COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi l’opportunité. Saison I (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi l’opportunité. Saison I (2/3)
Lorsque j’ai posé la question à Corinne, mon amie, de comment elle faisait avec sa paye de prof des lycées pour avoir le train de vie qu’elle avait, j’ignorais que sa réponse serait surprenante.
« Pute », escorte girl si vous préférez dans nos temps modernes.
Dans le temps, les putes vous les trouviez dans les quartiers chauds de nos villes au plus près d’hôtels borgnes.
Maintenant c’est par Internet qu’elles font voir leurs jolis minois aux clients potentiels.
Dans ma jeunesse j’ai entendu parler de madame Claude qui avait un bataillon de jeunes filles comme moi pour satisfaire les clients qu’elle leur trouvait.
J’ai vu le film et elle s’est brûlée les ailes, en trouvant des clients chez les hommes politiques qui ont fini par la lâcher.
Le premier client que je rencontre chez lui, s’il était homme politique, ça se saurait.
C’est au restaurant le lundi soir que je retrouve Corinne.
C’est elle qui devance ma demande sur les rapports qu’elle semble avoir avec les femmes dans son métier parallèle.
• Veux-tu qu’on en parle ?
J’avais mon verre à la main, je venais de boire une gorgée de Bourgogne Mercurey vieille vigne de 2012 quand Corinne me pose cette question.
Je l’arrose littéralement de ce vin pourtant si bon, elle me regarde de façon totalement étrange, comme si elle avait dit une incongruité.
• Oui, depuis quand tu couches avec des filles, car je pense que lorsque madame Claudette t’a posé cette question, tu as répondu « oui » ?
• Non, comme toi tu as hésité, j’ai hésité, mais j’ai appris que des femmes sont souvent des femmes de pouvoir dans des entreprises.
Elles ont peu de temps, même aucun pour la gaudriole et souvent elles craignent qu’un homme puisse prendre du poids sur elles dans leur profession.
La plupart sont hétéros, mais certaines sont lesbiennes et prennent rendez-vous avec d’autres femmes, elles payent mieux que les hommes.
Un homme qui se paye une pute, c’est un macho, surtout si elle est jeune et belle comme nous.
Une femme qui baise avec un escortboy ou une escorte girl, c’est une salope et elle perd tout pouvoir.
Viens, je vais te faire connaître un endroit que j’ai fréquenté au premier temps où je me prostituais et qui m’a permis de dire à madame Claudette que j’étais partante pour rencontrer des femmes.
Mais avant je vais passer chez moi pour réparer tes aspersions de ce bon Bourgogne.
Tu m’attendras dans ma voiture, à moins que ce soit toi qui montes et que ce soit avec moi que tu apprennes à aimer les femmes ?
La vision, de moi me vidant les tripes en suçant la chatte de ma copine, me revient en mémoire.
• Non merci, je préfère attendre une autre occasion moins proche de toi, viens que je t’embrasse.
Nous nous embrassons en tout bien tout honneur, avant que virevoltante comme elle est depuis que je la connais, ses clients doivent beaucoup apprécier, elle sort de la voiture et disparaît dans le hall de son immeuble.
Elle vit seule, du moins je croyais le savoir, mais au fil de ce que je découvre, les femmes et les hommes avec qui je la voyais, combien d’entre eux la payaient pour un moment avec elle ?
C’est vrai que cet appartement de cinq pièces est dans le 16e près du parc des Princes et qu’il a dû lui coûter une fortune surtout qu’elle a été la première à y emménager, il était neuf.
Et cela en très peu de temps.
• Voilà, maintenant je vais te montrer un endroit de Paris où je me réfugie lorsque j’en ai assez des queues des hommes.
« Club privé » dans le Quartier latin, nous entrons, j’ai plutôt connu les caves de Jazz de la butte Montmartre que ces boîtes où tout est rouge, les tentures ainsi que la lumière dès que vous avez passé le rideau de l’entrée.
• Salut Corinne, il y a bien longtemps que madame a oublié ta présence, elle va être étonnée, t’avais oublié les copines !
• Sacha laisse entrer mon amie, tu sais bien qu’elle s’occupe de nos adolescents dans la journée et que c’est prenant et épuisant.
Marlène Dietrich dans l’Ange bleu, guêpière noire, slip, avec des bas et des chaussures à hauts talons, tout ceci de la même couleur.
Lorsque je parle de Marlène, elle a à la main un fume-cigarette sans cigarette !
Lieu public, même si c’est privé avec contrôle de Sacha, le cerbère à l’entrée, il est interdit de fumer.
Cette femme qui domine tout son monde est assise sur un haut tabouret en bout du bar.
La seule chose qui lui manque c’est le haut-de-forme, mais ça aurait fait trop cliché.
C’est d’une voix rauque qu’elle nous interpelle.
• Alors Corinne, tu nous avais oubliés, présente-nous ton amie.
C’est ta nouvelle conquête, tu nous la cachais !
• Non, c’est une amie d’enfance, nous étions au restaurant et nous parlions des amours féminins, elle ignorait qu’un tel club existait et je lui ai proposé de venir le découvrir.
Dans ce bar, il y a des box et dans l’un d’eux, je vois une jolie blonde, sirotant une menthe à l’eau.
Il y a de la musique et deux couples de lesbiennes dansent amoureusement enlacer.
Au bar, une grande rousse, allure de garçon, s'avance vers la jeune blonde et l’invite, la petite lève la tête, la regarde et refuse son invitation.
Corinne me parle à l’oreille.
• Tu voulais savoir pour les filles entre elles, as-tu vu le coup d’œil que cette petite blonde a jeté vers toi lorsque nous sommes entrées.
J’ai l’habitude, toi ou moi, j’ignore laquelle, mais une de nous deux, lui a tapé dans l’œil.
Pour éviter les embrouilles, je m’occupe de la rousse, je connais ce genre de fille et comment les amadouer toi va t'asseoir en face de cette petite et engage la conversation.
Je suis sûr que, demain tu appelleras madame Claudette pour lui dire qu’elle rajoute « amour féminin : Oui. »
Corinne après m’avoir incité à faire mon premier client, comme du temps où nous étions à l’école elle a toujours eu de l’emprise sur moi.
Il est vrai qu’en regardant la petite qui me regarde, ma petite culotte mouille.
• Je peux m'asseoir, je m’appelle Ludivine, j’ai 23 ans, blonde aux yeux bleus comme toi.
Je m’assieds, j’ai failli lui dire prof des écoles, mais je freine à temps, inutile de trop me dévoiler.
• Marie, j’ai, moi aussi 23 ans et comme toi je suis blonde aux yeux bleus !
• Tu as l’air triste, pourtant avec de si jolis yeux, le rire devrait inonder ton visage !
• Il y a un mois jour pour jour qu’Abby mon amie anglaise m’a quittée pour retourner en Angleterre, retrouver la salope qui l’avait elle-même quittée avant.
Je l’avais rencontrée dans ce bar le soir de l’enterrement d’une de mes amies lesbiennes.
J’étais venue voir si par hasard, elle était revenue où si je l’ai définitivement perdue.
Mon côté prof ressurgit, je veux son bonheur comme j’ai celui de le faire avec mes élèves qui ont un problème.
• Tu travailles !
• Non, je suis à la fac à la Sorbonne, je voudrais faire la magistrature et m’occuper d’enfants malheureux maltraités par des gens indignes.
Par chance, elle oublie de me demander ce que je fais, je lui prends la main, qui frissonne, mais qu'elle laisse dans la mienne.
Corinne est en train de parler à la rousse, elles ont devant elles au bar deux coupes de champagne.
• Je t’offre un verre, ça va te remonter le moral !
Deux coupes qui arrivent, je pense que Corinne avait devancé notre envie et nous avait commandé ces deux verres.
Les choses se décantent, c’est Marie, qui me demande si je danse alors que Corinne est déjà collée à sa cavalière.
C’est la première fois que je danse ventre à ventre avec une autre femme, nos seins sont en contact, ça m’émoustille, je sens qu’ils bandent comme mouillait ma petite culotte.
C’est incroyable, je me pose la question si Corinne m’avait amenée dans ce club lesbien avant que madame Claudette me parle de prostitution féminine, aurais-je eu la même réaction quand sa bouche cherche la mienne.
Ma conclusion est directe, c’est trop tard, vais-je aimer donner et recevoir du plaisir de Marie, cette petite bonne femme bien que nous soyons de taille presque identique.
• Chez toi ou chez moi ?
• J’ai une chambre à deux pas, mais ton amie !
• C’est seulement mon amie, mais regarde, elle aussi semble avoir rencontré l’âme sœur.
J’embrasse Corinne, la rousse en profite pour m’embrasser en me flattant le sein en me prenant le bras.
Pour Marie, même chose, même palpage de seins sans en avoir l’air.
Nous saluons, madame et Sacha, qui semblent être en couple elles aussi.
Chambre mansardée sous les toits, mais une véritable petite bonbonnière.
Je fais la connaissance d’Abby, elle est partout même sur le petit frigo.
Je sens Marie gênée de ces photos en si grands nombres.
• Sois sans crainte, Marie, si un jour je suis amoureuse, moi aussi j’aurais des dizaines de photos dans mon logement.
Viens dans mes bras.
Un lit pour deux, une table pour deux, une douche derrière le rideau pour une personne seule mais ou nous réalisons à tenir à deux.
Le dessus de lit, la nappe, le rideau de douche et les rideaux sur la mansarde sont roses, ce qui donne cette impression de bonbonnière.
Je la reprends dans mes bras, nous chutons sur le lit.
J’évite de penser que je vais me former aux amours lesbiens, mon cœur s’est accéléré dans ma poitrine...
« Pute », escorte girl si vous préférez dans nos temps modernes.
Dans le temps, les putes vous les trouviez dans les quartiers chauds de nos villes au plus près d’hôtels borgnes.
Maintenant c’est par Internet qu’elles font voir leurs jolis minois aux clients potentiels.
Dans ma jeunesse j’ai entendu parler de madame Claude qui avait un bataillon de jeunes filles comme moi pour satisfaire les clients qu’elle leur trouvait.
J’ai vu le film et elle s’est brûlée les ailes, en trouvant des clients chez les hommes politiques qui ont fini par la lâcher.
Le premier client que je rencontre chez lui, s’il était homme politique, ça se saurait.
C’est au restaurant le lundi soir que je retrouve Corinne.
C’est elle qui devance ma demande sur les rapports qu’elle semble avoir avec les femmes dans son métier parallèle.
• Veux-tu qu’on en parle ?
J’avais mon verre à la main, je venais de boire une gorgée de Bourgogne Mercurey vieille vigne de 2012 quand Corinne me pose cette question.
Je l’arrose littéralement de ce vin pourtant si bon, elle me regarde de façon totalement étrange, comme si elle avait dit une incongruité.
• Oui, depuis quand tu couches avec des filles, car je pense que lorsque madame Claudette t’a posé cette question, tu as répondu « oui » ?
• Non, comme toi tu as hésité, j’ai hésité, mais j’ai appris que des femmes sont souvent des femmes de pouvoir dans des entreprises.
Elles ont peu de temps, même aucun pour la gaudriole et souvent elles craignent qu’un homme puisse prendre du poids sur elles dans leur profession.
La plupart sont hétéros, mais certaines sont lesbiennes et prennent rendez-vous avec d’autres femmes, elles payent mieux que les hommes.
Un homme qui se paye une pute, c’est un macho, surtout si elle est jeune et belle comme nous.
Une femme qui baise avec un escortboy ou une escorte girl, c’est une salope et elle perd tout pouvoir.
Viens, je vais te faire connaître un endroit que j’ai fréquenté au premier temps où je me prostituais et qui m’a permis de dire à madame Claudette que j’étais partante pour rencontrer des femmes.
Mais avant je vais passer chez moi pour réparer tes aspersions de ce bon Bourgogne.
Tu m’attendras dans ma voiture, à moins que ce soit toi qui montes et que ce soit avec moi que tu apprennes à aimer les femmes ?
La vision, de moi me vidant les tripes en suçant la chatte de ma copine, me revient en mémoire.
• Non merci, je préfère attendre une autre occasion moins proche de toi, viens que je t’embrasse.
Nous nous embrassons en tout bien tout honneur, avant que virevoltante comme elle est depuis que je la connais, ses clients doivent beaucoup apprécier, elle sort de la voiture et disparaît dans le hall de son immeuble.
Elle vit seule, du moins je croyais le savoir, mais au fil de ce que je découvre, les femmes et les hommes avec qui je la voyais, combien d’entre eux la payaient pour un moment avec elle ?
C’est vrai que cet appartement de cinq pièces est dans le 16e près du parc des Princes et qu’il a dû lui coûter une fortune surtout qu’elle a été la première à y emménager, il était neuf.
Et cela en très peu de temps.
• Voilà, maintenant je vais te montrer un endroit de Paris où je me réfugie lorsque j’en ai assez des queues des hommes.
« Club privé » dans le Quartier latin, nous entrons, j’ai plutôt connu les caves de Jazz de la butte Montmartre que ces boîtes où tout est rouge, les tentures ainsi que la lumière dès que vous avez passé le rideau de l’entrée.
• Salut Corinne, il y a bien longtemps que madame a oublié ta présence, elle va être étonnée, t’avais oublié les copines !
• Sacha laisse entrer mon amie, tu sais bien qu’elle s’occupe de nos adolescents dans la journée et que c’est prenant et épuisant.
Marlène Dietrich dans l’Ange bleu, guêpière noire, slip, avec des bas et des chaussures à hauts talons, tout ceci de la même couleur.
Lorsque je parle de Marlène, elle a à la main un fume-cigarette sans cigarette !
Lieu public, même si c’est privé avec contrôle de Sacha, le cerbère à l’entrée, il est interdit de fumer.
Cette femme qui domine tout son monde est assise sur un haut tabouret en bout du bar.
La seule chose qui lui manque c’est le haut-de-forme, mais ça aurait fait trop cliché.
C’est d’une voix rauque qu’elle nous interpelle.
• Alors Corinne, tu nous avais oubliés, présente-nous ton amie.
C’est ta nouvelle conquête, tu nous la cachais !
• Non, c’est une amie d’enfance, nous étions au restaurant et nous parlions des amours féminins, elle ignorait qu’un tel club existait et je lui ai proposé de venir le découvrir.
Dans ce bar, il y a des box et dans l’un d’eux, je vois une jolie blonde, sirotant une menthe à l’eau.
Il y a de la musique et deux couples de lesbiennes dansent amoureusement enlacer.
Au bar, une grande rousse, allure de garçon, s'avance vers la jeune blonde et l’invite, la petite lève la tête, la regarde et refuse son invitation.
Corinne me parle à l’oreille.
• Tu voulais savoir pour les filles entre elles, as-tu vu le coup d’œil que cette petite blonde a jeté vers toi lorsque nous sommes entrées.
J’ai l’habitude, toi ou moi, j’ignore laquelle, mais une de nous deux, lui a tapé dans l’œil.
Pour éviter les embrouilles, je m’occupe de la rousse, je connais ce genre de fille et comment les amadouer toi va t'asseoir en face de cette petite et engage la conversation.
Je suis sûr que, demain tu appelleras madame Claudette pour lui dire qu’elle rajoute « amour féminin : Oui. »
Corinne après m’avoir incité à faire mon premier client, comme du temps où nous étions à l’école elle a toujours eu de l’emprise sur moi.
Il est vrai qu’en regardant la petite qui me regarde, ma petite culotte mouille.
• Je peux m'asseoir, je m’appelle Ludivine, j’ai 23 ans, blonde aux yeux bleus comme toi.
Je m’assieds, j’ai failli lui dire prof des écoles, mais je freine à temps, inutile de trop me dévoiler.
• Marie, j’ai, moi aussi 23 ans et comme toi je suis blonde aux yeux bleus !
• Tu as l’air triste, pourtant avec de si jolis yeux, le rire devrait inonder ton visage !
• Il y a un mois jour pour jour qu’Abby mon amie anglaise m’a quittée pour retourner en Angleterre, retrouver la salope qui l’avait elle-même quittée avant.
Je l’avais rencontrée dans ce bar le soir de l’enterrement d’une de mes amies lesbiennes.
J’étais venue voir si par hasard, elle était revenue où si je l’ai définitivement perdue.
Mon côté prof ressurgit, je veux son bonheur comme j’ai celui de le faire avec mes élèves qui ont un problème.
• Tu travailles !
• Non, je suis à la fac à la Sorbonne, je voudrais faire la magistrature et m’occuper d’enfants malheureux maltraités par des gens indignes.
Par chance, elle oublie de me demander ce que je fais, je lui prends la main, qui frissonne, mais qu'elle laisse dans la mienne.
Corinne est en train de parler à la rousse, elles ont devant elles au bar deux coupes de champagne.
• Je t’offre un verre, ça va te remonter le moral !
Deux coupes qui arrivent, je pense que Corinne avait devancé notre envie et nous avait commandé ces deux verres.
Les choses se décantent, c’est Marie, qui me demande si je danse alors que Corinne est déjà collée à sa cavalière.
C’est la première fois que je danse ventre à ventre avec une autre femme, nos seins sont en contact, ça m’émoustille, je sens qu’ils bandent comme mouillait ma petite culotte.
C’est incroyable, je me pose la question si Corinne m’avait amenée dans ce club lesbien avant que madame Claudette me parle de prostitution féminine, aurais-je eu la même réaction quand sa bouche cherche la mienne.
Ma conclusion est directe, c’est trop tard, vais-je aimer donner et recevoir du plaisir de Marie, cette petite bonne femme bien que nous soyons de taille presque identique.
• Chez toi ou chez moi ?
• J’ai une chambre à deux pas, mais ton amie !
• C’est seulement mon amie, mais regarde, elle aussi semble avoir rencontré l’âme sœur.
J’embrasse Corinne, la rousse en profite pour m’embrasser en me flattant le sein en me prenant le bras.
Pour Marie, même chose, même palpage de seins sans en avoir l’air.
Nous saluons, madame et Sacha, qui semblent être en couple elles aussi.
Chambre mansardée sous les toits, mais une véritable petite bonbonnière.
Je fais la connaissance d’Abby, elle est partout même sur le petit frigo.
Je sens Marie gênée de ces photos en si grands nombres.
• Sois sans crainte, Marie, si un jour je suis amoureuse, moi aussi j’aurais des dizaines de photos dans mon logement.
Viens dans mes bras.
Un lit pour deux, une table pour deux, une douche derrière le rideau pour une personne seule mais ou nous réalisons à tenir à deux.
Le dessus de lit, la nappe, le rideau de douche et les rideaux sur la mansarde sont roses, ce qui donne cette impression de bonbonnière.
Je la reprends dans mes bras, nous chutons sur le lit.
J’évite de penser que je vais me former aux amours lesbiens, mon cœur s’est accéléré dans ma poitrine...
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