COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi l’opportunité. Fin de la saison I (3/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi l’opportunité. Fin de la saison I (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2022 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi l’opportunité. Fin de la saison I (3/3)
Sur ce lit au couvre lit rose, je suis dans l’obligation de me demander si Marie que j’embrasse, échangeant ma langue avec la sienne, je le fais par intérêt ou par début d’amour pour elle !
Amour, non c’est trop tôt, je me connais, je suis prompte à tomber amoureuse, ce qui a été le cas les trois fois où j’ai eu des amants.
À ce jour, alors que Marie a passé sa main sous ma jupe, je repense à ma première fois.
J’avais rencontré un garçon, Sylvain, pendant mes vacances à Biarritz chez ma grand-mère, depuis, hélas, décédée.
C’est dans une mansarde un peu comme celle où Marie m’a emmenée que je me suis fait dépuceler.
Il était apprenti boulanger en renfort pour les vacances d’été.
Je me voyais déjà patronne d’une boutique dans les temps futurs.
Deux jours après j’étais cocu pour la première fois, il embrassait une petite pétasse à tache de rousseur.
Le deuxième, un an plus tard, ce fut le soir du 14 Juillet au bal des pompiers là encore chez ma grand-mère.
Sur la mousse derrière la caserne, je mouillais quand Luc, il s’appelait Luc, ma chauffée en dansant des slows langoureux.
Nous avons fait flamber le parquet par des rocks endiablés.
Je faisais voir ma petite culotte rose, heureusement que dans ces années-là, j’étais en fac et non titulaire à l’école du quartier ou ma grand-mère habitait.
J’aurais fait scandale devant les parents de mes élèves.
Épuisée, Luc m’a entraînée sur une pelouse près de la caserne à l’abri des regards des participants à cette fête.
Il m’a caressée, puis je l’ai laissé me pénétrer.
Depuis mon expérience avec l’apprenti boulanger, je m’étais contentée de mes doigts et c’est avec bonheur que nous avons joui ensemble ma chatte étant toujours ouverte après cette première pénétration.
Comme je l’ai dit, j’ai eu trois hommes à ce jour.
Le troisième, j’étais certainement prédestinée, à la demande de sa maman, je suis allée chercher sa fille à l’école de notre quartier tous les temps où elle était obligée de rester allongée, sa grossesse étant à risque.
Étienne, c’était là son nom, avait cinquante ans et je dois reconnaître que sans aller jusqu’au coup de foudre, un peu comme avec Marie, j’ai été sensible à son charme.
Comme le soir, j’étais au fast-food et qu’il était là à lire un livre, il a levé la tête, m'a vue et m’a invitée à manger à sa table, toutes les autres étant prises.
J’ai fini dans son lit dans l’hôtel où il était logé.
Ça a duré deux mois, ce que j’ignorais, c’est qu’il était prof remplaçant ayant passé l’examen lorsque le gouvernement a ouvert cette fonction à des personnes après un concours.
Bye, bye, mais je savais que de mon côté cette relation serait éphémère, vivre avec un vieux jusqu’à la fin de ma vie, même pas en rêve.
La seule chose que je peux dire, c’est que je venais de perdre un très bon amant.

Des hommes, trois sans compter mon premier client, mais loin de ce que me montre Marie, ses doigts effleurant simplement ma petite culotte semblant avoir du mal à me les mettre au fond de ma chatte.
Pourtant, je sens que ça coule sur mes cuisses et que nos bouches sont toujours autant soudées.
Je suis attentive à tout ce qu’elle fait, loin des clientes que je pourrais me faire.
Mais parce que cette situation nouvelle, impensable il y a peu, si j’avais été sourde à la proposition de Corinne d’appeler, madame Claudette.
Ajoutons cette dernière me posant la question des rapports lesbiens et nous savons pourquoi j’ai rapidement les jambes écartées la langue de Marie caressant mon clitoris par-dessus son voile !
C’est vrai que c’est bon, je dirais différent des hommes qui m’ont baisé.
À part le petit boulanger que je croyais aimer, je dirais plutôt du sentiment, les autres et surtout mon client j’étais plus lucide.
Quand j’ai commencé à voler très haut, me retrouvant par l’opération du Saint-Esprit tête tête-bêche avec Marie sur moi, c’est tout naturellement que j’ai écarté les grandes lèvres de ma nouvelle amie.
J’étais tellement barrée que j’aurais dû remarquer que lorsque je l’ai rencontré, ma compagne se promenait sa chatte blonde à l’air.
À aucun moment le même petit bout de tissu identique au mien étant là pour la protéger je lui ai enlevé.
À y bien y regarder, ce morceau de tissu, est-il vraiment là pour nous protéger ?
Luc sur notre pelouse l’a simplement écarté me prenant couché par-derrière une de mes jambes en l’air.
Rapidement sa langue puis ses mains écartant ma culotte, attaquant directement mon clito, c’est ensemble qu’une certaine jouissance est montée en nous.
Nous nous sommes relevées, nous nous sommes dénudées, puis enlevant le couvre-lit rose, c’est dans des draps roses et une couverture rose un peu plus soutenue dans les tons que nous nous sommes couchées.
Marie est venue se blottir dans mes bras, je pense que nous nous sommes assoupies, du moins moi, car c’est sa main à plat sur ma chatte qui m’a fait revenir sur terre.
Dans mon sommeil, mes jambes s’étaient ouvertes sans que je le sente, ma culotte gisant au sol, j’ai vu un de ses doigts entrer en moi, puis deux et enfin trois.
Lorsque je me masturbe, c’est le nombre maxi dont je me sers ayant résisté à m’acheter un vibromasseur.
Il y a peu, en salle des profs à l’école, Carine, ma collègue de cours préparatoire cherchant dans son sac, m’en a sorti un devant moi comme si c’était naturel.
Je l’ai pris en main, puéril je lui ai demandé si elle avait été dans un sexe shop l’acheter !
Elle a ri en me faisant la remarque suivante me laissant entièrement conne.
« Site leboncoin.fr sur Internet, ou amazon, voire d’autres sites comme Cdiscount où tu pourras en trouver des centaines en tous genres. »Étant seule, elle a voulu que je l’essaye, me proposant de bloquer la porte de la salle de l’intérieur.
Si depuis Carine apprenait que je me prostitue, une seule fois il est vrai, elle saurait que j’ai largement dépassé le stade des godes.
Dès qu’elle m’appellera, madame Claudette m’enverra rencontrer des bites moyennant rétribution et rendant inutile ce genre d'engin de substitution.
Les doigts, en moi, finissent par faire leur effet et je retiens mes cris de plaisir.
Je rends la pareille à Marie, je suis partageuse, j’arrive à lui mettre quatre doigts. Certainement l’habitude avec Abby, son anglaise et c’est de plus en plus vite qu’elle veut que je la pénètre.
D’un coup un geyser liquide sort de son corps mouillant les draps, Marie se met à pleurer à chaudes larmes !

• Que t’arrive-t-il petit bouton d’or, je t’ai fait mal ?
• Au contraire, Ludivine, depuis Abby, c’est la première fois que je suis femme fontaine.
J’ai pris l’habitude de me masturber depuis son départ en regardant sa photo.
Abby elle expulsait de grandes quantités de cyprine la plupart du temps où je la fistais.
Nous avions l’habitude, je masturbais Abby, ses fesses sur cette table, je t’ai mis trois doigts pour te faire jouir, moi tu m’en as mis quatre, elle s’était ma main qu’elle recevait.
Je vois que tu es ignorante de cette façon de faire, on appelle ça se fister.
Son corps expulsait toute sa cyprine quand elle était en forme, c’était plus facile de passer la serpillière que de changer les draps.

Elle respire un grand coup, je viens d’apprendre bien des choses, certaines femmes expulsent de la cyprine lorsqu’on leur met une main entière dans le vagin se faisant fister.
Serais-je en train de me préparer à téléphoner à madame Claudette, qu’elle coche la case, pour que j’aille rencontrer des femmes en mal d’amour féminin ?

C’est au petit matin que je rentre chez moi, donnant de tendres baisers à celle qui a été à deux doigts de faire chavirer mon cœur.
Je me douche, une odeur de femelle en chaleur se trouvant sur moi.
Ce sont les yeux un peu endormis, ça c’est la prof qui le dit, la pute dirait en trou de pine que je rejoins mon école.
C’est une maîtresse apaisée, qui dicte à ses élèves la dictée que je leur fais faire, leur montrant là qui un accent, une autre un « s », ayant été oublié.
Mais le plus souvent, en regardant, chaque fois qu’elle le peut, à hauteur des sexes des passantes me posant un max de questions.
Culotte, pas culotte, rasée, pas rasée, un, deux, trois, voire quatre ou toute la main qu’en mode pute, je pourrais leur enfoncer.
Un doigt, je me souviens, je m’en enfonçais un seul et encore restant tout au bord caressant mon clito avant que ce connard de Sylvain, me prenne ce que certains appellent ma petite fleur.
En les regardant, surtout les plus jeunes, je me demande si c’est avec un seul de leur doigt, qu'elles se masturbent étant vierges !

• Madame, je peux aller aux toilettes !

Je reviens à la triste réalité de la vie, à son âge, Pauline est encore loin de ces pensées d’adultes, elle a du temps avant de découvrir son corps.
Le soir je suis crevée, je vais pour me coucher dès que je suis rentrée.
Je dénoue mes cheveux, j’ôte mes lunettes de prof me donnant un air sévère pour plonger dans mon lit après avoir passé un SMS à Marie.
Ce matin avant de la quitter, je lui ai demandé de me donner son numéro de portable si elle le voulait.
Elle s’est empressée de me le donner et ce sont les vibrations qui me réveillent, dans mon premier sommeil.
Je l’avais posé sur mon oreiller sans m’en rendre compte.
Il fait nuit, « je t’aime. »Merde, moi aussi, mais je sens que Marie, c’est d’une tout autre façon que ces trois mots elle les a écrit.
Je me croyais fleur bleue, je viens de trouver plus bleu que moi, alors que Marie semblait voir la vie en rose du temps d’Abby.

Au matin je suis à l’école, je suis d’ouverture, monsieur papa de Clarisse que je sais s’appeler Paul, depuis la première fois ou je l’ai vu dans sa tenue de joggeur, se présente à moi.

• Mademoiselle Ludivine, je viens vous prévenir que ma fille Clarisse restera à la maison jusqu’à la fin de l’année scolaire.
Son comportement m’a semblé anormal depuis quelque temps, nous avons consulté plusieurs spécialistes et leur conclusion est formelle et unanime.
Elle est atteinte par une maladie orpheline dont on parle dans le téléthon.
Par chance, même si les jeunes filles atteintes dans le monde sont peu nombreuses, ils ont un début de traitement et ma fille va en profiter.
La contrepartie, c’est une obligation de rester entre son lit et un fauteuil.
J’ai rencontré les gens d’une association, ils vont me fournir une aide pour ses études et un professeur viendra trois jours par semaine pour ses études.
• Je suis désolée, pouvez-vous l’embrasser pour moi, c’est un geste impossible dans cette école, mais vous chez vous pouvez le faire pour moi.
• Je le ferai et chaque fois que je le pourrai, vous aurez des informations.

Voilà comment on perd une bonne élève et un homme charmant qui aurait pu m’intéresser hors de ma vie professionnelle.
J’ai encore devant mes yeux, la dernière fois où il accompagnait sa fille partant pour faire son jogging.
Le paquet qu’il m’a montré sous son collant, est certainement pour quelque chose dans ma décision d’appeler madame Claudette pour accepter son argent en me prostituant.
Madame Claudette, c’est le soir qu’elle m’appelle.

• Ludivine, vendredi soir 18 heures, un taxi sera à la sortie de ton école.
Tu t’envoles pour Toulouse pour le week-end.
Tu seras de retour dimanche dans la soirée.
5 000 € pour satisfaire ton client.
Sert toi de tes massages, c’est un très bon moyen de satisfaire ces messieurs.
• Merci madame Claudette, je serais prête, pendant que je vous ai, cochez la case pour les amours féminins.

Il faut savoir saisir l’opportunité...

Voilà la première saison se termine, Ludivine a décidé de sa vie, nous verrons dans la saison II où tout ceci va la conduire.
Se prostituer est loin d’être anonyme surtout lorsque l’on est une professeure des écoles.

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Texte coquin : COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi l’opportunité. Fin de la saison I (3/3)
Histoire sexe : Une rose rouge
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