COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi l’opportunité. Début de la saison II (4/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi l’opportunité. Début de la saison II (4/6)
Voilà le début la saison II de mon histoire, je suis professeur des écoles et pute à mes moments perdus.
Enfin depuis quelques semaines que j’ai franchi le pas, il suffit de regarder mon compte en banque, combien ai-je, rencontré de clients, je l’ignore.
Presque chaque mercredi ou week-end, voire les vacances des écoliers, je me déplace pour me prostituer après des appels de madame Claudette qui gère notre groupe d’escorte.
Pour ces vacances de février, c’est à Courchevel où j’ai rendez-vous avec un couple de personnes que l’on dit nanti.
J’ai commencé mes rendez-vous avec les femmes qui m’ont payée pour avoir des moments d’intimité avec moi.
Je suis devenue une experte en rapports féminins et je sais maintenant comment les satisfaire dans le peu de temps qu’elles ont souvent à consacrer au sexe étant en concurrence avec les hommes.
C’est le défi qu’elles ont avec eux, qui ont permis les nombreux rendez-vous qu’elles me donnent là encore m’apportant un magot bien supérieur à celui de la fonction publique.
Quand Corinne m’a expliqué ce qu’elle faisait hors de son lycée, j’ai vu le fric que cela lui rapportait vu son train de vie.
Avec peu d’expérience même aucune avec les rapports féminins, je découvre le sexe, moi qui étais presque pucelle, trois amants avec mon premier Client.
Jacques, c’est son nom, m’invite chaque mois et me garde de plus en plus longtemps.
Je l’ai même interrogé sur ses revenus, car j’ai eu peur qu’il se mette sur la paille pour m’avoir dans son lit.
Il a compris ma question et m’en a remercié, mais il est rentier sans femme ou enfants.
À sa disparition, j’ai des scrupules de dire qu'à sa mort, il est encore assez vert, tous ses biens iront à l’état.
J’arrive, devant l’hôtel ou mes clients m’ont donnée rendez-vous.
Lorsque madame Claudette m’a donné le lieu de mon rendez-vous, j’ai quelques notions de l’hôtel ou je vais passer la semaine.
Des sites comme Booking ou Trivago me permettent de voir que l’hôtel à des chambres à plus de 1 000 € la nuit.
Attention pour ce prix-là, le petit déjeuner est compris.
Le taxi me dépose avec mes bagages, dans les questions qui m’avaient été posées, la mention ski : oui était inscrite.
Sans parler d’étoiles ou de chamois, toujours chez ma grand-mère, des cousins m’emmenaient dans les Pyrénées à quelques kilomètres en hiver faire du ski avec ma cousine Alice.
Planté du bâton, c’est elle qui me l’a appris dans ma jeunesse et je suis capable de descendre les pistes noires de toutes les stations de sports d’hiver.
• J’ai rendez-vous avec monsieur et madame Durant.
Je dis Durant, pour cacher le réel nom de mes clients !
• Vous êtes madame Ludivine, la dame de compagnie de madame Durant !
• Oui, je suis bien sa dame de compagnie.
Lorsque l’on est pute, on apprend très vite à jouer des rôles, par exemple, j’ai dû acheter une tenue d’infirmière ou d’écolière pour réaliser les fantasmes de mes clients voire clientes.
Dans mon bagage, pour ce couple j’ai le nécessaire pour être une femme fatale.
Plusieurs fois, je la mets sous mon imper pour éviter de montrer à tous que je suis nue simplement recouverte de sangles de cuir.
C’est avec Corinne que nous sommes allées pour acheter ces tenues à Pigalle, Boulevard de Clichy , dans une boutique spécialiste de ce type de vêtements.
• Votre chambre est au second contiguë avec celle de monsieur et madame Durant.
Plus de 1 000 € la chambre, multipliée par deux, ajouté tous les frais compris comme le matériel et les forfaits de ski et les 10 000 € de ma prestation on comprend vite que la femme que je retrouve possède du pognon.
Lorsque je frappe à la porte de communication des deux chambres, la femme qui m’ouvre à la quarantaine, elle est seule en peignoir.
D’un coup, sa ligne et son visage me sont familiers.
Ma cliente est madame, la femme ressemblant à Marlène Dietrich qui tient le club privé où j’ai rencontré Marie.
Entre parenthèses, Marie, je continue à la voir lorsque j’en ai le temps.
Je l’ai présenté à Corinne, nous sommes trois amies, deux couchants de temps en temps ensemble.
• Madame, nous nous connaissons, dans votre club...
• Je vous arrête Ludivine, Marlène, c’est comme cela qu’elle s’appelle, est ma jumelle.
Nous avons ouvert ensemble ce club féminin, mais ma sœur a un fort caractère et un jour nous avons pris des chemins différents.
J’ai de bons revenus, je m’en sors bien et j’ai pu vous inviter à prendre quelques vacances, vous m’avez été chaudement recommandée !
Rapidement, un point m’interpelle, certes, la voix rauque approche celle de Marlène, mais elle a des intonations plus proches de celles de madame Claudette.
Celle que j’appelle encore madame Durant me regarde, doit penser que j’ai compris, car elle se met à rire jusqu’à se calmer.
• Ludivine, je pense que ma voix m’a trahi, depuis les semaines où je te téléphone.
Je suis madame Claudette, j’allais te le dire, j’ai pour habitude de venir tous les ans skier.
Je fais venir l’une de mes protégées la faisant passer pour ma femme de compagnie.
Il y a deux ans, c'était Corinne qui était dans la chambre que tu occupes.
Nous allons skier, manger ensemble sans que personne puisse savoir que nous dormirons ensemble.
Lorsque je me suis séparée de ma sœur, il fallait que je me trouve des revenus.
Ma sœur et moi sommes des lesbiennes depuis notre plus tendre enfance, j’ai dû coucher avec des hommes moyennant rétribution pour m’en sortir.
Leurs bites m’indisposaient de plus en plus, quand j’ai eu l’idée de monter mon agence d’escorte en me servant d’Internet.
Grâce à vous mes filles, je gagne énormément d’argent, mais vous gérer est un gros travail et je prends chaque année une semaine de vacances dans cet hôtel, pour me décontracter.
Fait moi connaître tes célèbres massages, après nous irons skier, le reste nous verrons.
J’ai vu, une semaine à Courchevel, ski en la compagnie de celle que je continue à appeler madame Claudette.
Bien sûr, je la masse, mais si j’ai mis mes lanières de cuir, c’est qu’elle aime être rudoyée.
Elle fait partie de la catégorie « fist » ce que je lui fais à chaque fois qu’elle est à ma merci dans ce coin de repos des montagnes françaises.
Bref, je suis une dame de compagnie de bonne composition surtout lorsque je vais voir mon compte sur Internet et que les 10 000 € l’ont gonflé.
• Madame Claudette, j’aurais peut-être une jeune fille à vous recommander lorsque nous serons de retour à Paris, mais je pense qu’elle acceptera si ce sont simplement des femmes qu’elle rencontre !
Comme vous, elle est lesbienne, je l’ai rencontrée dans le club de votre sœur lorsque nous y sommes allées avec Corinne.
De retour de ces vacances de février, je suis à mon bureau devant mes élèves qui font un devoir de grammaire avant correction en groupe de travail.
J’ai mon portable posé sur le bureau en mode son arrêté.
Je tape un message à Marie.
« Es-tu libre ce soir ? »
Rapide réponse « oui ».
Je prends rendez-vous avec Corinne lui expliquant ce que je veux faire, le message de retour, « c’est parti, je t’aiderai. »C’est l’heure de la récré, je libère les élèves, au retour nous corrigerons le devoir de grammaire.
• Bonsoir, les filles...
Il est 23 heures, toutes trois un peu bourrées, surtout Marie, lorsque j’annonce à Marie qu’elle a deux putes en face d’elle.
C’est Corinne qui enfonce le clou, lui parlant de la façon qu’elle aurait pour se sortir, de ces ennuis financiers.
J’étais sûr qu’elle appellerait le 06 de madame Claudette, après mûre réflexion quand je lui dis qu’elle lui proposerait des moments avec seulement des femmes.
Un mois plus tard, jour pour jour, c’est elle qui nous invite dans des vêtements bon chic bon genre.
Elle sort les billets pour payer nous faisant comprendre qu’elle est passée en mode prostitution féminine !
Arrive les grandes vacances, je reçois un appel de madame Claudette.
• Quinze jours en Jamaïque, dans un hôtel 5 étoiles les pieds dans l’eau pour 30 000 €, es-tu partante ?
Mes valises sont vite prêtes, en plus des maillots de bain, quelques robes habillées dont deux longues.
Un coursier m'apporte mon passeport avec les visas nécessaires ainsi qu’un billet aller-retour pour Ocho Rios.
J’arrive à l’aéroport Charles de Gaulle, madame Claudette m’a dit que je devais attendre mon client devant le guichet des embarquements et je devrais avoir la rose blanche au revers de la veste de mon tailleur.
La rose blanche, car madame Claudette pense à tout et elle m’en a mis une avec mes papiers.
Le vol est à 12 heures 35, il est 12 heures 15 et personne, mon portable m’appelle, je décroche.
• Ludivine, c’est Claudette, je viens d’avoir un message de monsieur Paul, c’est le nom de ton client, il est dans l’impossibilité de partir avec toi.
Embarque, tu as ton billet, il te rejoindra par un jet privé dès demain.
Bon vol et bon séjour, repose-toi bien.
Je suis la dernière à embarquer, ils ferment les portes de l’avion derrière moi, une hôtesse me mène à mes places, le siège de mon client étant vide...
Enfin depuis quelques semaines que j’ai franchi le pas, il suffit de regarder mon compte en banque, combien ai-je, rencontré de clients, je l’ignore.
Presque chaque mercredi ou week-end, voire les vacances des écoliers, je me déplace pour me prostituer après des appels de madame Claudette qui gère notre groupe d’escorte.
Pour ces vacances de février, c’est à Courchevel où j’ai rendez-vous avec un couple de personnes que l’on dit nanti.
J’ai commencé mes rendez-vous avec les femmes qui m’ont payée pour avoir des moments d’intimité avec moi.
Je suis devenue une experte en rapports féminins et je sais maintenant comment les satisfaire dans le peu de temps qu’elles ont souvent à consacrer au sexe étant en concurrence avec les hommes.
C’est le défi qu’elles ont avec eux, qui ont permis les nombreux rendez-vous qu’elles me donnent là encore m’apportant un magot bien supérieur à celui de la fonction publique.
Quand Corinne m’a expliqué ce qu’elle faisait hors de son lycée, j’ai vu le fric que cela lui rapportait vu son train de vie.
Avec peu d’expérience même aucune avec les rapports féminins, je découvre le sexe, moi qui étais presque pucelle, trois amants avec mon premier Client.
Jacques, c’est son nom, m’invite chaque mois et me garde de plus en plus longtemps.
Je l’ai même interrogé sur ses revenus, car j’ai eu peur qu’il se mette sur la paille pour m’avoir dans son lit.
Il a compris ma question et m’en a remercié, mais il est rentier sans femme ou enfants.
À sa disparition, j’ai des scrupules de dire qu'à sa mort, il est encore assez vert, tous ses biens iront à l’état.
J’arrive, devant l’hôtel ou mes clients m’ont donnée rendez-vous.
Lorsque madame Claudette m’a donné le lieu de mon rendez-vous, j’ai quelques notions de l’hôtel ou je vais passer la semaine.
Des sites comme Booking ou Trivago me permettent de voir que l’hôtel à des chambres à plus de 1 000 € la nuit.
Attention pour ce prix-là, le petit déjeuner est compris.
Le taxi me dépose avec mes bagages, dans les questions qui m’avaient été posées, la mention ski : oui était inscrite.
Sans parler d’étoiles ou de chamois, toujours chez ma grand-mère, des cousins m’emmenaient dans les Pyrénées à quelques kilomètres en hiver faire du ski avec ma cousine Alice.
Planté du bâton, c’est elle qui me l’a appris dans ma jeunesse et je suis capable de descendre les pistes noires de toutes les stations de sports d’hiver.
• J’ai rendez-vous avec monsieur et madame Durant.
Je dis Durant, pour cacher le réel nom de mes clients !
• Vous êtes madame Ludivine, la dame de compagnie de madame Durant !
• Oui, je suis bien sa dame de compagnie.
Lorsque l’on est pute, on apprend très vite à jouer des rôles, par exemple, j’ai dû acheter une tenue d’infirmière ou d’écolière pour réaliser les fantasmes de mes clients voire clientes.
Dans mon bagage, pour ce couple j’ai le nécessaire pour être une femme fatale.
Plusieurs fois, je la mets sous mon imper pour éviter de montrer à tous que je suis nue simplement recouverte de sangles de cuir.
C’est avec Corinne que nous sommes allées pour acheter ces tenues à Pigalle, Boulevard de Clichy , dans une boutique spécialiste de ce type de vêtements.
• Votre chambre est au second contiguë avec celle de monsieur et madame Durant.
Plus de 1 000 € la chambre, multipliée par deux, ajouté tous les frais compris comme le matériel et les forfaits de ski et les 10 000 € de ma prestation on comprend vite que la femme que je retrouve possède du pognon.
Lorsque je frappe à la porte de communication des deux chambres, la femme qui m’ouvre à la quarantaine, elle est seule en peignoir.
D’un coup, sa ligne et son visage me sont familiers.
Ma cliente est madame, la femme ressemblant à Marlène Dietrich qui tient le club privé où j’ai rencontré Marie.
Entre parenthèses, Marie, je continue à la voir lorsque j’en ai le temps.
Je l’ai présenté à Corinne, nous sommes trois amies, deux couchants de temps en temps ensemble.
• Madame, nous nous connaissons, dans votre club...
• Je vous arrête Ludivine, Marlène, c’est comme cela qu’elle s’appelle, est ma jumelle.
Nous avons ouvert ensemble ce club féminin, mais ma sœur a un fort caractère et un jour nous avons pris des chemins différents.
J’ai de bons revenus, je m’en sors bien et j’ai pu vous inviter à prendre quelques vacances, vous m’avez été chaudement recommandée !
Rapidement, un point m’interpelle, certes, la voix rauque approche celle de Marlène, mais elle a des intonations plus proches de celles de madame Claudette.
Celle que j’appelle encore madame Durant me regarde, doit penser que j’ai compris, car elle se met à rire jusqu’à se calmer.
• Ludivine, je pense que ma voix m’a trahi, depuis les semaines où je te téléphone.
Je suis madame Claudette, j’allais te le dire, j’ai pour habitude de venir tous les ans skier.
Je fais venir l’une de mes protégées la faisant passer pour ma femme de compagnie.
Il y a deux ans, c'était Corinne qui était dans la chambre que tu occupes.
Nous allons skier, manger ensemble sans que personne puisse savoir que nous dormirons ensemble.
Lorsque je me suis séparée de ma sœur, il fallait que je me trouve des revenus.
Ma sœur et moi sommes des lesbiennes depuis notre plus tendre enfance, j’ai dû coucher avec des hommes moyennant rétribution pour m’en sortir.
Leurs bites m’indisposaient de plus en plus, quand j’ai eu l’idée de monter mon agence d’escorte en me servant d’Internet.
Grâce à vous mes filles, je gagne énormément d’argent, mais vous gérer est un gros travail et je prends chaque année une semaine de vacances dans cet hôtel, pour me décontracter.
Fait moi connaître tes célèbres massages, après nous irons skier, le reste nous verrons.
J’ai vu, une semaine à Courchevel, ski en la compagnie de celle que je continue à appeler madame Claudette.
Bien sûr, je la masse, mais si j’ai mis mes lanières de cuir, c’est qu’elle aime être rudoyée.
Elle fait partie de la catégorie « fist » ce que je lui fais à chaque fois qu’elle est à ma merci dans ce coin de repos des montagnes françaises.
Bref, je suis une dame de compagnie de bonne composition surtout lorsque je vais voir mon compte sur Internet et que les 10 000 € l’ont gonflé.
• Madame Claudette, j’aurais peut-être une jeune fille à vous recommander lorsque nous serons de retour à Paris, mais je pense qu’elle acceptera si ce sont simplement des femmes qu’elle rencontre !
Comme vous, elle est lesbienne, je l’ai rencontrée dans le club de votre sœur lorsque nous y sommes allées avec Corinne.
De retour de ces vacances de février, je suis à mon bureau devant mes élèves qui font un devoir de grammaire avant correction en groupe de travail.
J’ai mon portable posé sur le bureau en mode son arrêté.
Je tape un message à Marie.
« Es-tu libre ce soir ? »
Rapide réponse « oui ».
Je prends rendez-vous avec Corinne lui expliquant ce que je veux faire, le message de retour, « c’est parti, je t’aiderai. »C’est l’heure de la récré, je libère les élèves, au retour nous corrigerons le devoir de grammaire.
• Bonsoir, les filles...
Il est 23 heures, toutes trois un peu bourrées, surtout Marie, lorsque j’annonce à Marie qu’elle a deux putes en face d’elle.
C’est Corinne qui enfonce le clou, lui parlant de la façon qu’elle aurait pour se sortir, de ces ennuis financiers.
J’étais sûr qu’elle appellerait le 06 de madame Claudette, après mûre réflexion quand je lui dis qu’elle lui proposerait des moments avec seulement des femmes.
Un mois plus tard, jour pour jour, c’est elle qui nous invite dans des vêtements bon chic bon genre.
Elle sort les billets pour payer nous faisant comprendre qu’elle est passée en mode prostitution féminine !
Arrive les grandes vacances, je reçois un appel de madame Claudette.
• Quinze jours en Jamaïque, dans un hôtel 5 étoiles les pieds dans l’eau pour 30 000 €, es-tu partante ?
Mes valises sont vite prêtes, en plus des maillots de bain, quelques robes habillées dont deux longues.
Un coursier m'apporte mon passeport avec les visas nécessaires ainsi qu’un billet aller-retour pour Ocho Rios.
J’arrive à l’aéroport Charles de Gaulle, madame Claudette m’a dit que je devais attendre mon client devant le guichet des embarquements et je devrais avoir la rose blanche au revers de la veste de mon tailleur.
La rose blanche, car madame Claudette pense à tout et elle m’en a mis une avec mes papiers.
Le vol est à 12 heures 35, il est 12 heures 15 et personne, mon portable m’appelle, je décroche.
• Ludivine, c’est Claudette, je viens d’avoir un message de monsieur Paul, c’est le nom de ton client, il est dans l’impossibilité de partir avec toi.
Embarque, tu as ton billet, il te rejoindra par un jet privé dès demain.
Bon vol et bon séjour, repose-toi bien.
Je suis la dernière à embarquer, ils ferment les portes de l’avion derrière moi, une hôtesse me mène à mes places, le siège de mon client étant vide...
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