COLLECTION ESCORTE GIRL. La fermière (2/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. La fermière (2/4)
Mon père fermier en Saône et Loire de dire que les emmerdes arrivent ça vole en escadrille.
Il voulait être pilote de ligne alors qu’il a été obligé de reprendre la ferme familiale.
Tout commence quand je dois monter à Paris pour soulager les salaires dégagés par le fermage.
Ça a continué avec le cousin toujours emprisonné, il semblerait au dire des journaux que ce qui lui est reproché est bien réel.
Il devait me fournir logement et travail, pour le logement Pauline, sa femme me le prête.
Pour le travail, c’est râpé.
Je trouve une place chez Mac Do, à vendre des Big Mac et autres sandwichs et boissons en tout genre lorsque je perds ma place, la personne que je remplaçais, reprenant son job au bout de trois mois.
On s’était bien gardé de me le dire et lorsque je regarde mon contrat, c’était marqué en toutes lettres.
Emmerdes et chance pour moi sont très étroitement mêlées, on frappe à ma porte, monsieur Léon, mon voisin du 7e me propose de l’accompagner au restaurant ce soir et me donner 500 €.
500 € seulement pour aller dîner, quand je dis, emmerdes, mais chance, j’accepte surtout qu’il sorte de son portefeuille 200 € pour que j’achète une robe et quelques accessoires comme un sac.
Toujours au forum des Halles, je trouve une robe à paillettes argentées avec chaussures et petit sac assorti.
Les chaussures, j’hésite entre talons presque plats et talons hauts.
Je suis une grande perche de 1,76 et les talons hauts non seulement ce serait un défi pour moi, je prends les presque plats, c’est plus sûr surtout avec une première robe de ma vie.
Quand je me regarde dans la glace de la cabine d’essayage, c’est une autre Séraphine que j’ai devant moi, mais c’est loin d’être désagréable, même avec ma queue-de-cheval.
Il est vingt heures quand je descends un peu étonnée d’avoir accepté ce que je suis bien obligée d’appeler faire l’escorte.
1er étage, je descends, Louisa est là.
• Je vous y prends à descendre par l’ascenseur, je vais devoir vous signaler aux propriétaires.
Vous serez expulsée, vous pourrez toujours aller voir votre notaire ripou à la santé.
• Ta gueule pouffiasse, j’ai autre chose à faire que d’écouter tes conneries, on m’attend.
• Où tu vas, tu vas faire la pute dans un tel accoutrement.
• Tu voudrais bien faire la pute,mais avec la gueule que tu as, les seuls clients que tu aurais ce sont ceux qui te pisseraient dessus.
Estomaquée par temps d’impudeur envers elle, je la vois faire la carpe lorsque je descends au rez-de-chaussée.
Lorsque je rejoins la limousine de Léon, je dois être rouge de colère.
Le chauffeur m’ouvre la porte, je suis impressionnée, c’est la première fois que l’on me traite comme une dame, est-ce la robe avec le léger pull posé sur mes épaules.
Lui je l’avais dans ma valise, je me l’étais offert avec ma première paye de caissière sans jamais avoir l’occasion de le porter.
• Vous êtes ravissante, Séraphine, ces vêtements mettent votre beauté en valeur !
Vous semblez en colère, quelqu’un vous a fait des misères ?
• L’autre connasse de Louisa, elle veut vous demander de me virer de ma petite chambre, car j’ai pris l’ascenseur.
• Sois sans crainte, je dirige la copropriété et depuis quelque temps les autres propriétaires me tannent pour qu’on la licencie et que nous la remplacions par un Digicode.
J’ai toujours dit non ayant pitié d’elle, mais si elle continue à te menacer, c’est elle qui sera remplacée.
Tiens ça c’est pour toi !
• Quesque c’est !
• Tu as oublié, les 500 € pour m’accompagner, tu vérifies la somme et mets là dans ton sac, les bons comptes font les bons amis.
Bien sûr, je la range sans regarder.
Nous roulons sans pouvoir dire où nous sommes, Paris m’est inconnu et l’intérieur de la limousine tout en cuir clair, me fait tourner la tête.
Lorsque nous arrivons, de nouveau la portière et je vois marqué « Le Châteaubriant. »Nous entrons, mon cavalier me tenant par le coude et après que Léon sans que Léon se soit présenté, on nous conduit à une table près d’un couple.
• Bonsoir, Louis, je vois que toi aussi tu es en belle compagnie, je vous présente Séraphine, une amie qui m’accompagne.
Que cela est bien dit dans ce monde du luxe que je découvre, moi la fille de ferme, il y a peu de temps.
• Bonsoir, Séraphine, moi aussi je vous présente Chloé, mon amie.
En homme du monde, ce monsieur aux cheveux gris me fait un baisemain alors que je m’apprêtais à lui serrer.
Il va falloir que je sache les codes dans ce milieu étonnant pour moi.
Pourquoi penser à apprendre les codes, même si dans mon sac, j’ai 500 € certainement en billets, c’est pour rendre service à Léon et rien de plus ?
Dès demain, direction Pôle emploi, même si je sais qu’il va falloir que je me démerde par moi-même.
• Bonjour Séraphine, tu es fort jolie.
• Merci Chloé, toi aussi tu es ravissante.
Le repas se déroule dans la bonne humeur, Louis étant l’éditeur de Léon.
Nous sommes avec des hommes du monde et à aucun moment, j’ai à subir un geste déplacé, Chloé non plus d’ailleurs.
• Séraphine, ces hommes ont à parler du prochain roman de ton ami Léon, accompagne-moi aux toilettes, je dois reprendre mon maquillage.
Je suis cette belle femme, environ aussi grande que moi, nous faisons sensation, la grande brune et la grande blonde.
Nous entrons aux toilettes pour dames, Chloé pose son sac sur le grand lavabo à deux bacs et pose les fesses dessus.
• Dis-moi Séraphine, tu es une occasionnelle ?
• Occasionnelle, que veux-tu dire ?
• C’est là première fois que tu fais l’escorte !
• Ça se voit tant que ça !
• Comme ton nez fort joli par ailleurs, tes fringues tu les as achetées au Prisunic.
• Au forum des halls dans une petite boutique.
• J’en étais sûr, les miennes c’est dans une boutique près de l’avenue Foch que je me les achète.
L’avenue Foch, j’ignore où elle est, mais dans le jeu du monopoly avec lequel j’ai joué toute ma jeunesse avec mon frère et mes parents, cette avenue était dans les terrains nus les plus chers.
• Dis-moi, Léon combien il te donne pour ta soirée en sa compagnie et la nôtre ?
• 500 € plus 200 € pour que je me paye cette robe à paillettes.
• Sac compris, j’espère, sinon ce serait de l’arnaque.
• Sais-tu combien Louis me paye pour se montrer avec moi, 3 000 € !
Et oui les filles de notre classe, dont je suis sûr que tu peux les égaler, ont une valeur aux regards des hommes de frics et de pouvoir.
Pour ce prix, il va te baiser lorsqu’il t’emmènera chez lui ou dans l’hôtel où il est descendu.
• Ce sont les putes qui font ça, moi, je rends simplement un service à mon voisin.
• Je vois, il va falloir t’apprendre tout de la vie parisienne.
Voyons voir quand suis-je libre ?
Demain, j’ai déjà escorté Louis une fois, il est à l’hôtel Mercure Notre-Dame, pour 2 000 €, il va vouloir me baiser.
Je vais me lever trop tard pour déjeuner et le soir j’ai un autre client à Pigalle, soirée au Moulin Rouge et là encore hôtel.
Bon, mercredi midi, voici ma carte, appelle-moi, je te dirai où me rejoindre.
Retrouvons nos clients, ils vont croire que nous nous caressons les chattes, même si à te regarder, un peu relookée, tu serais fort appétissante.
Je t’en dirai plus mercredi lors du repas, si tu acceptes, nous allons faire de grandes choses ensemble.
Nous rejoignons Louis et Léon, la note est réglée, vu la façon dont la soucoupe est placée et le billet de 100 € qui sort de la note, c’est Louis, l’éditeur qui a payé.
Nous nous séparons et je retrouve la limousine qui rapidement me dépose pour que je rentre sans que l’on puisse dire que je suis la pute de monsieur Léon.
Le rideau de la loge se soulève légèrement, Louisa même la nuit surveille les allées et venues des propriétaires et des quelques étudiants vivant dans les chambres de bonne.
Je lui tire la langue et je vais prendre l’ascenseur dès le niveau 0 forte de ce que m’a dit Léon.
Demain sera un autre jour et j’aurais plaisir à voir Louisa faire sa valise en carton pour retourner dans son Portugal natal.
Mais je suis méchante, ce qui est loin d’être mon genre.
Lorsque je me couche après ma douche, je regarde ces cinq billets de cents si facilement gagnés ainsi que la carte de Cloé, « Cloé à votre service. Num 06 00 .. »La suite de ce numéro lui appartient, quand je dors, ma décision est prise, je me suis bien amusée, je peux un peu voir venir.
Non, demain, je vais aller à Pôle emploi, je suis une fille bien élevée, je dois pouvoir m’en sortir sans faire la pute ou tout comme...
Il voulait être pilote de ligne alors qu’il a été obligé de reprendre la ferme familiale.
Tout commence quand je dois monter à Paris pour soulager les salaires dégagés par le fermage.
Ça a continué avec le cousin toujours emprisonné, il semblerait au dire des journaux que ce qui lui est reproché est bien réel.
Il devait me fournir logement et travail, pour le logement Pauline, sa femme me le prête.
Pour le travail, c’est râpé.
Je trouve une place chez Mac Do, à vendre des Big Mac et autres sandwichs et boissons en tout genre lorsque je perds ma place, la personne que je remplaçais, reprenant son job au bout de trois mois.
On s’était bien gardé de me le dire et lorsque je regarde mon contrat, c’était marqué en toutes lettres.
Emmerdes et chance pour moi sont très étroitement mêlées, on frappe à ma porte, monsieur Léon, mon voisin du 7e me propose de l’accompagner au restaurant ce soir et me donner 500 €.
500 € seulement pour aller dîner, quand je dis, emmerdes, mais chance, j’accepte surtout qu’il sorte de son portefeuille 200 € pour que j’achète une robe et quelques accessoires comme un sac.
Toujours au forum des Halles, je trouve une robe à paillettes argentées avec chaussures et petit sac assorti.
Les chaussures, j’hésite entre talons presque plats et talons hauts.
Je suis une grande perche de 1,76 et les talons hauts non seulement ce serait un défi pour moi, je prends les presque plats, c’est plus sûr surtout avec une première robe de ma vie.
Quand je me regarde dans la glace de la cabine d’essayage, c’est une autre Séraphine que j’ai devant moi, mais c’est loin d’être désagréable, même avec ma queue-de-cheval.
Il est vingt heures quand je descends un peu étonnée d’avoir accepté ce que je suis bien obligée d’appeler faire l’escorte.
1er étage, je descends, Louisa est là.
• Je vous y prends à descendre par l’ascenseur, je vais devoir vous signaler aux propriétaires.
Vous serez expulsée, vous pourrez toujours aller voir votre notaire ripou à la santé.
• Ta gueule pouffiasse, j’ai autre chose à faire que d’écouter tes conneries, on m’attend.
• Où tu vas, tu vas faire la pute dans un tel accoutrement.
• Tu voudrais bien faire la pute,mais avec la gueule que tu as, les seuls clients que tu aurais ce sont ceux qui te pisseraient dessus.
Estomaquée par temps d’impudeur envers elle, je la vois faire la carpe lorsque je descends au rez-de-chaussée.
Lorsque je rejoins la limousine de Léon, je dois être rouge de colère.
Le chauffeur m’ouvre la porte, je suis impressionnée, c’est la première fois que l’on me traite comme une dame, est-ce la robe avec le léger pull posé sur mes épaules.
Lui je l’avais dans ma valise, je me l’étais offert avec ma première paye de caissière sans jamais avoir l’occasion de le porter.
• Vous êtes ravissante, Séraphine, ces vêtements mettent votre beauté en valeur !
Vous semblez en colère, quelqu’un vous a fait des misères ?
• L’autre connasse de Louisa, elle veut vous demander de me virer de ma petite chambre, car j’ai pris l’ascenseur.
• Sois sans crainte, je dirige la copropriété et depuis quelque temps les autres propriétaires me tannent pour qu’on la licencie et que nous la remplacions par un Digicode.
J’ai toujours dit non ayant pitié d’elle, mais si elle continue à te menacer, c’est elle qui sera remplacée.
Tiens ça c’est pour toi !
• Quesque c’est !
• Tu as oublié, les 500 € pour m’accompagner, tu vérifies la somme et mets là dans ton sac, les bons comptes font les bons amis.
Bien sûr, je la range sans regarder.
Nous roulons sans pouvoir dire où nous sommes, Paris m’est inconnu et l’intérieur de la limousine tout en cuir clair, me fait tourner la tête.
Lorsque nous arrivons, de nouveau la portière et je vois marqué « Le Châteaubriant. »Nous entrons, mon cavalier me tenant par le coude et après que Léon sans que Léon se soit présenté, on nous conduit à une table près d’un couple.
• Bonsoir, Louis, je vois que toi aussi tu es en belle compagnie, je vous présente Séraphine, une amie qui m’accompagne.
Que cela est bien dit dans ce monde du luxe que je découvre, moi la fille de ferme, il y a peu de temps.
• Bonsoir, Séraphine, moi aussi je vous présente Chloé, mon amie.
En homme du monde, ce monsieur aux cheveux gris me fait un baisemain alors que je m’apprêtais à lui serrer.
Il va falloir que je sache les codes dans ce milieu étonnant pour moi.
Pourquoi penser à apprendre les codes, même si dans mon sac, j’ai 500 € certainement en billets, c’est pour rendre service à Léon et rien de plus ?
Dès demain, direction Pôle emploi, même si je sais qu’il va falloir que je me démerde par moi-même.
• Bonjour Séraphine, tu es fort jolie.
• Merci Chloé, toi aussi tu es ravissante.
Le repas se déroule dans la bonne humeur, Louis étant l’éditeur de Léon.
Nous sommes avec des hommes du monde et à aucun moment, j’ai à subir un geste déplacé, Chloé non plus d’ailleurs.
• Séraphine, ces hommes ont à parler du prochain roman de ton ami Léon, accompagne-moi aux toilettes, je dois reprendre mon maquillage.
Je suis cette belle femme, environ aussi grande que moi, nous faisons sensation, la grande brune et la grande blonde.
Nous entrons aux toilettes pour dames, Chloé pose son sac sur le grand lavabo à deux bacs et pose les fesses dessus.
• Dis-moi Séraphine, tu es une occasionnelle ?
• Occasionnelle, que veux-tu dire ?
• C’est là première fois que tu fais l’escorte !
• Ça se voit tant que ça !
• Comme ton nez fort joli par ailleurs, tes fringues tu les as achetées au Prisunic.
• Au forum des halls dans une petite boutique.
• J’en étais sûr, les miennes c’est dans une boutique près de l’avenue Foch que je me les achète.
L’avenue Foch, j’ignore où elle est, mais dans le jeu du monopoly avec lequel j’ai joué toute ma jeunesse avec mon frère et mes parents, cette avenue était dans les terrains nus les plus chers.
• Dis-moi, Léon combien il te donne pour ta soirée en sa compagnie et la nôtre ?
• 500 € plus 200 € pour que je me paye cette robe à paillettes.
• Sac compris, j’espère, sinon ce serait de l’arnaque.
• Sais-tu combien Louis me paye pour se montrer avec moi, 3 000 € !
Et oui les filles de notre classe, dont je suis sûr que tu peux les égaler, ont une valeur aux regards des hommes de frics et de pouvoir.
Pour ce prix, il va te baiser lorsqu’il t’emmènera chez lui ou dans l’hôtel où il est descendu.
• Ce sont les putes qui font ça, moi, je rends simplement un service à mon voisin.
• Je vois, il va falloir t’apprendre tout de la vie parisienne.
Voyons voir quand suis-je libre ?
Demain, j’ai déjà escorté Louis une fois, il est à l’hôtel Mercure Notre-Dame, pour 2 000 €, il va vouloir me baiser.
Je vais me lever trop tard pour déjeuner et le soir j’ai un autre client à Pigalle, soirée au Moulin Rouge et là encore hôtel.
Bon, mercredi midi, voici ma carte, appelle-moi, je te dirai où me rejoindre.
Retrouvons nos clients, ils vont croire que nous nous caressons les chattes, même si à te regarder, un peu relookée, tu serais fort appétissante.
Je t’en dirai plus mercredi lors du repas, si tu acceptes, nous allons faire de grandes choses ensemble.
Nous rejoignons Louis et Léon, la note est réglée, vu la façon dont la soucoupe est placée et le billet de 100 € qui sort de la note, c’est Louis, l’éditeur qui a payé.
Nous nous séparons et je retrouve la limousine qui rapidement me dépose pour que je rentre sans que l’on puisse dire que je suis la pute de monsieur Léon.
Le rideau de la loge se soulève légèrement, Louisa même la nuit surveille les allées et venues des propriétaires et des quelques étudiants vivant dans les chambres de bonne.
Je lui tire la langue et je vais prendre l’ascenseur dès le niveau 0 forte de ce que m’a dit Léon.
Demain sera un autre jour et j’aurais plaisir à voir Louisa faire sa valise en carton pour retourner dans son Portugal natal.
Mais je suis méchante, ce qui est loin d’être mon genre.
Lorsque je me couche après ma douche, je regarde ces cinq billets de cents si facilement gagnés ainsi que la carte de Cloé, « Cloé à votre service. Num 06 00 .. »La suite de ce numéro lui appartient, quand je dors, ma décision est prise, je me suis bien amusée, je peux un peu voir venir.
Non, demain, je vais aller à Pôle emploi, je suis une fille bien élevée, je dois pouvoir m’en sortir sans faire la pute ou tout comme...
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