COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (146)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (146) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (146)
C’est dans l’hôpital de Brie en région parisienne qu’il y a quelques jours, je me suis réveillée d’une longue sieste ayant duré cinq ans.
C’est au dire de Virginie m’ayant été présenté comme ma marraine comme prostituée que j’apprends que j’ai été victime d’un attentat à Moscou où j’étais venue monnayer la vertu de Katia.
Lorsque je dis que j’ai été victime d’un attentat, il était dirigé contre celui qu’elles m’ont présenté comme mon amant ayant fait barrage de son corps pour m’éviter de prendre la rafale en plein corps.
Il a en partie réussie, sauf une balle m’ayant atteint à la tête m’emportant une partie de mon cuir chevelu.
À leur dire, je suis tombée dans le coma et l’on m’a conduit à l’hôpital de Moscou où l’on m’a considéré comme perdue.
Mon cerveau étant à nu, les médecins moscovites m’ont posé une plaque de métal que je sens lorsque j’y passe mes doigts.
Virginie m’a parlé de l’institut qu’elle dirige et ou j’aurais commencé à me prostituer après avoir quitté mon mari et ou je m’étais gouinée avec elle.
Flots d’informations, déversées sur mon cerveau malade, si je m’écoutais toutes les deux phrases je les interromprais pour qu’ils m’expliquent certaines choses ou certains mots.
Maintenant, j’écoute, mon cerveau fonctionnant parfaitement depuis mon réveil, avant de poser une question si je décroche trop longtemps dans nos conversations.
Je vais vous surprendre, c’est par cette méthode que j’ai progressé sur le mot gouine.
Dans le chapitre précédent, je vous ai dit avoir retrouvé le plaisir de me caresser, a-t-elle point que j’ai crié lorsque mes doigts ont trouvé une petite boule dont j’ignorais encore le nom à ce moment-là.
Corinne, la jeune femme de service la nuit dernière, passait dans le couloir et est entrée alors que j’étais nue sur mon lit.
J’étais en eau et elle s’est approchée, m’a caressé avec ses doigts.
Dans ce centre de rééducation, ces femmes de service de nuit sont beaucoup moins sollicitées par les patients et ont plus de temps ou elles peuvent discuter avec nous.
Discuter, c’est un grand mot, car sa bouche est venue sur ma fente me léchant pour mon plus grand plaisir avec une tierce personne.

• Christine, j’adore ton clitoris, je suis lesbienne, on dit aussi gouine et j’adore sucer les sexes féminins.

Voilà comment j’apprends que nous les femmes avons des clitos ou clitoris et que deux femmes faisant certaines choses ensemble sont des lesbiennes ou encore terme que j’aie déjà entendu, des gouines.

• Comment as-tu su que tu étais lesbienne ?
• J’avais vingt ans, un peu tard à notre époque pour perdre mon pucelage, la plupart de mes copines l’ont perdu vers seize ans.
Certaines plus en avance vers quatorze ou quinze ans l’ont perdu avec un copain de bahut de leur âge.

Bahut, je pourrais l’arrêter après qu’elle m’est fait jouir, mais mes doigts dans son vagin, commence à lui faire de l’effet.
Virginie m’a dit que j’avais des clientes femmes lorsque je me prostituais, lorsque je me lève pour coucher Corinne au milieu de mon lit massacré, je sais que j’étais une lesbienne gouine.
Les verges, je vais devoir par moi-même découvrir comment c’est fait.
Il faut que je sache comment elles peuvent m’apporter du plaisir.
C’est le lendemain que l’occasion de faire toutes ces découvertes m’est apportée lorsque l’on frappe à ma porte.

• Christine, c’est nous qui venons stimuler ton cerveau cet après-midi.
Nous t’avons apporté ce bouquet de fleurs, Virginie m’a dit que l’institut avait des vases.
Je vois que ta mémoire te fait défaut !
Tu te demandes qui nous sommes, Odile et Alain tes amis de Montrouge.
Je travaille à l’institut de beauté de notre grande amie où c’est moi qui te faisais le tablier.
Nous avons été le premier couple à t’inviter chez nous en son absence lorsqu’elle est partie chez un client et Alain t’a initié à l’échangisme dont nous sommes tous les deux des adeptes.

Que de mots inconnus là encore, fidèle à ma tactique, je laisse courir, mais c’est moi qui les interpelle.

• Odile, j’ai tout oublié dans ces moments-là !
Si j’ai bien compris, nous avons fait l’amour tous les trois, je pense que j’ai dû bien aimé.
Alain, depuis que je travaille pour retrouver ma mémoire ancienne, peux-tu me montrer ton sexe, on dit, une bite je crois.
• Oui, bien sûr, nous sommes là pour ça avec Odile, si tu savais le plaisir que j’ai de te la montrer.
Cela me prouve que tu nous ais revenu bien vivante, je le fais avec grand plaisir.

Cet homme marié à cette jolie blonde, avec laquelle je me suis certainement gouinée, ouvre son pantalon me sortant ce qu’il nomme sa bite.
J’ai un léger mouvement de recul, depuis que je suis revenue sur terre, aussi bien à l’hosto qu’ici, j’ai eu devant moi de nombreux hommes.
Qui auraient pu penser que dans leur pantalon, tous ont une verge comme celle d’Alain.

• Tu peux la prendre en main, tu savais si bien le faire lorsque nous t’avons initié chez nous.

Ce couple même s’il m’est impossible de me souvenir d’eux va m’apporter bien des solutions dans la situation dont je me trouve.

• Oui, caresse là, si tu veux, tu peux la prendre dans ta bouche, tu adorais me sucer lorsque nous baisions ensemble tous les trois.

Lorsqu’ils sont arrivés, j’étais dans mon fauteuil faisant la sieste ignorant qu’ils allaient venir me voir.
Je suis à bonne hauteur pour le masturber et lui faire tiens comment, dit-on, cette pratique du sexe a-t-elle un nom particulier.

• Christine, tu es la reine pour les masturbations et les fellations, Odile doit bien se tenir, même si elle aussi est très douée pour me masturber et me sucer la bite.
• Merci mon amour, j’étais sûr que tu saurais reconnaitre mes mérites autant que ceux de notre amie Christine.
• Arrête, je vais décharger, tu me pompes toujours aussi bien qu’avant.

Je le ceinture refusant de le laisser sortir de ma bouche, de grandes giclées de sperme coulent dans ma bouche, j’ai vaguement le souvenir de ce goût un peu fade.
S’il est vrai que je suis une pute, j’ai dû faire, ce que j’apprends à être des masturbations et des fellations de nombreuses fois avec mes clients contre leur fric.

Ce que j’ai oublié de dire depuis que je me suis réveillée à la vie, c’est que pour éviter les cheveux dans la plaie qu’était mon cerveau, lorsque je me regarde dans la glace, je suis entièrement rasée.

• Christine à moi de jouer, Virginie nous a dit pour la plaque que je vois dans ta tête, je suis venue avec cette valise.
J’y ai placé trois perruques, voyons laquelle te rendra ta beauté féminine, j’espère que tu la supporteras.
Ce sont les mêmes que je pose pour les femmes ayant de la chimio suite à un cancer.

Cancer, chimio, je laisse venir, je me concentre sur laquelle de ces perruques iras le mieux avec mon teint blafard, je manque de soleil depuis que je suis au fond de mon lit.
Bien sûr, la blonde, Odile me la pose, ça me serre un peu, mais j’ignore pourquoi je pense qu’il faut souffrir pour être belle.
Je suis à deux doigts de demander à Alain de me faire l’amour, le vrai, le physique, mais, hélas, ils ont un rendez-vous avec un couple, ce soir.
Je vais me masturber en rêvant à Odile, prise par le mari de l’autre et qui sait aussi par son mari.
Attention, c’est inutile de penser que la mémoire me revient et que je me souviens de jeux érotiques entre deux couples libertins.

C’est le lendemain que Lauriane une jeune assistante présente au centre me fait faire mes premiers pas dans le parc, le soleil étant légèrement caché par des arbres centenaires.
Elle me fait assoir sur l’un des bancs, très nombreux dans le parc et s’en retourne à ses occupations
À mes côtés, il y a un homme la soixantaine qui me regarde, mais semble avoir du mal à parler.
Il est dans une chaise roulante et a une couverture sur ses genoux.
Je me souviens de ce que m’a dit le docteur Françoise et alors que j’entame un monologue, j’évite de lui dire que je suis une pute.
Son regard est si malheureux que je regarde autour de nous, nous voyant seul, ma main part sous la couverture.
J’ai toujours l’impression d’avoir fait le mal à Moscou et est-ce pour me dédouaner que je trouve son sexe tout flasque sous ma main.

• Re, re, re !
• Ça a du mal à sortir, veux-tu que j’arrête ?

C’est de la tête qu’il me répond, pauvre homme, j’ai perdu la mémoire, il a perdu la parole, lequel de nous deux à le plus perdu !
Masturbation efficace, comme pour Alain je vois ses yeux se révulser et ma main se trouve aspergée de sperme.
Ma main ramasse, mais la couverture encore plus.
J’ignore si c’est Lauriane qui l’a amené là dans un premier voyage, mais lorsqu’elle le fera rentrer, en soulevant la couverture elle aura une grosse surprise.
Ramené dans ma chambre, je me dénude, j’ai interdiction de mettre de l’eau sur ma plaque bien qu’elle soit en métal inoxydable.
La salle de bains individuels, dans chaque chambre, me permet grâce à une chaise en plastique de me doucher seule, grâce à une pomme de douche.
L’exercice de masturbation sous la couverture de ce pauvre homme a fait des dégâts.
Ma chatte est inondée de liquide, lui aussi d’un nom inconnu pour moi.
L’eau frappant mon clitoris, je fais une nouvelle découverte pour moi, je peux me faire jouir grâce aux jets sous pression.
Mon ancien cerveau est certainement détruit, celui de mon réveil ingurgite les nouveautés à grande vitesse.
Il va falloir que je test les pénétrations, j’espère dans les heures prochaines...

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Kikou Chris ☺️
Merci pour cette suite inattendu d'une histoire passionnante que j'avais avec suivi avec délice
Tu es un excellent écrivain
Bises
Lara



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