frappe, un homme quelconque est là, il me tend mon enveloppe, je vérifie comme me l’a dit madame Colette.
5 000, moins, 1 500, 3 500 facilement gagnées, il veut que je le suce, bon un point de détail après quelques moments à me prostituer pour le bien de mon compte en banque.
Il tient à me sodomiser.
De quoi je me plaignais au moment où j’ai rencontré Michel.
Luc manquait de diversité dans ses actes sexuels.
Qui a dit un jour qu’une pute devait rester stoïque quand son client la baise, je jouis régulièrement en étant rémunéré.
Je suis resté quelques jours à l’hôtel sans savoir qui payait certainement madame Odette.
Je suis retournée dans ma petite ville chercher mes affaires et dire adieu à Luc sans lui dire pourquoi je le quittais.
Madame Odette m’a trouvé un très bel appartement dans le Ie arrondissement que j’aménage à mon goût.
Madame Odette m’a appris à choisir mes vêtements, elle est une vraie mère poule pour nous ses filles.
Je viens de rentrer des Caraïbes, une surprise était devant moi à l’aéroport lors de notre départ.
Le PDG des magasins d’alimentation d’où j’ai démissionné avant d’avoir commencé à travailler.
Le même que celui qu’il était dans la salle du séminaire.
J’adore les valeurs de son entreprise, emmener des putes en voyage pour une somme astronomique pendant que des petites mains sont payées 2 500 € chaque mois.
Je pars sereine, hier sur mon compte sur mon ordi, en plus des passes d’une heure et les nuits à plaire à mes clients, les 30 000 € ont été versés.
Madame Odette m’a dit qu’elle m’aiderait comme elle le fait avec toutes ses filles à savoir à investir dans des valeurs sur, la société de Pierre avec sa chaîne de magasins en est une bonne.
Je le rejoins, j’enlève mes lunettes de soleil, trois semaines à bronzer, ce sera nécessaire.
- Mademoiselle Carole, vous êtes magnifique.
Je peux me permettre, j’ai une vague impression de vous avoir déjà vu !
Combien de temps dure ma panne, je l’ignore ?
D’un coup je me réveille ou suis-je ?
C’est vrai l’homme qui est couché sur le ventre en travers du lit, c’est Michel, celui qui a fait de moi une pute.
5 000 € pour satisfaire cet homme loin d’être décrépi, ça m’a propulsé dans le monde des escortes se servant de leur cul pour vivre.
Après la méprise au bar par Michel, ayant certainement rendez-vous avec une autre Carole, je peux me sortir de cette impression en sortant l’enveloppe de mon sac.
Je la pose bien en vue à ses côtés et je rejoins la chambre voisine où pour la première fois mon gode restera, dans sa housse, être pute, c’est un métier crevant.
Je me lève, mais lorsque j’ai mon baise-en-ville en main, je pense à tout ce que je vais pouvoir faire pour m’installer chez Luc près d’Orléans.
Et que lui dirais-je d’avoir accepté de dîner alors que j’étais une autre.
Certes sexuellement, j’ai l’impression que je l’ai comblé, mais c’est sur un coup de tête que je ramasse mes affaires.
Je glisse ma main dans mon sac pour récupérer ma clef magnétique et nue mes vêtements et chaussures sous le bras, je me glisse hors de la chambre.
Les chambres sont toutes identiques, le réveil incorporé dans la tête de lit me montre qu’il est presque cinq heures.
Un dernier regard vers celui qui aura été un joli moment de détente et je me glisse dans ma chambre.
J’ai la chatte encore remplie de la dernière fois où Michel m’a prise, mais dans peu de temps il faut que je me lève, j’ai mon train à 8 heures.
Comme mon amant, je m’affale en travers du lit replongeant dans mon puits sans fond dans la seconde.
On frappe à ma porte.
Carole, on frappe à ta porte.
On insiste Carole, va voir qui vient te voir.
J’ouvre un œil, il est à moins d’un mètre du réveil.
Merde 9 heures 10, pourquoi la réception a oublié de me réveiller ?
Quelle conne, j’étais tellement concentré pour éviter tout impaire avec celui qui a été pour moi un agréable moment dans ce séjour plus que merdique, que j’ai oublié de passer à la réception.
Nous sommes montés par l’ascenseur intérieur évitant le réceptionniste.
Je vais devoir téléphoner à Luc, qui va m’attendre à la gare.
Mais avant je me lève, je cherche ma nuisette où je l’ai mise !
Ça insiste, je mets mon chemisier et je vais ouvrir.
- Bonjour, Carole ?
- Oui !
- Entrez jeune homme et laissez le plateau du petit déjeuner de mademoiselle.
La scène est irréelle, je suis presque nue devant une femme élégante, qui fait entrer un serveur avec un plateau où je sens la bonne odeur du café et des croissants chauds.
- Je t’ai fait mettre deux croissants supplémentaires, je sais ce que s'est que de passer la nuit avec un homme.
Je deviens rouge, le serveur à une petite moue ironique, mais il dépose le plateau et sort, la femme lui donne un billet.
- Mange, tu dois te demander pourquoi je suis là, bien que tu dois te douter que ce soit suite à la nuit que tu as passée avec un de nos clients.
La pute dont j’ai pris la place !
Elle a dû se renseigner et a compris ce que j’ai fait.
Elle sert deux tasses, elle avait prévu le coup.
- Je me présente, dans notre milieu, on m’appelle madame Colette, par où commencer !
Oui, hier, un client de mon agence, Michel m’a appelée afin que je lui fournisse une fille pour la soirée et la nuit.
Hélas, la fille que j’avais contactée pour lui, s’appelant Carole !
Elle m’a appelé pour me dire qu’elle était tombée amoureuse et arrêtait le métier.
Effet immédiat, j’ai téléphoné de suite à mon client, or j’ai eu sa boîte vocale et ce plusieurs fois.
Tout à l’heure, Michel m’a appelé vu mes coups de fil et a été étonné, il avait passé une nuit formidable avec une certaine Carole qui avait été aux petits soins pour lui.
Mange, tout va bien, je continue.
Je prends du café et j’avale un café, je vois que madame Colette dans son tailleur sortie d’une grande boutique sourit, je sens que sa décontraction me permette d’être zen moi aussi.
- Sans rentrer dans les détails, tu as vu que mon client était un gentleman, j’ai voulu savoir comment par le pur hasard Carole était devenue Carole.
Je lui ai demandé si rien de ce qui s’était passé lui avait attiré l’attention.
As-tu regardé dans ton sac à main au moment de quitter sa chambre ?
- Oui, pour trouver ma clef magnétique.
- Sans plus !
Il est là, ouvre le, que vois-tu ?
- L’enveloppe, voulez-vous la récupérer ?
- Le problème est ailleurs, regarde bien !
- 500 €, qu’est-ce que c'est ?
- Michel a cherché l’insolite qui pourrait me dire qui tu étais.
Il m’a raconté ce que tu avais fait au restaurant !
Tu veux que je te dise, j’ai fait l’escorte avant de monter mon agence devenant trop âgée, là, tu as montré tes dispositions d’adaptation à notre métier.
Souvent des situations simples s’avèrent compliquées et tu as su lui faire plaisir.
Ces 500 €, ce sont ceux qu’il a glissés dans ton sac pour te rembourser le string qu’il a cassé et gardé pour se souvenir de cette nuit folle que tu lui as fait passée.
Il avait vu ta clef magnétique pensant que je payais une chambre pour que ma fille se change et se repose.
Dans mon métier, il faut avoir des appuis, le barman du bar de cet hôtel que j’ai joint, a pu me dire qu’il avait mis ton verre sur la note de la chambre 80.
Et me voilà avec ton petit déjeuner.
- Vous voulez que je vous rende les 5 000 € !
- Pas du tout, tu les as très bien gagnés, une vraie pro.
As la rigueur, je pourrais te demander les 30 % que je prends sur les prestations de mes filles.
- Tout ça est très bien, mais je vais devoir vous quitter, car j’ai déjà loupé mon premier train et mon fiancé m’attend chez nous.
- Tu pourrais attendre ce que j’ai à te proposer, pour les 30 %, je t’en fais cadeau, en guise de bien venue.
J’ai interrogé le réceptionniste, lui aussi un ami, que je rémunère pour surveiller mes filles.
Il m’a dit que tu étais là en séminaire pour une boîte de supermarché dont je suis actionnaire.
J’ai appelé qui de droit et je sais que tu vas commencer dans un poste pour 2 500 € par mois lundi prochain.
J’ai besoin de fille comme toi, jolie et intelligente, il faut que je remplace Carole, ce serait bien qu’une carole remplace une autre Carole.
En une nuit, tu toucheras deux mois de travail à te faire tripoter les fesses par un chef de service en fermant ta bouche pour éviter d’être virée.
Je sais de quoi je parle, dans ma jeunesse, j’ai travaillé dans ce genre d’endroit.
Sur les 5 000 pour la nuit, je prends 1 500, pour les 2 000 pour une heure, 600 tout le reste est à toi.
Il y a les extras, par exemple dans un mois, trois semaines à Trinidad et Tobago dans un hôtel 5 étoiles, à bronzer et à baiser.
Là les 30 000 € sont net, ce genre de client fortuné prêt à payer pour promener une jolie fille, je règle tout moi-même.
Je reste bouche bée, madame Colette me propose de devenir escorte, elle est folle, moi une pute.
Lorsque j’ai ouvert mon baise-en-ville, j’ai légèrement sorti l’enveloppe.
Qu’elle attache, j’ai, Luc, en rentrant j’ai prévu de le larguer.
Mes parents ?
Ils m’ont quitté comme toute ma famille, je suis seule au monde.
Je vois aussi qu’il suffit d’appeler madame Colette pour lui que j’arrête.
Si j’ai bien compris, si maintenant je lui dis « oui », dans un mois je serais à me faire bronzer sur une plage des Caraïbes avec 30 000 € sur mon compte en banque.
- Il faut que je libère la chambre, il est bientôt 10 heures !
- Inutile, la réception est au courant que tu la gardes jusqu’à demain matin.
Carole devait revenir ce soir un autre client de passage devait la rencontrer.
Es-tu partante ?
Il est 21 heures, on frappe, un homme quelconque est là, il me tend mon enveloppe, je vérifie comme me l’a dit madame Colette.
5 000, moins, 1 500, 3 500 facilement gagnées, il veut que je le suce, bon un point de détail après quelques moments à me prostituer pour le bien de mon compte en banque.
Il tient à me sodomiser.
De quoi je me plaignais au moment où j’ai rencontré Michel.
Luc manquait de diversité dans ses actes sexuels.
Qui a dit un jour qu’une pute devait rester stoïque quand son client la baise, je jouis régulièrement en étant rémunéré.
Je suis resté quelques jours à l’hôtel sans savoir qui payait certainement madame Odette.
Je suis retournée dans ma petite ville chercher mes affaires et dire adieu à Luc sans lui dire pourquoi je le quittais.
Madame Odette m’a trouvé un très bel appartement dans le Ie arrondissement que j’aménage à mon goût.
Madame Odette m’a appris à choisir mes vêtements, elle est une vraie mère poule pour nous ses filles.
Je viens de rentrer des Caraïbes, une surprise était devant moi à l’aéroport lors de notre départ.
Le PDG des magasins d’alimentation d’où j’ai démissionné avant d’avoir commencé à travailler.
Le même que celui qu’il était dans la salle du séminaire.
J’adore les valeurs de son entreprise, emmener des putes en voyage pour une somme astronomique pendant que des petites mains sont payées 2 500 € chaque mois.
Je pars sereine, hier sur mon compte sur mon ordi, en plus des passes d’une heure et les nuits à plaire à mes clients, les 30 000 € ont été versés.
Madame Odette m’a dit qu’elle m’aiderait comme elle le fait avec toutes ses filles à savoir à investir dans des valeurs sur, la société de Pierre avec sa chaîne de magasins en est une bonne.
Je le rejoins, j’enlève mes lunettes de soleil, trois semaines à bronzer, ce sera nécessaire.
- Mademoiselle Carole, vous êtes magnifique.
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