COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi l’opportunité. Saison II (5/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi  l’opportunité. Saison II (5/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi l’opportunité. Saison II (5/6)
Je suis à bord de l’avion m’emmenant en Jamaïque dans un hôtel 5 étoiles les pieds dans l’eau au bord de l’Atlantique dans des paysages et une mer bleue incroyable que j’ai pu voir en allant sur Internet.
Pour une fois, depuis que je prends l’avion pour aller rencontrer un client, bien que j’aie mis un tailleur blanc bon chic bon genre, je peux dormir tranquille, car le siège voisin du mien est vide.
Toutes les lignes aériennes que j’ai prises depuis que j’ai sauté le pas grâce à Corinne mon amie de toujours et elle aussi prof, mais de lycée, alors que moi je suis simplement prof des écoles.
J’aurais pu, comme elle, viser plus haut, mais je voulais enseigner à des plus jeunes.
Être devant une classe d’élèves boutonneux se croyant intéressant m’aurait insupporté.
Le train de vie de Corinne malgré le supplément de salaire entre prof des écoles et profs des lycées m’interpelle et je découvre qu’elle se prostitue dans l’équipe d’escorte de madame Claudette.
Ceci depuis le temps où nous faisions nos études à la fac.
J’ai donc pris des lignes pour Toulouse, Nice, même une fois pour Berlin à un colloque de dentistes payé par l’un d’eux, ayant prévu de tromper sa femme pendant ces quatre jours.
Il savait que sur place, la langue aurait été une barrière pour lui, alors il avait prévu ses amusements du soir.
Il dînait avec des collègues dans le cadre du colloque avant de me rejoindre et de s’éclater dans notre chambre.
Je suis restée deux jours à baiser lorsqu’il était là ou a regardé la télé.
Je me faisais servir par le Roomservice.
De Berlin j’ai juste vu le trajet de l’aéroport à l’hôtel et dans celui-ci, la vue sur une cité de cette ville.
Mais les deux mois de salaire de prof, que cela m’a rapportée, valaient bien ce petit sacrifice.
À l’aller, j’avais un voisin qui voulait me faire visiter sa ville, m’emmerdant tout le trajet surtout qu’il parlait un Français incertain et ignorait l’Anglais.
Il est vrai que j’étais affriolante, madame Claudette m’ayant conseillé une tenue sexy.
Pour ce voyage en Jamaïque, je peux dormir tranquille, personne à mes côtés.
Parti le samedi à 12 heures 50 de Roissy, nous avions 15 minutes de retard au décollage, malgré les 14 heures de vol, nous arrivons le même jour, mais en fin de soirée à la Jamaïque.
Pour la première fois de ma vie j’ai rajeuni de 6 heures, mais je vieillirai d’autant à mon retour, décalage horaire oblige.
Un taxi est là pour me conduire dans un magnifique hôtel où je découvre ma chambre, pardon, notre chambre au client et à moi, avec une vue magnifique sur l’océan.
Une fois installée, vu l’heure, dans le décalage horaire, je découvre le plaisir de manger à une heure complètement incongrue pour moi.
Au buffet, je suis en train de me servir, un homme élégant en pantalon et chemise blanche s’approche.
La quarantaine, bon chic bon genre.
Il tient son assiette dans sa main et je remarque immédiatement qu’il a enlevé son alliance.
Quel con quand on veut jouer les célibataires, on l’enlève bien avant, effaçant ainsi la trace blanche.

• Excusez-moi madame, je vois que vous avez remarqué la trace blanche à mon doigt, je viens de divorcer avant mon voyage pour mon travail ici en Jamaïque.
Vous arrivez de France, vous verrez ici les paysages sont magnifiques.

Quel con, il croit que je vais avaler le coup du divorce, surtout que je sais trop que mon séjour est payé 30 000 € par mon client qui va arriver demain.

• Je me présente, Damien de Bruxelles, je pense que vous avez remarqué mon accent.
Venez-vous d’arriver en vacances ?

J’éconduis ce monsieur, je me vois mal baiser, ce soir et que demain ce monsieur Paul prenne le relais dans mon lit, même si c’est dans sa chambre que je vais me faire baiser.
De plus, j’ignore l’heure où mon client va me rejoindre, s’il arrive et qu’il trouve notre chambre vide, ce sera la cata et je pourrais me moucher des 30 000 €.
Je retrouve ma chambre et je me calfeutre pour éviter tout contact avec d’autres.
Le matin, je prends mon petit déjeuner sur la terrasse de notre chambre, il fait un magnifique soleil, je décide de descendre sur la plage, il y a des transats où je vais pouvoir me faire bronzer.
Petit triangle pour la chatte, timbre-poste sur mes seins malgré qu’ils soient bien développés et lunette de soleil.
Chaussure à semelle plate pour marcher sur le sable qui à cette heure est déjà brûlant et aussi dans mon sac, la crème à bronzer voile totale, je veux éviter de finir comme une écrevisse.
Je passe à l’accueil pour les prévenir que s’ils ont un monsieur qui me demande, je serai sur la plage.
Lorsque j’arrive, le bellâtre m’ayant dragué hier est là sur un transat, un verre à ses côtés lisant un lit.

• Bonjour, mademoiselle Ludivine, je me suis permis de demander votre nom à l’accueil, ici tout s’achète avec un petit billet.
Avez-vous passé une nuit paisible, moi, j’ai très mal dormi, j’ai rêvé à une jeune fille en vacances ici !

Je m’installe sur un transat légèrement éloigné du sien.
Je l’ignore royalement en me recouvrant de crème solaire, je fais celle qui dort.
Il retourne à son livre, dépité de voir sa drague tomber à plat.
Combien de temps, je me tourne et me retourne pour offrir mon corps au grille-pain venu du ciel, surtout sous cette latitude, quand j’entends que je suis interpellée.

• Mademoiselle, que faite vous ici, vous retrouvez à l’autre bout du monde, c’est incroyablement troublant.

J’ouvre les yeux, monsieur papa de Clarisse, l’élève qui a quitté ma classe en cours d’année pour une maladie orpheline est debout devant moi en maillot de bain avec une serviette de l’hôtel sur l’épaule.
La cata me tombe sur le dos, monsieur le papa de Clarisse est monsieur Paul mon client.
Paul, j’aurais pu avoir un doute, mais des Paul combien y en a-t-il en France, il a fallu que je tombe sur le seul apprenant qui je suis réellement.

• Mais que je suis con, Ludivine, la pute avec qui j’ai rendez-vous ici, c’est vous, la prof d’enfants dans la métropole, tu vends ton cul ?
• Monsieur, permettez-moi de me mêler de votre histoire, de quel droit insultez-vous cette jeune fille, certes, elle s’appelle Ludivine, mais combien y a-t-il de jeunes femmes avec son nom en France.
• Toi, le vieux beau, tu fermes ta grande gueule, cette affaire est entre moi et cette pute payée pour les prochains quinze jours.
Pour moi, cela devient impossible de la sauter maintenant que je sais que cette jeune femme que je croyais sage écarte ses cuisses pour 30 000 € la quinzaine.
Ce soir, donne-lui 2 000 € pour passer la nuit avec elle, je suis sûr que c’est la reine des suceuses sous ses airs de sainte ni touche.
Elle sait bien cacher son jeu cette salope à Paris.

C’est à ce moment que je sors à mon tour de mes gonds.

• Messieurs, disparaissez de ma vue, vous vous êtes assez donné en spectacle, regardez, des clients de l’hôtel nous regardent.
Je fais ce que je veux de mon corps, monsieur Paul vous m’avez payé pour les quinze prochains jours, séjour compris et je compte bien en profiter.
Je vous rends vos 30 000 € et avec vous pouvez demander une autre chambre, laissez-moi bronzer et me reposer.

Il me quitte, à midi je me fais servir sur la plage, une salade composée avec de l’eau m’enduisant plusieurs fois d’écran total.
Repus de soleil pour ce premier jour, je rejoins ma chambre, monsieur Paul est là dans un fauteuil sur la terrasse.

• Moi aussi, je suis en vacances et j’en ai bien besoin.
Ma fille me donne énormément de souci, pendant ce mois elle est avec mon ex-femme.
J’ai demandé une autre chambre, mais l’hôtel est plein jusqu’à la fin du mois.
Nous allons être obligés de cohabiter jusqu’à la fin de notre séjour.
J’ai vu que ce monsieur avait des vues sur vous Ludivine.
Si vous avez envie de le rejoindre, faites-le discrètement, ça ferait mauvais effet que je sois le cocu de service.
• Tu peux compter sur moi, hors de cette chambre, je serais ta parfaite petite amie, mais sans contact entre nous.
Même si je suis une prostituée, il existe de nombreuses femmes pudiques sur notre terre.

Je vais prendre un bain, même si j’ai évité l’eau de mer, la moiteur saturée de sel près de l’équateur, nécessitant que j’en prenne une.
Sans lui répondre, je prends de quoi me changer dans mon armoire, j’avais défait mes valises hier.
Lorsque je reviens dans la chambre en sous-vêtements affriolants, j’ai appris à gâter mes clients me rendant dans des boutiques de bonne qualité.
À la fin de cette année scolaire, comme Corinne, je suis une prof ayant sur elle presque l’intégralité d’un de nos mois de paye et il en reste énormément sur mon compte en banque.
Nous nous croisons, je finis de me préparer et c’est lui qui m’attend.
Dans l’ascenseur, c’est le seul endroit où nous sommes en promiscuité et par chance cela dure peu de temps.

Ça fait quatorze jours que nous faisons semblant, même sur la plage, à si, le deuxième jour, j’ai eu contact avec lui.
Nous étions sur la plage sur des transats et Paul venait d’aller se baigner.
Il a nagé longtemps à croire qu’il devait faire passer une érection.
J’ai oublié de dire que nos lits étaient jumeaux, mais avec draps séparés.
Un matin, j’ai failli craquer et aller le sucer, il était en érection son drap ayant glissé.
Il s’est réveillé et voyant son état, a tourné la tête, j’ai fermé mes yeux, il s’est levé, pour se rendre dans la salle de bain.
J’ai pu voir entre mes cils, que ce qui était arrivé, me privait de l’une des plus belles bites qu’il m’avait été de voir.
Pourtant, tout le temps où je me suis faite des clients, j’en ai vu de toutes les couleurs et de toutes grosseurs aux quatre coins de la France.
Le deuxième jour sur la plage, donc, il s’est allongé sur le ventre, mais le soleil était à son zénith, rapidement j’ai vu qu’il dormait et que son dos allait cramer.
J’ai eu peur que notre affaire finisse à l’hosto et mes congés, au soleil, terminés faute de mieux.
Je me suis levée et je lui ai passé de mon huile solaire, à la fin je savais qu’il était réveillé, il aurait pu craquer et tout ceci aurait fini dans notre pieu, mais il continuait à faire celui qui dormait.

Le quatorzième jour, je suis réveillée, je me lève et comme par chance, c’est une nuit de pleine lune, je vais sur le bacon admirer, j’allais dire son ombre, sur la mer.
Je devrais dire son reflet, sur la mer.
Demain, c’est l’avion du retour et aussi le retour à la triste réalité, je suis une pute qui a du vague à l’âme.
Depuis combien de temps, suis-je appuyée à la rambarde en verre, je l’ignore, mais que sens une présence derrière moi.

• Ludivine, permets-moi de t’offrit cette coupe de champagne, je me suis comporté comme un idiot, je dirais même un con envers toi...

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Texte coquin : COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi  l’opportunité. Saison II (5/6)
Histoire sexe : Une rose rouge
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