COLLECTION ESCORTE GIRL. Love (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Love (1/2)
• Bonjour Love, merci d’avoir accepté de venir passer cette soirée avec moi.
Vous savez que ces moments avec vous lors de mes passages à Paris sont pour moi d’un grand réconfort.
• Vous avez toujours des soucis avec votre femme !
• Toujours, lorsque je l’ai épousé, j’aurais mieux fait de me casser une patte.
Avec vous, tout se passe sans problème, c’est vous que j’aurais dû épouser, vous avez sensiblement le même âge.
• Vous m’excuserez, mais il aurait été hors de question que je vous épouse.
Vous ou un autre d’ailleurs.
• C’est votre infirmité qui vous en empêche ?
• Non, c’est l’ensemble de ma vie qui a fait qu’un jour j’ai décidé de franchir le pas et de devenir pute.
• Pute, quel gros mot, une virtuose comme vous.
Escorte tout au plus, car vous savez que j’aime autant les moments ou nous sommes dans cette chambre ou quand j’ai le plaisir d’être à table avec vous au restaurant.
• Je m’installe au piano !
• Bien sûr, vous savez que j’aime vous baiser en même temps que vous jouez Chopin ou Brahms dans votre magnifique nudité.
• Mais d’abord !
• Oui, votre petite enveloppe, elle est à sa place sur le coin du piano.
Je me guide avec ma canne, ici c’est facile, ça fait peut-être vingt fois que je viens soutirer, je l’appèlerais monsieur Georges, de quelques quantités de sa semence et d’une belle enveloppe avec de beaux billets.
J’avance ma main et je me saisis de l’enveloppe la rangeant dans mon petit baise-en-ville.
• Je peux vous demander quelque chose, Love !
• Vous m’avez payé, je suis prête à répondre à une question, voire deux, mais nous perdrions du temps en rapport de l’enveloppe que je viens de ranger dans mon sac.
• Justement ça touche l’enveloppe, depuis que je vous paye pour satisfaire souvent des choses que ma femme me refuse, vous rangez l’enveloppe sans la contrôler.
• Vous vous trompez, l’épaisseur de l’enveloppe me dit le type de billets de 100, 200 ou 500 € qu’elle contient.
Le poids quand je la prends en main m’indique s’il y a bien les 5 000 € que je vous ai demandés pour cette prestation.
Love, bien sûr, c’est mon nom d’escorte, comment une jeune femme privée de sa vue depuis sa naissance se retrouve-t-elle à vendre son cul à des hommes souvent influents dans notre pays et dans le monde entier.
Tout est parti de Franck, que je croyais être l’amour de ma vie.
J’avais à peine plus de 16 ans quand il m’a fait croire que si j’acceptais de lui donner ma vertu, il s’occuperait de moi pour toujours.
J’étais ce que l’on appelle une oie blanche et une proie facile.
Quand il s’est fichu de ma gueule, me disant qu’il allait pouvoir se vanter auprès de jeunes cons comme lui qu’il avait dépucelé l’infirme, j’ai compris que je risquais toute ma vie d’être une perdante.
Je savais me défendre assez bien au piano, maman étant concertiste de renom, elle m’avait appris le piano à l’oreille.
Rapidement en écoutant un disque, il se transformait au bout de mes doigts dans une vraie œuvre digne des plus grands concertistes.
Maman avait tout programmé pour que je lui succède dans les plus grandes salles, mais la vie en a décidé autrement.
Franck a été la pierre faisant déborder le vase, mais aussi maman morte d’un arrêt du cœur foudroyant.
Doudou a pris la relève pour ce qu’elle croyait être mon éducation.
Doudou, c’était la maitresse de maman, elles étaient lesbiennes toutes les deux autant que deux femmes peuvent l’être.
Ma naissance a toujours été un mystère, car dans les années où je suis née il y a 25 ans l’insémination artificielle en France étant proscrite.
Bien sûr, maman parcourait le monde comme je le fais maintenant moi aussi et a pu trouver un pays ou de la semence aurait pu lui être proposée.
Doudou a été aussi ma nourrice dès ma naissance, maman étant incapable d’aimer une autre personne qu’elle-même.
Le seul moment où elle avait de la patience, c’est lorsque je me mettais au piano démarrant le vinyle me permettant d’apprendre les œuvres et les jouer comme je commence à le faire.
Avant de m’assoir, ayant fait glisser ma robe longue que j’aime mettre quand Love va vendre son cul pour des milliers, d’euros, de dollars, d’escudos ou autres roubles.
Pour les monnaies des pays étrangers, on connaît tellement Love autour de la planète que dans ces monnaies-là, ce sont aussi des virements bancaires qui font grossir sa fortune.
• Oui, le boléro, vous savez que Ravel est mon compositeur préféré.
Il me calme quand vous le jouez avec vos doigts de fée, sinon j’ai des envies de meurtre avec ma salope de femme.
Voilà à quoi servent mes fesses et mes doigts.
Doudou sait ce que je fais, certes non pas les premières fois quand j’ai décidé que la petite aveugle se vendrait par Internet les premiers mois sous son propre nom de Gladys.
Doudou comprenant un jour ce que je faisais a essayé de me dissuader, mais quand elle a vu ma détermination, a accepté de m’aider.
Maman était mon professeur de piano, Doudou elle m’a appris à me défendre dans la vie grâce à la savate, la boxe française étant plus classe que la boxe anglaise.
Bien sûr, la canne, ma canne.
Pendant des heures, ma vie était orienté vers trois moments que les deux femmes trouvaient importants.
Piano, self-défense avec la canne fabriquée spécialement afin de devenir une arme.
À ce jour, Love se vend sans avoir eu besoin de se servir de cet instrument envers quiconque tenterait d’abuser d’elle.
• Oui, caresse-moi, j’aime quand vous passez vos mains sur mes seins quand mes doigts glissent sur le clavier.
Un piano dans une chambre d’hôtel, il faut avoir de gros moyens et monsieur George les a.
Comme je l’ai dit, Doudou a accepté que je me prostitue et répond même au portable que les hommes influent de la planète me donnent avec mon accord lors de nos rapports.
C’est elle qui tient à jour mes rendez-vous dans la limite de ce que j’accepte.
Oh, non pas sexuellement, rapidement Gladys est devenue Love et accepte toutes les perversions, ce qui fait sa valeur sur le marché des escortes de haut luxe, mais sur les jours où elle se prostitue.
Elle me prend mes rendez-vous trois jours par semaine souvent les mardis, mercredis et jeudis, car à partir de vendredi et le week-end, les hommes pleins de fric rentrent chez bobonnes.
• Vous pouvez vous mettre en position !
En position, ça peu de concertistes savent le faire toujours en jouant.
Je me soulève passant un pied sur le tabouret du piano bientôt suivi du deuxième.
Je suis en levrette sur ce tabouret dégageant mon vagin.
Sans que je le voie, monsieur Georges écarte mes fesses et commence à me faire une feuille de rose.
La première fois où je suis venue et qu’il m’a guidé pour me mettre en position qu’il désirait que je prenne, j’ai fait une fausse note.
Depuis sur les hauteurs de Nice, Doudou me voit souvent m’entraîner à jouer et à faire cette manœuvre sans me poser de question.
Elle doit bien penser que si des hommes sont capables de payer des fortunes pour passer un moment ou quelques jours avec moi, c’est parce que je sais les satisfaire.
Elle sait ce que je touche, car à 52 ans, âge que maman aurait eu, c’est elle qui gère ma fortune avec un comptable ignorant les sources de mes revenues.
Tous mes revenus, sauf le liquide bien sûr, sont déclarés et ma chatte fournie à l’état largement de quoi participer à l’effort de la nation envers les démunis.
Je m’entraîne donc dans notre villa avec une grande piscine donnant sur la baie et où je vis dès que je le peux.
De cette villa, la vue sur la baie est magnifique et j’aime l’admirer sans la voir bien sûr.
Doudou gère mes revenues qui sont multiples depuis la première fois où un homme m’a fait venir dans une chambre d’hôtel le jour de mes 18 ans.
Après Franck, j’ai muri ma vengeance.
Vengeance, mot trop fort, défense de la petite infirme qui refusait d’être un objet dans les mains de salops.
Quand ils me baisent, j’accepte tous sauf d’être attaché.
Dans cette situation, je serais à la merci de sadique profitant de ma cécité pour me faire des choses annulant mes possibilités de me défendre.
S’il y en a une qui domine, c’est Love quand ses clients la paye pour cela.
Là, c’est sans aucun tabou qu’elle leur piétine les couilles avec ses talons aiguilles, ou encore dans les palaces ou elle se prostitue ou elle leur pisse dans la bouche et sur leur visage pourrissant les draps.
Je gagne largement ma vie, même plus que ça.
Dans mon baise-en-ville, j’ai toujours une enveloppe que je donne aux réceptionnistes lorsque je quitte leur hôtel.
Cette enveloppe est à partager entre eux et ces petites mains qui nettoient les débordements dont je suis capable depuis que j’ai enfilé mon costume d’escorte à l’échelle de la planète.
• Oui, c’est bon, vous êtes vraiment la meilleure, je jouis !
À quatre pattes sur mon tabouret de piano, je plaque les dernières mesures du Boléro sans faire de fausses notes en virtuose que je suis devenue.
J’ai encore des choses à avouer, c’est de mon voyage au Moyen-Orient où je me rends, au Qatar plus exactement.
J’y vais tous les ans pour l’anniversaire du client que je vais satisfaire.
Doudou a fixé cette date sur mon calendrier de travail pour les quelques années à venir.
Je lui ai fait une promesse, arrêté avant de devenir une femme décrépite par la vie exaltante que je vis depuis que je vends mes fesses suite à un petit con...
Vous savez que ces moments avec vous lors de mes passages à Paris sont pour moi d’un grand réconfort.
• Vous avez toujours des soucis avec votre femme !
• Toujours, lorsque je l’ai épousé, j’aurais mieux fait de me casser une patte.
Avec vous, tout se passe sans problème, c’est vous que j’aurais dû épouser, vous avez sensiblement le même âge.
• Vous m’excuserez, mais il aurait été hors de question que je vous épouse.
Vous ou un autre d’ailleurs.
• C’est votre infirmité qui vous en empêche ?
• Non, c’est l’ensemble de ma vie qui a fait qu’un jour j’ai décidé de franchir le pas et de devenir pute.
• Pute, quel gros mot, une virtuose comme vous.
Escorte tout au plus, car vous savez que j’aime autant les moments ou nous sommes dans cette chambre ou quand j’ai le plaisir d’être à table avec vous au restaurant.
• Je m’installe au piano !
• Bien sûr, vous savez que j’aime vous baiser en même temps que vous jouez Chopin ou Brahms dans votre magnifique nudité.
• Mais d’abord !
• Oui, votre petite enveloppe, elle est à sa place sur le coin du piano.
Je me guide avec ma canne, ici c’est facile, ça fait peut-être vingt fois que je viens soutirer, je l’appèlerais monsieur Georges, de quelques quantités de sa semence et d’une belle enveloppe avec de beaux billets.
J’avance ma main et je me saisis de l’enveloppe la rangeant dans mon petit baise-en-ville.
• Je peux vous demander quelque chose, Love !
• Vous m’avez payé, je suis prête à répondre à une question, voire deux, mais nous perdrions du temps en rapport de l’enveloppe que je viens de ranger dans mon sac.
• Justement ça touche l’enveloppe, depuis que je vous paye pour satisfaire souvent des choses que ma femme me refuse, vous rangez l’enveloppe sans la contrôler.
• Vous vous trompez, l’épaisseur de l’enveloppe me dit le type de billets de 100, 200 ou 500 € qu’elle contient.
Le poids quand je la prends en main m’indique s’il y a bien les 5 000 € que je vous ai demandés pour cette prestation.
Love, bien sûr, c’est mon nom d’escorte, comment une jeune femme privée de sa vue depuis sa naissance se retrouve-t-elle à vendre son cul à des hommes souvent influents dans notre pays et dans le monde entier.
Tout est parti de Franck, que je croyais être l’amour de ma vie.
J’avais à peine plus de 16 ans quand il m’a fait croire que si j’acceptais de lui donner ma vertu, il s’occuperait de moi pour toujours.
J’étais ce que l’on appelle une oie blanche et une proie facile.
Quand il s’est fichu de ma gueule, me disant qu’il allait pouvoir se vanter auprès de jeunes cons comme lui qu’il avait dépucelé l’infirme, j’ai compris que je risquais toute ma vie d’être une perdante.
Je savais me défendre assez bien au piano, maman étant concertiste de renom, elle m’avait appris le piano à l’oreille.
Rapidement en écoutant un disque, il se transformait au bout de mes doigts dans une vraie œuvre digne des plus grands concertistes.
Maman avait tout programmé pour que je lui succède dans les plus grandes salles, mais la vie en a décidé autrement.
Franck a été la pierre faisant déborder le vase, mais aussi maman morte d’un arrêt du cœur foudroyant.
Doudou a pris la relève pour ce qu’elle croyait être mon éducation.
Doudou, c’était la maitresse de maman, elles étaient lesbiennes toutes les deux autant que deux femmes peuvent l’être.
Ma naissance a toujours été un mystère, car dans les années où je suis née il y a 25 ans l’insémination artificielle en France étant proscrite.
Bien sûr, maman parcourait le monde comme je le fais maintenant moi aussi et a pu trouver un pays ou de la semence aurait pu lui être proposée.
Doudou a été aussi ma nourrice dès ma naissance, maman étant incapable d’aimer une autre personne qu’elle-même.
Le seul moment où elle avait de la patience, c’est lorsque je me mettais au piano démarrant le vinyle me permettant d’apprendre les œuvres et les jouer comme je commence à le faire.
Avant de m’assoir, ayant fait glisser ma robe longue que j’aime mettre quand Love va vendre son cul pour des milliers, d’euros, de dollars, d’escudos ou autres roubles.
Pour les monnaies des pays étrangers, on connaît tellement Love autour de la planète que dans ces monnaies-là, ce sont aussi des virements bancaires qui font grossir sa fortune.
• Oui, le boléro, vous savez que Ravel est mon compositeur préféré.
Il me calme quand vous le jouez avec vos doigts de fée, sinon j’ai des envies de meurtre avec ma salope de femme.
Voilà à quoi servent mes fesses et mes doigts.
Doudou sait ce que je fais, certes non pas les premières fois quand j’ai décidé que la petite aveugle se vendrait par Internet les premiers mois sous son propre nom de Gladys.
Doudou comprenant un jour ce que je faisais a essayé de me dissuader, mais quand elle a vu ma détermination, a accepté de m’aider.
Maman était mon professeur de piano, Doudou elle m’a appris à me défendre dans la vie grâce à la savate, la boxe française étant plus classe que la boxe anglaise.
Bien sûr, la canne, ma canne.
Pendant des heures, ma vie était orienté vers trois moments que les deux femmes trouvaient importants.
Piano, self-défense avec la canne fabriquée spécialement afin de devenir une arme.
À ce jour, Love se vend sans avoir eu besoin de se servir de cet instrument envers quiconque tenterait d’abuser d’elle.
• Oui, caresse-moi, j’aime quand vous passez vos mains sur mes seins quand mes doigts glissent sur le clavier.
Un piano dans une chambre d’hôtel, il faut avoir de gros moyens et monsieur George les a.
Comme je l’ai dit, Doudou a accepté que je me prostitue et répond même au portable que les hommes influent de la planète me donnent avec mon accord lors de nos rapports.
C’est elle qui tient à jour mes rendez-vous dans la limite de ce que j’accepte.
Oh, non pas sexuellement, rapidement Gladys est devenue Love et accepte toutes les perversions, ce qui fait sa valeur sur le marché des escortes de haut luxe, mais sur les jours où elle se prostitue.
Elle me prend mes rendez-vous trois jours par semaine souvent les mardis, mercredis et jeudis, car à partir de vendredi et le week-end, les hommes pleins de fric rentrent chez bobonnes.
• Vous pouvez vous mettre en position !
En position, ça peu de concertistes savent le faire toujours en jouant.
Je me soulève passant un pied sur le tabouret du piano bientôt suivi du deuxième.
Je suis en levrette sur ce tabouret dégageant mon vagin.
Sans que je le voie, monsieur Georges écarte mes fesses et commence à me faire une feuille de rose.
La première fois où je suis venue et qu’il m’a guidé pour me mettre en position qu’il désirait que je prenne, j’ai fait une fausse note.
Depuis sur les hauteurs de Nice, Doudou me voit souvent m’entraîner à jouer et à faire cette manœuvre sans me poser de question.
Elle doit bien penser que si des hommes sont capables de payer des fortunes pour passer un moment ou quelques jours avec moi, c’est parce que je sais les satisfaire.
Elle sait ce que je touche, car à 52 ans, âge que maman aurait eu, c’est elle qui gère ma fortune avec un comptable ignorant les sources de mes revenues.
Tous mes revenus, sauf le liquide bien sûr, sont déclarés et ma chatte fournie à l’état largement de quoi participer à l’effort de la nation envers les démunis.
Je m’entraîne donc dans notre villa avec une grande piscine donnant sur la baie et où je vis dès que je le peux.
De cette villa, la vue sur la baie est magnifique et j’aime l’admirer sans la voir bien sûr.
Doudou gère mes revenues qui sont multiples depuis la première fois où un homme m’a fait venir dans une chambre d’hôtel le jour de mes 18 ans.
Après Franck, j’ai muri ma vengeance.
Vengeance, mot trop fort, défense de la petite infirme qui refusait d’être un objet dans les mains de salops.
Quand ils me baisent, j’accepte tous sauf d’être attaché.
Dans cette situation, je serais à la merci de sadique profitant de ma cécité pour me faire des choses annulant mes possibilités de me défendre.
S’il y en a une qui domine, c’est Love quand ses clients la paye pour cela.
Là, c’est sans aucun tabou qu’elle leur piétine les couilles avec ses talons aiguilles, ou encore dans les palaces ou elle se prostitue ou elle leur pisse dans la bouche et sur leur visage pourrissant les draps.
Je gagne largement ma vie, même plus que ça.
Dans mon baise-en-ville, j’ai toujours une enveloppe que je donne aux réceptionnistes lorsque je quitte leur hôtel.
Cette enveloppe est à partager entre eux et ces petites mains qui nettoient les débordements dont je suis capable depuis que j’ai enfilé mon costume d’escorte à l’échelle de la planète.
• Oui, c’est bon, vous êtes vraiment la meilleure, je jouis !
À quatre pattes sur mon tabouret de piano, je plaque les dernières mesures du Boléro sans faire de fausses notes en virtuose que je suis devenue.
J’ai encore des choses à avouer, c’est de mon voyage au Moyen-Orient où je me rends, au Qatar plus exactement.
J’y vais tous les ans pour l’anniversaire du client que je vais satisfaire.
Doudou a fixé cette date sur mon calendrier de travail pour les quelques années à venir.
Je lui ai fait une promesse, arrêté avant de devenir une femme décrépite par la vie exaltante que je vis depuis que je vends mes fesses suite à un petit con...
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